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n° 14103Fiche technique22227 caractères22227
Temps de lecture estimé : 13 mn
19/10/10
Résumé:  Ce soir, elle est partie dîner dehors. Sans doute au restaurant avec Mélanie ou Amandine ? Je m'en moque, j'ai la soirée pour moi !
Critères:  ffh copains hsoumis fdomine fellation hdanus jeu -fellation
Auteur : Otto
Sacrée soirée

Vendredi soir.


Je sors de la douche détendu et j’enfile ma tenue du week-end. Je sélectionne quelques vieux vêtements confortables mais trop usés pour être portés au boulot.


Mon boulot est alimentaire, il me sert à finir mes études de commerce par correspondance. Du coup, je passe le plus clair de mon temps libre à mon bureau. En réalité, ce que j’appelle mon bureau est essentiellement composé d’une planche et de deux tréteaux posés dans l’angle de la chambre, dans mon studio.


Ce studio, je le partage avec Sophie, ma copine depuis deux ans. Ce n’est pas une fille très grande et ses cheveux blonds encadrent un visage volontaire avec un petit nez coquin, une bouche entourée de deux fossettes. Elle a deux défauts : de petits seins et l’ignoble habitude de m’appeler « son doudou ». Ce soir, elle est partie dîner dehors. Sans doute au restaurant avec Mélanie ou Amandine ? Je m’en moque, j’ai la soirée pour moi !


Je m’installe donc dans le canapé, décidé à me nourrir de pizzas et à zapper sur l’immense écran plasma que je viens de m’offrir au grand désespoir de Sophie. Elle aurait sans doute préféré un voyage romantique, un jacuzzi, un poêle pour les longues soirées d’hiver ou que sais-je d’autre? Peu importe, cette fois c’est moi qui ai eu le dernier mot, bien aidé par un vendeur qui lui a sans doute un peu tapé dans l’œil. Je compte bien profiter de ces quelques heures à venir pour régler correctement cette superbe télévision juste déballée.


Ma pizza ! Mon estomac me rappelle à l’ordre et comme je suis un garçon sérieux, je lui obéis. J’aimerais saisir le téléphone pour passer commande mais il se trouve loin de moi… Posé sur son socle de recharge, une table basse nous sépare. On dirait que l’absence de Sophie fait resurgir en moi une fainéantise digne d’un adolescent boutonneux sous l’emprise de psychotropes.


Il me faut pourtant cette pizza ! Je n’ai pas le choix. Je me redresse pour attraper ce fichu téléphone, quittant à regret le canapé du salon, lorsque j’entends la porte d’entrée s’ouvrir.



Adieu pizza, écran plasma et paresse, il va falloir que j’endosse le rôle du gentil mari attentionné devant ces demoiselles… Qu’est-ce qui a bien pu les faire revenir de si bonne heure ? Ce n’est tout de même pas le nombre de restaurants qui manque par ici.



Les deux copines de Sophie restent poliment plantées, droites comme des piquets, au milieu du salon. Je les pensais timides ou gênées de me déranger mais je me rends compte qu’elles rient sous cape telles des gamines. En fait, à défaut de restaurant, il semble qu’elles aient au moins arrosé l’apéritif…


Mélanie est la première amie de Sophie que j’ai connue. Elle a un corps superbe avec des seins en poire qui tiennent en place tout seuls. Elle m’a presque fait regretter de m’être mis en couple officiellement avec Sophie. Je me serais damné pour sa poitrine et sa peau à croquer. Malheureusement, elle m’a toisé d’un regard qui m’a fait perdre tout espoir, dès le premier jour.


L’autre copine, comment l’a-t-elle appelée ? Estelle ! Même si son visage me dit vaguement quelque chose, je ne sais pas vraiment qui elle est… Ses yeux noirs légèrement bridés et ses longs cheveux me laissent supposer qu’elle a des origines asiatiques. Cette Estelle est en tous cas, au moins aussi attirante que Mélanie, même si c’est dans un genre totalement différent. À contrario de Mélanie, qui est plutôt autoritaire, elle me semble, au premier abord, très douce et réservée.



