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17/10/10
Résumé:  Et si un jour votre fils vous présentait sa future femme, et qu'elle ressemble trait pout trait à une amie de votre jeunesse que vous avez connue plus que bibliquement...
Critères:  ff ffh copains vacances cunnilingu anulingus 69 préservati pénétratio fsodo confession -fbi
Auteur : Armélic      
Le géniteur

Ce soir j’ai le bourdon. Pourtant la journée s’est très bien passée, nous avons fêté notre anniversaire de mariage en compagnie de quelques amis et bien sûr, avec la famille. Mais il s’est passé un événement qui m’a fait revenir de nombreuses années en arrière.


Mon fils a profité de l’occasion pour nous présenter l’amie avec qui il vit depuis quelques mois. C’est à la vue de cette jeune femme que j’ai eu un choc, car elle ressemble de façon très troublante à une personne que j’ai bien connue dans ma jeunesse. La pauvre a dû se demander pourquoi je l’ai soumise à un interrogatoire sur ses origines et sa famille. Mais ses réponses m’ont complètement rassuré. Pour comprendre mon inquiétude, il faut remonter le temps.



J’ai vingt-cinq ans et je suis en route pour Montpellier afin de me présenter à l’embauche dans une grosse société d’informatique. C’est mon premier emploi ; je quitte la région où je suis né et ai fait mes études. C’est un changement radical dans ma vie de jeune homme. J’ai quitté ma famille et mes amis et, même si je ne vais pas au bout du monde, ce n’est pas la porte à côté. Les adieux les plus marquants ont été ceux de ma maîtresse de l’époque. Oh, je ne suis pas dupe ! ce n’est pas l’homme qu’elle pleure, mais plutôt l’amant. J’ai des défauts, comme beaucoup, mais celles qui me connaissent font l’éloge de mon savoir-faire en amour.


Pourtant j’avais mal commencé. Adolescent, ma sexualité se résumait à « l’étude » du magazine érotique de l’époque, qui d’ailleurs, montrait des femmes nues avec le sexe « flouté ». Mais tout a changé l’année de mes dix-neuf ans.


Comme chaque été, je passe une bonne partie de mes vacances dans une ferme où je participe aux travaux agricoles. Cette année-là, la fille des fermiers, institutrice à Lille, revient passer un mois avec ses parents. Elle doit avoir un peu plus de vingt-deux ans, une vraie femme pour moi, d’autant plus qu’elle est bien faite.


À l’époque, les salles de bain n’existaient pas et comme l’été était particulièrement chaud, le fermier avait bricolé une douche dans une grange. Bien entendu, je ne rate pas une seule fois où Alice l’utilise. Il m’est facile de la voir nue par un interstice et je me branle devant ce spectacle. Une fois, elle s’est caressé la poitrine et le sexe en gémissant. J’étais au premier rang mais sa touffe de poils blonds me dissimulait son intimité. Et oui, la mode de l’épilation du sexe n’était pas encore arrivée.


Un jour, au moment où tout le monde part pour se coucher, elle me dit à l’oreille :



À l’heure dite, je sors de ma chambre par la fenêtre, parcours les cent mètres qui me séparent de la grange et m’installe pour l’attendre. Elle arrive quelques minutes après. Tout de suite elle me dit :



Et elle enlève sa chemise de nuit. Je suis pétrifié, elle est à moins d’un mètre et, même avec le faible éclairage de la grange, rien ne m’est caché. Mon sexe se dresse et déforme mon pyjama. Bien sûr, elle le voit et en souriant, s’agenouille devant moi tout en descendant ma culotte :



Tout en parlant, elle me caresse le sexe et les testicules. Il n’en faut pas plus pour que, sans prévenir, j’éjacule avec violence. Alice dont le visage est juste en face, reçoit mon sperme en pleine figure.



J’enlève le haut de mon pyjama et lui donne pour qu’elle s’essuie, en me disant qu’il faut que je pense à le rincer si je ne veux pas que la fermière me fasse des remarques.



Et elle se replace face à mon sexe. Elle prend le gland délicatement dans sa bouche tout en me branlant de la main. Moins d’une minute de ce traitement et je sens que je vais décharger. J’ai juste le temps de la prévenir et j’éjacule. Heureusement, elle a eu le temps de s’écarter.



