n° 14093 | Fiche technique | 8563 caractères | 8563Temps de lecture estimé : 6 mn | 16/10/10 |
Résumé: Dans le train, il reçoit une masturbation fétichiste des pieds de la dame. | ||||
Critères: fh fplusag fagée train voir noculotte lingerie hmast nopéné confession | ||||
Auteur : Michel757 Envoi mini-message |
Jamais je n’aurais pensé que trois heures et demie de train sur une ligne de province seraient l’occasion d’une nouvelle expérience.
Clermont-Ferrand – Paris, une avant-veille de Noël, quand on embarque à 18 heures, je peux vous dire que le train est plutôt vide. Profitant des réductions, aujourd’hui je me suis offert une première classe !
Je m’installe donc, tranquille, dans un compartiment, dans une voiture aux trois-quarts vides. Je m’étale, je ne suis pas dérangé. Les gares défilent les unes et après les autres, Riom, Vichy, Moulins : je suis toujours seul et commence à somnoler. J’ai fait un oreiller de mon imperméable et j’en écrase. J’entends vaguement les haut-parleurs annoncer Nevers, ce qui ne me réveille pas. Le train qui redémarre me berce.
Mais voilà qu’un autre voyageur entre dans le compartiment. Je me réveille, m’assieds, remets mes chaussures.
Et je détaille sa propriétaire, déjà installée en face de moi. 60 ? 65 ? 70 ans ? Difficile à dire, la dame s’entretient bien. Blonde avec des yeux d’un bleu azur. Jupe plissée grise tombant sous les genoux. Chemisier blanc. Colliers de perle. Du strict, de la classe avec des tonnes de charme.
Bien sûr, elle n’est pas toute jeune mais je me surprends à aimer les petites rides qui dessinent chacun de ses sourires. Car la dame a visiblement peur du silence qu’elle meuble d’une conversation faite de tout et de rien. Sourires charmeurs, minauderies, je succombe petit à petit aux efforts qu’elle déploie pour plaire. Elle se met à l’aise et défait ses escarpins, étend ses pieds sur ma banquette, juste à côté de moi tout en continuant son charmant babillage.
Mes yeux ne peuvent s’empêcher d’être attirés par ses petits pieds potelés, qui s’ouvrent et se referment comme des éventails au rythme de la conversation. Bas ou collants, qu’importe… le spectacle de ses jambes gainées de noir m’aimante. Le passage du contrôleur fait heureusement baisser la tension érotique qui s’installe dans l’espace clos où nous nous retrouvons la belle et moi.
Et, sans attendre ma réponse, elle tire tous les rideaux du compartiment, éteint le plafonnier et s’allonge sur sa banquette, couchée sur le côté, dos tourné. Mes yeux s’habituent à la lueur de la veilleuse et le spectacle de sa croupe un peu large serrée dans sa jupe provoque une érection de bonne facture.
La belle dort, j’entends sa respiration régulière. Je prends alors mon imperméable que je pose sur moi comme une couverture et j’ouvre ma braguette pour me caresser discrètement en profitant du spectacle.
À force d’observer, j’en déduis que la belle porte des collants. Malgré la pénombre, leur couleur sombre les distingue sous la jupe serrée, si serrée que je devine même les assemblages de ses sous vêtements : la ceinture élastique qui souligne ses hanches, la couture qui dessine sa raie et sépare ses fesses.
Fantasme ou réalité ? Je ne discerne aucune culotte. J’imagine deux globes laiteux enfermés dans la toile fine et brune. Mes rêveries vont bon train et je m’astique consciencieusement en pensant que c’est elle qui me prodigue ses faveurs.
Quand la belle se retourne, les yeux toujours clos, j’ose à peine bouger, je m’assure à l’oreille qu’elle dort toujours.
Maintenant c’est un autre spectacle qu’elle offre à mon imagination : ses deux jambes gainées serrées, ses pieds qui se chevauchent et se frottent gracieusement l’un contre l’autre dans son sommeil. Malgré mon excitation grandissante, je n’ose faire de mouvement ample de peur qu’elle se réveille. J’en suis donc réduit à faire aller et venir mon pouce sur mon membre tendu. Je me dis que de toutes façons, même ces caresses discrètes finiront bien par me délivrer tant la dame avive mon désir.
Mon manège continue quelques minutes et effectivement je sens tout doucement monter les signes avant coureurs du plaisir. Est-ce ma respiration qui s’est accélérée ? Voilà que la belle se réveille et s’assoit face à moi, s’étire comme un chat.
Je suis rouge grenat, n’osant ni bouger ni parler. La dame continue alors :
Et elle se penche vers moi pour soulever mon imperméable et révéler mon sexe raide comme un piquet.
J’ai à peine le temps de balbutier un oui. Ma charmante mamie a déjà amené son pied gauche sur mon membre qu’elle caresse délicatement. Je n’aurais pas rêvé mieux. Son gros orteil qui frôle ma hampe de bas en haut m’électrise.
Ses cuisses grassouillettes écartées face à moi confirment bien ce que j’avais deviné, la coquine est bien sans culotte. J’entrevois juste un protège slip blanc au fond de sa vallée.
Les collants doivent être en soie car la caresse de ses pieds est douce – douce et intense –, je tressaille à chaque va-et-vient. Je me mords les lèvres pour ne pas hurler. Ma tentatrice connaît son affaire. Elle sait quitter mon sexe et caresser de ses pieds mon ventre ou mes cuisses lorsqu’elle sent que je vais défaillir.
Ses grands yeux bleus ne quittent pas les miens. Elle ne se départit pas d’un grand sourire, enjôleur et compréhensif, à chaque fois que je grogne entre mes dents.
Je n’en peux plus. Mes mains caressent ses jambes puis ses cuisses, mais elle me repousse doucement.
A-t-elle senti que mon désir était au paroxysme ? Ses pieds me masturbent maintenant plus vigoureusement et rapidement si bien que, très vite, mon plaisir est là. Mon sperme se vide en saccades sur ses pieds en longues salves de bonheur. Je vois le tissu qui se mouille et se tapisse de traînées poisseuses.
Très consciencieusement la dame tire entre ses pieds jusqu’à la dernière goutte de ma jouissance. Quand tout est fini et que ma queue est à nouveau pendante, elle sort un mouchoir brodé de son sac pour s’essuyer grossièrement puis me le tend. Elle enfile à nouveau ses escarpins et je l’entends dire entre ses dents :
Une voix annonce dans le haut parleur l’arrivée imminente sur Paris. Nous nous rajustons. J’essaie d’embrasser la dame avant de nous quitter. Elle se contente d’un grand sourire en me tendant la main :
Je lui assure que oui, mais elle est déjà partie sur le quai, encadrée de deux petits enfants qui lui tiennent la main. Elle part comme si de rien n’était, sans se retourner, digne à nouveau.
La seule trace de notre petit secret, c’est peut être sa démarche. Une façon de soulever un peu trop ses pieds comme s’il y avait un chewing-gum sous chaque chaussure. Je ne lasse pas de la regarder s’éloigner ainsi, chaque pas révélant un peu plus son fessier merveilleux dessiné par les plis de sa jupe.
Je savoure ma cigarette sur le quai, un sourire de satisfaction aux lèvres. Je repense à cette aventure. Dormait-elle vraiment ? Je suis encore sous le charme de cette sulfureuse grand-mère.