Elles s’installent dans le canapé et se chuchotent à l’oreille des mots que je n’entends pas en continuant de se marrer. Je suis chez moi et je me retrouve mal à l’aise, ne sachant comment entamer une conversation. Pffff, quelle super soirée !



Elle se jette sur moi dans la foulée et me roule une pelle qui me fait un effet certain, malgré un goût de Gueuze Cantillon dorée d’environ 5°. Je possède en effet un incroyable talent pour identifier le type de bière au travers d’un baiser mais laissons ça de côté pour l’instant. Le goût de celui-ci n’a rien d’exceptionnel et je suis plus excité par la soudaineté de la situation que par la pelle en elle-même. Ma copine passe sa main sur mon tee-shirt et ses doigts agiles commencent à pincer un de mes tétons à travers le tissu. Mais que lui arrive-t-il ce soir ?


Je me dégage finalement de l’étreinte et tente de reprendre le contrôle de la situation en feignant d’être outré.



Elle n’a pas le temps de me répondre car Mélanie choisit cet instant pour passer le haut du corps dans l’entrebâillement de la porte de ma chambre.



Un silence s’installe dans la chambre où Sophie me regarde toute guillerette. Intérieurement, je suis en train de bouillir. Ma soirée « plasma/pizza » tombe à l’eau, Sophie me fait des mystères et mêmes ses copines ont l’air plus informé que moi.



Je suis encore en train de me demander si j’ai bien entendu le terme « connotation sexuelle » lorsque Sophie, après m’avoir pris par la main et entraîné dans le salon, m’assoit dans le canapé sous les regards attentifs de Mélanie et Estelle. Je perçois que la tournure de cette soirée m’échappe mais ce n’est pas pour me déplaire, même si je suis un peu inquiet.


Sophie s’installe à côté de moi et passe une main sous mon tee-shirt pour poursuivre son travail minutieux avec mon téton. Elle le fait rouler entre son pouce et son index, ce qui commence à me faire de l’effet même si la présence de ses copines a laissé mon sexe dans un état végétatif. Pendant ce temps, Estelle se saisit du téléphone que Mélanie avait posé sur la table basse. Je remarque ses lèvres brillantes et son sourire mutin. Elle ne m’a pas l’air si asiatique que cela en définitive ! Elle a les yeux en amande, voilà tout.


Estelle compose un numéro et active le haut-parleur grâce à un bouton situé sur la base du combiné. Quelques sonneries rompent le silence. On décroche.



Sophie a toujours ses doigts fins sur mon torse et ne marque une pause que pour passer d’un téton à l’autre. De mon côté, j’ai décidé de profiter de la situation pour malaxer les fesses de ma copine en matant les seins fabuleux de Mélanie. Cette dernière porte une robe d’été moulante qui épouse les lignes de son corps et dont le col en « v » offre une vue attirante. Je devine la courbe de ses seins en forme de poire. J’essaie de distinguer les mamelons à travers le tissu et je les devine pointant fièrement. Cependant Estelle interrompt ma rêverie en continuant :



Je ravale ma salive et Sophie ne me laisse pas le temps de manifester quoi que ce soit en collant ses lèvres sur les miennes immédiatement. Elle aspire ma lèvre inférieure tout en pinçant mon téton plus fort alors qu’Estelle continue tranquillement :



J’ai du mal à y croire mais cette soirée s’annonce finalement sous les meilleurs auspices. Tant pis pour la pizza, je m’en remettrai !



Les mains de ma copine délaissent mon torse pour s’intéresser à la ceinture de mon pantalon. Je suis très excité par le programme à venir mais, étant de nature assez pudique, ma verge n’est pour le moment qu’à demi-bandée. Je dois malgré tout la laisser apparaître en plein jour car Sophie me retire pantalon et caleçon d’un geste unique et décidé.



Sophie saisit ma verge avec trois doigts et, sans décalotter le gland, donne de petits coups langue sur le haut de mon sexe. Petit à petit sa langue se fait plus précise et repousse mon prépuce par de doux mouvements circulaires autour du gland. Je sens mon sexe se raidir rapidement et déjà, je ferme les yeux.


