n° 14071 | Fiche technique | 39299 caractères | 39299 7009 Temps de lecture estimé : 29 mn |
29/09/10 |
Résumé: Le jeune Léo va constater avec bonheur que sa voisine a des talents insoupçonnés. | ||||
Critères: fh fplusag jeunes extracon voisins nympho vacances jardin voir exhib fmast hmast massage entreseins facial fellation nopéné journal -prememois | ||||
Auteur : Froz (Jeune homme aimant partager les plaisirs jouissifs) Envoi mini-message |
Jeudi 19 avril 2001
– 14 h 15 –
La voilà qui revient. Ça fait un bon quart d’heure que je l’observe du coin de l’œil, avachi dans le sofa du salon, ne sachant plus ce qui, du film sans intérêt ou de la voisine accapare le plus mon attention. En cette après-midi de printemps, le programme n’annonce jamais rien de bon, même pendant les vacances scolaires. Voir ma voisine se prélasser en maillot léger et jupe paréo rosée sur sa terrasse, en revanche, a tout du spectacle réjouissant. Quel jeune homme ne se laisserait pas exciter par une femme épanouie, prenant soin de son corps et exhibant fièrement ses charmes dès qu’elle en a l’occasion ? Je ne peux pas dire que les filles du lycée en fassent autant, loin de là !
La voir ressortir me soulage ; le spectacle va durer encore un moment, qu’est-elle donc allée chercher à l’intérieur ? La vue est certes directe avec cette grande baie vitrée que j’ai ouverte, mais il n’en reste pas moins que les buissons épars séparant nos jardins et la distance entre nos deux maisons ne me permettent pas de distinguer les détails. Le lotissement de maisons permet à chacun d’avoir un petit bout de jardin et une parcelle d’intimité, mais pas assez pour s’exhiber en toute tranquillité à l’abri des regards… Et la volonté de mes parents d’entretenir des rapports cordiaux avec le voisinage direct m’arrange bien, parce que la clôture n’est ni trop haute, ni trop épaisse, ce qui me permet d’épier à souhait la voisine pour le moins séduisante.
Elle se redresse et se noue les cheveux noirs et ondulés en un chignon négligé, dégageant ainsi sa nuque et ses épaules. C’est de l’huile solaire qu’elle a dû aller chercher, car je la vois verser une partie du flacon sur son corps ferme et étaler le contenu sur ses bras longilignes, ses épaules, son ventre plat et ferme malgré deux grossesses et sur son visage aux traits fins et avenants. Elle a un petit quelque chose dans son regard et dans son sourire qui m’excite autant qu’il m’intimide. C’est incroyable ce qu’elle peut faire pincée, distante, sûre d’elle-même et légèrement hautaine avec les gens qu’elle ne connaît pas, alors qu’en privé, elle affiche sa volupté, n’hésite pas à exhiber ses charmes et son envie de plaire, avec décontraction et sensualité… Je me demande parfois comment elle peut se satisfaire de son mari, un homme mou et sans grande ambition, qui ne m’a jamais semblé la combler ni lui proposer une vie digne de ce qu’elle mérite.
– 14 h 25 –
Je crois halluciner, mon regard est attiré par du mouvement de l’autre côté du jardin ; elle vient de s’asseoir sur sa chaise longue et dénoue nonchalamment le haut de son maillot pour le poser dans l’herbe. La jupe paréo rosée, elle, est restée en place mais est largement remontée sur ses cuisses cachant aussi peu que possible ses cuisses. Elle verse un peu d’huile sur sa poitrine pleine et rebondie, puis l’étale ostensiblement, en prenant bien soin de n’oublier aucune parcelle de sa peau déjà hâlée. De là où je suis, je ne peux m’en assurer, mais j’imagine très bien ses pointes se redresser, lui provoquant une décharge dans le ventre jusqu’au creux des cuisses. Je ne peux m’empêcher, machinalement, de descendre ma main et de repositionner ma tige qui commence à grossir, rendant inconfortable sa position dans mon jean trop serré. Satisfaite de la pénétration de l’huile, elle se réinstalle confortablement, face au soleil, les bras au-dessus de la tête, accentuant l’effet de courbure de son corps sublime. N’y tenant plus, j’ai saisi ma verge et commence quelques mouvements amples pour soulager légèrement la tension et mon état d’excitation. Je décide de me calmer un peu et de reporter mon attention sur la télévision. En zappant, je tombe sur un match de tennis féminin, dont les deux protagonistes redoublent d’efforts pour renvoyer la balle, faisant virevolter les jupes et criant toujours plus fort à chaque échange… Pas l’idéal pour me calmer tout ça, il ne me faut déjà pas grand chose, m’enfin là, je suis gâté, entre la voisine qui s’exhibe et ces sons tendancieux… Je zappe et essaie de me calmer devant une série policière sans intérêt mais qui a le mérite de focaliser mon attention sur un sujet moins sexué.
