Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14091Fiche technique17123 caractères17123
Temps de lecture estimé : 11 mn
13/10/10
Résumé:  Un saisonnier rencontre une femme mûre dans un camping. Ils vont commencer une liaison torride et sans tabous.
Critères:  f fh fagée jeunes grosseins fépilée vacances plage forêt caférestau douche exhib noculotte fmast massage cunnilingu pénétratio jouet
Auteur : Eltibang            Envoi mini-message
Une saison fabuleuse

Je m’appelle Tom, j’ai 22 ans et l’été dernier, dans le but de mettre un petit peu d’argent de côté pour subvenir à ma vie d’étudiant, j’ai dégoté un petit boulot de maître nageur au camping de *******, sur la côte atlantique. Il est difficile de parler de soi objectivement mais je suis plutôt pas mal selon les dires de mes conquêtes. Pas très grand (un mètre soixante-douze), je compense cela par un corps musclé et une audace séductrice souvent récompensée.


Nous étions à la fin du mois de juin, le camping commençait tout juste à s’animer à l’orée du mois de juillet et des vacances scolaires. Le site est en bordure de mer et regroupe des caravanes ainsi que des bungalows, certains équipés en cuisine et sanitaires, d’autres non, ce qui implique l’usage des installations communes. Le camping compte une cuisine dans laquelle j’officie, un bar qui sert aussi de night club et un restaurant.


Elle devait approcher la quarantaine, mais son corps ne portait pas les traces des années. Grande, environ un mètre soixante-quinze, elle portait les cheveux très courts, à la garçonne, et très noirs, faisant ressortir ses yeux d’un bleu gris ensorceleur. Sa silhouette était sportive et sa poitrine impressionnante paraissait étonnamment ferme. Je sentais en elle une férue des salles de sports, ou une joggeuse assidue.


La première fois que je l’ai vue, elle sortait de son bungalow tôt le matin, seulement vêtue d’un débardeur blanc et d’un petit short, sans doute la tenue qu’elle portait pour dormir. Elle ne portait donc pas de soutien-gorge et je devinais sous le coton les larges aréoles sombres de ses seins. Elle regarda le ciel un moment et j’eus à peine le temps de lui lancer un « bonjour » de loin qu’elle regagna l’intérieur de son logement. J’étais un peu déçu, mais en sentant mon sexe se durcir, je me dis que la journée ne commençait pas si mal.


Les deux jours suivants, je ne l’aperçus que brièvement. J’avais beaucoup de travail et pas vraiment le courage de passer un moment au night-club le soir. Mais le troisième jour, alors que je discutai avec un couple de clients devant le bloc des sanitaires, je la vis passer devant moi, la serviette sur l’épaule et une trousse de toilette à la main. Ma discussion achevée, je passai derrière le bâtiment et grimpai à l’étage par une vieille échelle, l’escalier n’existant plus.


Le bloc sanitaire est des plus vétustes et il comporte un étage désaffecté occupé par des vieux meubles délabrés. Ayant découvert cela par hasard en début de saison en allant récupérer le ballon d’un enfant maladroit, j’ai tout de suite compris l’intérêt du lieu. J’avais repéré l’endroit qui surplombe les douches des femmes et percé plusieurs trous qui ne se remarquent pas de l’intérieur des cabines, les plafonds en vieux bois lambrissé étant déjà très abimés.


J’ai repéré la cabine de ma « victime » et je me suis allongé sur le ventre, l’œil rivé à un des trous. Elle venait de renter dans la cabine. Elle devait sortir d’une séance de sport car la sueur luisait sur sa peau bronzée. Elle posa sa serviette au portemanteau et se déshabilla. Elle portait un T-shirt moulant et un soutien-gorge de sport qu’elle enleva très vite. Puis elle ôta son short et le mince morceau de tissu qui faisait office de string.


Même si ma vue aérienne me cachait en partie son intimité, je m’aperçus malgré cela qu’elle était intégralement épilée, ce qui me remplit de joie car je n’aime pas les poils en général et encore moins à cet endroit chez une femme. Comme je l’avais remarqué quelques jours plus tôt, ses seins étaient hauts et semblaient lourds mais fermes.


Je commençais à caresser mon sexe, qui avait durci immédiatement, quand elle ouvrit l’eau. Elle se savonna machinalement, sans rien de particulièrement sexy, ne s’attardant pas sur ses seins et encore moins sur son sexe. Mais après s’être rincée, elle ouvrit sa trousse de toilette et, à ma grande surprise, en sortit un gode noir d’une vingtaine de centimètres. Elle s’assit à même le sol dans la douche, laissant couler l’eau, et écarta ses jambes de telle manière que je bénéficiai d’une vue imprenable sur sa vulve. Celle-ci était donc bien épilée, ses grandes lèvres déjà largement ouvertes. Elle commença à se caresser doucement, laissant glisser l’extrémité de son gode dans sa fente, puis l’enfonça plus profondément en laissant échapper un gémissement de plaisir. Le spectacle dura quelques minutes avant qu’elle ne jouisse en étouffant un petit cri.


