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n° 14113Fiche technique38961 caractères38961
Temps de lecture estimé : 23 mn
21/10/10
Résumé:  Une bonne cliente m'amène à découvrir de nouveaux plaisirs.
Critères:  fh fsoumise hsoumis fdomine hdomine chantage voir miroir lingerie fellation pénétratio fdanus hdanus hgode jouet sm attache bondage init -sm -vêtements
Auteur : Benerotik      
Une bonne cliente

Première visite


La maison se situe dans les beaux quartiers, sur les hauteurs de la ville. En arrivant à l’adresse indiquée par la cliente, j’aperçois une belle maison sur deux étages, épousant le relief, dans un jardin verdoyant assurant l’intimité des lieux.


Je sonne, l’interphone me répond d’une voix féminine après quelques secondes :



Le portillon émet un petit bruit caractéristique annonçant son déverrouillage, je le pousse et monte les escaliers menant à la porte d’entrée, qui s’ouvre quasi immédiatement.



Je m’exécute et me retrouve face à elle dans le vestibule d’entrée, ce qui me permet de me rendre compte que ma nouvelle cliente est tout à fait charmante : brune aux cheveux longs, les yeux en amande, la peau mate, pas très grande mais des courbes généreuses à souhait. Je ne saurais lui donner un âge, peut-être 25 ans, ou bien 35 ? Elle ne porte qu’un peignoir en satin lui arrivant au-dessus des genoux et s’en explique aussitôt :



Ce passage instantané au tutoiement est courant sous les tropiques, d’autant plus entre gens de même génération… mais c’est tout même un signe accueillant.



Je la suis jusqu’à une chambre, visiblement la sienne. Un mur est occupé par un placard dont les portes sont faites de miroirs, un second est occupé par un grand lit en face duquel trône un aquarium imposant, objet de ma visite. Le dernier mur s’ouvre quasiment complètement sur une vue splendide par une baie vitrée, donnant sur un balcon courant autour de la maison. Dans l’angle entre le mur de la baie vitrée et celui occupé par l’aquarium se trouve un petit bureau avec un ordinateur.



S’en suit une discussion sur l’évolution qu’elle souhaite pour son aquarium, son budget et autres questions techniques. Je prends consciencieusement des notes ainsi que ses coordonnées électroniques pour lui envoyer un devis. Je prends finalement congé, à regret : le décolleté de son peignoir commençait à être intéressant… !



Seconde visite


Sandra (c’était son nom) m’avait recontacté pour me dire qu’elle acceptait mon devis, incluant le passage de son aquarium en eau de mer ainsi qu’un contrat d’entretien : bref, une très bonne cliente à tous les niveaux !


Je la retrouve donc pour la seconde fois, pour le grand nettoyage avant de commencer le cœur du boulot. Pas de peignoir en satin cette fois-ci, mais un pantalon de jogging en coton qui épouse bien la forme de ses fesses, et un petit débardeur qui lui moule la poitrine à merveille. Cela confirme ainsi ma première impression : ses seins sont vraiment magnifiques !


Elle m’accueille avec le sourire puis, après avoir signé le devis et le contrat d’entretien, me montre où se situe la salle de bain, dont j’aurai besoin pour vider l’eau du bac. Elle me laisse ensuite me débrouiller pour vaquer à ses occupations. Je me mets au travail, en faisant en sorte de ne rien salir ou déranger.


C’est alors qu’en poussant le meuble supportant l’aquarium, je heurte le bureau juste derrière, ce qui a pour effet de le faire sortir de veille. Je n’y prête tout d’abord pas attention, mais en revenant dans la chambre après un aller-retour à la salle de bain, je m’aperçois que l’écran affiche un site internet de vente en ligne de lingerie sexy. La page montre toute une collection de corsets de qualité. C’est un peu la panique : il ne faut absolument pas que Sandra revienne et voit ça ! Je remets vite l’ordinateur en veille, après avoir tout de même bien regardé à quel genre de produits elle s’était intéressée !


