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Temps de lecture estimé : 9 mn
20/09/10
Résumé:  Un après-midi bronzage entre amis, en bord de piscine, qui prend une tournure particulière...
Critères:  ff fffh vacances piscine voir fmast massage intermast fellation préservati pénétratio fsodo hdanus -hfff
Auteur : Mao-et-ses-tongs            Envoi mini-message
L'art du bronzage


C’est une belle journée qui s’annonce. Dans cette Provence que j’aime tant. Il fait chaud. Un léger mistral rafraîchit l’air, juste ce qu’il faut pour nous permettre de profiter d’un après-midi au soleil.


Tôt ce matin, je prends la route pour rejoindre quatre amies pour une séance bronzette. J’arrive en milieu de matinée. Trois dorment encore, la quatrième m’accueille avec une joie non dissimulée. Elle m’enlace quelques secondes, le temps pour moi de plonger mon nez dans sa chevelure. Cette journée a un parfum délicieux.


Nous nous asseyons autour d’un café, échangeant les dernières nouvelles. Midi approche ; l’une après l’autre, les trois belles au bois dormant se lèvent. Cheveux en bataille et t-shirt lâche pour seul vêtement, les odeurs d’agitations nocturnes pour me saluer. L’ambiance est détendue, sans embarras ni fausses pudeurs. Le repas est préparé avec nonchalance, toutes se relayent entre la douche et la cuisine pour me donner un petit coup de main. Un petit repas frais, de saison, accompagné d’un petit vin pour mieux supporter la chaleur… Le repas glisse tranquillement vers le café.


14 h sonnent et ces dames s’en vont se mettre en tenue pour un après-midi bronzette. Je finis de débarrasser la table en attendant leur retour. J’installe les transats en direction du soleil lorsqu’arrivent quatre nymphes avec, pour seul vêtement, un simple string, le plus fin possible pour « limiter au maximum les traces de bronzage ». Seul représentant du genre masculin, je suis désigné « volontaire » pour les enduire de crème. Si je rechigne, ce n’est que pour la forme.


Une fois qu’elles sont toutes installées, je me saisis du pot de crème au monoï et en prends une bonne dose pour en enduire la première. Elles me tournent toutes le dos, les yeux fermés. Pendant que je porte la crème à température du corps, je ne peux m’empêcher de contempler les leurs. Des grains de peaux si fins, quatre paires de fesses me regardent, des dos réclament mes massages et des cuisses, mes caresses.


Je débute par les épaules, je descends le long de ce dos, lisse, doux et chaud. Je reprends un peu de crème et m’attelle à la lourde tâche d’enduire ce fessier parfaitement rebondi, ces cuisses charnues, ces jambes qui n’en finissent pas. Extérieur, intérieur, je ne me gêne pas pour faire remonter mes caresses jusqu’à effleurer cette vulve charnue. Je me rends alors compte de la chance que j’ai. Je les connais toutes depuis un bon moment déjà, je les ai toutes vues plusieurs fois, dont deux tout aussi peu vêtues et ce sans qu’il n’y ait jamais eu aucun désir particulier. Et aujourd’hui, de les voir si lascives, presque offertes, des centaines d’idées me passent par la tête. Pendant que j’étais dans mes pensées, j’en ai enduit deux autres sans presque m’en apercevoir. La dernière est le meilleur pour la fin.


Un petit bout de femmes aux formes exquises, harmonieusement distribuées, au corps athlétique. Pour l’avoir déjà enduite par le passé, je connais bien son corps. Aussi, mes gestes sont-ils naturellement plus appuyés. Je pétris ses fesses plus longuement que les autres, elle a une peau si fine, il ne faudrait pas que le soleil l’abîme… Je remonte le long de ses cuisses, n’hésitant pas, cette fois, à venir au contact de ses grandes lèvres qui dépassent légèrement du tissu. Un frisson me parcourt à ce contact, cette proximité avec le Saint des Saints. Elle a frissonné, je l’ai vu. Une chair de poule à peine visible apparaît et disparaît presque imperceptiblement le long de son corps. J’en reste là et vais m’allonger, laissant mon esprit vagabonder.


Les yeux fermés, j’entends que l’on m’appelle. Mes yeux s’ouvrent sur quatre délicieuses poitrines. Si le paradis existe, je dois y être en ce moment même. Je fais mine de me lever à contrecœur pour me saisir du pot de crème. Cette fois-ci mes gestes sont particulièrement lents. Je caresse ces poitrines outrageusement offertes, mes mains s’attardent sur chaque sein. Par mes caresses j’essaye, sans me trahir, de faire s’ériger les tétons de mes victimes. Je descends de quelques étages et insiste particulièrement sur ces aines si blanches. J’ai tout le loisir de deviner ce qui se cache sous ces minces morceaux d’étoffe qui, au lieu de masquer, moulent délicatement chaque contour des monts merveilleux qui se trouvent dessous. Je contemple sans gêne ces corps tendus vers mes mains. Elles ont toutes les yeux fermés.