Elle continue méthodiquement sa descente vers la couronne du gland. La sensation est divine et je n’ai qu’une envie, c’est qu’elle aspire mon gland d’un seul coup. Mais, au contraire, elle continue son petit jeu et remonte vers la pointe du gland. Elle passe alors délicatement sa langue à l’entrée du méat. Les sensations sont exquises. J’ouvre les yeux afin de profiter un peu du beau sourire de ma copine.


La présence d’Estelle et Mélanie n’empêche plus la bandaison de ma verge. Elle atteint sa taille maximum et tressaute sous les caresses buccales. Sophie pose ses mains sur mes hanches et lèche ma hampe de bas en haut. Un liquide transparent s’échappe involontairement par mon méat, témoignant de mon excitation. Ma copine me regarde amoureusement et lance :



Elle a dû prendre cette boutade pour un défi car elle referme ses lèvres sur mon gland et se met à le téter franchement. Elle aspire le bout de mon sexe comme si elle cherchait à boire ce liquide lubrifiant. Je sens mon cœur qui s’emballe et une onde de plaisir m’envahit. Surpris par cette initiative, je laisse échapper un gémissement. Plutôt que de l’alerter sur mon état, ma plainte semble l’encourager.


Sophie entoure ma tige avec deux doigts et commence une lente masturbation tout en poursuivant sa terrible succion. Mon sexe a durci comme jamais et je sens ses doigts descendre et remonter chaque centimètre de ma hampe. Je ne tiendrai pas très longtemps si elle y met tant de bonne volonté !


Comme si elle cherchait à m’achever, Sophie accélère brutalement ses allers et retours sur ma tige. Je vois sa main aller et venir le plus vite possible le long de mon sexe. Je fais un effort surhumain pour ne pas éjaculer sous la puissance du plaisir qui m’envahit. Au moment où je vais atteindre le point de non-retour, elle reprend, de ses deux doigts enserrés, sur un rythme très lent.


Je respire bruyamment. J’ai échappé de peu au ridicule d’éjaculer dès le début des hostilités. Il faut que je me ressaisisse ! J’essaie de penser à autre chose et observe mon environnement. Je réalise alors qu’Estelle et Mélanie ont les yeux fixés sur mon sexe. Le téléphone, de son côté, émet les sons étouffés de la gâterie que Sandrine effectue sur Jean.


Mélanie fait le tour du canapé sur lequel je suis allongé, se place derrière moi et me retire mon tee-shirt. En tirant dessus, elle me fait glisser vers une position plus allongée. Inquiet de devoir supporter les assauts d’une deuxième belligérante, je proteste :



Tout en disant cela, Mélanie laisse glisser son doigt du haut de mon torse vers mon nombril et ne s’arrête que juste avant de toucher mon sexe.



C’est le moment que choisit Sophie pour reprendre la cadence infernale de sa masturbation. Elle ne se sert toujours que de deux doigts et ses lèvres n’ont toujours pas abandonné mon gland. Pour la seconde fois, le rythme ralentit brutalement, juste avant ma jouissance.



Pour me répondre, Sophie à relâché l’étreinte de ses lèvres sur mon gland. Il m’apparaît démesurément gonflé, gorgé de sang, prêt à lâcher la purée à la moindre sollicitation. C’est vrai que Sophie gère bien la situation et me maintient pour l’instant tout en haut du plaisir sans me laisser la possibilité d’en finir.


Elle retire ses mains et sa bouche descend progressivement en aspirant mon sexe que je n’ai jamais connu aussi gonflé. Je sens ses lèvres épouser les grosses veines bleues de ma verge sur le point d’exploser. Les joues de Sophie se creusent et elle m’avale jusqu’au fond de sa gorge. Enfin elle remonte lentement et la sensation m’arrache une longue plainte. Elle replonge à nouveau et m’embouche jusqu’à la garde.


