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n° 14116Fiche technique13230 caractères13230
Temps de lecture estimé : 9 mn
21/10/10
Résumé:  Deux jeunes gens se retrouvent pour une balade et terminent dans une clairière.
Critères:  fh jeunes forêt amour -nature
Auteur : Shiva__      Envoi mini-message
La clairière

Nous marchons sur le bas-côté de la route communale, avant de nous engager dans un chemin, entre champs et pâtures, pour rejoindre ce petit bois dont il m’a parlé. L’ambiance est candide, nous donnons le change, comme si nous refoulions l’idée que quelque chose va se passer. Nous nous amusons de choses et d’autres, d’un rien, nous provoquons sur le même ton que plus tôt dans la matinée. Nous arrivons à un fossé, il l’enjambe, avant de prendre ma main pour m’aider à le rejoindre. Nous sommes pleins de retenue et avons évité tout attouchement physique depuis le début. C’est la première fois que nous nous retrouvons si proches, l’un contre l’autre. Je suis troublée. Je me sens rougir, un bourdonnement s’installe dans ma tête. Il a remarqué que j’avais changé d’attitude et me demande si tout va bien. Je lui réponds que oui.




Je n’ai pas dû me montrer convaincante, car il a posé sa main dans le bas de mon dos pour me rapprocher de lui. C’est l’initiative que j’espérais. Mon buste collé contre le sien, je me sens fébrile et toute molle. Il est si imposant, mais à la fois si attentionné, et il se veut rassurant. Il me regarde dans les yeux pour me dire : « J’adore ta bouche qui dessine un cœur presque parfait et tes lèvres pulpeuses. J’ai eu tant de mal à me retenir de les embrasser. » Tout en caressant mes lèvres avec son index.




Je fonds. Alors il approche ses lèvres des miennes, pour y déposer un tendre baiser. Je passe ma main dans sa nuque pour qu’il s’attarde un peu plus, qu’il presse ses lèvres contre les miennes. Je lui dépose à mon tour de doux baisers, puis avec ma langue, je lui lèche les lèvres. Nous échangeons un baiser langoureux, et je sens les premiers fourmillements de plaisir dans mon bas ventre, significatifs de l’ouverture des « vannes du plaisir ». Nous humectons nos lèvres de nos salives, sous l’effet de nos baisers de plus en plus impatients. Il se laisse alors un peu plus tomber de tout son poids sur moi, je me sens presque prisonnière.





Je suis sensible à l’environnement. Même le crépissement des feuilles sous nos pieds m’excite. Je me laisse conduire, me remettant à sa connaissance parfaite des lieux. Nous arrivons à une clairière.




Il me plaque contre un arbre, pour reprendre où nous nous étions interrompus au bord du fossé. Il se colle contre moi. Sa respiration est forte. Je sens son souffle dans mon cou, tandis qu’il m’embrasse les joues, le cou, les épaules. J’ai l’impression qu’il va me dévorer et ça m’excite encore plus. Puis il dépose ses lèvres sur mes seins. Il les serre et les presse avec ses mains. À sorti sa langue pour les lécher, la faire tourner autour de mes tétons avant de les sucer et les aspirer. C’est si bonnnnn.




Il descend une main sur mon ventre. Elle est si chaude… La passe sous mon T-shirt, pour me caresser. Je me sens de plus en plus humide. Comme s’il lisait dans mes pensées, il risque sa main sous mon pantalon. D’abord par-dessus la dentelle de mon string, exerçant des pressions sur mon clitoris, du bout de ses doigts, qui descendent sonder mon degré d’excitation.




Constatant que j’apprécie la chose, il dégage mon string pour y passer deux doigts qui viennent se frotter et glisser sur mes lèvres humides, avant d’en faire pénétrer les premières phalanges dans mon couloir des plaisirs. Sa paume est restée appuyée sur mon clitoris, tandis qu’il les fait tourner légèrement, avant qu’ils entrent et sortent doucement, mais fermement. Je suis aux anges, mais j’en veux plus… je pince ma lèvre inférieure, l’encourageant à poursuivre son manège par des caresses de mes mains sur son crâne et le long de son dos, sous son T-shirt, mes doigts qui s’ancrent dans sa chair. Je laisse échapper des gémissements de plaisir, tout juste perceptibles. J’ai avancé mon bassin pour lui présenter. J’aurai voulu qu’il les fasse pénétrer entièrement, en les repliant contre mes parois, comme pour explorer mon antre.