Ne pouvant me caresser compte tenu de ma position, je m’assis pendant qu’elle devait se rhabiller. Mon sexe tendu à l’extrême n’eut besoin que de quelques va-et-vient pour lâcher une belle giclée blanche sur le mur qui m’entourait. Je retournai à mon travail, plus léger et l’esprit occupé à élaborer une stratégie de séduction pour cette femme qui me fascinait.


Le lendemain, j’étais en congé et je décidai que je ne la quitterai pas des yeux de la journée. Après son petit déjeuner au snack du camping, comme à son habitude, elle retourna à son bungalow et en ressortit quelques minutes plus tard, un sac à la main et une serviette sur l’épaule. Elle était vêtue d’une robe verte légère et d’un grand chapeau qui cachait son visage.


Elle se dirigea vers la plage. Je lui laissai une bonne centaine de mètres d’avance et, une fois en bord de mer, je marchai les pieds dans l’eau alors qu’elle longeait la dune. Elle dépassa la zone de baignade surveillée et s’installa sous la dune.


Il y avait très peu de monde, hormis un couple installé une dizaine de mètres plus loin et d’autres personnes isolées ça et là. Tous des naturistes. En effet, cette région est propice à ce phénomène en raison de ses plages immenses. Je l’aperçus de loin ôter sa robe, et je m’aperçus qu’elle ne portait rien dessous ! Je la dépassai loin d’elle, toujours les pieds dans l’eau, et me mis à trottiner : un joggeur passe plus inaperçu sur une plage de nudistes qu’un promeneur en maillot qui promène son regard… Je parcourus ainsi plusieurs centaines de mètres alors qu’un plan d’approche prenait forme dans ma tête.


Je revins sur mes pas en longeant la dune et toujours en courant. Arrivé à son niveau, je m’arrêtai et la saluai tout naturellement. Elle me reconnut et me demanda pourquoi je n’étais pas en train de surveiller la piscine.



Je promenai mon regard sur son corps pour la première fois depuis que nous parlions. Elle s’était appuyée sur ses coudes pour me parler et cela renforçait l’opulence de ses seins. Je n’avais pas réalisé la veille qu’elle n’avait aucune trace de bronzage, sa peau était brune partout et ses jambes légèrement ouvertes laissaient voir ses grandes lèvres imberbes. Je commençais à sentir le désir monter en moi et une folle envie de caresser ce corps offert aux vents et aux regards.



Je fus un peu décontenancé, mais me repris très vite. Elle déplia sa grande serviette qui pouvait contenir au moins deux personnes et je m’assis à ses côtés. J’ôtai mon débardeur et mon short de bain. Ma verge était déjà gonflée et mon pubis rasé très court ne la cachait aucunement. Elle ne se priva pas pour poser ses yeux dessus, l’air gourmand, ou était-ce moi qui me faisais des idées ? Elle se retourna pour se mettre sur le ventre et me tendit son tube de crème solaire.



Je commençai timidement avec une main à lui étaler la crème, qui s’apparentait plus à du monoï huileux, sur les épaules. Elle m’encouragea à user de mes deux mains et je me retrouvai vite à genoux à ses côtés. Je massai son corps musclé doucement, en descendant petit à petit vers ses fesses. Elle me demanda de lui en passer aussi sur les jambes. Arrivé en haut de ses cuisses, elle écarta légèrement les jambes, ce qui eut pour effet de découvrir sa fente qui semblait très humide. Je m’enhardis et mes doigts palpèrent l’intérieur de ses cuisses, jusqu’à se trouver au contact de sa vulve qui était effectivement largement trempée. Sa respiration devenait plus saccadée et plus forte. Elle releva les fesses et mon index s’introduisit au fond de son sexe. Je débutais un lent va-et-vient, m’attardant sur son clitoris gonflé, lorsqu’elle me chuchota :



J’arrêtai mes caresses à regret et m’allongeai sur le dos à ses côtés. En effet, un couple, nus tous les deux, s’approchait tranquillement. Au moment de nous dépasser, l’homme ne se gêna pas pour jeter un long regard sur les cuisses toujours un peu écartées de ma partenaire et il ne put manquer la coulée de cyprine qui maculait son entrejambe.


La femme s’attarda sur mon sexe. Évidemment, ma position ne cachait rien de mon érection. Elle était jolie, une trentaine d’années, une poitrine agréable avec des tétons étonnement gonflés. Pas très grande, elle avait un corps très mince. Je jetai un œil sur son sexe, dont les poils très ras formaient un triangle dont la pointe partait du haut de sa fente. Elle me lança un clin d’œil et continua son chemin avec son ami, qui se retourna une dernière fois pour admirer les fesses de celle qui partageait ma serviette et dont je ne connaissais même pas le nom.