– 14 h 50 –
La sonnerie de l’entrée me fait sursauter. Un coup d’œil de l’autre côté du jardin par acquis de conscience… Non, ça va, elle se laisse lécher par les rayons chatoyants, je n’ai pas attiré son attention. Béatrice, si tu savais, pourtant… Je me lève et me dirige vers la porte, un tour de clé et j’ouvre sur son fils, Maxime. J’ai un léger sursaut, la croyant seule chez elle pour se permettre cette tenue, mais j’enchaîne rapidement :
Je claque la porte, et mon sang ne fait qu’un tour. Quelle aubaine, il m’offre de m’approcher… Après une rapide réflexion, je décide de troquer mon caleçon contre un boxer un peu plus serré qui tiendra mon engin en place, histoire de ne pas attirer l’attention. Le jean fait place à un short un peu plus large, style surfer que complète une chemise légère boutonnée à moitié pour laisser apparaître mon torse musclé, et sorti du short pour cacher toute suspicion d’activité dans le boxer. Une paire de tongs pour rester décontracté et c’est parti. En moins de cinq minutes, me voilà à la porte voisine.
– 15 h –
Je sonne. Rien. J’insiste. Toujours rien… Au moment où je m’apprête à sonner une troisième fois, j’entends des bruits de pas. Mon sang ne fait qu’un tour, ce claquement sur le carrelage, c’est un bruit de talons, c’est elle qui vient ouvrir. Vision enchanteresse, elle est là, devant moi, avec un peignoir court et échancré, cachant le minimum décent de ses charmes :
J’entre et j’emboîte le pas de Béatrice. J’admire ses fesses rebondies se mouvoir dans le peignoir et ses jambes interminables la portent dans le salon. Elle fait glisser le peignoir sur ses épaules et je découvre son dos nu et sa silhouette toute en courbes, les fesses pulpeuses toujours cachées dans sa mini jupe paréo. Elle n’a pas pris la peine de renouer son haut de maillot de bain, aussi, lorsque, sur le pas de la baie vitrée, elle fait volte face, je suis troublé par sa poitrine lourde, ferme et alléchante qui se dandine effrontément.
Maxime s’est installé face à la porte de la cuisine, sur la partie de table au soleil.
Je suis du regard son joli petit cul s’éloigner et entrer dans la cuisine. J’espère bien que cette boisson calmera mes ardeurs…
J’essaie de me concentrer, mais le retour de Béatrice, toujours la poitrine à l’air me trouble et mon attention se focalise sur ses aréoles qui semblent pointer vers moi. Elle se penche et d’un geste nonchalant dépose le verre sur la table. La vue de ses lobes qui se balancent attisent de plus belle mes ardeurs, et je sens mon engin qui commence à se réveiller…
Aïe, elle fait le tour de la table, j’ai peur qu’elle se rende compte du petit manège qui se déroule dans mon boxer…
Elle tend son bras entre Maxime et moi, se plaçant ainsi dans mon dos. Je sens son parfum enivrer mon atmosphère, j’ai une poussée d’adrénaline au creux du ventre. Elle se penche légèrement, et je sens son souffle sur ma nuque. Ma tige continue à se gonfler, mais impossible de la remettre en bonne position pour cacher cette érection. Je sens ses seins derrière moi ; l’un s’est posé sur mon épaule gauche, l’autre au niveau de mon épine dorsale. J’en frissonne et essaie de ne pas laisser paraître mon inconfort.