Sa fellation se poursuit ainsi durant une demi-heure qui me semble une éternité. Je sens des vagues de plaisir dans le creux de mes reins. Je suis dans un état second et Sophie me mène de nombreuses fois au bord de la libération ultime.


Du côté de Sandrine et Jean, il n’y a que des gémissements qui nous parviennent. Les arbitres se renseignent de temps à autre afin de se confirmer que tout se déroule bien dans les règles. Amandine nous indique que Jean transpire, a viré au rouge écarlate mais parvient à se contenir pour l’instant.


À un moment donné, mon regard se pose sur Mélanie qui est restée sage malgré le niveau de son excitation. Sa poitrine parfaite se soulève au rythme de sa respiration et je devine ses mamelons durcis qui pointent sous le tissu. C’est le détail de trop ! Sophie me pompe sauvagement et je n’en finis plus de me retenir. Je me contorsionne pour échapper à cette caresse. Je vais éjaculer longuement. Je ne vois plus d’échappatoire possible.



Sophie comprend mon appel et stoppe immédiatement toute caresse. Seuls ses deux doigts serrent fortement la base de ma hampe qui tressaute toute seule, prête à faire jaillir ma semence.



Les caresses reprennent doucement, mais le plus dur est passé et, à présent, je sais que je pourrai tenir d’avantage. La pression exercée à la base de ma verge a fait redescendre d’un cran mon envie d’éjaculer !



Estelle s’approche sans dire un mot et s’agenouille à droite de Sophie devant le canapé. Ma copine me masque la vue et je ne sais pas ce qu’Estelle nous réserve. Je sens de douces caresses effleurer mes testicules. Estelle tourne la tête dans ma direction et plonge son regard dans le mien. Elle me sourit.


Son visage n’exprime que sérénité et tendresse tandis que ses gestes lents, mesurés, sur mes bourses gonflées de désir m’obligent à laisser choir ma tête vers l’arrière.


Je ne vais peut-être pas tenir si longtemps que ça, me dis-je en moi-même, quand, soudain, un doigt d’Estelle s’égare dans le sillon de mes fesses. Instinctivement mon anus se contracte et je relève la tête afin de jauger la situation. Estelle me regarde toujours avec douceur. Je la vois saliver sur son majeur puis replonger ce doigt entre mes fesses. Son majeur va directement au but et je le sens tourner tout autour de mon anus. Sophie continuant de me pomper avec avidité, je suis au paroxysme du désir. Estelle appuie contre mon anneau qui se détend et laisse passer la première phalange. Je m’attends à ce qu’elle poursuive son geste et m’enfonce son majeur mais la douce préfère retirer son doigt.



Jean est au bord de l’explosion, je dois me contrôler. Malheureusement pour moi, Estelle ne comptait pas en rester là et, si elle a retiré son doigt, c’était juste pour rajouter un peu de salive. Le bout de son majeur me pénètre à nouveau tandis que mon muscle anal se détend contre ma volonté. Elle recommence l’opération et, plutôt que de me sodomiser de toute la longueur de son majeur, ma fausse asiatique préfère rentrer et ressortir l’extrémité son doigt pour jouer avec ma rondelle maintenant bien détendue.


Heureusement à l’autre bout de la ligne, j’entends Jean qui n’en peut plus.



Il n’y a plus qu’Estelle qui me regarde toujours en souriant. Elle enfonce soudainement deux doigts dans mon cul dilaté, fait quelques va-et-vient très rapides puis replie ses doigts contre ma prostate. Cette fois, c’en est trop, je sens une lourde chaleur m’envahir et une longue coulée de sperme sort de ma tige qui tressaute toute seule, abandonnée.

De son autre main Estelle saisit finalement mon sexe et ses allers et retours rapides et puissants expulsent trois longues giclées blanches par mon méat. Je lui crie d’arrêter mais elle continue sa masturbation frénétique et je me tords de plaisir tandis que mes couilles finissent de gicler leur semence. J’émets une sorte de gémissement rauque.



Ce sont les derniers mots je perçois avant de sombrer dans les bras de Morphée, épuisé par cette interminable fellation.