C’est comme cela que mon éducation sexuelle a vraiment commencé. Tous les soirs, je lui montre si je peux me retenir plus longtemps. Toujours elle me branle et m’enserre la verge pour empêcher le sperme de monter. Quelquefois, elle me prend dans sa bouche, mais jamais n’accepte que j’éjacule dans sa gorge. Elle me fait découvrir le corps de la femme et m’enseigne comment la caresser, comment la lécher, comment jouer avec son clitoris pour la faire jouir.


Je fais des progrès mais ce n’est pas suffisant pour qu’elle m’accepte dans son vagin, toujours la peur de tomber enceinte. Aussi, elle me propose son anus malgré la difficulté de faire entrer mon sexe un peu gros pour elle. Je suis le premier à utiliser ce passage, merci la vaseline, mais dès que je suis dans son conduit et que la douleur se calme, alors je peux aller et venir à ma guise et souvent j’arrive à la faire jouir avant de cracher mon sperme.


Cette aventure dure presqu’un mois mais les vacances se terminent et chacun reprend son chemin. Pendant longtemps je continue les exercices et petit à petit, j’apprends à me contrôler au point que même sollicité par une bouche experte, je suis capable de me retenir indéfiniment.


Ma nouvelle vie commence donc à Montpellier. Il me faut quelques mois pour m’installer et trouver mes marques. Un jour, à une station-service où après avoir fait le plein, j’attends mon tour à la caisse, une femme est devant moi et, surprise ! lorsqu’elle se retourne, je reconnais Alice. Elle aussi me reconnaît et nous échangeons quelques mots ; mais comme elle se dit pressée, nous n’avons pas vraiment le temps de bavarder. Elle me demande mon téléphone et promet de me rappeler. Je pense que ce ne sont que des paroles en l’air mais, le soir même, elle tient sa promesse et m’invite à dîner chez elle le samedi soir suivant.


Je sonne. Elle m’ouvre la porte, m’invite à entrer, me guide dans le salon où une autre femme nous attend. Elle la présente, Sandrine, ravissante brune aux cheveux courts. Pendant un instant je pense que quelqu’un d’autre va se joindre à nous mais, sur la table de la salle à manger, je ne vois que trois couverts.


Nous faisons connaissance, racontant notre parcours et je suis surpris d’entendre Alice dire à son amie que je suis le « Pierre dont elle lui a parlé ». Gêné, je confirme et sans entrer dans les détails, je raconte que cet été de mes dix-neuf ans a changé ma vie et que chaque fois que je fais l’amour, je remercie par la pensée mon initiatrice. Évidemment, ce genre de conversations favorise les confidences et c’est ainsi qu’elles m’annoncent qu’elles vivent en couple depuis plusieurs années.


Alice me raconte comment elles se sont rencontrées dans une boîte à Palavas et que cela a été le coup de foudre au point qu’elle est restée, laissant son ami de l’époque remonter seul à Lille. Rien ne lui laissait prévoir cet amour, même si elle avait déjà eu des relations sexuelles avec des femmes, mais toujours dans le cadre de soirées arrosées où les garçons demandaient cela à leurs amies pour profiter du spectacle.


Elles étaient heureuses ensembles, avec un code de conduite assez libre. Nous avons longuement parlé de sexualité, comme de vieilles connaissances mais, sans vulgarité et en fait, j’ai passé une très agréable soirée.


Le lendemain, nouvel appel d’Alice qui me convie à un apéritif. Évidemment, je suis surpris, nous venons de nous voir, mais elle me dit qu’elles ont un service à me demander. D’entrée de jeu, elles me font part d’un manque dans leur couple, il s’agit de la maternité. Et aussitôt me disent :



Malgré ma surprise, je réponds sur le ton de la plaisanterie :



C’est ainsi que le lendemain je les rappelle :



La villa, ou plus exactement la propriété, est nichée au milieu de la pinède avec un accès privé à la mer. L’ensemble est protégé par de hauts murs et seuls des curieux à bord de bateaux, peuvent apercevoir la petite crique de galets. La famille de Sandrine doit être riche pour posséder un tel bijou.