Avant que je ne puisse dire un mot, elle faisait déjà couler du monoï sur le haut de mes cuisses et se mit à les masser doucement. Puis sa main prit mon sexe et commença à le branler. L’effet était renforcé par le contact de l’huile et de ses mains douces mais vigoureuses. J’étais très excité et songeais que je ne tiendrais pas longtemps. Son autre main se posa sur mes couilles imberbes et les massa délicatement, procurant en moi une jouissance puissante. Habilement, elle dirigea mon sexe vers le sable afin que ma semence ne se répande sur mon ventre.



Nous avons continué à discuter de tout et de rien. J’appris qu’elle avait deux enfants et était séparée depuis quatre ans, mais elle refusa de me dire son âge. Elle me confia aussi qu’une amie à elle devait venir avec elle en vacances, mais qu’elle avait eu un empêchement et ne la rejoindrait que dans un jour ou deux. Je lui posai des questions sur son amie mais je n’insistai pas, sentant poindre chez elle un brin de jalousie. L’après-midi se déroula merveilleusement bien et nous prîmes congé vers 18h00. Elle m’embrassa avidement à la sortie de la plage, plaquant ses seins contre mon torse, en me murmurant qu’une surprise m’attendrait au bar du camping ce soir-là…


Aux alentours de vingt heures, je me rendis au bar, vêtu d’un jean, d’un T-shirt et de baskets légères. Je commandai une bière et patientai à une petite table isolée au bout de la terrasse. Lisa arriva peu après et me rejoignit, un martini blanc à la main. Elle portait une jupe noire assez courte et un chemisier très échancré qui laissait apparaître la naissance de ses seins. Subtilement maquillée, ses yeux ressortaient d’autant plus et ses lèvres semblaient plus pulpeuses que jamais. Je la complimentai pour son élégance.



J’attendis la suite, mais elle changea de sujet. Elle me parla de sa vie à Paris, de son métier dans une grande société de communication, de son amie Marie qui allait arriver prochainement… J’écoutais d’une oreille, plus occupé à dévorer des yeux son décolleté, et je me surpris à l’imaginer dans des positions indécentes en ma présence. Je ne le savais pas encore, mais j’allais être comblé.


Nous avons décidé de rester dîner au bar, l’ambiance étant calme et notre table était excentrée, à l’abri des regards et des oreilles indiscrètes. Au milieu du repas, alors que la discussion commençait à porter sur des sujets plus intimes, aidée en cela par le vin que j’avais commandé, elle fit tomber sa serviette et me demanda de la ramasser, sa jupe l’empêchant de réaliser ce mouvement. Je tendis le bras, mais elle tira la serviette vers elle avec son pied. Je n’eus d’autre alternative que de mettre entièrement la tête sous la table. J’avais une vue imprenable sur ses cuisses qu’elle écarta largement, me faisant découvrir, malgré la pénombre, son intimité. Elle ne portait pas de culotte, ni de string, et ses lèvres étaient largement ouvertes. Je profitai un instant du spectacle et me rassis sur ma chaise. Elle arborait un grand sourire, ravie de l’effet qu’elle venait de produire.



À la fin du repas, nous nous sommes éclipsés discrètement. Je l’emmenai dans la pinède qui entoure le camping, pour arriver au bout de quelques minutes dans une clairière occupée par deux grandes tables de pique-nique en bois. Lisa était maintenant un peu pompette, résultat d’un digestif un peu corsé. Sans attendre, je lui défis son chemisier, puis sa jupe, ne lui laissant que son soutien-gorge. Je l’allongeai sur une des tables et m’arrêtai pour la contempler. Son sexe s’offrait à moi, largement ouvert.


Je lui pris une jambe et commençai à la lécher, partant du mollet pour atteindre très vite le haut de sa cuisse. Ma langue s’attarda sur ses grandes lèvres, puis passa dans sa fente. Je léchai, je mordillai, trouvant vite son clitoris gonflé de désir. Elle gémit, les yeux fermés, et s’abandonna dans le plaisir. Je mis un préservatif sur mon sexe que j’avais déjà sorti et je m’introduis doucement en elle, en augmentant la cadence petit à petit. Elle ne tarda pas à jouir, en émettant un long râle.


Je me dégageai, ôtai mon préservatif, et contournai la table pour enfourner mon sexe dans sa bouche. Je jouis au fond de sa gorge, plusieurs jets qu’elle avala goulûment. Je réalisai alors qu’elle portait encore son soutien-gorge que je n’avais même pas pris la peine d’enlever, alors que sa poitrine me faisait fantasmer depuis un moment déjà. Elle s’en rendit compte.



J’acceptai avec empressement, bien décidé à remettre le couvert si elle le désirait.


La suite prochainement…