Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14080Fiche technique24834 caractères24834
Temps de lecture estimé : 15 mn
10/10/10
Résumé:  Comment j'ai baisé avec une secrétaire que je ne connaissais même pas trois jours auparavant. Agée de vingt ans de plus que moi, elle cachait bien son jeu. Cela m'a réveillé des sensations très puissantes. Aujourd'hui ma vie sentimentale en est bouleversé
Critères:  fh fplusag frousses inconnu lunettes travail toilettes ffontaine facial fellation fist fsodo confession -bureau
Auteur : Kamel            Envoi mini-message
Une aventure avec une inconnue de vingt ans mon ainée

Comme beaucoup d’hommes, je vais régulièrement sur internet pour mater des sites porno, plus ou moins explicites (parfois, très explicites). Enfin, voici quelques jours j’ai découvert Rêvebébé, par hasard. J’y ai lu pas mal de récits.


Si vous lisez ces lignes, c’est que je me suis décidé, peut-être sur un coup de clics, à publier mon aventure. En fait, c’est la lecture de quelques publications sur ce site qui m’a donné l’envie de l’écrire. En vue d’abord, je l’avoue, de m’aider à faire le point.

Pour la forme, je vais en premier lieu me présenter, cadrer le contexte de mon aventure et, bien sûr, détailler ma nouvelle expérience sexuelle.



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Présentation


Je m’appelle Kamel. J’ai 28 ans. J’aime le sexe. Avant cette aventure, j’étais pourtant bien dans ma peau et dans ma vie.

Dieu m’a donné un corps que j’aime. D’abord, je suis très grand. Ensuite, les entraînements sportifs réguliers que m’avait imposés mon père (pourtant ressentis comme subis à l’époque) – étant lui-même un ancien athlète – me donnent à présent le goût de l’effort physique. Ceci me récompense par un corps bien sculpté. Narcissique ? Oui, certainement.


De plus, si dans ma jeunesse j’avais été (bêtement) complexé par mon sexe que je jugeais mal proportionné, j’en suis aujourd’hui très heureux… Et fier. Je sais, c’est con de dire que l’on est fier de quelque chose dont on n’a finalement aucun mérite, à l’inverse de mon entretien physique, mais je suis comme ça. J’aime la grosseur de mon pénis. J’aime que mon gland le paraisse davantage en étant toujours à demi-découvert. Et j’aime bien provoquer des moments troubles (et un peu dominateurs) avec ma partenaire où je le saisis dans ma main, en montrant ostensiblement que ma poigne n’en fait pas le tour. Macho ? Oui, sûrement.


À l’époque, je vivais avec ma copine Chéryl. On avait décroché un bel appartement parisien, bien loin à tous les égards de ma banlieue.

Notre situation, perfectible, était malgré tout confortable. En effet, si Chéryl était styliste en CDI, je galérais un peu plus pour ma part : j’étais toujours en CDD, mais avec un master en poche que je dois aux labeurs de mes parents, de simples ouvriers maghrébins, qui m’ont payé ces longues études.


Sexuellement, mes rapports avec Chéryl étaient épanouissants. Du moins, je le pensais. On aimait baiser, de presque toutes les manières et dans des lieux insolites afin de donner du piquant psychologique, et ainsi bannir la routine. En revanche, depuis qu’elle avait décroché son nouveau poste, son appétit charnel avait laissé place à un planning professionnel surchargé et donc à de la fatigue… au détriment de la fréquence de nos ébats. Dès lors, nous continuions à faire l’amour avec beaucoup de hardiesse et avec très peu de tabous, mais pas plus de deux à trois fois par semaine. Et c’était trop peu pour moi.


Bien que je reconnaisse être un séducteur, je ne pensais sincèrement pas que j’aurais pu la tromper. J’avais tort…



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Contexte


Je travaille pour une société qui installe et fait de la maintenance de réseaux informatiques. Aussi je suis amené à me déplacer dans des entreprises différentes régulièrement.


Nous étions fin juillet. Il me tardait d’être en vacances. À deux doigts de la quille, j’étais chargé d’une migration de serveurs et de logiciels pour une vieille PME crasseuse et plutôt bordélique. Rien de compliqué.