En réalité la chose la plus précieuse du coin, c’est moi car depuis mon arrivée je suis traité comme un prince, ce qui n’est pas désagréable mais finit par me mettre mal à l’aise. Heureusement, nous retrouvons une attitude plus normale en chahutant comme des ados dans l’eau. C’est à celui qui enlèvera le maillot de l’autre et à ce petit jeu, les deux femmes ne tardent pas à gagner. Me voilà nu devant elles et même si elles s’en cachent, je vois bien qu’elles jettent un œil sur mes attributs. Je crie à l’injustice et demande qu’elles se mettent nues également. J’ai alors sous les yeux deux belles plantes et je pense que je suis un sacré veinard d’être là. Une blonde et une brune, qui ne rêveraient pas de me remplacer.


Cette première journée passe comme un rêve. À aucun moment la raison de ma présence n’est évoquée. Mais au moment de rejoindre nos chambres, Alice me suit, comme si cela était naturel. Dès la porte fermée, elle me dit :



Sans un mot, je la prends dans mes bras et l’embrassant à pleine bouche, je promène mes mains doucement sur son corps. La robe légère qu’elle porte est un rempart vite franchi et elle se prête complaisamment à l’effeuillage de sa lingerie fine. De son côté, elle n’est pas inactive et en un instant, nous voilà nus, face à face. Nos yeux et nos mains retrouvent le partenaire de ce mois d’août, il y à sept ans maintenant. J’ai la ferme intention de lui montrer tout ce dont je suis capable, grâce à son initiation.


Je lui susurre dans l’oreille « laisse-toi faire » et j’entreprends de la mener au plaisir, déployant tout mon art pour la faire jouir, me retenant d’éjaculer. Elle se laisse aller à la jouissance plusieurs fois, allant jusqu’à crier si fort que Sandrine a entrouvert la porte pour venir aux nouvelles. Alice, qui me chevauchait et se baisait le con avec violence, venait d’atteindre sa seconde jouissance. Elle n’a pas vu Sandrine qui « matait » depuis la porte. Je l’ai placée alors à quatre pattes sur le lit, face à son amie, et c’est au moment où j’ai introduis mon sexe dans son anus que leurs regards se sont croisés. Doucement, avec tendresse je l’ai pistonnée pour encore la faire jouir.


Les deux femmes ne se sont pas quittées du regard tout le temps où je sodomisais Alice. Le temps de reprendre notre souffle et j’allonge ma maîtresse sur le lit, lui soulève les jambes et remets mon sexe, douloureux à force de se retenir, si raide, dans son vagin. Alors je ne pense qu’à mon plaisir et je modifie sans cesse ma pénétration, faisant ressortir le gland pour qu’il soit excité à chaque introduction. Il me faut quand même plusieurs minutes, tellement j’avais bloqué ma montée de sperme, mais alors c’est un ruisseau de semence qui inonde le vagin. Alice est comme figée, emportée par son propre plaisir.


Quelques minutes plus tard, allongés côte à côte, nous bavardons :



Nous continuons de bavarder, et la conversation vient sur Sandrine et sur le fait qu’elle se soit caressée en regardant. Mais Alice semble plus inquiète :



Le lendemain, je me réveille avec une sensation d’humidité vers le bas-ventre et, en ouvrant les yeux, je découvre le charmant spectacle d’Alice avec ma verge, déjà bien en forme, dans sa gorge. Elle me joue le grand jeu, prenant mon gland dans la bouche, léchant ma tige, caressant mes bourses. Elle essaye de m’engloutir le plus long possible mais je suis trop gros pour cela. Une seule de mes maîtresses a réussi cet exploit. Mais cela n’est pas nécessaire car sa technique est très au point et très vite j’ai envie de jouir. Je sens le sperme monter et je lui fais signe que je viens. Je m’attendais à ce qu’elle me retire de sa bouche mais non, elle garde le gland et me regardant dans les yeux accepte ma semence. Elle l’avale sans difficultés et va même jusqu’à me nettoyer de la langue. Toujours en me fixant dans les yeux elle me dit :