Maxime indique du menton son cahier ouvert au milieu de la table. C’en est trop, elle se penche pour se saisir du cahier, et, se mettant sur la pointe des pieds pour l’atteindre, elle appuie son opulente poitrine sur mon épaule et ma nuque, c’est tout juste si son sein gauche n’effleure pas ma joue. Ça bouillonne dans mon boxer, et je profite de son recul pour me mettre de côté, lui laisser un peu de place et replacer discrètement ma queue. Elle pose le cahier sur le bord de la table et s’appuie sur ses deux mains pour parcourir ladite leçon. Maxime est focalisé sur la leçon, mais moi sur la poitrine de sa mère à quelques centimètres de mon visage.
J’ai envie de lui lécher les tétons du bout de la langue, de les téter, de caresser la courbe délicieuse de ses seins, de les gober jusqu’à m’en étouffer, mais je reste là, les yeux dans le vague, subjugué par leur forme parfaite, me demandant comment après deux enfants elle a pu garder un corps aussi sublime. Elle a un coup d’œil rapide vers moi et croise mon regard. Me voilà pris en flagrant délit. Elle reporte rapidement son attention sur le cahier, mais je crois voir ses joues rosir, et puis, quelle surprise, ses tétons et ses aréoles se rétractent en une demi seconde, trahissant, je l’imagine, ou l’espère, l’excitation ou le trouble d’être matée par un tout jeune homme… Je décide de reprendre l’initiative pour éviter de laisser l’inconfort s’installer :
Sa façon de lui faire la morale avec les lobes gonflés et pointus a quelque chose de surréaliste… Après une légère contestation de son fils, sévèrement balayée, elle tourne les talons et retourne s’étendre au soleil. Je ne peux m’empêcher de lorgner sur son postérieur. Je m’étonne dans un premier temps de ne pas distinguer les bords de sa culotte de maillot, mais regardant mieux, je crois voir dans la transparence de la jupe paréo rosée, un fin triangle évocateur à la commissure des fesses. Je cherche des yeux des ficelles sur ses hanches qui ôteraient le doute, mais elle s’est trop éloignée, et, déjà, a franchi la baie vitrée. Je reporte mon attention sur le problème de Maxime, me demandant ce que cache le paréo. Je ne l’imagine pas offrir ses seins à nos regards, et cacher un maillot classique. Un string, en revanche, expliquerait beaucoup de choses… Un dernier coup d’œil pour se donner du courage… La voilà installée, je n’en saurai pas plus pour le moment.
– 15 h 30 –
Maxime monte précipitamment dans la voiture, pressé de retrouver la cabane dont il ne cesse de me parler. J’entends depuis le salon la voiture démarrer et s’éloigner, Béatrice ferme la porte et revient dans la pièce principale. Je termine de ranger la console sous la télévision puis m’apprête à rentrer. Au moment où je me redresse, elle est face à moi, en train de faire une fois de plus glisser son peignoir sur ses épaules et ses bras. Je marque naturellement un temps d’arrêt, avant d’annoncer timidement :
Elle est sur le point de réajuster son peignoir pour m’ouvrir lorsqu’elle ajoute :
Mon sang se fige : qu’est-ce qu’elle me fait là ? Elle joue avec mes nerfs ou je me fais des films ? J’ai une bouffée de chaleur, je sens le rouge monter à mes joues, j’espère que je ne pique pas un phare et qu’elle ne se rend compte de rien.
Là, c’est sûr, elle joue avec moi. Je crois avoir discerné un sourire que je n’arrive pas trop à interpréter. Je sors derrière elle, les yeux rivés sur son postérieur, essayant de deviner ce que peut bien cacher son paréo. Je n’ai pas encore énormément d’expérience de la chose, mais je suis persuadé d’y entrevoir un string.