En prenant congé d’elle ce jour-là, je n’ai nul mal à l’imaginer portant l’un des corsets aperçu sur le site…


Les visites se succèdent ensuite, pour l’installation du bac d’eau de mer, son peuplement progressif et surtout le suivi de son bon équilibre. Ces visites nous ont permis de faire plus ample connaissance ; on se fait maintenant la bise, moment particulièrement délicieux, surtout lorsque j’ose effleurer sa hanche de ma main. En revanche, pas d’autre « incident » comme celui du site internet. Ça ne m’empêche pas de continuer à me poser des questions sur Sandra et sur ses mœurs et ses goûts en matière de lingerie ou de sexualité. D’autant que j’ai maintenant la certitude qu’elle vit seule : que peut bien faire une si belle femme dans une si grande et si belle maison ?… Cela ouvre la porte à bien des fantasmes !


Finalement, au cours de l’un de mes passages hebdomadaires, je finis par me laisser tenter : alors qu’elle s’était absentée pour faire une course, je commence à faire le curieux et à mettre mon nez là où je ne suis pas censé le mettre. Je cherche en particulier sa lingerie dont je n’ai pour l’instant aperçu que quelques dentelles dépassant de l’un de ses débardeurs ou au fond d’un décolleté plongeant.


Je ne mets pas longtemps avant de trouver, puisqu’elle occupe une bonne place derrière les miroirs du placard de la chambre. Et visiblement elle aime la lingerie fine et sexy autant que moi : ses ensembles sont tous rangés soigneusement tout comme ils le sont parfois dans les magasins de lingerie, chacun dans une petite boîte en carton, bien présentés (ce qui me permet de pouvoir les contempler sans risquer qu’elle s’en aperçoive).


Il y a vraiment de tout, une collection impressionnante de string, brésiliens, shorty, balconnet, boléro, push up, y compris des porte-jarretelles et des bas de toutes sortes… et un corset ! Je trouve même, en bas de la penderie des sandales à talons aiguille et plate forme comme en portent les actrices dans les films X ! Mon dieu, j’ai une grosse érection, il faut absolument que je me calme, si elle débarque maintenant, je suis grillé ! Je referme tout et me remets au boulot pour me changer les idées…


Ce jour-là, pas de hanche effleurée pendant qu’on se fait la bise, je suis trop concentré à ne pas trop penser à ce que j’ai vu pour ne pas déclencher une nouvelle érection !



Au cours des semaines qui suivent, je passe mes nuits à fantasmer sur Sandra, l’imaginant dans toutes ces tenues affriolantes…


Quelques semaines plus tard, je préviens Sandra que je ne pourrai passer que le samedi en fin d’après-midi, en raison d’un emploi du temps particulièrement chargé. Lorsqu’elle m’ouvre, elle est en peignoir et s’éclipse dans la salle de bain pendant que je me mets au travail pour se préparer pour une soirée.


J’entends l’eau de la douche couler et l’imagine nue en train de savonner son corps sublime… mais reste concentré sur mon travail. Une fois le travail terminé, je commence à remballer mon matériel et fais un premier voyage à la voiture. Lorsque je reviens dans la chambre, je la découvre portant un ensemble de lingerie en dentelle noire brodée de blanc, associant un soutien-gorge balconnet mettant particulièrement en valeur sa poitrine, un string, un porte-jarretelles et des bas qu’elle est en train de finir d’attacher. J’en reste bouche bée à l’entrée de la chambre. Elle finit par remarquer ma présence, mais n’en semble nullement dérangée :



Elle tourne son dos vers moi et me lance :



Après un moment d’hésitation, je m’approche et remonte lentement le zip le long de son dos. Elle se retourne ensuite vers moi et me demande :



Elle sourit.



Elle marque une pause puis reprend, l’air de rien :



Je reste cloué sur place et ne sais plus quoi dire… J’hésite à tenter ma chance en m’approchant d’elle pour l’enlacer, mais j’ai peur de gâcher cette opportunité : sa proposition est plus qu’alléchante, ce serait dommage de la rater en voulant brûler les étapes.



