n° 14089 | Fiche technique | 14756 caractères | 14756Temps de lecture estimé : 10 mn | 11/10/10 |
Résumé: Une femme en manque se souvient d'un amant d'il y a longtemps. | ||||
Critères: f fh fhh forêt hotel noculotte photofilm intermast fellation double nostalgie -extraconj | ||||
Auteur : Hseul44 Envoi mini-message |
Marie, elle a dépassé les cinquante ans et se souvient.
Lorsqu’elle était jeune, elle avait des envies, mais pas facile de rencontrer un garçon sans que toute la région le sache. Alors on se caresse la main, doucement, au milieu de ce joli gazon.
Mais il y a les bals, et un soir on peut s’écarter un peu. Et ce soir-là, un homme jeune mais bien fait lui propose d’aller se promener un peu, et bien sûr, il la caresse dans le dos, la main tombe sur les fesses, remonte la robe légère et caresse les fesses. Marie, quoique un peu choquée mais voulant savoir, le laisse faire.
Il la prend dans ses bras et l’embrasse, sa langue prend la sienne, elle perd pied, ses doigts sont sur ses seins et ses fesses. Elle a envie, elle mouille et elle a peur.
Mais tant pis, elle veut savoir, elle le laisse faire. Il se débraguette, et sort une verge normale, mais comme c’est sa première, elle lui semble grosse.
Il la caresse sur son sexe, elle mouille beaucoup, elle pense que cela va lui faire mal. De fait, lorsqu’il la pénètre, elle ressent une douleur, mais au bout d’un moment cela va mieux. Mais il est trop impétueux, il lâche tout, tout de suite, elle ne ressent aucune jouissance.
Alors, elle se mariera, fera l’amour, sans grande joie, et pourtant elle a envie, envie de jouir vraiment, et cela arrivera. Un jour, elle avait une trentaine d’années, en se baladant en jupe, chemisier, elle rencontre un homme bien fait, un peu plus âgé qu’elle, mais avec de la classe. Ils discutent, il sent qu’elle est à sa portée, qu’elle a des envies qu’elle ne peut contenir et assouvir, il la découvre à elle-même. Ils se donnent rendez-vous dans un hôtel. Elle y vient habillée de la même manière, avec des sous-vêtements en dentelle.
Il l’embrasse tendrement, lui apprend à le branler doucement, le sucer même, chose qu’elle n’a jamais fait. Et elle se rend compte qu’elle aime cela, mais elle a envie de se faire prendre fort. Il le comprend, mais lui dit :
Elle a tellement envie qu’elle dit oui. Il arrache sa culotte, lui met son chibre dans la chatte humide, et la ramone profondément. Elle n’a jamais connu cela. Elle sent une queue raide qui est là pour la faire jouir. Ses cuisses s’écartent encore plus pour que cela soit encore plus profond. Elle gémit, le regarde, il est en sueur, et la baise de toutes ses forces. Elle sent une boule au fond de son ventre qui explose, elle vient de jouir, c’est sa première vraie jouissance. Elle est effondrée sur le lit. Il n’a pas joui, elle regarde cette queue encore raide qui lui a donné du plaisir, il faut qu’il jouisse lui aussi, mais il se recule et lui rappelle sa promesse :
Elle dit :
Donc, Marie rejoint son amant le plus souvent possible, en disant qu’elle va faire des courses, ou pour son travail, pour que sa famille ne se pose pas de questions. Et là, son amant lui apprend l’amour, il lui apprend à le sucer, à le faire bien bander entre ses lèvres, à le branler doucement avec ses doigts et ses lèvres, la queue bien au chaud dans la bouche, prête à cracher son jus.
Elle ne veut pas avaler mais lorsqu’il jouit, elle le reçoit sur ses seins bandés, qu’elle caresse, ensuite il la lèche, fait bander son clitoris. Elle sent sa chatte s’ouvrir sous la langue, son jus couler le long de ses cuisses, il la lape, l’avale, elle jouit très fort.
Elle n’est pas très chaude pour ce genre de chose, et le lui dit, mais elle lui a promis de faire tout ce qu’il demande. Quelques jours après, elle retrouve son amant. Il est là beau, séduisant, avec un zeste d’interdit : c’est ce qui la fait mouiller avant de le toucher
Ils s’embrassent, il la déshabille lentement, découvre ses seins bandés, qui pointent depuis longtemps, sa chatte trempée qui demande une grosse queue. Il la baise doucement, profondément, et lui doigte l’anus. Au bout d’un moment, son cul est dilaté, elle a peur, mais elle se laisse aller. Il enlève sa verge de sa chatte. Elle est allongée sur le dos, les jambes repliées sur son ventre. Il la prend doucement par le cul, pas trop agréable au début. Il lui caresse le clitoris, cela la détend, elle est prête à jouir, son cul se détend encore plus. Il en profite pour enfiler sa verge au fond de son cul. Il est là, tout au fond, il la branle et la lime dans le cul. Elle finit par jouir, elle ne sait pas si c’est le clito ou le cul qui la fait jouir, mais elle jouit.