Le directeur de la boîte, un gros type antipathique et mal fagoté, me présenta à ses salariées (que des femmes) et les prévint de ma présence. Il les informa des désagréments opérationnels et nécessaires à l’exécution de mon travail. Déjà, dans cette foule attentive, je distinguai la chef des secrétaires.


D’environ 45 ans je pense, cette femme rousse à lunettes se détachait du lot. Elle était habillée d’une tenue très classique, stéréotypée, que l’on peut se faire d’une responsable de services, mais sans exubérance : chaussures noires à talon, collant noir, jupe noire, chemisier blanc et foulard autour du cou. Elle portait bien le tout et j’aimais son allure.


En passant de service en service, j’en appris davantage sur la chef : elle était incontestablement peu appréciée (doux euphémisme !). Les filles parlaient d’elle en l’appelant « l’aut’ conne ». Elle subissait la fréquente critique de « ne rien faire d’autre que de s’enfermer toute la journée dans son bureau pour jouer à internet ». Il est vrai que je l’ai rarement vue quitter son bureau. Elle y restait même le midi pour y déjeuner. Et quand elle y était, elle fermait la porte.


C’est ainsi que le lendemain midi, elle me négocia la liberté d’accéder à son poste afin d’y configurer son ordinateur. Je faisais consciencieusement mon travail que je finis avec une demi-heure d’avance. Curieux, et sûrement un peu voyeur, je consultai l’historique de son navigateur internet. Le résultat tranchait avec sa réputation : tous les accès, très professionnels, étaient finalement peu fréquents pour quelqu’un qui semblait être tout le temps connecté.


Tenace, je fouillai dans les dossiers pour voir les programmes installés et y découvris le raccourci d’un autre navigateur que celui par défaut dans le système. Là, l’historique que je pus afficher fut davantage prolixe : des centaines de pages de sites de cul ! Et que ça ! Des pages de vidéos hard, parfois assez crades. Et j’avais la preuve numérique que la cheftaine avait navigué sur ces sites durant une bonne partie de la matinée !


Bien loin de faire quelque morale, je commençai au contraire à m’exciter à la pensée qu’une femme pouvait prendre plaisir à voir des photos et des vidéos aussi explicites, issues, par ailleurs, de certains sites que je connaissais bien moi-même pour les avoir consultés !


De retour à 13 h 30 pile dans son bureau, je lui cédai la place et ne la regardai plus de la même manière. Je posai d’abord le regard sur la forme de ses seins sous son chemisier bien sage. Le bref instant où elle regagna son bureau, je matai le déhanché de ses fesses, pourtant un peu fortes, mais rondes et bien moulées par sa jupe.

Tout l’après-midi, elle était bien sûr enfermée dans son bureau et je devinais ce qu’elle pouvait y faire. Cela m’excitait beaucoup. Ce soir-là, j’ai fait l’amour avec Chéryl comme un fou… mais je pensais à la secrétaire…



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L’aventure


C’était mon dernier jour dans cette boîte. Et mes vacances si convoitées me tendaient les bras ! En vérité, j’avais déjà terminé mon job depuis une bonne heure et feintais de paramétrer quelques postes en attendant la pause-déjeuner. J’avais décidé de provoquer quelque chose. Profitant en outre de l’absence du boss pour la journée, je m’attachai donc à importuner la secrétaire dès que toutes les salariées eurent quitté les lieux.


Je frappai alors sur la porte en verre granité et opaque de son local. Je vis son ombre déformée s’avancer. Elle m’ouvrit et me questionna sèchement :



Elle hésita et m’ouvrit le passage. Je poursuivis :



Elle conserva son ton sec, mais, cette fois, il parut moins assuré :



Je lui coupai la parole :



D’abord, elle prit une voie basse :



Ensuite, elle parut reprendre son air assuré :



Je la saisis doucement par les épaules :



Bien qu’elle me dégageât les bras de mon emprise, je voyais bien qu’elle s’interrogeait sur l’opportunité et se laisserait convaincre pour peu ; je continuai mes palabres :



Intimement, j’étais heureux de sa réponse posée, subtile acquiescement à mes avances. J’enfonçai le clou, un peu brutalement :



Je la pris par la main, comme une écolière. Si ses premiers pas étaient entraînés, elle m’accompagna ensuite assez vite.