Elle me tend un papier sur lequel elle a griffonné ses mensurations puis me fait la bise de la façon la plus sensuelle qui soit.


En rentrant ce soir-là, je suis dans tous mes états. Je passe ma nuit à me demander ce que je peux bien lui acheter et quelle tenue j’aimerais la voir porter… J’ai bien des idées, mais je ne veux pas non plus brusquer les choses. Je commande finalement un serre-taille en satin noir brodé de blanc avec soutien-gorge et shorty assortis. Je prends l’option livraison express : l’ensemble devrait lui être livré quelques jours avant ma prochaine visite.


Le jour venu, je me rends chez elle le cœur battant la chamade. Lorsqu’elle m’ouvre, elle porte le même peignoir que le premier jour, mais en la suivant dans la chambre je note que ses jambes sont gainées de nylon noir opaque et qu’elle porte également les fameuses sandales à talons aiguille et plate formes.

Arrivée dans la chambre, elle se tourne vers moi et dit :



Je me mets au travail tout en l’observant du coin de l’œil. Elle dénoue son peignoir et le laisse tomber à ses pieds, tout en me regardant droit dans les yeux, avec un petit sourire. Elle porte effectivement l’ensemble que je lui ai commandé et il lui va comme un gant.


Elle commence à prendre des poses, de plus en plus lascives au fur et à mesure que mon travail avance. Mon érection est nettement visible et elle ne se prive pas de faire des commentaires :



Lorsque je termine, elle est à quatre pattes sur le lit, face à moi, de sorte que j’ai une vue plongeante sur son décolleté ainsi que sur sa croupe, mise en valeur par le serre-taille et les jarretelles qui courent le long de chacune de ses fesses.

Elle se relève alors, remet son peignoir pendant que je range fébrilement mes affaires. Elle me raccompagne ensuite à la porte et, avant de se faire la traditionnelle bise, elle me dit :



Après cet après-midi, je passe mes journées et mes soirées à penser à cette délicieuse torture qu’elle me fait subir. Combien de temps vais-je pouvoir résister à ce traitement ? Elle m’allume autant qu’elle le peut, mais en même temps elle a fixé les règles et je sens bien que tout manquement aura des conséquences. Il doit bien y avoir un moyen de l’amener à me donner plus…


Après avoir cogité quelques nuits, je pense tenir une solution : je lui commande un vibromasseur dont les commentaires des acheteuses en disent long sur son efficacité. Pour achever de la convaincre de l’utiliser devant moi, je mets le paquet sur la lingerie en lui achetant un corset en PVC noir, avec des baleines en acier, un laçage dans le dos ainsi que deux sur l’avant, et des bottes à talons aiguilles noires en PVC brillant. Le tout me coûte une petite fortune, mais je me dis que c’est un investissement à tenter : elle veut des surprises et des accessoires, elle va être servie !


Lors de ma visite la semaine suivante, son accueil est glacial : ce n’est visiblement pas ce qu’elle attendait, je me suis enflammé. Elle porte un simple jean et T-shirt blanc, me conduit à la chambre puis s’éclipse. Je suis dégoûté. Je ne sais pas si je dois aller lui parler, si le jeu est stoppé, voire même si elle ne va pas rompre le contrat d’entretien… Je me mets au travail sans entrain et une dizaine de minutes plus tard, j’entends des pas derrière moi. Je me retourne et la découvre portant le corset et les bottes que j’avais commandés, le tout accompagné de gants de satin noir et de bas résilles à couture. Ses lèvres écarlates s’entrouvrent en un sourire coquin.



