n° 14088 | Fiche technique | 13468 caractères | 13468Temps de lecture estimé : 9 mn | 11/10/10 |
Résumé: Lorsque l'occasion d'offrir ma femme à un homme se présenta, nous fîmes tout pour la saisir. Obéissante, ma femme accepta, avec plaisir, de se donner à notre voisin de palier à qui on louait notre appartement. | ||||
Critères: fh hagé couplus extracon cocus voisins revede voir pénétratio -extraconj -cocucont | ||||
Auteur : Marioffresafemme Envoi mini-message |
Je suis marié à une femme timide et très obéissante et que j’aime beaucoup.
Avec le temps, je parvins à lui faire accepter l’idée de fantasmer autour de l’idée de la voir faire l’amour avec un ou plusieurs hommes. Un ami qui dort chez nous à qui elle rend visite pendant la nuit… un homme dont elle fait la connaissance dans le cadre des cours privés de langue qu’elle donne régulièrement… un athlète noir qu’elle rencontre dans une salle de sport… etc. Le scénario était le même… elle me racontait ses aventures pendant que je la ramonais. Ça m’excitait tellement que l’éjaculation ne tardait pas. En fait, l’idée de voir ma femme accrochée au pénis d’un autre homme m’envoûtait. J’avais tellement envie de voir Mony faire l’amour avec un autre homme et qu’elle le fasse aussi régulièrement que possible. Je voulais même qu’elle en fasse un second boulot. Mais tout cela demeurait au niveau des fantasmes.
Nous louions un bel appartement, depuis plusieurs mois, chez Marc, propriétaire presque septuagénaire, fortuné, bien portant, sympathique et très élégant. Voisin de palier, on le rencontrait pratiquement tous les jours. Petit à petit, nous avons pris l’habitude de l’inviter à boire une bière ou un café selon les jours et les envies et, par conséquent, il devenait assez présent dans les scénarios de baise entre moi et ma femme. Malgré son âge, il avait un charme auquel Mony ne restait pas indifférente. Parfois, je lui bandais les yeux et lui demandais de croire que c’était Marc qui la pénétrait ou qu’elle était plutôt chez lui, habillée d’une robette, sans culotte ni soutien-gorge et qu’elle se donnait à lui.
Petit à petit, Mony se faisait une fixation sur lui et laissait apparaître un certain enthousiasme à le voir. Sa chatte mouillait encore plus qu’avant. Un jour, en pleine excitation, elle me dit qu’elle se verrait bien toute nue dans les bras de Marc. J’en profitai alors pour faire accélérer les choses. On l’invita à dîner. J’ai demandé à ma femme de s’habiller très sexy : robette très légère, bas blancs (ça m’excite beaucoup), talons hauts, un string et soutien-gorge transparent blanc.
À l’heure convenue, Marc sonna à la porte. Mony alla ouvrir et la réaction de notre invité ne se fit pas attendre : il lui remit d’abord une bouteille de vin et lui flanqua deux bises persistantes sur ses joues tout en plaçant ses mains autour de sa taille. Nous prîmes place sur le canapé. On papota pendant quelques minutes et je vis ma femme me faire signe de la suivre dans notre chambre ! Elle fut prise d’une soudaine hésitation. J’avais prévu cela et préparé la solution : je lui demandai de s’allonger sur le lit et d’écarter ses jambes. Elle pensa que j’allais la pénétrer… mais je lui insérai plutôt des boules de geisha dans sa chatte. L’effet fut immédiat. Je luis demandai de les garder pendant une partie de la soirée.
Nous avons rejoint Marc et on passa à table. Pendant le dîner, il matait ma femme sans arrêt et baladait ses yeux sur tout son corps. Il faut dire que ma femme m’excitait moi aussi. Son jeu de jambes, ce bruit si sexy des bas qui se frottaient l’un contre l’autre lorsqu’elle croisait ses jambes, ses seins qu’on pouvait entrevoir à travers son soutien-gorge et son visage si bien maquillé.
Une fois le dîner terminé, nous nous déplaçâmes au salon. Mony multiplia les va-et-vient, se penchant devant Marc pour qu’il puisse voir ses seins, s’asseyant près de lui en dévoilant ses jambes dans ses bas blancs ou bien se cambrant exprès devant lui pour qu’il puisse mater ses fesses garnies et, surtout, les formes du string sous sa robette assez légère. Je pouvais deviner que Marc était excité à fond. C’est là que je devais intervenir. Le scénario était prêt. Ma femme trouva une excuse pour nous quitter et j’en profitai pour avoir cet échange avec Marc :
En fait, je préparais le terrain pour les jours à venir. Je voulais que Marc remarque que je parle de ma femme librement et que je n’avais pas de problème à évoquer son charme, son corps sexy et son côté coquin.