Je la fis entrer devant moi dans une des deux seules toilettes, assez exiguës, pour hommes. Cela ne l’empêcha pas de me surprendre en jetant sa bouche contre la mienne, à peine eussé-je le temps de verrouiller la porte. Son baiser était long, mais fougueux. Ses caresses furent précipitées : elle passait déjà ses mains sous mon tee-shirt et les glissait le long de mon torse.


De mon côté, j’empoignai ses fesses en les remontant. Elles étaient charnues, mais semblaient encore fermes. Je me frottai contre elle et elle dut sentir mon sexe déjà bien tendu. Elle quitta ma bouche, ses yeux pétillaient de vice et d’envie ; elle me tint un langage ordurier excitant :



Elle remonta sa jupe jusqu’en haut des cuisses puis s’agenouilla, la cuvette des toilettes dans son dos. Tandis qu’elle déboutonnait mon pantalon, de mon côté, j’ôtais mon tee-shirt à manches longues afin d’exhiber fièrement mes biceps et surtout mes abdominaux. Ce faisant, je me bombais davantage et me complaisais de la façon dont elle dévisageait leur sculpture chocolat : elle lâcha mon jean pour s’y affairer comme si elle découvrait un cadeau d’anniversaire. Elle m’embrassa et me lécha la tablette tout en descendant mon boxer.


Mon pénis était bien bandé bien qu’arc-bouté car lourd ; il butta contre son chemisier. Elle le prit en main et me regarda dans les yeux, toujours aussi vicieuse :



Je fus un peu vexé de la comparaison car je pensais la surprendre. Alors qu’elle me masturbait, je la défiai :



Elle baissa la tête et me prit d’abord sagement une partie du gland en bouche. Avec sa main, elle me tira la peau du sexe et le lubrifia de salive. J’aime bien regarder ces moments où la bouche de mes partenaires se déforme autour de mon pénis et quand leur tête tourne à chaque succion. Par ailleurs, la rouquine avait des lèvres charnues et habillées d’un maquillage rouge vif appétissant.


Cependant, elles me libérèrent assez vite : la secrétaire me masturbait toujours. Elle me cracha autour et derrière le gland, souleva ma bête, et plaça sa bouche en dessous comme si elle croquait un épi de maïs. Elle me tenait à présent le sexe vers le haut et descendit sa bouche vers mes testicules qu’elle goba l’un après l’autre, en les avalant, en les extirpant et en les piquant de coups de langue.


Puis, elle remonta par le chemin inverse mais en balayant rapidement sa langue de droite à gauche. Cela me procura des coups de sang très sensibles. Elle recracha deux ou trois fois sur mon gland et me masturba en me regardant à nouveau dans les yeux. Visiblement, elle était fière de son expertise. Je ne voulais pas lui dire, mais elle pouvait l’être.


D’un coup, elle me remit en bouche en prenant tout mon gland. Elle m’aspirait fortement en gémissant à chaque coup. S’aidant de ses deux mains, elle arriva à m’engloutir plus loin que mon gland, ce que Chéryl et mes autres conquêtes adolescentes n’étaient pas encore parvenues à faire. Sa salive abondante, ses succions, ses coups de tête, aidés par la dextérité de ses mains, ont su me révéler de réelles montées d’excitation.


Elle essaya ensuite, de temps en temps, de m’avaler au fond de sa gorge : je sentais mon gland buter contre ses muqueuses. Elle me tirait le sexe des deux mains, en râlant, pour ensuite me dégager subitement comme si elle me vomissait, parfois en toussant, avec de grands filets de bave nous reliant. Puis, elle me reprenait aussitôt en bouche.


La salope ne m’avait pas dupé : elle avait visiblement déjà bien pratiqué les pipes sur de gros sexes, et j’en remerciai finalement son Gérard !


En tout cas, ce fut la première fois pour moi où je crus que j’eusse pu éjaculer lors d’une fellation. Quand j’ai senti ma jouissance arriver, j’ai préféré malgré tout me libérer de sa bouche. Je l’ai prise par les cheveux, et je lui ai incliné la tête vers l’arrière. Je me masturbai alors au-dessus de son visage et elle continua à me lécher le dessous du sexe.