Je me remets au travail tout en notant qu’il n’y a aucune trace du vibromasseur… Elle recommence ses poses lascives, mais celles-ci prennent rapidement une tournure plus évocatrice, plus obscène parfois. Puis soudain, j’entends un bruit caractéristique : profitant d’une inattention de ma part (je dois continuer à travailler devant ce spectacle, c’est la règle du jeu…), elle l’a sorti de je ne sais où, et commence à en balader l’extrémité ronde sur son corps tout en me fixant d’un air maintenant tout à fait explicite. Elle en lèche d’abord l’extrémité, puis le glisse entre ses seins, ce qui nécessite de dégrafer les premiers crochets du corset, et enfin, descendant toujours plus bas, finit par le coller sur son intimité. Sa respiration se fait plus sonore, ses yeux se ferment par intermittence, sa main libre malaxe ses seins, son corps ondule…


Elle finit par laisser échapper un petit gémissement. Sa main libre descend alors de son sein à sa culotte, qu’elle écarte pour laisser le champ libre à son instrument de plaisir. Les gémissements reprennent, d’abord isolés, ils se font de plus en plus fréquents et intenses, tout comme les ondulations de son corps tout entier, la crispation des traits de son visage ou encore de ses mains sur le manche de plaisir. Elle finit par être emportée dans une série de spasmes de plaisir accompagnée de cris délicieux.


Après quelques minutes de silence, elle finit par relever la tête et me sourit :



Puis elle se lève et se dirige vers la salle de bain. Elle se retourne avant de franchir la porte :



Ce jour-là, je jubilais en rentrant en voiture :



Dès le lendemain, je me mets en quête de la tenue et des accessoires qui me permettront d’arriver à mes fins. Voyons voir, quelle tenue vais-je bien pouvoir lui acheter pour la convaincre… il faut mettre le paquet ! Soit. Je jette mon dévolu sur une tenue 100% latex : des bas, des gants longs, un string s’ouvrant en deux par un zip et un corset rouge et noir fermé par un zip et une série de boucles de ceinture devant, le dos étant fermé par le traditionnel laçage. Je complète cette tenue avec un collier clouté… Mmmm ! elle va avoir l’air d’une vraie chienne comme ça !


Passons aux accessoires maintenant… Je commence par un harnais de tête muni d’un bâillon boule. J’y ajoute deux bracelets en cuir munis d’anneaux et mousquetons. Enfin, je commande également un plug anal de taille moyenne et une réplique du sexe d’un acteur porno.


Une fois la commande passée, je l’imagine déjà, les mains attachées derrière le dos, la croupe relevée sur le lit, le string ouvert, et moi en train de jouer avec le plug et le gode, alternativement puis simultanément avant de la besogner sauvagement…


La semaine suivante, elle m’ouvre la porte avec un sourire qui en dit long. Elle me laisse faire mon travail et ne revient me voir que lorsque je suis en train de ranger mon matériel.



Je réponds par un sourire.



Lorsque je reviens dans la chambre, elle s’y trouve déjà. Elle ne semble rien porter d’autre que son peignoir en satin. Elle a posé les deux colis devant l’aquarium, au pied du lit. Elle me lance :



Je m’exécute.



Elle ne quitte pas mes yeux du regard pendant que je m’allonge, puis elle dénoue son peignoir et le laisse tomber à ses pieds, dévoilant ainsi son corps sublime, entièrement nu. Elle ouvre alors un premier colis et commence à enfiler les différents éléments, un par un : d’abord le string… puis les bas… le corset, auquel elle attache les bas… les gants et enfin le collier. Bien évidemment mon sexe est déjà tendu comme un « i » ce qui semble l’amuser. Elle boucle ensuite les cinq ou six attaches sur l’avant du corset en prenant soin de bien les serrer, ce qui a pour effet d’affiner sa taille et de remonter sa poitrine, donnant ainsi un effet pigeonnant à son décolleté.


Commence alors l’inévitable séance de polish pour donner son aspect brillant au latex. Elle transforme cette opération en une multitude de sensuelles et langoureuses caresses.