La journée commence bien et nous retrouvons Sandrine pour le petit déjeuner. Spontanément elle embrasse Alice sur la bouche, comme pour marquer son territoire, mais elle est surprise du goût qu’elle découvre. Alice, gênée, lui dit :



Sandrine ne pipe mot et fait comme si de rien n’était. Nous passons la journée à nous baigner et paresser au soleil. Quand vient le soir, c’est Sandrine qui me suit dans ma chambre. J’essaye de reproduire avec elle ce qui m’a si bien réussi avec Alice mais, malgré sa bonne volonté, je ne suis pas arrivé à lui faire prendre du plaisir. Je m’évertue pourtant à remplir ma part du contrat, quand je dis remplir, c’est le bon mot, car je lui inonde le sexe de mon sperme. Dès que j’ai terminé, elle se lève et me souhaitant bonne nuit, quitte la chambre. Voilà, je me retrouve seul, un peu vexé dans mon orgueil de mâle, et seul pour la nuit.


Le lendemain, après le déjeuner, pendant lequel j’ai veillé à ce que les verres de mes maîtresses soient toujours pleins, je demande :



Elles ne répondent pas mais Alice se lève et entraîne Sandrine par la main avant de l’embrasser et de commencer à la dévêtir. En quelques minutes elles sont nues et s’allongent en 69 sur le sol. Chacune caresse l’autre de la langue et de la bouche. Les doigts pelotent la poitrine, tordent les tétons ou s’aventurent dans le vagin. Elles se font plaisir et gémissent sous les caresses.


Alors j’avance ma tête vers le postérieur d’Alice et, d’une interrogation muette, demande à Sandrine si je peux apporter ma contribution. J’ai son accord par un battement des paupières et ma langue se joint à la sienne dans le sillon honoré. Je m’occupe plus particulièrement de la rondelle même si je fais délibérément des excursions pour que ma langue titille celle de ma comparse. Alice apprécie ce traitement car elle se cambre pour faciliter notre action.


Évidemment ma queue se dresse, comprimée dans mon maillot de bain que je fais rapidement sauter. Une idée me vient et, en montrant mon sexe à Sandrine, je lui fais comprendre que je voudrais en faire profiter son amie. Étrangement, elle répond par l’affirmative, toujours par un battement de paupières. Je ne lui laisse pas le temps de revenir sur sa décision et j’investis le sexe d’Alice, commençant immédiatement à la travailler.


C’est vraiment très bon car je sens maintenant la langue de Sandrine qui accompagne les mouvements en me léchant le sexe et les bourses. Alice gémit plus fort mais je sors du vagin pour investir l’anus. Sandrine est aux premières loges pour voir le travail de l’œillet qui se dilate sous la pression de mon gland. Mais j’ai une autre idée en tête et après quelques va-et-vient, je me retire et me relève pour aller du côté d’Alice.


Tout de suite elle comprend mon objectif et nos deux langues s’associent pour faire monter d’un cran l’excitation chez Sandrine. Placée comme elle est, c’est-à-dire sur sa partenaire, il est plus facile pour nous de l’explorer de la langue et, là aussi, je me concentre sur l’anus. La croupe parle pour sa propriétaire car elle ondule et se cambre pour faciliter nos caresses. Mon action sur l’œillet est manifeste et je suis surpris de le sentir frétiller sous ma langue. J’arrive même à la faire pénétrer un peu dans le conduit.


Maintenant je présente ma queue à la porte du sexe que je pénètre facilement. Dès les premiers va-et-vient, Sandrine réagit en gémissant et il me semble qu’elle a dû mordre le sexe d’Alice car celle-ci sursaute. Mon stratagème marche. La présence de sa maîtresse la rend plus réceptive à mes caresses. Alice, non seulement me lèche mais, lorsque je sors totalement, elle me gobe le gland, c’est divin.

Et si… Pourquoi pas… Je présente alors ma queue à la porte du cul et j’essaie de pénétrer.