Je finis par éjaculer une grande gerbe de sperme qui frappa en majorité la paroi de la cuvette des WC, alors que je lui réservais le visage de ma bienfaitrice. Je redirigeai mon sexe plus bas contre son visage ; mes autres giclées atterrirent sur ses cheveux, ses lunettes et son chemisier.


Je la relevai afin de la mettre à ma place, contre la porte. À mon tour, je voulais lui manger le sexe. Je relevai la jupe, déjà bien débraillée, jusqu’en haut de ses hanches. La rouquine avait quitté ses lunettes et s’entreprenait de se dévêtir. Je ne lui en laissai pas le temps : je déchirai d’un coup une ouverture dans son collant et l’agrandit. Elle se laissa finalement faire.


Je découvris alors qu’elle portait un string de gamine : il était tout rose avec des bordures rouges ! Trempé, je le tirai vers le bas et me jetai comme un affamé sur sa chatte ainsi découverte. Elle était très odorante et poilue. Quoique cela ne soit pas d’ordinaire à mon goût, la diablesse m’avait tellement excité que je ne freinai pas mon ardeur un dixième de seconde. En outre, je fus surpris et complu de constater qu’elle était déjà très humide, au point que le collant de l’intérieur de ses cuisses brillait de mouille.


La situation n’était sûrement pas des plus confortables, mais ma fougue lui plaisait :



Elle m’appuya le nez contre son ventre. Son vagin était ouvert et presque préparé. J’y introduisis facilement, et très vite, plusieurs doigts. Je lui léchais ainsi son bouton tandis que je la fistais sans ménagement, encouragé par les grossières invectives qu’elle commença à vociférer. Tout en continuant mon traitement, je songeais à l’absurde situation de s’être enfermés à discrétion dans des toilettes pas du tout insonorisées si c’était pour gueuler comme ça !


La rouquine me surprit à nouveau : elle jouit en abondant de la mouille qui en éjecta ma main ; elle se masturba ensuite frénétiquement et en arrosa mon jean et les murs. « Ma première femme fontaine ! », me dis-je intimement. J’en étais ravi, mais de nouveau excité : je voulais la baiser !


Je la déplaçai de côté et relevai une de ses cuisses pour la poser contre la cuvette des toilettes. Je badigeonnai mon sexe de sa mouille et l’introduisis en seulement quelques secondes ! Ce fut trop agréable de pouvoir pénétrer une femme en si peu de temps sans avoir à la préparer d’interminables minutes !


Je conjuguai mes va-et-vient en ouvrant en grand son chemisier. J’y descendis son soutien-gorge pour faire apparaître sa poitrine. Ses seins n’étaient pas énormes, mais ils avaient une taille correcte. Ils étaient blancs, laiteux, avec des tâches de rousseur. Leurs pointes étaient rosées, fines, et très peu aréolées. Je les tétais l’un après l’autre.

J’avais aimé son langage cru. On aimait bien ce jeu-là avec Chéryl, mais la voix rauque de la rouquine avait quelque chose de plus. Je la provoquais donc à m’invectiver à nouveau :



Je la pistonnais sans me retenir et cela lui plaisait : elle accompagnait mes mouvements en me tenant par les fesses. Je coulissais tellement bien ! Je sentais son jus couler entre mes cuisses. Mes coups faisaient trembler le mur en placo et ça résonnait de partout ; elle essayait de me contenir : « Doucement ! ». Je tenais fermement sa cuisse et l’embrassais pour la faire taire cette fois-ci.


Je ne lâchais pas le rythme pour pousser encore plus vite : elle oublia son affaire et jouit dans ma bouche. Sentant mon tour venir, je me retirai et me masturbai ; je la fis s’asseoir sur la cuvette toute maculée et lui demandai d’ouvrir la bouche où je jouis sans rater ma cible.


Elle avala le tout et me lécha le sexe jusqu’à ce qu’il débande. Ce faisant, elle se caressa. Pourtant apparemment rassasié, je lui demandai :



Elle regarda sa montre (toute trempée) :



Elle s’essuya avec le papier toilette et ajusta rapidement son soutien-gorge, son chemisier et ouvrit la porte le cul à l’air ! Elle abaissa finalement sa jupe, toute aussi souillée que le reste, dans l’antichambre des toilettes. Elle finit sa ridicule sortie en regardant à droite et à gauche, à la manière de Peter Sellers !