Ce disant, elle se penche pour attraper la base de la chaise longue et la faire pivoter sur ses roues face au soleil. J’ai tout le loisir de contempler son postérieur, de voir le paréo remonter sur ses fesses et de voir les lobes se découvrir légèrement. Ça m’excite terriblement de la voir dans cette position, aguichante et offerte. Ma tige se redresse de plus belle, je sens mon boxer qui est désormais légèrement moite. J’ai juste envie de rentrer, d’empoigner mon chibre, de l’agiter frénétiquement pour me soulager de toute cette tension et de m’enfoncer des limbes de l’extase orgasmique.
Je reste pantois devant cette scène ; est-ce qu’elle se doute de l’effet que ça peut faire sur un mec, ce genre de spectacle ? Elle est là, au milieu de son jardin, face à moi qui tiens son huile solaire, et elle s’escrime avec le cordon de son paréo. Elle parvient à le desserrer et, sans le dénouer complètement, fait glisser celui-ci le long de ses jambes en un mouvement lascif et sensuel. Je découvre enfin ce qu’il cachait : le bas de son maillot était bien un string, rouge, assorti au soutien-gorge. Elle est face à moi, de côté, si bien que je distingue le triangle d’étoffe cachant son intimité, et la ficelle sur sa hanche, rejoignant l’autre triangle, plus qu’étroit en haut de ses fesses. Une décharge d’adrénaline me fige sur place et c’est subjugué que je la regarde me tourner le dos, se mettre à quatre pattes, sur la chaise longue et s’allonger sur le ventre, prête à être tartinée. Je ne peux détacher mon regard de ce qui a été mon phantasme des mois durant, essayant de photographier la scène, mais après quelques secondes, impatiente, elle se redresse et se retourne à moitié m’invectivant :
Pour toute réponse, je marmonne quelque chose de vague, ne sachant pas vraiment quoi dire, laissant libre l’interprétation, et commence à faire couler un peu d’huile dans mes mains. Après les avoir frottées l’une contre l’autre, je les applique sur son dos, et commence des rotations douces, sans trop de pression, pour étaler l’huile sur toute la peau. Je continue mes caresses et l’entends ajouter :
Je souris et détourne la conversation, ne souhaitant pas vraiment m’étendre sur le sujet avec elle. Je profite de terminer ma tâche en débordant largement sur les côtés, afin de toucher un peu cette poitrine qui me fait tellement fantasmer. Ayant terminé avec tout ça, je rebouche l’huile :
Ça n’en finit plus. Je me relève pour remettre discrètement un peu d’ordre dans mon boxer, mon sexe me fait maintenant un peu mal, et toute cette érection me lance un peu dans les bourses. C’est décidé, sitôt de retour chez moi, je lui en mets virtuellement plein la poitrine. En m’asseyant au niveau de ses jambes, je m’assure :
J’ai décidément du mal à me faire à cette situation. Je commence par le bas des jambes, avec l’intention de finir par le meilleur… Et elle enchaîne :
De plus en plus amusée,
La tournure que prend la conversation m’excite de plus en plus, et je me demande où cela va pouvoir nous mener.
Je n’en crois pas mes oreilles, sortie de son contexte, et même dans son contexte, d’ailleurs, cette conversation est délirante !
Je prends un air faussement convaincu, un peu interloqué par ce langage cru que je n’aurais pas vraiment imaginé dans la bouche de ma voisine qui renvoie plus l’image d’une femme de bonne éducation et étriquée que d’une cochonne multipliant les hommes, les comparant et les échangeant avec ses copines de fac.