Elle a joui, elle est bien. Son amant la caresse, lui doigte encore le cul, la chatte, lui lèche les seins. Elle a encore envie, elle le branle doucement, il rebande. Elle l’allonge sur le dos et c’est elle qui s’empale sur lui, qui lui donne le rythme, c’est elle qui domine, qui baise, qui se donne du plaisir avec cette verge qui va la faire jouir encore. Elle se caresse le clito tout en s’empalant sur la grosse queue qui la défonce. Son amant lui caresse les seins qui bandent encore. Ils pointent, les salauds. Elle jouit, s’écroule sur son amant qui jute au fond de sa chatte ; ils s’embrassent.
Marie se souvient, cet amant qui lui a tout appris, avec qui elle a osé ce qu’elle n’a jamais osé avant, et peut-être pas après, d’ailleurs. La voici dans les rues, pas très fière. Si les gens savaient ! Elle est habillée d’une jupe et d’un chemisier, mais rien dessous, elle sent l’air passer le long de ses cuisses, caresser sa touffe.
Son amant lui a demandé de s’habiller comme cela, donc elle le fait. Une expérience, mais elle a peur.
La voici enfin près de l’hôtel. Elle monte vite l’étage, elle frappe à la porte. Pas de réponse, elle sent une présence derrière elle : est-ce son amant ou quelqu’un d’autre ? Une main la bloque, une autre passe sous la jupe, la porte s’ouvre, son amant est devant elle, alors qu’une main caresse sa chatte déjà mouillée. Elle se bloque un peu, mais son amant lui enlève deux boutons de son chemisier, ses seins sont bandés, donc elle a envie. Ils entrent tous, la jupe est relevée, elle sent une barre derrière elle, elle ne se retourne pas. Son amant lui suce les seins, elle en jouit presque.
La jupe tombe, le chemisier s’écarte, elle est sur le lit, en train de sucer une queue, et l’autre entre ses seins. Elle a envie d’être prise, mais il faut attendre.
Elle est nue entre deux hommes. C’est la première fois, elle a peur et, en même temps, elle a envie. Les caresses la font mouiller un maximum, même sa rondelle est humide tellement elle a envie.
Son amant s’allonge, elle s’empale dessus. Elle sent l’autre homme dont elle n’a pas vu le visage, juste senti les mains sur sa chatte et son cul ; elles sont douces.
Elle sent quelque chose de dur et de doux à la fois se poser sur son anus, elle est écartée de partout, ses fesses écartelées, sa chatte pleine, elle sent le pénis de l’inconnu la prendre doucement. Il rentre, elle a un peu mal mais pas trop. Ça y est, il est au fond. Mmmm… c’est bon ! Elle n’aurait jamais cru se faire prendre par deux hommes et penser que ce serait aussi bon. Et ce n’est que le commencement !
Elle sent les deux membres coulisser dans son cul et sa chatte, ils gémissent tous deux. Elle commence à sentir la jouissance monter en elle. Elle bouge, elle veut exploser. D’un coup, elle sent les queues se tendre, devenir plus dures si c’est possible. Elle sent les giclées la fouetter au fond de son ventre, dans ses intestins, c’est bon, elle jouit, elle crie. Elle se relève, le sperme coule de son cul, de sa chatte, va sur ses cuisses, elle en met sur ses seins, elle a encore envie. Mais il est l’heure, elle doit repartir, habillée comme elle est venue, juste sa jupe et son chemisier : donc une petite toilette pour que le sperme ne coule pas dans la rue. Et à la prochaine fois.
Marie se souvient.
Son amant lui a fait signe Viens me rejoindre Elle y va et se demande ce qu’il lui veut, mais elle a envie de se faire ramoner encore, son sexe est brûlant et humide. Il lui dit :
Elle n’est pas très chaude, elle aurait préféré passer les deux heures à venir à l’hôtel, pour faire l’amour et jouir et le faire jouir. Ils vont donc au cinéma, une petite salle obscure, voir un film qu’elle ne connaît pas du tout. On verra bien. Ils se mettent presque au fond, il y a peu de monde en semaine dans l’après-midi. Ils ne sont pas seuls mais vraiment, la salle est plus qu’à moitié vide.
Elle sent la main de son amant glisser sur sa cuisse, sous sa jupe, son bras droit est derrière son cou, la main gauche passe sous le slip, il caresse doucement, elle frémit, la main droite glisse sous le chemisier, et lui prend un sein. Sa chatte est trempée, elle écarte ses cuisses, la main de son amant se glisse dans l’interstice, la caresse, la branle. Elle jouit très vite, excitée par l’interdit et aussi parce qu’elle avait tellement envie de sentir son amant la faire jouir.