Un petit gémissement me fait revenir à moi. Je constate que je me suis tout spécialement attardé sur l’intérieur des cuisses d’une de mes déesses. Je la regarde. Ses yeux sont toujours clos mais un magnifique sourire illumine son visage. Je m’attarde encore quelques instants à cet attouchement, mes doigts luisent, je n’ai pourtant plus de crème sur les mains… Lorsque j’en ai fini, une bosse encore dissimulable commence à poindre sous mon boxer. Je retourne m’asseoir.


C’est alors l’une d’elles qui se lève et décide de me rendre la pareille. Je m’allonge sur le ventre et me prépare à subir un délicieux massage. Cette douceur en est presque orgasmique, une jouissance toute cérébrale. Après quelques instants, ma masseuse me délaisse, je me laisse aller à mes rêves, lorsque deux mains m’en extirpent. Elles descendent le long de ma colonne, quel frisson ! Je reçois l’ordre de me mettre sur le dos, je ne me fais pas prier. C’en est une autre qui s’occupe de moi. Ses caresses sont lentes et appuyées. Mon torse, mon ventre, mes cuisses. J’entends alors de légers murmures. Je m’aperçois subitement qu’une érection distend mon caleçon.


Concentré que j’étais sur les mains qui parcourent mon corps, je ne l’avais pas sentie monter. Je sens alors deux mains se poser sur mes épaules, remonter et commencer à me masser le cou. Je refuse de bouger faisant mine de rien. Je profite pleinement de l’instant présent. Encore deux mains viennent sur mon torse. C’est une délicieuse torture, mon corps est tout entier tendu de désir. Je tente de me détendre, je ne veux pas rompre cette harmonie. Mais où est la quatrième ? Je n’ai pas longtemps à me poser la question. Une septième main vient de se poser directement sur ma turgescence. Je ne m’attendais pas à ce contact, je croyais jusque-là qu’il s’agissait, au pire, d’un jeu. Il semblerait qu’il n’en soit rien.


Elle me masse à travers le tissu. Alors que je commençais à me détendre, elle finit de me raidir. Je ne suis plus qu’un amas de sensations. Les yeux fermés, mes sens sont décuplés. Mon boxer m’est retiré sans que je n’oppose aucune résistance, je ne suis plus là, je vogue dans des mondes abstraits. On me fait me redresser, je me laisse faire, je ne suis qu’une poupée dans leurs mains, ai-je seulement envie de réagir ?


L’une d’elles colle son corps contre mon dos. Je sens ses seins pleins de vie s’écraser contre moi. Une paire de mains sur chaque cuisse me massent tendrement. La main sur ma verge glisse lentement sur mes testicules et… c’est une bouche qui vient la remplacer. Je suis en plein rêve, ce n’est pas possible. La bouche ouverte, je respire rapidement. Une langue vient alors me lécher délicatement les lèvres, je me tends en avant et c’est un merveilleux baiser que nous échangeons. La bouche sur ma verge se fait gourmande. Les mains sur mon torse m’empoignent toujours plus fermement, l’intérieur de mes cuisses est violemment pétri et tout cela se fait malgré tout avec une infinie douceur. La bouche sur la mienne m’abandonne.


J’ouvre enfin les yeux. Je n’ai que le temps d’apercevoir deux seins qui viennent me faire perdre la vue en s’écrasant sur mon visage. Alors que je tète goulûment la poitrine qui m’étouffe, la bouche sur ma verge s’en va. Quelques secondes après, je sens un contact humide sur ma cuisse, c’est ma muse qui, se débarrassant de son unique et dernier voile, vient maintenant me lubrifier la jambe de sa cyprine profitant allégrement du frottement au passage.


J’ai toujours adoré la sensation d’une vulve se promenant sur mon corps, je suis aux anges. Ma cuisse est maintenant lubrifiée sur toute sa longueur, j’entends celle qui s’y frotte gémir sous la caresse qu’elle me procure. La poitrine sur mon visage s’en va, c’en est une autre qui prend sa place. Une masse cotonneuse à portée de ma bouche. Je n’ai jamais joui par une fellation mais toutes ces caresses conjuguées me tiennent au bord de l’extase.