Elle ouvre ensuite le placard aux miroirs, en sort la paire de bottes offerte une semaine auparavant et les enfile. Enfin, elle parfait le tout avec un maquillage légèrement outrancier : lèvres écarlates, mascara et un peu de noir sur les paupières. Elle se tourne vers moi :



Elle s’approche du lit puis monte dessus à quatre pattes, m’enjambant et rampant jusqu’au-dessus de moi. Elle finit par s’asseoir à califourchon sur mon bas ventre et poser ses mains sur mon torse en commençant à le caresser. Je sens le zip du string collé sur mon sexe et le contact frais du latex contre ma peau m’électrise. Mes mains se portent naturellement sur ses hanches où elles commencent à caresser alternativement sa peau, les jarretelles tenant les bas de latex et le corset. Elle se redresse et saisit mes poignets :



Elle les ramène au-dessus de ma tête et commence à m’embrasser. Absorbé par la sensation de sa langue venant fourrager dans ma bouche et de son bassin ondulant contre mon sexe, je n’entends pas le petit cliquetis au-dessus de ma tête. Ce n’est que lorsqu’elle se redresse à nouveau et que je veux la maintenir contre moi que mes mains sont retenues : un rapide coup d’œil me permet de constater que mes mains sont attachées au montant du lit par des menottes.



Je laisse retomber ma tête en arrière en riant de dépit.



Elle reprend son long baiser, puis commence à descendre le long de mon cou, tantôt léchant, tantôt mordillant. Sa bouche descend ainsi jusqu’à mon bas ventre, où elle s’attarde pendant que ses mains commencent à jouer avec mon sexe et mes bourses. Elle commence à me masturber tout en me regardant dans les yeux. Je suis déjà en extase ; ça ne se passe pas tout à fait comme je l’avais prévu, mais je suis déjà comblé !


Je ferme les yeux, pour profiter du plaisir qu’elle me procure, mais surtout pour ne pas jouir trop tôt tant la vue de son visage penché sur mon sexe est exquise, avec en arrière-plan ses deux seins comprimés dans le corset.


Je ne tarde pas à sentir sa bouche sur mon sexe, d’abord de petits baisers, qui se font ensuite plus humides, avant que je ne la sente l’envelopper complètement. Les va-et-vient commencent lentement, pendant que sa main de latex joue avec mes bourses. Soudain je sens un de ses doigts faire une digression vers mon sillon anal. Un peu surpris de prime abord, je me rends compte que cette caresse m’excite énormément. Sentant ma réticence passée, son doigt se fait plus insistant et commence à masser mon petit trou. Il se retire un instant, puis revient à la charge, apparemment lubrifié : il s’enfonce alors facilement. Un second doigt ne tarde pas à le rejoindre, et ils commencent à me masser le cul de concert. Je suis à la fois gêné et très excité de cette nouvelle sensation.


La bouche de Sandra a lâché mon sexe et je me redresse : elle me regarde d’un air coquin, tout en continuant sa caresse anale d’une main, l’autre masturbant mon sexe. Je pensais l’interroger sur cette initiative, mais je referme aussitôt les yeux pour ne pas jouir tant le spectacle est excitant.



J’ai tout juste le temps de redresser la tête pour apercevoir un plug anal métallique qu’elle me montre avant de retourner à sa caresse buccale. Je ne tarde pas à sentir le contact froid contre mon anus, accompagné d’une légère poussée.



Elle accélère le rythme de sa bouche tout en me masturbant et commence à pousser de petits gémissements. Cela décuple mon plaisir et détend du même coup mon sphincter, permettant au plug de débuter son entrée. Je me sens déjà très dilaté, mais le plug n’est pas encore entré complètement. Pour l’y aider, elle commencer à varier la force de succion et entreprend également quelques gorges profondes. La sensation de mon sexe au fond de sa gorge ainsi que les bruits qui en découlent achèvent de m’exciter : le plug rentre finalement entièrement, me procurant un plaisir inédit mêlé à une légère douleur.

Elle se redresse alors, l’air satisfait :



Elle me détache alors et me demande de venir m’asseoir sur le fauteuil de son bureau. Elle sort ensuite un rouleau de bande plastique du second colis et commence à me ficeler les bras sur les accoudoirs du fauteuil. Elle en fait autant avec mes chevilles qu’elle ligote au pied du fauteuil, et enfin avec mon torse. Je suis aux anges : je l’imagine déjà en train de venir s’empaler sur moi…


Mais elle a visiblement d’autres projets : elle sort du carton un boîtier métallique dont une face est garnie de boutons et cadrans divers. Elle vient la poser sur mes genoux, avant d’y connecter deux fils.