Nous passâmes la soirée à parler de tout et de rien et Mony continua ses mouvements sensuels qui ne passaient pas inaperçus tout en gardant son air timide et innocent. En raccompagnant Marc à la porte, je mis mon bras derrière Mony et saisis une de ses fesses dans ma main sous le regard de notre invité. Avant de partir, il remercia ma femme chaleureusement et lui flanqua deux grosses bises. Mony lui mit, également, deux grosses bises en mettant ses bras sur les épaules de notre invité.
De là, les choses se développèrent. Pas plus tard que le lendemain, Marc rencontra ma femme devant l’immeuble. Il l’invita à boire quelque chose chez lui. Elle lui promit de le rappeler. Ma femme m’appela pour m’en informer et prendre mon autorisation. J’étais content et heureux de pouvoir, probablement, l’offrir à un autre homme. Je lui dis de s’habiller exactement comme la veille et qu’elle commence d’abord par mettre les boules de geisha dans sa chatte pour qu’elle s’excite. Elle appela donc Marc pour l’informer qu’elle venait volontiers chez lui.
Cinq minutes avant de partir, Mony ôta les boules de geisha. Elle était excitée comme jamais. Elle s’essuya sa chatte qui dégoulinait et mit un string sexy. Elle sonna et Marc lui ouvrit la porte presque immédiatement. Comme l’autre fois, ils s’embrassèrent sur les joues mais, cette fois, les salutations durèrent plus longtemps. Ma femme garda ses mains autour de Marc alors que lui, l’enveloppa de ses bras musclés et mit ses mains sur les fesses de ma femme. Regard persistant entre mon épouse et Marc… quelques effleurements de lèvres, petits bisous furtifs et le baiser suivit comme s’ils n’attendaient que ça. Marc plaqua ma femme contre le mur et leurs langues se mêlèrent finalement. J’imagine que c’était comme la première fois où j’avais embrassé Mony. Une petite hésitation de sa part et puis un baiser à n’en pas finir.
Ils s’embrassèrent pendant plusieurs minutes, tout en se déplaçant vers le salon. Ils se mirent sur le canapé et Marc commença à embrasser ma femme sur son visage, son cou, ses bras, sa poitrine. Elle gardait son air timide et hésitant mais au fond, elle brûlait d’envie. Marc déboutonna le haut de sa robette et prit directement un téton dans sa bouche à travers le soutien-gorge. Mony dévoila ensuite son sein et prit la tête de Marc par derrière pour lui signifier qu’elle aimait ce qu’il lui faisait. Il le lécha, le suça, l’embrassa et en enveloppa une grande partie dans sa bouche. Mony sortit l’autre sein et Marc lui fit exactement les mêmes faveurs. Ma femme était aux anges. Après l’avoir excitée, Marc prit la main de ma femme et la posa sur sa verge. Elle pouvait deviner que la bite de Marc était grosse et dure car il était habillé d’un homewear (pyjama élégant assez léger).
Guidée par Marc, ma femme caressa vigoureusement la verge de Marc par-dessus son pantalon puis il lui fit signe de la faire sortir. Ce qui fut fait assez rapidement tant le pantalon était fait d’un tissu léger. Elle ne s’attendait pas à ce que la queue de Marc soit aussi grosse. Elle la prit dans sa main fermement comme si elle voulait en vérifier la dureté. Elle tomba amoureuse de la bite de Marc presque aussitôt. Longue, dure, rasée, circoncise. Timidité oblige (ça excite beaucoup les hommes), ma femme garda les yeux baissés et continua à malaxer la verge de Marc jusqu’à ce qu’il mit ses mains sur le visage de ma femme et le dirigea vers sa queue. Elle n’avait pas le choix que de sortir sa langue et de commencer à la lécher. Mais elle était tellement impatiente de le faire qu’elle entama vite une fellation douce et lente. Marc garda ses mains autour de la tête de ma femme qui se donna complètement à son amant. Il pouvait maintenant faire tout ce qui lui plaisait avec le corps de ma femme.