Celle qui m’a abandonné a rapproché une chaise longue de la mienne. Elle prend ma main et la dépose sur son corps. Je la descends lentement. Elle a retiré son string et ma paume se balade sur son mont de vénus intégralement épilé. Je me saisis de son clitoris et le presse délicatement. Deux doigts s’enfoncent sans résistance dans son con inondé. Pendant que je la masturbe, la poitrine sur mon visage s’en va, me faisant recouvrer la vue. Je contemple le tableau. Celle qui s’est relevée se dévêt et va s’asseoir sur le visage de celle que je doigte. Je bande encore plus fort à cette vision, si tant est que ce soit encore possible.


C’est le moment que choisit la bouche sur ma verge pour s’en aller. Je la vois rentrer dans la maison. Celle sur ma cuisse en profite alors pour m’enfourcher et écraser mon sexe de ses fesses. Je n’y tiens plus. Sous cette caresse, je jouis, arrosant son entrejambe et mon ventre. Celle qui était rentrée ressort à ce moment-là. Voyant ce qui vient de se passer, elle vient me nettoyer de sa langue, elle en fait de même pour l’entrejambe de la belle. Cette seule vision me refait immédiatement bander.


Constatant que ma combativité est intacte, elle m’enfourche alors et se masturbe avec mon sexe. L’entrejambe encore luisant de foutre et de salive, ma grâce vient s’occuper de mes lèvres. Nul besoin de me réduire au silence, je ne disais déjà rien. Je sens ma verge se faire guider dans une vulve gonflée. Je sens ma belle descendre lentement, centimètre après centimètre, jusqu’à la garde. Elle entame alors un lent va-et-vient.


Un cri sur ma gauche. Toujours assise sur le visage de celle que j’ai, depuis un moment, oublié de doigter, mais dans laquelle deux de mes doigts se trouvent encore enchâssés. Une valkyrie hurle sa jouissance, inondant la bouche sous elle. Elle se relève et vient s’occuper de celle qui me chevauche. Une bouche pleine de mouille vient me faire partager cette ambroisie. Je dois être mort, je suis au Walhalla et les valkyries me préparent à affronter le Ragnarök. Des contractions sur ma verge accompagnées de cris étouffés par une langue, c’est ma cavalière qui vient de finir sa chevauchée.


Je n’ai pas le temps d’avoir froid que ma dague finit dans un nouveau fourreau. Déjà bien lubrifiée, elle ne tient pas longtemps. Mon sexe en elle, une bouche sur ses seins, une autre sur son clitoris. Je jouis en même temps qu’elle, l’arrosant de longues giclées. La dernière ne veut pas finir en reste. Elle me prend immédiatement en bouche, je n’ai pas le temps de retomber. Mon érection s’étant encore maintenue, je me relève. Prenant enfin l’initiative, je la penche en avant et m’apprête à la prendre en levrette quand elle m’arrête. Elle n’avait pas de préservatif féminin, contrairement aux autres. C’était un piège ! Trop tard, je me suis laissé prendre. Elle me tend un préservatif, mais c’en est une autre qui le saisit et me l’enfile avec la bouche.


Enfin paré, je m’enfonce dans son ventre. Une langue sous mes bourses m’émoustille et un doigt… dans l’anus ! Ce n’est pas désagréable, surprenant, mais rapidement plaisant. Pendant que je la pilonne, je ne peux résister à l’envie de caresser la rondelle offerte devant moi. Après quelques minutes de ce traitement, elle me propose de la sodomiser, je ne me fais toujours pas prier. Mesdames, commandez et j’exécuterai. Le temps de me retirer pour immédiatement m’enchâsser dans ses entrailles. Une fois que les parois se sont suffisamment dilatées pour me laisser glisser, je la pilonne comme un détraqué, je suis en transe. M’enfonçant au plus profond de ce cul merveilleux, je jouis encore en elle, moins abondamment mais avec une telle intensité…


Je me retire après quelques secondes pour mieux m’écrouler sur le bain de soleil le plus proche. Je vois une jambe passer au-dessus de moi. Ma dernière muse me demande de la finir à la bouche. Elle descend sur mon visage, je demande assistance aux trois grâces qui nous regardent et tends le visage afin d’étancher ma soif à sa source. Deux, puis trois doigts en elle, je cherche la zone rugueuse de son point G. Ma langue agace son bourgeon, les trois autres succubes s’affairent à couvrir son corps de leurs mains et de leurs langues. C’est le nez encore dans sa toison proprement taillée que je la sens qui commence à jouir. De ma langue, je lape l’orifice en contrebas afin de récolter chaque goutte de nectar qui commence à suinter en abondance. Un orgasme qui n’en finit plus et qui la secoue tout entière.


Nus, éreintés, nous avons dormi les deux heures qui suivent. À la fin je me lève, la route est longue pour rentrer chez moi. Je les ai toutes embrassées en guise d’au revoir, et suis parti.


Appelez-moi pour la prochaine séance de bronzage.