Je pensais que tout était fini, alors je tentai de me rhabiller. Seul mon tee-shirt que j’avais balancé au-dessus de la séparation, était très légèrement mouillé. En revanche, on aurait cru que mon jean avait reçu un seau d’eau ! Impossible de sortir comme ça… Perplexe, je la vis revenir avec des vêtements propres qu’elle déposa sur un tabouret. Je la regardai sans arrière pensée et je n’avais pourtant rien dit qu’elle me lâcha :



Elle me prit dans les bras, m’embrassa et caressa tendrement mon torse. En regardant mes abdos, elle me dit :



Elle m’entraîna dans notre petite pièce. Elle s’assit sur le trône et me suça moins promptement mais goulûment, pendant une bonne minute. Elle se releva, me tourna maintenant le dos, remontant sa jupe, déchira l’ersatz de collant et me tendit sa croupe bien relevée.


En la regardant faire, je me tripotais le sexe que je ne fis bander qu’à moitié (somme toute, cela me rendrait les choses plus faciles). Je salivai dessus et l’approchai de son anus. Elle se mouilla la rondelle et me prit le bout qu’elle se colla tout en s’ouvrant une fesse de l’autre main.


J’entrai sans trop de difficulté et commençai à la travailler doucement. Ses mains émigrèrent ensuite : l’une contre le mur au-dessus des cuvettes afin qu’elle s’y appuyât, l’autre frottant son bas-ventre. Je crachai encore un peu au-dessus de ses fesses et commençai à la sodomiser doucement.


Bien qu’à demi-bandé, je ressentais de bonnes sensations dans son cul serré et chaud. J’entrai presque complètement en elle et j’appréciai le spectacle qu’elle m’offrait : je voyais mon gros sexe disparaître comme avalé, entre ses deux rondeurs bien galbées, entourées d’un pseudo collant très grunge…


La rouquine soupira doucement et guida ma mesure en poussant son cul. Par deux fois, alors que je sentais des afflux sanguins me traverser le sexe, elle lâcha un petit cri de douleur et je ralentis immédiatement. Elle m’engueula presque :



Je salivais régulièrement à l’entrée de son anus. Quand je repris une cadence soutenue, elle se masturba fortement, tout en respirant lourdement.


Avant de jouir, je me retirai de son cul afin de me masturber énergiquement au-dessus de ses fesses. Son plaisir solitaire faisait danser ses fesses sous ma queue et je voyais que ses cuisses ruisselaient encore ! Elle a joui au moment où j’ai éjaculé le peu de sperme qu’il me restait contre sa propre jupe déjà malmenée… Quel tempérament cette nana !



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Épilogue


Armés de papier toilette, on a « nettoyé » la petite pièce presqu’à poil. La rouquine, prévoyante de ses ondées intimes qui ont dû déjà lui jouer des tours je pense, avait tous ses vêtements propres en rechange. Presque à l’identique hormis le chemisier.

Elle m’a prêté un vieux pantalon de son boss… de cinq fois ma taille ! Je me suis vite éclipsé, avec peu d’échanges avec elle, comme un voleur fagoté en clown. Il était plus ou moins 13 h 20 quand je remontai quatre à quatre la rue traversante. J’y ai croisé un groupe de quatre salariées… qui m’ont reconnu et n’ont pas manqué de remarquer ma belle et nouvelle allure ! Sans rien comprendre, je n’eus aucun doute sur les commentaires acérés…


Depuis, je suis parti en vacances avec Chéryl, en reprenant, pensais-je, une vie normale. Mais je suis resté bloqué sur cette expérience. Chéryl est une femme intelligente : elle a vite compris que quelque chose s’était passé dans ma vie. Je lui ai finalement tout raconté, sans mentir. Je le regrette car elle ne l’a pas supporté. On est maintenant séparés et je suis de retour dans ma banlieue… chez mes parents (qui me harcellent de questions).


En attendant de retrouver un logement, je pense sérieusement essayer de reprendre contact avec celle dont je ne sais même pas le prénom…