Son visage se fend d’un sourire pervers.



Elle enfile un casque tel que celui qu’utilisent certaines standardistes pour répondre au téléphone puis allume le boîtier. À peine le boîtier est-il allumé que je sens une décharge intense dans mon anus et ne peux retenir un cri de douleur.



Après avoir baissé le volume de façon conséquente, elle commence par respirer bruyamment tout en remontant progressivement le son et en guettant ma réaction. Après quelques secondes, je sens de petits picotements et le lui fais savoir.



Elle commence alors à pousser de petits gémissements tout en me souriant avec un air pervers, et je sens une légère brûlure dans mon rectum, ce qui m’arrache une grimace.



Elle se met alors à hurler de plaisir et là, la douleur est si intense que je ne peux retenir un râle de douleur.



Je ne réponds rien, il n’y a pas grand chose à ajouter : je n’ai pas le choix si je veux arriver à mes fins, et je ne suis pas arrivé jusqu’ici pour renoncer…

Alors qu’elle est en train d’attacher le harnais sur ma tête, la sonnerie de l’interphone retentit…



Avant que j’aie eu le temps de dire ouf, elle pousse le fauteuil dans le placard et referme la porte.

Seul dans la pénombre, juste éclairé par les lueurs rouges du boîtier électronique, je commence à me demander si j’ai bien fait d’accepter de jouer… Mais mes réflexions sont rapidement interrompues par le retour du couple du moment.


Sandra entre à reculons dans la chambre en tirant son amant, un beau black probablement amateur de body building, par le poignet : il a en effet les yeux bandés et, à en juger par sa tête lorsqu’il relève le bandeau, il n’avait pas encore vu la tenue que portait son hôtesse.



Son sang ne fait qu’un tour et il la saisit violemment par le bras pour la retourner face à lui. Son autre main s’empare du cou de Sandra pour lui arracher un baiser.



Sa main lâche son bras pour saisir Sandra par les cheveux et l’obliger à s’agenouiller devant lui. Il ouvre alors sa braguette et en sort son membre qu’il présente devant la bouche de Sandra qui n’a d’autre choix que de l’engloutir. Ils sont juste devant le placard et je suis aux premières loges : le black défonce littéralement la gorge de Sandra, l’obligeant parfois à tenir son membre au fond de sa gorge pendant plusieurs secondes. Heureusement pour moi, elle ne porte pas le micro : les chocs auraient à coup sûr produits de belles décharges.


Voir cette scène d’une lubricité intense se dérouler devant mes yeux, tout en sachant que je participerai indirectement à la suite des réjouissances m’excite au plus haut point.


Le bel amant finit par relever Sandra qui, bien qu’encore toute essoufflée, a encore le même sourire de défi aux lèvres. Il la pousse alors violemment sur le lit.



Sandra se met à quatre pattes pour attraper le casque sur la table de chevet et en profite pour sortir des boules de plaisir d’un diamètre fort honorable du tiroir ; elle les jette sur le lit en direction de son amant.

Celui-ci la saisit alors par les jambes et la tire violemment à lui. Il lui redresse ensuite le bassin pour qu’elle soit à quatre pattes au bord du lit, de trois-quarts dos par rapport au placard. Le beau black plonge sa figure entre les jambes de Sandra dont la respiration se fait immédiatement plus bruyante, d’où quelques picotements pour moi.


Il commence à la lécher avec application, sa langue ne faisant aucune distinction entre ses deux orifices. Sandra commence à gémir et moi à me crisper. Les doigts du black rejoignent bientôt sa bouche, d’abord pour s’humidifier dans son con, puis pour aller lubrifier sa rondelle, achevant ainsi de régulariser les gémissements de Sandra. Celle-ci tourne sa tête vers moi et semble me dire : « Mmmm ! comme c’est bon ! Je sais que ça te fait souffrir, mais je sais aussi que ça t’excite et que tu veux que ça continue ! ».