Je glisse une de mes mains entre nos deux corps pour m’emparer de son sexe, et pose ma main sur les tissus de ses vêtements. Je mesure son excitation, en palpant cette excroissance si gonflée. Je commence alors à défaire les boutons de son jean. J’apprécie de le sentir surpris de me découvrir entreprenante (enfin). Son jean ouvert, je glisse ma main dans son boxer et commence à le masturber, avant de glisser ses vêtements jusqu’au bas de ses fesses si fermes. Son sexe se déploie alors complètement. J’ai envie de le sentir en moi. De le goûter. Il est dressé, tendu, prêt à subir les assauts de ma bouche impatiente.




Alors qu’il exerce des pressions, à force de légers mouvements de va-et-vient du bassin, je sens sa verge se déposer contre mon pubis et mon bas-ventre par pressions plus ou moins intenses. Je me dégage quelque peu, de façon à me trouver libre, face à lui. Je lui prends le visage avec mes deux mains, pour l’embrasser. Puis, j’empoigne la ceinture de son jean. Il m’observe, mon visage disparaît, alors que je m’accroupis pour descendre son jean et son boxer à ses chevilles. Il lève ses pieds, pour se défaire complètement de ses vêtements. Mon visage se trouve face à cette belle queue offerte.




Je m’agenouille, approche mes lèvres de son gland, alors que mes mains enserrent déjà son chibre ; l’une massant au passage ses grosses bourses. Ma main est à peine assez grande pour se refermer complètement sur sa verge gonflée. Mes lèvres se posent sur son gland, je l’embrasse. Il perle. Je presse mes lèvres et les fais glisser sur toute la surface de son gland, lentement, sortant parfois le bout de ma langue pour le goûter, le lécher. Je me délecte de cet engin aux allures puissantes. J’ouvre ma bouche, et le dirige avec ma main pour qu’il vienne s’y loger. Je commence à le sucer. Je sors totalement ma langue qui parcourt sa verge sur toute sa longueur, pour l’humidifier entièrement avant de la « gober », et la faire aller et venir dans ma bouche. Il a posé sa main sur ma tête, basculé sa tête en arrière devenue lourde de plaisir. Il la redresse parfois pour me regarder faire et ma dextérité l’encourage à accompagner mes va-et-vient avec des mouvements de bassin.



À son tour d’être aux anges…


Une de mes mains maintient ses fesses. Le bord de mes lèvres glisse sur son sexe par mouvements saccadés, tantôt lents, tantôt plus rapides. Lorsqu’il est en moi, je tente de le caresser avec ma langue, de la tourner autour de sa verge. J’essaye de le loger entièrement, quitte à aller jusqu’à ma gorge pour l’avaler. Son phallus est si gros, qu’une fois qu’il tape dans le fond de ma gorge, je suis au bord de la régurgitation. Je le ressors donc doucement pour lui sucer seulement le bout du gland, le lécher et l’aspirer. Il manifeste un empressement automatique à me rentrer de nouveau celui-ci tout au fond. Il appuie avec insistance sur ma tête, positionnant son bassin plus en avant.



Je me sens forcée, soumise, et perds le contrôle de la situation que je comptais maîtriser au départ. Il aime tellement ma façon de sucer, qu’il veut me baiser la bouche. Je suis encore plus excitée et introduis sa verge toute entière, d’un seul coup. J’étouffe sur le moment. Il me maintient la tête fermement, puis sort presque complètement avant de me la remettre brusquement. La sensation de régurgitation se fait plus forte, il recommence encore une fois, puis encore et encore…. Mes mains s’agrippent à ses fesses.



J’éprouve beaucoup de plaisir à le sentir s’agiter en moi de la sorte. Il arrive à la limite de l’éjaculation. Il se retire d’un coup. Passe sa main sous mon menton pour me relever la tête et soutenir un court instant mon regard interrogateur et rempli de désir. Désir réciproque, désir de jouir, de le sentir jouir en moi. Il me relève doucement par les épaules. Sa main est toujours posée sur ma joue, a rejoint mon clitoris pour le titiller de nouveau, et glisser rapidement son index et son majeur entre mes lèvres. Il glisse avec une facilité sans nom, jusqu’au fond de ma grotte. Il resserre ses doigts logés et son pouce posé sur mon clitoris, fermement. C’est une douleur à la fois vive et subtile. Un courant électrique remonte alors rapidement le long de ma colonne vertébrale, jusque dans mes tempes, je laisse échapper un cri de surprise mêlé au plaisir. Il entre et sort ses doigts tout entiers, lentement, avant d’accélérer.