Pendant qu’elle proteste j’ai sous les yeux mon gland qui dilate l’œillet et pénètre sans grand effort. Je m’arrête un instant pour voir la réaction de Sandrine, mais comme elle ne dit rien de plus, je continue doucement pour faire entrer ma tige le plus loin possible. Voilà, je suis au plus profond. Sabrine ne bouge pas, ne parle pas, elle est comme figée. Alice, inquiète l’interroge :



Dans un souffle, on l’entend dire :



Comme je suis rassuré, je décide de commencer un lent mouvement de va-et-vient qui semble être apprécié car elle oscille à mon rythme, cambrant les reins pour mieux me sentir dans son conduit. Pendant ce temps, Alice a repris ses caresses des petites lèvres et du clitoris. Sandrine exprime son plaisir en gémissant de plus en plus fort à mesure que j’accélère et amplifie mes mouvements. Je vais jouir, je devrais sortir pour retourner dans sa vulve, mais il faut finir en beauté pour sa première fois. Je reste donc et balance mon sperme en plusieurs jets puissants. Mon orgasme est particulièrement fort, un peu comme une première fois, pourtant c’est loin d’être le cas. Mais faire jouir une femme pour sa première sodomie, n’est pas donné à tout le monde. Les premières fois sont d’habitude plus douloureuses que jouissives.

Voilà, nous sommes allongés dans l’herbe tendre, reprenant nos esprits. Sandrine se lève, me remercie d’un baiser et se love contre son amie.



Les jours suivants n’ont été que sexe, amour et tendresse. Au début Alice réconfortait son amie par sa présence lorsqu’elle venait dans ma chambre. De mon côté, j’ai été un modèle de douceur et d’abnégation, toujours à l’écoute des réactions de Sandrine. Je me faisais un point d’honneur à essayer de lui faire oublier le salaud qui l’avait salie dans son enfance.


Mais au bout de huit jours, j’ai demandé grâce. Imaginez ce que vous pouvez faire avec deux charmantes créatures, toutes disposées à satisfaire vos moindres désirs. Elles n’oubliaient jamais la raison de ma présence et s’arrangeaient toujours pour retenir mon attention. Je me demande si elles n’avaient pas qu’une seule pensée « le faire bander ». Une fois, elles s’étaient ligoté les poignets aux branches d’un arbre pour que je les honore l’une après l’autre. On est loin du petit coup, vite fait, pour recevoir ma semence chargée en spermatozoïdes.



Il est une heure du matin et nous avons déjà dansé comme des fous. Le rock n’est pas une danse de tout repos et, comme j’ai deux cavalières, je paie mon manque de sport de l’année. Heureusement que mes cavalières aiment bien le jerk, cela me permet de souffler. De la table où je suis, je les vois se trémousser, se faisant face. Certains garçons ont déjà essayé de s’immiscer, mais elles les ignorent. Mais je vois un grand noir très baraqué qui se rapproche et, avec l’air de rien, il arrive à les capter pour former une sorte de trio. Il faut dire qu’il bouge bien, sans excentricité, avec des gestes harmonieux, ce qui n’est pas facile sur cette musique. Quand la série de jerk s’arrête, mes amies reviennent à la table et se jettent sur la boisson. Elles sont en sueur et la transpiration fait coller, par endroit, la robe sur la peau. C’est un joli spectacle.


Enfin un slow. J’invite Sandrine et en allant sur la piste, nous croisons le danseur qui va inviter Alice. Elle accepte et nous rejoint. Se succèdent alors une série de slows entrecoupés de rocks. Alice et son cavalier dansent sans discontinuer. Ils s’accordent très bien pour le rock, au point que les autres couples leurs cèdent de la place.


Mais, manifestement épuisés, ils reviennent vers notre table où Alice fait les présentations. Il n’est pas nécessaire de me présenter Ray, car c’est un collègue de travail, et ce n’est pas un hasard s’il cherche à séduire Alice. C’est moi qui l’ai appelé pour cette sortie en boîte. J’ai l’idée de le faire inviter à la villa. J’ai fais la connaissance de Ray, dans les toilettes de l’entreprise. Ce n’est pas courant ! En réalité nous étions tous les deux en train d’uriner, quand mes yeux : j’ouvre une parenthèse sur cette histoire.


