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n° 14105Fiche technique10693 caractères10693
Temps de lecture estimé : 7 mn
19/10/10
Résumé:  Piscine plus sauna afin de récupérer des fatigues d'un long voyage. Et deux Allemandes mélomanes et en chaleur qui font complètement dériver la "prescription".
Critères:  ffh fagée inconnu fdomine voir nudisme fellation cunnilingu préservati pénétratio -sauna
Auteur : Humoureux      Envoi mini-message
La chevauchée des Walkyries

Plusieurs centaines de kilomètres d’autoroutes allemandes en plein mois d’août, ce n’est pas de tout repos : 30° à l’ombre, un trafic hyper dense de vacanciers de tous pays, peu habitués à circuler en caravane, avec la belle-mère, le chien, les canaris…

Enfin, j’arrivai à mon hôtel sur les hauteurs de Stuttgart, exténué, avec une seule envie, quelques longueurs de piscine, une bonne douche froide et relax. Piscine de taille généreuse en effet, bien exposée au soleil. Au bout de quelques longueurs de bassin, je me dirigeai vers la douche et découvris un couloir menant au sauna.


Même si la pelouse et ses transats me tentaient, je pensai qu’une bonne sudation dans le sauna me ferait le plus grand bien. Va donc pour le sauna !


Direction le vestiaire pour déposer mon peignoir de bain et récupérer une serviette. Je croisai un Allemand adipeux, au visage peu sympathique, la queue entre les jambes pour me rappeler qu’Outre Rhin, les saunas sont « Textilfrei ». Le lecteur non germanophone aura compris qu’en Allemagne on va au sauna dans le plus simple appareil, en général hommes et femmes mélangés.


Je me débarrassai donc du caleçon de bain et pénétrai dans le sauna, ceint de ma serviette immaculée.


Malgré la pénombre, je me trouvai une planche basse libre, celle en vis-à-vis et celle du dessus étaient occupées par deux femmes que je saluai discrètement. J’eus droit, je le concède à une réponse collective, sonore et a priori sympathique.


Une fois la serviette déployée, je m’allongeai nu et commençai l’état des lieux. Au même niveau que ma planche, une femme d’une cinquantaine d’années, blonde, les cheveux tirés en chignon, d’assez forte corpulence, grande, avec de longues jambes galbées, une poitrine volumineuse, comme l’ont souvent les Allemandes habituées à la bière, à la charcuterie et aux pâtisseries bien crémeuses… De grandes dents blanches meublaient sa bouche grande ouverte, aux lèvres pulpeuses.


Au dessus d’elle, une femme de la même génération, tout aussi blonde, tout aussi grande, mais fine malgré un ventre légèrement rebondi et dotée de deux superbes seins bien formés, surmontés de deux grandes aréoles avec de longs tétons en érection.


Au bout de quelques minutes, la femme allongée sur la planche du même niveau que la mienne, se leva afin d’alimenter en eau le brasero au milieu du sauna. Voulait-elle me provoquer ? Me tester ? Elle se posta devant moi et, se courbant pour arroser le brasero, m’offrit une vue imprenable sur ses magnifiques fesses rebondies et son pubis dont les longs poils dégoulinaient de transpiration. Elle avait en effet, eu la bonne idée d’écarter quelque peu les jambes sous mes yeux qui n’en demandaient pas tant. Tout ceci sous le regard à peine voilé de la dame du dessus, laquelle semblait ne rien vouloir manquer de ce petit manège à peine innocent.


Une fois le brasero réalimenté en eau, elle se tourna vers moi.



Un peu interloqué par la question, je balbutiai :



Au fond de moi, je pensai : et si tu voyais ta chatte ? Mais c’est elle qui reprit la balle au bond, la dame pas la chatte…



Je pensai alors à cet Allemand que j’avais croisé. Que lui était-il arrivé ? S’était-il sauvé ?



Mon Allemande me toisait maintenant. Mon regard se partagea entre sa superbe paire de seins, un peu lourds, il est vrai, mais qui mouraient certainement d’envie d’être malaxés, caressés, léchés, et son mont de Vénus que je découvrais maintenant de face, bien entretenu et qui me semblait très appétissant.



Brigitta partit d’un grand éclat de rire, descendit doucement de sa planche et se posta à son tour devant moi tout en prenant sa copine Christine par le cou.



