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n° 14082Fiche technique17771 caractères17771
Temps de lecture estimé : 10 mn
11/10/10
Résumé:  Une superbe femme brune aux allures autoritaires aperçue dans un bar. La semaine suivante j'y vais non accompagné...
Critères:  fh hépilé caférestau hsoumis fdomine pied chaussures nopéné hdanus hgode baillon -hsoumisaf
Auteur : Jolideip  (Fétichiste de jolis pieds féminins)      Envoi mini-message
L'inconnue du café

Elle boit un verre de vin blanc au comptoir comme je l’espérais. Belle brune aux cheveux d’ébène, la frange cachant un regard très sombre qui étincelle lorsqu’elle se tourne vers moi. Elle m’a reconnu. Intimidé, je lui souris brièvement. Ce simple rictus lui suffit pour comprendre qu’elle me plaît. Elle prend son verre et vient près de moi, me sourit poliment… Je la salue en une sorte de révérence maladroite. Elle me scrute de la tête aux pieds. Elle m’envisage comme sa proie. Gêné, je lui propose mon siège me rendant enfin compte qu’elle se tient debout, là, à mes côtés, tandis que je suis confortablement assis. Elle accepte tout naturellement sans me remercier, habituée sans doute à la galanterie de la gent masculine à son égard. Elle s’assied tout en ne me quittant pas des yeux, un sourire convenu dessinant sa bouche sensuelle.



Sa voix rauque ajoute au caractère autoritaire qu’elle inspire.



Elle finit son vin et pose son verre devant moi. Elle me toise. Je prends une inspiration, (je sens mon cœur palpiter) avant de lui demander si elle veut reprendre une collation… Forcément je la vouvoie et elle semble apprécier mes manières de gentleman. Elle acquiesce. Instinctivement mon regard se porte sur ses pieds. Ses chaussures – des escarpins noirs aux talons aiguilles – s’ouvrent au bout et laissent apparaître des orteils soigneusement vernis de couleur rouge sang. Rapidement je relève les yeux vers son visage qui s’illumine d’un charmant sourire carnassier. Elle s’amuse de mon trouble. Le visage rouge tomate, je me tourne vers le barman et commande la même chose.



Le barman apporte les verres que je paie.



Elle sourit méchamment. Démasqué, je baisse la tête et ne dis rien. Je vois ses pieds. Ils sont si biens faits. Si féminins…



Le visage cramoisi, je tente de soutenir l’expression de défi de ses yeux noirs.



L’établissement accueille beaucoup de clients ce samedi soir.



Satisfaite, elle cale confortablement son divin fessier dans le siège haut.



Le souffle court, je me penche sur cette jambe gainée dans un jean moulant qui met en valeur des muscles fuselés et longilignes. Le pied ballant attend impatiemment le baiser promis. Irrésistiblement, je m’incline, prends ce soulier vernis dans les mains et viens poser mes lèvres sur le bout de ses orteils. Instant magique…


Je me redresse.



Sonné, je me gratte nerveusement le crâne. Elle rit.



Je ne dis rien, me dandinant sur place. Elle boit une gorgée de vin, approche son visage du mien et recrache le liquide chaud sur ma face. Je reste totalement interdit, surpris… Elle rejette la tête en arrière et rigole à gorges déployée. Les personnes autour nous observent, amusés. Je veux m’enfuir.



Elle me toise.



Je la suis comme un bon toutou. Elle marche devant ; allure altière juchée sur ses talons très hauts. Le spectacle de cette démarche royale me captive.


Nous arrivons à un scooter. Le sien. Elle ouvre le coffre à l’arrière, en sort un casque noir et le coiffe en s’installant sur la machine. Puis elle se tourne vers moi et me fait signe de monter derrière elle. Je lui fais remarquer que je n’ai pas de casque et que je ne me sens pas très rassuré de voyager sur un tel engin. Dédaigneuse, elle me demande si j’ai l’intention de l’emmerder encore longtemps. Je réponds que non et m’installe, un peu craintif. Aussitôt, elle démarre en trombe, manquant de me faire basculer en arrière. Je m’accroche tant bien que mal à sa taille. Le deux roues fonce à travers la ville. À chaque virage, j’ai un haut-le-cœur.


Enfin, nous nous arrêtons devant l’immeuble où elle réside. Elle me précède, m’ouvrant la voie jusqu’à son royaume. La montée des marches reste un pur bonheur. Son postérieur dansant de droite à gauche au rythme des marches parcourues. Elle habite au troisième étage.



Rendue chez elle, elle dépose les clefs sur une petite table avant de s’étendre dans un fauteuil de cuir couleur bordeaux. Debout au milieu du salon, je jette un coup d’œil aux alentours de la pièce. La décoration sobre, tableaux modernes, tapis marocain habillent l’espace. Pas de sièges en vue. Je décide de m’asseoir par terre sur le tapis.



À la mine circonspecte que je dois afficher à ce moment, elle me presse :



Penaud, je me déshabille. J’enlève mes chaussures, chaussettes, mon pull, ma chemise… J’hésite un peu avant de déboutonner mon pantalon mais elle me fait signe de me dépêcher. Me voilà en caleçon devant elle…



Je baisse mon sous-vêtement et me tiens au garde-à-vous, les mains cachant mon sexe en érection.