Messieurs, avez-vous remarqué comme nous sommes mal à l’aise lorsque nous sommes alignés, côte à côte, face à nos urinoirs ? On regarde devant, en haut, en bas etc. Eh bien moi, j’ai regardé, sans réfléchir, le sexe de mon voisin et rien ne serait arrivé, si je n’avais pas fait une remarque stupide du genre « Oh, vous avez été gâté ». Mon voisin n’a pas du tout apprécié et m’a lancé une phrase en anglais où je devais en prendre pour mon grade, vu le ton employé.


Le pire, c’est que le même jour, il était présent à une réunion de projet où je planchais. Heureusement j’ai réussi à m’excuser à la sortie et c’est comme cela que nous sommes devenus amis. Ce n’est pas banal.

Ray est américain et il est détaché à Montpellier pour deux ans. Il a fait de la musculation à l’université et son charme séduit les femmes françaises. C’est la raison qui m’a fait penser à lui pour m’assister dans mon dur labeur, même s’il ne peut être le géniteur.


Donc il est à notre table et fait son numéro de charme. Ah, cet accent américain, quel succès ! La soirée continue, nous dansons, plaisantons, rions. Au fil des slows Alice et Ray sont de plus en plus collés l’un à l’autre, ondulant lentement comme pour une parade amoureuse.


À un moment, je le retrouve aux toilettes, eh oui, c’est notre destin, et le questionne sur les réactions d’Alice. Il me confirme quelle se prête bien à son jeu de la séduction. Elle se laisse aller tout contre lui et même avance son bassin pour épouser le corps de son partenaire et frotter son pubis contre son sexe.


À mon retour, nous changeons de cavalière et j’en profite pour demander à Alice si elle veut ramener ce garçon à la villa. Elle est embarrassée, aussi je propose d’en parler à Sandrine pour avoir son accord. Ce que je fais à la danse suivante et je suis surpris de la rapidité avec laquelle elle accepte.


Tout naturellement, de retour à la villa, Sandrine me suit alors que Ray est entraîné par Alice. Il est quatre heures du matin, aussi nous nous couchons rapidement. J’ai l’impression que je viens à peine de m’endormir quand Sandrine me réveille et me fait écouter les bruits qui proviennent de la pièce d’à-côté. On dirait des cris de douleur. Nous nous levons, et comme leur porte est restée entrouverte, on peut voir ce qui se passe dans la chambre. Alice est agenouillée sur le lit, la tête sur un coussin, pendant que Ray la pistonne. Sandrine entre et se dirige vers son amie, inquiète de ses cris.



De mon côté, je me dirige vers Ray et je l’interroge du regard. Il me répond, en levant le pouce. D’ailleurs ce pouce, il le replonge dans l’anus qu’il occupait. Tout va bien, ces cris sont bien des cris de plaisir. Nous sommes rassurés mais nous ne partons pas pour autant. Nous regardons le sexe pilonner le vagin. Il est bien comme sa taille au repos le faisait imaginer, gros et long. Surtout, ce sexe recouvert de latex tranche par sa couleur comparé aux fesses blanches de la femme.


Il y a un côté exotique et presque animal. « Il faut se souvenir qu’à l’époque, internet n’existait pas et que les revues érotiques ne montraient pas de noirs en action. L’imagination était reine ». Son propriétaire ne cherche pas à le pousser trop profond car il se sait trop grand, mais au contraire, il joue à entrer et sortir, frottant son gland sur le clitoris avant de replonger. Les petites lèvres méritent bien leur nom car elles donnent l’impression d’envelopper le gland comme une bouche peut le faire. Alice continue de pousser des cris, de gémir de pousser ses fesses au-devant du mandrin qui la possède.


Mais je vois Sandrine s’approcher au point de prendre le sexe entre ses doigts et le diriger vers l’anus de son amie. Ray l’interroge du regard, mais elle confirme son intention. Alors il laisse tomber de la salive sur l’œillet et se laisse guider par la main. Alice comprend ce qui se prépare et proteste.



C’est Sandrine qui lui répond :



Le ton qu’elle utilise ne laisse pas de place à la discussion. Manifestement elle est contrariée que son amie ait fait venir un homme, même si elle lui avait donné son accord. Alice ne réplique pas et, comme pour donner son assentiment, place ses mains sur chaque fesse en les écartant le plus possible. Je trouve cette scène d’un érotisme torride. Voir cette femme, à genoux, en appui sur la tête, les reins cambrés et proposant son anus de cette façon à une grande queue noire est bandant.