J’étais un peu gêné quand même et tentai de me couvrir le sexe des deux mains.



C’est à ce moment que Christine prit l’initiative de verrouiller le sauna de l’intérieur. Je ne pouvais plus leur échapper et on ne pouvait plus nous déranger.



Ce fut comme une décharge électrique. Devais-je fermer les yeux pour mieux en profiter ? Que nenni, d’autant que Brigitta se postait à côté de sa copine. J’avais sous les yeux cette paire de seins, certes lourds, mais quand même superbes et que je mourais d’envie de caresser pour détourner mon attention de l’excitation de mon sexe.


Il me fallait être à la hauteur de notre réputation et, quelle que soit l’exaltation du moment, ne pas jouir trop vite.


Je pris la paire de seins à deux mains, en commençant délicatement par les tétons en pleine érection qui semblaient encore s’allonger sous l’excitation, puis caressai délicatement les aréoles dont la périphérie s’était soulevée dans un subtil pointillé. Je mourais d’envie de les prendre dans ma bouche, de les aspirer avidement. Brigitta comprit mon envie et me fourra ses deux gros seins sur le visage, au risque de m’étouffer. Elle n’en avait cure, riait de la situation et semblait vouloir me punir de mon envie.


Excitée par le manège de Brigitta, Christine accéléra ses caresses sur mon sexe, puis l’embrassa avidement au risque de me faire jouir. Je sentis même un doigt s’aventurer vers mon intimité que n’en demandait pas tant.


De ma main droite, je m’aventurai dans le sexe gonflé et dégoulinant de Brigitta. Était-ce la transpiration ? L’excitation ? Un peu des deux certainement. Je n’eus aucune peine, après avoir caressé allègrement ses lèvres pulpeuses, de la pénétrer, d’un puis deux, puis trois doigts, jusqu’au fond de son intimité toute brûlante. Elle lâcha alors un énorme râle de plaisir tout en caressant avidement le sexe de son amie toujours occupée à pomper ma verge jusqu’au fond de sa gorge.


Le manège de mes deux charmantes hôtesses ne manqua pas de me surprendre. Étaient-elles lesbiennes ? Brigitta décréta que ce spectacle n’était pas pour moi. Elle monta donc sur ma planche et se positionna à cheval sur ma bouche. Son sexe que j’avais particulièrement excité de la main vint se positionner sur ma bouche comme une ventouse. Son excitation visqueuse, salée, m’inonda la bouche au risque, à nouveau, de m’étouffer. Mes yeux avaient une vue imprenable sur sa petite rose dilatée que je m’empressai de titiller avant de la violenter. C’est à ce moment qu’une véritable fontaine brûlante se mit à dévaler, m’inondant complètement la bouche, les lèvres, le nez, le cou.


La totale !


Christine comprit que je ne pourrais pas résister longtemps. Je la sentis cesser de me pomper le sexe avec la bouche, monter à son tour sur ma planche et enfourner mon sexe – qu’elle avait subtilement habillé d’un préservatif avec une habileté de professionnelle – dans son intimité brûlante.


Brigitta et Christine se prirent par les mains et se mirent, l’une à me pomper à nouveau le sexe jusqu’au plus profond de son intimité avec un rythme effréné, l’autre à frotter à nouveau son sexe tout chaud et humide sur mes lèvres.


Quand elles se mirent à entonner en chœur la chevauchée des Walkyries, au risque de faire se retourner ce pauvre Richard Wagner dans sa tombe, je me mis à jouir comme jamais cela ne m’était arrivé.


Christine voulut abuser de mon sexe encore en érection dans sa chatte brûlante. Mais Brigitta voulait sa part et se pencha donc pour lécher avidement ma verge, récupérant le mélange de mon sperme et de la jouissance de son amie. Ensuite, Christine et Brigitta s’embrassèrent longuement devant moi, qui étais encore sonné par ce qui venait d’arriver.


Elles échangèrent de longs baisers fougueux ainsi que mon sperme, avant de me le restituer en m’embrassant sur les lèvres chacune à son tour, en guise de remerciements, je suppose, pour les moments de feu que nous venions de vivre.


Tout ça n’était qu’un petit jeu pour elles, sous mes yeux ébahis et incrédules.