– 15 h 50 –
J’en suis maintenant aux cuisses et remonte doucement par l’intérieur, effleurant le string bombé, revenant caresser la courbe inférieure des fesses, puis redescendant vers le genou par l’extérieur des jambes. Le ton de ma réponse a dû être suffisamment évocateur parce qu’elle insiste :
Effectivement, je ne cherche pas à imaginer ce qui s’est passé, je la vois seulement avec du jus blanc en quantité plein la bouche, avalant des gorgées et des gorgées de foutre chaud… Et pour l’instant, c’est le mien que j’aimerais bien qu’elle pompe… Comme par association d’idées, elle poursuit :
Je sens que je me risque sur un terrain glissant. Ça fait un moment que je me demande comment faire déraper cette situation, et avec le ton sûre d’elle-même qu’elle emploie depuis quelques minutes, la mettre au défi me semble être une option intéressante. Mais j’ai peut-être été un peu maladroit ou trop loin, parce qu’un silence gêné s’installe. J’en profite pour remettre un peu d’huile dans mes mains, les poser sur ses fesses, commencer des mouvements de rotation. J’essaie d’écarter un peu les lobes pour tenter de l’exciter, achevant ainsi de rendre mon érection douloureuse. J’observe le string, attendant qu’il se colore sur la partie bombée, ce qui trahirait son état d’excitation, mais rien ne se produit. La douceur de sa peau, la fermeté et la perfection de ses fesses m’impressionnent, j’entame des mouvements plus lents et plus intenses, prenant bien chaque fesse dans une main, les pétrissant, essayant de les écarter et de caresser l’intérieur de la raie avec chacun de mes pouces…
– 16 h –
Je me lève, mais au moment où je referme le flacon d’huile, elle se redresse également, s’assied au bord de la chaise longue, et se retrouve juste face à moi, à la hauteur de ma ceinture. En posant une main sur ma cuisse, elle prend une voix suave et me demande :
Elle remonte sa main tout doucement sur l’intérieur de ma cuisse, par dessous mon short. J’ai le feu aux joues et un frisson me parcourt le corps. J’ai toujours le flacon d’huile dans les mains, mais j’ai une folle envie de baisser mon short et de lui présenter mon chibre tendu à l’extrême.
Je sens sa main qui remonte et qui atteint mes bourses. Elle me les malaxe tout doucement, et de façon très ample. Je renverse la tête en arrière, et je sens que son autre main s’attaque au cordon de mon short. Lorsque celui-ci a cédé, ses deux mains se saisissent du bas du short pour le faire descendre tout doucement. Au fur et à mesure qu’il glisse, elle approche sa bouche de mon boxer, et lorsqu’il touche le sol, elle pose ses mains sur l’arrière de mes cuisses, m’approche à elle, embrasse et lèche mes bourses à travers le fin tissu du boxer. J’en profite pour jeter le flacon d’huile et me débarrasser de ma chemise, afin de lui laisser le champ libre, et de jouir d’une meilleure vue. Je me laisse faire et ne peux réprimer un grognement de soulagement et d’excitation :
Elle me regarde dans les yeux, ouvre la bouche et mordille délicatement ma tige comprimée et penchée dans mon boxer. Je sens ses mains remonter le long de mes cuisses, et c’est maintenant mes fesses qu’elle caresse. Elle continue dans le mouvement, atteint l’élastique, glisse ses mains dans le boxer les pouces à l’extérieur, et, en me caressant les fesses, entreprend de le descendre. Ce faisant, elle attrape aussi l’élastique des dents pour accompagner le mouvement et me mettre à nu. Ma verge lui saute au visage, fièrement, dressée, droite comme un i, le gland décalotté et turgescent pointant vers le ciel. Elle ne peut réprimer un sursaut et s’étonne :
Sur cette dernière remarque, elle me gratifie d’un clin d’œil coquin, empoigne délicatement ma tige, m’attire encore un peu plus à elle en posant l’autre main sur mes fesses et commence à me lécher et à me gober les bourses. Elle remonte très lentement le long de ma queue, léchant le frein du bout de la langue, et atteint enfin le sommet. Elle se délecte des quelques gouttes d’excitation qui ont perlé, recueillant du bout de la langue ce nectar visqueux, l’allongeant en un fil qui coule sur son menton. Elle opère ainsi la remontée de ma verge du bout de la langue, plusieurs fois de suite, s’amusant de ses tressautements qu’elle provoque chaque fois qu’elle atteint la base du gland.