Je fais trois pas et me retrouve ainsi, nu, raide comme la justice face à cette femme sublime… Délicatement, elle me prend les mains et les dégage lentement pour découvrir mes attributs intimes.



Je me retourne et lui présente mon dos.



J’obéis sans plus réfléchir… dans un état second. Elle écarte mes fesses et glisse un doigt fin dans mon anus.



Elle me tend le doigt qu’elle vient de me planter dans la rondelle.



Je prends l’index de sa main délicate dans la bouche et passe ma langue tout autour pour nettoyer son doigt souillé…



Elle retire sa main et m’ordonne de me mettre à genoux à ses pieds.



Elle redresse le menton et me plante ses yeux dans les miens.



Je m’incline, vaincu…



Je me lève en un bond et la suis jusqu’à la salle de bain.



Elle cherche dans une petite armoire l’appareil dépilatoire. Un instrument électrique blanc et mauve qu’elle me met sous les yeux avec un air sadique. Elle se pourlèche les lèvres en mettant la machine en marche.



Elle passe ses doigts dans mes poils pubiens et approche l’outil…



Une douleur fulgurante. Le contact des lames vibrantes sur ma peau me fait sursauter tellement la souffrance est intense. La gifle claque sur ma joue.



Ma joue me brûle. Elle fouille dans un bac de linge sale et en sort une culotte en dentelles rouge.



Elle enfonce dans ma bouche le morceau de tissu qu’elle a roulé en boule et pose un baiser sur mon front.



Accroupie devant moi, jambes écartées, elle me caresse le ventre et l’entrejambe avant de passer l’outil de torture dans mes poils… La douleur est infernale. Chaque poil retiré m’arrache des larmes. Je serre les dents. Je mords fermement dans l’étoffe rouge. Je suis proche de l’asphyxie…



Elle me tire la peau des testicules et s’attaque maintenant à la partie inférieure de mes organes génitaux. La tête renversée en arrière, je fixe un point au plafond immaculé pour rassembler mes idées sur autre chose que la souffrance qui m’envahit.



Comme anesthésié, je ne sens plus mon sexe qu’elle frotte vigoureusement, sinon une intense chaleur. Je me retourne et prends appui sur le bord de la baignoire.



Elle flatte gentiment ma croupe avec ses doigts fins avant de remettre la machine infernale en marche.



Et de recommencer à m’épiler la surface postérieure de mon anatomie. À ce moment, je regrette amèrement d’avoir suivi cette femme perverse jusqu’à chez elle. Je m’en veux d’être aussi faible.

Au bout d’un instant qui me paraît interminable, elle éteint enfin son appareil dépilatoire et me fesse gentiment d’une petite tape.



Je l’accompagne dans le salon et regarde le résultat dans la glace. Elle se poste derrière moi et soupèse avec sa main mes bourses toutes lisses. Elle semble très satisfaite de son œuvre.



Je lui réponds, pas très convaincu, un « oui » étouffé. La peau irritée par ce traitement de choc est rouge vif ! On dirait un petit cochon.



Elle m’oriente en se servant de mon sexe, telle une bride de harnais. Et après avoir vérifié que plus aucun poil ne subsiste entre mes fesses, elle tire sur ma queue vers le bas pour m’indiquer de me mettre à genoux.



Je m’incline et embrasse le bout de ses chaussures délicatement.



Tandis que je m’efforce de répondre au mieux à ses exigences, elle va chercher dans un tiroir d’une commode un objet que je ne peux distinguer.



Le son de ses talons qui claque m’indique qu’elle se positionne derrière moi. Le frôlement d’une plume me chatouille le dos et vient me titiller l’anus.



Je sens ses doigts m’écarter les fesses et un objet vient buter contre l’ouverture de mon orifice anal.



Elle crache sur ma raie et enfonce d’un coup sec le bâton dans le rectum. Je hoquette de surprise. L’objet me prend tout l’intérieur.



Elle fouille dans son sac.



Je le lui donne, un peu inquiet de la suite des événements qu’une telle relation peut apporter. Elle pianote sur son portable puis revient vers moi.



Elle retire l’objet de mon derrière avant de le balancer dans un coin de la pièce.



Je récupère mes habits étalés sur le sol avant de les enfiler rapidement sans demander mon reste.



Je me dirige vers la sortie comme elle se rassoie sur son fauteuil et croise les jambes. J’ouvre la porte…



Je la regarde une dernière fois. Elle me sourit. Elle est vraiment très belle. Je ferme la porte sans rien dire.


Dans la rue, désorienté, je décide de prendre la direction vers la droite. Je me demande comment je vais bien pouvoir expliquer ma fraîche épilation à ma copine…


Mon téléphone sonne. Un message MMS reçu en provenance d’un numéro inconnu. C’est Elle. J’ouvre le message ; le texte bref et explicite : « À bientôt petite salope » accompagne une photo non moins éloquente. Elle m’a pris en photo lorsque j’étais à quatre pattes sur le tapis de son salon avec le fameux objet emmanché en moi.


Il s’agit d’un plumeau !