Le fait est qu’effectivement, les décharges se succédant au rythme des gémissements de la belle, je me cale sur le même rythme, tout en imaginant que ces décharges sont autant de plaisir pour elle que de souffrance pour moi. Si bien qu’à la fin, il m’est parfois difficile de savoir si j’éprouve de la douleur ou du plaisir. Je n’aurais jamais cru qu’il puisse m’arriver un jour de prendre du plaisir dans la souffrance.


Mais les choses prennent une autre tournure : le black place la première boule sur la rondelle de Sandra après l’avoir lubrifiée avec la cyprine dégoulinant de son sexe. Sandra retient son souffle, ce qui me vaut une accalmie que je sais néanmoins provisoire. La boule commence à entrer pendant que Sandra reprend son souffle plusieurs fois, ce qui provoque quelques petites décharges. La boule semble s’être arrêtée, le black caresse le joli bouton de Sandra avec son pouce, elle se cambre, ferme les yeux, retient son souffle… puis la balle s’enfonce finalement d’un seul coup dans sa caverne, arrachant à Sandra un cri de soulagement, aussitôt suivi d’un regard à mon attention. Elle me sourit en se mordant la lèvre. « Regarde-moi prendre mon pied, souffre et jouis de mon plaisir, ça m ‘excite ! ».


Une seconde boule est présentée à l’entrée de la rondelle de Sandra, et je m’aperçois qu’elle est légèrement plus grosse que la précédente. Elle le sait et me le fait savoir d’un petit « oh ! » accompagné d’un haussement de sourcil, que son amant prend probablement pour lui. L’entrée ne semble pas réellement plus difficile, probablement parce que son anus est maintenant dilaté, mais Sandra semble exagérer nettement son cri de plaisir, ce qui m’est confirmé par le petit rire sadique qui s’en suit.


Le black présente alors son sexe devant celui de Sandra et la pénètre lentement : nouveau soupir bruyant… Il commence à la besogner, doucement d’abord : petits gémissements épars… Puis de plus en plus rapidement : gémissements réguliers, puis cris de plaisir. Je serre franchement les dents, appréhendant chaque coup de boutoir, d’autant que Sandra semble prendre un malin plaisir à me regarder à travers le miroir et à exagérer ses cris.


Les coups de reins se font plus violent, leur rythme plus rapide. Alternativement, Marc repousse Sandra d’une main posée sur sa croupe puis tire sur la cordelette reliant les boules pour la tirer vers lui : Sandra n’exagère plus, elle est en train de partir, elle ne contrôle plus et crie son plaisir. La douleur est intense. Finalement, l’amant semble se raidir et tire d’un seul coup sur la cordelette, libérant ainsi successivement les deux boules : l’effet est instantané, Sandra hurle de plaisir, les hanches de son partenaire vibrent littéralement comme prises d’une crise d’épilepsie… et je mords le bâillon de toutes mes forces.


Puis c’est le silence, tout le monde s’écroule, essoufflé. Profitant de ce moment de calme, je reprends mes esprits et tente de faire le point. Je n’ai pas joui physiologiquement, mais je me rends compte que j’ai presque joui par procuration, j’ai vibré au rythme de l’orgasme de Sandra. Ça a été douloureux, certes, mais cette expérience a été vraiment troublante et j’ai l’impression d’appréhender le plaisir que certains peuvent éprouver dans la douleur.


Sandra se redresse, enlève le micro et bouscule son amant :



Marc grommelle un moment puis finit par se lever et aller à la salle de bain. Sandra remets alors le casque et commence à jouer :



Je n’ose pas réagir de peur de perdre ma récompense si durement acquise… Après une bonne douche, le fameux Marc finit par réapparaître pour faire une bise à Sandra et s’éclipser. Sandra ouvre alors le placard, éteint le boîtier et me détache.



FIN