Elle intensifie ensuite le mouvement en penchant la tête de côté, pour attraper la tige par ses lèvres entrouvertes, et effectuer le même mouvement de remontée, mais de côté, avec le seul contact de ses lèvres et une légère succion. La sensation est divine. J’attends impatiemment qu’elle me gobe enfin tout entier, mais je dois bien avouer que l’attente qui précède et ses caresses m’excitent terriblement. Je me dis que je comprends peut-être enfin ce que les femmes entendent par préliminaires. Il va falloir que j’y réfléchisse, mais à un autre moment. Pour l’instant, je me concentre sur mes sensations, et sur cette main qui vient de lâcher prise pour se positionner sur mes testicules, les empoignant délicatement, avec l’index sur le scrotum, le majeur autour des bourses, et les deux autres doigts en anneau autour de ma tige, pour l’amener à l’horizontale, en direction de sa bouche… Avec cette position, elle arrive à la fois à me masser les bourses, et à me masturber légèrement la base de la pine, je devine que sa bouche s’occupera du reste…
Elle me regarde dans les yeux, tire la langue et y dépose mon gland, elle le léchouille ainsi du creux de la langue quelques seconde, en prenant soin de toujours récolter les perles de mon excitation. Elle redescend pour me gober les testicules, remonte en gardant cette fois ma tige dans le creux de sa langue, puis, arrivée au gland, le gobe enfin.
Elle maintient la position quelques secondes, puis, très lentement, effectue quelques rotations de langue autour du gland. Elle s’affaire ainsi, à me masturber délicieusement le gland de ses lèvres, s’arrêtant au col du prépuce. Elle se recule légèrement et me titille le bout du sexe qui perle de plus belle. Je décide de me lâcher un peu, et me penche légèrement pour lui caresser un sein. Elle apprécie visiblement car elle me sourit légèrement, et reprend de plus belle sa fellation. Elle gobe le gland, l’aspire, puis continue à progresser le long de ma tige, enfonçant lentement, très lentement, l’intégralité de mon chibre au fond de la gorge. Sa main laisse la place à ses lèvres pour un instant, et elle va même jusqu’à tirer la langue pour me lécher le haut des couilles. Un tremblement parcourt mon corps, et mon autre main vient se poser sur sa tête, pour l’aider à avaler toute la longueur. Je suis tiraillé entre l’envie de lui lécher le sein, de mordiller son mamelon, et d’éprouver du bout de la langue la fermeté et la douceur de sa poitrine et entre l’attente de la suite de sa caresse.
Lorsqu’elle commence à ressortir ma queue de sa bouche, je sens que l’attente de la jouissance ne sera pas longue. Toute l’excitation de cet après-midi aura raison de ma retenue d’ici peu :
Elle remonte lentement, pour garder le contrôle de ma jouissance, puis, ma pine ressortie :
Je pourrais tout lui accorder, pourvu qu’elle me reprenne en bouche…
Elle reprend ma queue et mes couilles de la main droite, me caresse les fesses de l’autre, puis, embrassant d’abord la pointe de ma bite, elle écarte ses lèvres et me gobe à nouveau le gland, puis toute la longueur de la tige. C’est seulement après être remontée et redescendue trois fois très lentement qu’elle accélère le mouvement, me masturbant pour étirer mon gland au maximum, et suçant goulûment, pompant mon dard pour en expulser tout le nectar. N’y tenant plus, je gonfle mon sexe dans sa bouche pour favoriser l’éjaculation libératrice. Je tiens quelques minutes, et lorsque je sens le sirop monter, je crispe légèrement mes mains dans sa chevelure. Ça doit être le signal qu’elle guettait car elle ralentit instantanément la cadence, mais intensifie sa succion et amplifie son mouvement de la main. Je sens mes burnes qui se vident, la contraction de mon scrotum ne va plus tarder. Je la regarde finir de me sucer, espérant qu’elle me garde en bouche.