C’est la première fois que je ne suis que spectateur, la première fois où j’ai sous les yeux une autre queue que la mienne s’apprêtant à investir ce cul que j’ai déjà eu le plaisir d’honorer. Mais le gland force le passage du sphincter. On a l’impression que l’œillet cherche à étouffer le serpent qui se glisse en le serrant de toutes ses forces. Dès que le gland est passé, le passage se referme sur la tige, plus petite. Alice souffre, c’est indéniable, mais elle étouffe ses gémissements dans le coussin. Ray attend longuement que l’anus s’habitue, que sa partenaire se décontracte, pour continuer la pénétration. Il fait quelques mouvements, mais comme il sent que sa partenaire souffre toujours, il se retire pour revenir dans la vulve. Il reprend son pistonnage, mais l’ambiance n’est plus la même. Il arrive tout de même à atteindre la jouissance et éjaculer dans son préservatif.


Nous retournons dans notre chambre et c’est seulement vers quinze heures que nous refaisons surface. Ray et Alice sont en train de prendre un petit déjeuner. Comme si de rien n’était, nous les rejoignons. Les deux filles s’embrassent passionnément devant nous comme pour tirer un trait sur cette nuit.


Mon ami est resté deux jours avec nous et tous avons bien profité de sa présence. Après sa réaction de la première nuit, Sandrine, certainement désolée de son attitude, s’est comportée comme une vraie maîtresse. D’ailleurs Alice a eu une petite vengeance.

Je propose à nouveau aux filles de nous montrer, sur le lit cette fois, une petite partie de 69. Personne n’est dupe, mais elles s’installent et se caressent. Bien sûr, Ray et moi profitons de la situation pour nous glisser au chaud, lui dans Sandrine et moi dans Alice. Voilà encore une situation des plus érotiques. Nous nous employons à les travailler à la même cadence et sous nos coups de butoir les deux corps avancent et reculent en même temps. La langue de Sandrine glisse sur mon sexe et mes bourses. Je ressens le plaisir que lui procure la queue de Ray car elle pousse de petits soupirs qui me font une douce brise sur mon mandrin.


Cela fait maintenant plusieurs minutes que nous les pistonnons, quand je fais signe à mon complice de changer d’orifice. C’est sans difficulté que j’investi le cul d’Alice, déjà bien préparé par mes doigts. Je sais que Ray a, lui aussi, préparé l’œillet de Sandrine car je l’ai vu plusieurs fois porter ses doigts à sa bouche et les faire disparaître sous sa queue. À un moment, il m’a montré que trois doigts participaient. Manifestement elle est prête et sait à quoi s’attendre.


Lorsque Ray fait entrer son gland, Sandrine recule sous l’impact au point que sa langue glisse jusqu’à mon œillet. Un gémissement accompagne ce mouvement, mais pas plus. Comme je le pensais, elle est préparée et veut montrer à son amie qu’elle est capable de le faire. Nous les pistonnons avec douceur mais régularité. Nous ne faisons pas une compétition, mais tout de même, chacun met un point d’honneur à durer le plus longtemps possible. L’honneur de la France est sauf et, alors que Ray éjacule, j’ai le temps de ressortir pour décharger dans la vulve de ma maîtresse, honorant pour la nième fois mon contrat.


Après le départ de mon ami, la vie reprend son cours. J’ai encore eu des moments de gloire, mais tout a une fin et en particulier les bonnes choses.


Un an plus tard, j’ai la surprise de recevoir un courrier sibyllin avec deux photos. Deux bébés, un garçon, une fille, le choix royal, et juste un mot « merci ».


Et j’ai oublié cette aventure.


Il faut dire que quelques jours avant, je m’étais fait draguer, eh oui, il n’y a pas d’autres mots, par une fille qui allait devenir ma femme. Elle ne m’a pas caché ses aventures avant de ma rencontrer, j’ai fais de même et c’est ainsi que l’on forme les couples heureux. J’ai été d’une fidélité exemplaire et je pense que ma femme aussi.


Vous comprenez maintenant mon inquiétude quand mon fils m’a présenté son amie, le portrait craché d’Alice…