Après une belle fellation, Marc demanda à ma femme de se lever. Debout, comme une petite fille timide, il commença à caresser ses mollets puis passa à ses cuisses plutôt charnues jusqu’à effleurer sa chatte. Mais il changea de direction et retourna ma femme qui lui faisait maintenant de dos. Il mit ses mains sur ses cuisses couvertes des bas blancs et les monta vers ses fesses séparées par le string. Puis il souleva la robe de Mony qui lui dévoilait ainsi ses charmes de plus près. Il joua avec les fesses de ma femme en les embrassant, les mordant légèrement, les écartant pour voir de plus près sa chatte à travers le string et son petit trou du cul. Sa langue se balada partout et ma femme dégoulina abondamment. Caressant ardemment ses fesses, Marc pouvait même entendre le bruit qui sortait de temps en temps de la chatte mouillée de Mony. Sentant qu’il était à bout, il abaissa le string au niveau du bas de ses cuisses et retourna ma femme face à lui. Voyant sa chatte et son pubis bien taillé, il apposa ses lèvres et suça son clitoris d’une manière si douce que ma femme sentit qu’un premier orgasme allait bientôt la submerger.
Mais en homme expérimenté, Marc s’arrêta net. Il fit allonger ma femme sur le canapé, souleva ses jambes et déversa une grande quantité de salive sur sa chatte. Ensuite, il lui ôta sa robe mais lui fit demanda de garder le reste : les bas, les talons, le soutien qui était maintenant placé sous les seins dégagés de Mony et le string toujours accroché au bas de ses cuisses. D’un geste doux, presque affectueux, Marc embrassa ma femme et la guida ensuite vers sa prochaine position : elle devait se mettre à genoux sur le canapé et se cambrer. Ma femme trembla à la sensation que lui fit le passage des doigts de Marc le long de la fente entre ses fesses, en commençant par sa chatte inondée. Mony se retenait de l’implorer pour qu’il la pénètre. Elle ne fut pas déçue car Marc se positionna derrière elle et commença à caresser ses parties intimes avec son pénis gonflé à bloc. Elle se cambra tant qu’elle put et bougea sensuellement de façon à ce que Marc la pénètre rapidement.
Une fois la verge de son amant placée à l’entrée de sa chatte, ma femme ferma les yeux afin de savourer au maximum cet instant qu’elle désirait depuis si longtemps. Doucement, Marc commença à enfoncer sa bite dure dans la chatte de ma femme. Il s’arrêta à la moitié et fit une petite pause puis entama un va-et-vient. À chaque fois, il enfonçait son phallus encore plus loin. Une fois sa verge totalement enfouie, Marc commença à ramoner ma femme plus rapidement. Elle n’en pouvait plus et un violent orgasme traversa tout son corps. Elle eut les larmes aux yeux tellement c’était fort. De son côté, Marc ne pouvait plus résister plus longtemps. Lorsqu’il poussa des petits cris, annonçant qu’il allait bientôt éjaculer, ma femme mit sa main derrière les fesses de son amant pour lui signifier qu’il pouvait déverser son sperme chaud dans son vagin. Ce qui ne tarda pas à arriver : Mony sentit le liquide visqueux la remplir, ce qui accentua son orgasme. Marc ne finissait pas d’éjaculer. Ma femme me dit plus tard qu’elle avait senti au moins la verge de Marc se contracter autour de dix fois pendant qu’il éjaculait. Lorsque Marc sortit son pénis, ma femme sentit une grosse quantité de sperme dégouliner le long de ses cuisses, souillant ainsi sur une grande partie de ses beaux bas blancs.
Ma femme s’allongea de face sur le canapé. Visiblement éprouvé, Marc se mit sur elle. Mais il eut tout de même l’idée d’enfoncer de nouveau sa verge dans la chatte de ma femme tout en lui disant qu’il n’avait ni l’intention ni la force de recommencer. Mais il lui dit qu’il aimait faire cela, à savoir attendre que sa queue revienne à la position repos et qu’elle ressorte pratiquement toute seule d’une chatte ou bien d’un trou du cul. Ma femme apprécia cette sensation.
Mon épouse était maintenant prête à se livrer totalement à Marc à tout moment. Il avait même marqué un point lorsqu’il a parlé de trou du cul. Depuis, son anus la « chatouillait » et nous parlions même de plus de plus de sodomie. Je lui dis qu’elle était autorisée à aller chez Marc quand elle le voulait à condition qu’elle m’en fasse la demande avant. J’insistai à choisir ce qu’elle devait mettre avant de le voir. Je voulais aussi qu’elle reste l’épouse timide, soumise et obéissante que je pouvais offrir à un autre homme à ma guise, y compris en ma présence.