Un premier spasme secoue mon corps ; elle me maintient toujours fermement la queue, mais elle n’a pas reculé la tête assez rapidement. Le premier jet coule dans le fond de sa gorge, elle ressort ma queue et le sperme qui en a jaillit dégouline sur sa lèvre et son menton. Elle empoigne ma verge plus fermement de l’autre main et la positionne dans le creux de sa langue puis incline la tête, et ouvre la bouche pour la suite. Ça ne tarde pas avec le second jet qui s’écrase sous son nez et sur sa lèvre supérieure. Cela redouble mon excitation et intensifie la puissance de ma troisième giclée qui lui éclabousse le visage, depuis le haut du front jusqu’au bout du nez. Elle a un mouvement de recul, mais se rattrape aussitôt en reprenant mon gland en bouche. Je sens un autre faisceau lui tapisser le palais. Elle recrache mon gland englué, et mon foutre se répand à nouveau sur son menton, puis tombe sur sa poitrine. Relâchant un peu sa prise, elle me masturbe par un mouvement ample et ferme, et reçoit une épaisse giclée sur la joue. Elle continue, comme pour extraire toute la sauce, et un dernier flot lui macule les lèvres et la langue.
Sentant la fin de ma jouissance, elle me reprend en bouche, pour se régaler des derniers écoulements, les recrachant autour de ma tige au gré de sa fellation. Mon sperme lui a recouvert une partie de la joue, la bouche et le menton. Le surplus dégouline sur son opulente poitrine et elle semble prendre un malin plaisir à l’étaler :
Je ne réponds rien, trop étourdi pour trouver une réplique brillante.
– 16 h 25 –
Mon sexe est ramolli, mais garde les traces visqueuses et rougeoyantes d’une activité jouissive. Béatrice, quant à elle, s’est avachie dans sa chaise longue et continue à se caresser la poitrine, excitant et tiraillant ses tétons, le visage toujours maculé. Elle me regarde et ronronne :
Ce disant, elle descend sa main droite, et, avec son index et son majeur tendus, commence à se masturber.
Se moque-t-elle de moi ? Me provoque-t-elle encore ? La voir ainsi me rend dingue, et je ne tarde pas à recouvrer vigueur et excitation. Machinalement, je me masturbe devant cette créature souillée, me souvenant des grands airs qu’elle sait prendre, et relevant le contraste avec le comportement de traînée qu’elle a adopté cet après-midi.
Elle n’a pas besoin de très longtemps avant de montrer des signes de jouissance proche ; elle se tortille, se cambre, cherche et trouve le foutre encore tiède sur ses seins, maltraite ses tétons et part très vite dans un râle sans équivoque qui tort son visage et son corps de jouissance. La voyant ainsi jouir et se délecter de mon jus, je suis prêt à libérer une seconde décharge et m’approche de sa poitrine. Elle m’encourage :
Sur cette provocation, je la gratifie d’un jet sur les seins, puis je m’approche pour poser ma queue entre ces superbes lobes qui m’ont déjà tant fait rêver. Un second jet plus puissant se répand de son menton à ses seins, et la suite, moins violente, inonde sa poitrine. En me regardant de son air lubrique, le visage toujours souillé, elle continue d’étaler mon foutre sur ses seins et de se caresser.
– 16 h 40 –
Un peu gêné, je ne sais pas trop quoi dire. Elle est là, toujours étendue sur sa chaise longue, les yeux clos et la respiration lente. Je ramasse mes fringues et me contente d’un :
Sa réaction n’est pas celle espérée : elle se tourne vers moi, et, moitié vexée, moitié amusée me répond :
Je suis sceptique, mais globalement assez peu inquiet sur ce qui pourrait m’arriver. Je la sais soucieuse de son image de petite bourgeoise bien sous tout rapport, et je ne l’imagine pas aller raconter à n’importe qui ce qui vient de se passer. Quant aux services à venir, je ne pense pas que ce soit vraiment gênant. À vrai dire, je suis plutôt intéressé par la proposition, et j’ai même hâte de voir la suite des événements.
– 17 h 45 –
Ma mère vient de rentrer, et déjà, je suis pris en défaut… Mes parents m’avaient demandé de m’occuper de la pelouse, mais j’ai eu d’autres occupations bien plus jouissives… Autant ne pas mentir :