Puis, il me retourne contre l’arbre. Prend mes mains, l’une après l’autre, pour les poser sur l’écorce. Il se colle à moi, frotte son sexe contre mes fesses. Ses mains se sont posées sur mes seins et il les malmène, les pince et tire mes tétons qu’il fait rouler entre son pouce et son index. Ma tête est lourde, remplie de plaisir. Un plaisir que j’exprime par des gémissements, une respiration haletante. Je pince mes lèvres. Les courts moments où je retrouve un brin mes esprits, je lui demande :



À ces trois derniers mots, je me surprends moi-même. Me demandant, si c’est bien moi qui viens de le supplier de la sorte.


Il me prend par les hanches et présente mes fesses à son sexe, il me maintient fermement d’une main, tandis qu’il se masturbe de l’autre. Moi, je suis cambrée, impatiente. Après avoir envoyé ses doigts en éclaireurs, il pénètre mon couloir des plaisirs par derrière, brusque et virulent. Je pousse un cri de surprise, mêlé de plaisir. Son sexe n’a aucun mal à s’introduire.

Tandis qu’il exerce ses va-et-vient, il a une main sur ma fesse et le pouce qui commence à masser mon orifice étoilé, encore sec et complètement resserré.

Je n’ai pas l’habitude d’être visitée de cette manière. Sentir le bout de son pouce insister par à-coups pour immiscer à l’intérieur de ma grotte me procure de nouvelles sensations. Je sens pleins de pétillements dans ma tête, mes poils se hérissent.


Il mouille mon anus avec sa salive. Je sens alors mon sphincter se dilater sous les pressions répétées et son pouce entrer peu à peu. Ça y est, il est entré ! Je frémis et gémis profondément. Il ressort son pouce, puis réitère son petit manège avec l’index et le majeur côte à côte. Cette fois, il lime les parois de ma grotte qu’il a humidifiée et le long desquelles ses doigts glissent sans difficulté. Il tourne ses doigts à l’intérieur et distend mon muscle pour le préparer à accueillir sa verge si puissante.




Il vient alors me pénétrer délicatement. Exerçant d’abord de légers va-et-vient avec le bout de son gland, à chaque fois qu’il revient en moi, il gagne quelques centimètres. Très vite, progressivement, son sexe me gagne complètement. Mes mains agrippées au tronc de l’arbre, je ne cesse de gémir bruyamment, l’encourageant ainsi à entreprendre des mouvements du bassin de plus en plus accélérés et précipités. Il est très excité. Sa respiration est soutenue. Il gémit lui aussi. Le torse bombé, épaules en arrière, le bassin tendu vers l’avant, ses mains me maintenant fermement par les hanches, je suis cambrée au maximum, et mes doigts se resserrent sur l’écorce.




Il me donne de violents coups de boutoir et d’une main me masturbe. Je suis au bord de l’explosion, je n’imaginais pas éprouver autant de plaisir à le sentir s’ébrouer en moi par ce tout petit trou, encore jamais visité. Une sensation étrange, qui remonte le long des muscles de mon corps, comme un courant électrique. Mes ongles creusent l’écorce, je pince mes lèvres, à croire qu’elles vont se déchirer. Nous sommes tous les deux de plus en plus tendus, nos muscles se crispant. Nos corps soudés tels le lion sur sa lionne. Il me malmène, je commence à trembler, puis tout mon corps est envahi et hors de tout contrôle. Je hurle de plaisir, comme jamais, des cris aigus, qui se perdent dans la clairière. Il se retire, et déverse sa semence dans le creux de mes reins, et sur mes fesses, inondant mon corps.




La pression retombe peu à peu. Nos corps se détendent. Je me redresse, alors qu’il m’enlace et me serre contre lui, en me caressant. Il m’embrasse le visage et dans le cou. Je me retourne face à lui et repose ma tête dans le creux de son épaule. L’instant de reprendre nos esprit, de partager un tendre moment, avant de nous rhabiller et de rentrer au centre encore groggys.