Et maintenant ? Elle va doucement prendre sa queue au travers de son pantalon. Il bande, elle le caresse, le branle, il ouvre la braguette, sa queue jaillit, il est gros et fort, dur, elle a envie malgré sa jouissance. Il pousse sur son cou, elle comprend, elle se baisse et avale sa queue, il est bon, elle a envie encore plus, elle se relève, et lui dit :
Il attrape ses seins, les malaxe, sa chatte se lubrifie encore plus. Une main descend vers sa chatte, la caresse, et prend son clito entre deux doigts. Elle prend cette queue qu’elle voudrait dans sa chatte dans sa bouche, et elle suce, branle jusqu’à le faire jouir. Il gicle et elle garde tout le sperme dans sa bouche. Elle se relève, elle l’embrasse, il prend tout dans sa bouche et dit :
Et il la fait jouir sous ses doigts. Ils se réajustent tranquillement, et sortent vers le soleil dans la rue.
Cela est loin maintenant, mais Marie se souvient
Ensuite, elle a perdu cet amant. La vie a changé, son mari ne la touche pas vraiment ; juste un coup à tirer de temps en temps et pas à faire jouir cette jolie femme. Alors, comme on ne peut pas trouver un amant dans ce coin-là, on se caresse seule, cela est peu, mais mieux que rien.
Et voici Internet, on discute, on connaît des gens, mais ce n’est que virtuel, mais mieux que rien. Elle connaît des hommes, des gentils, des idiots, mais elle peut se caresser en pensant que ces hommes la caressent, la baisent. Elle se caresse en pensant à tous ces hommes, mais un jour il faut changer. Alors on pense à quelque chose, une rencontre réelle, pour avoir un mandrin dans la chatte, quelque chose de doux et de dur à la fois dans sa chatte. Et cela arrive.
Il y a deux hommes. Elle aimerait bien les deux à la fois, mais cela sera-t-il possible ? Il y en a un qui va venir un jour c’est sûr, et l’autre c’est moins sûr. Mais en y pensant, Marie caresse son sexe, son clito devient dur, la pointe de ses seins durcit. Elle enlève son soutif, et caresse les aréoles ; tout son sein est dur, sa chatte mouille abondamment, elle a envie de jouir. Elle met son appareil photo en batterie et prend des photos au fur et à mesure qu’elle se caresse. Sa jouissance a l’air plus forte encore. Elle prend une photo de sa chatte pleine de mouille en gros plan. Elle y plante encore un doigt et va se reposer. Car elle a envie d’une bite, une vraie, et cela va arriver elle le sent, elle le sait.
Il fait beau, c’est l’automne. Elle pense à cet amant, et ses amis sur le net. Elle a envie d’aller se promener, elle prend la voiture, et va se perdre un peu dans les prés et la forêt. Elle s’arrête dans un coin sympa, personne, elle est habillée en robe boutonnée devant, tout simplement. Elle sent ses seins pointer car elle pense toujours à l’amour. Elle se pose sur une pierre et se repose tranquillement, elle entend des bruits dans les bois, mais non, juste le vent ou un petit animal.
Elle déboutonne un bouton pour pouvoir se caresser un sein discrètement, pas facile et elle a peur, mais elle a trop envie. Ses seins sont durs, elle a encore plus envie. Elle déboutonne le bas de sa robe et se caresse le clito au travers du slip. Heureusement qu’elle est assise, elle va jouir.
Elle n’entend plus rien, elle jouit et sent une main prendre ses seins, un homme est passé derrière elle et lui malaxe les seins. Il déboutonne la robe, elle sent que c’est son nouvel amant, celui qui était virtuel, il est venu, lui avait donné rendez-vous, et lui avait dit :
Enfin elle va pouvoir toucher une vraie bite, depuis le temps qu’elle en était frustrée. La robe tombe, le slip, trempé, tombe aussi, le soutien-gorge aussi. Elle est nue, elle s’agenouille et suce la queue de son homme, pendant qu’il finit de se déshabiller. Il bande dur, c’est bon, elle se caresse doucement le clito, elle mouille, ses seins bandent, elle lui dit :
Il la met contre un arbre, écarte ses cuisses et l’enfile par derrière. Il la lime à grands coups, elle jouit vite, tellement elle a envie. Sa queue enfle dans sa chatte, elle sent des giclées chaudes la tapisser tout au fond d’elle. Elle resserre ses cuisses pour qu’il ne s’en aille pas, il la prend doucement par les seins, lui mordille le cou, lui demande de le faire bander une autre fois pour qu’il l’encule :
Alors, d’accord. Il la prend en photo, nue, pleine de sperme qui coule sur ses cuisses, les seins bandés, les yeux brillants.