Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14119Fiche technique31341 caractères31341
Temps de lecture estimé : 19 mn
22/10/10
Résumé:  Week-end de retrouvailles à deux qui nous amène, ma femme et moi, vers des chemins jusque-là inconnus mais tellement intéressants...
Critères:  2couples couple couplus extraoffre hotel amour voir miroir fmast facial fellation cunnilingu préservati pénétratio fsodo -entrecoup
Auteur : Drikc78  (Amoureux de sa femme prêt à tout (ou presque) par amour)      Envoi mini-message
Week-end de retrouvailles

C’est un soir d’été où il fait chaud, mais avec un peu d’air. Ce qui nous permet de respirer et de profiter de ce moment à deux que nous nous sommes organisés : les enfants sont chez Papi et Mamie…


Pour apprécier pleinement de ces instants, nous sommes partis en week-end à la mer, du côté des Sables-d’Olonne : pas trop cher, ni trop loin… Pas de voiture, mais le train : handicapant sur place ? à croire que non, puisque tous les services sont inclus sur place… Et puis, il y a (au pire) le taxi !


Ma femme et moi avions besoin de nous retrouver sans nos deux garçons, et d’enfin « jouir » de moments à deux dont nous ne bénéficiions plus trop depuis la naissance du cadet.


Sandrine a 34 ans. Malgré ses deux grossesses, elle reste une femme très belle, fine et aux seins fermes et généreux. J’aime être avec elle… Et par-dessus tout, j’aime quand nous nous retrouvons à deux, car les rares fois où nous parvenons à nous organiser ces petits moments, nous sommes beaucoup plus libérés, et elle retrouve une libido à la hauteur de notre amour…


L’hôtel que j’avais réservé lui permet d’accéder gratuitement à divers services de relaxation dont les massages, soins du visage, etc. C’est donc pour tout l’après-midi que je la laisse entre les mains expertes du personnel qui la papouillent, la caressent et donc la massent. De mon côté, je profite des courts de tennis, ose aller à la rencontre d’autres personnes, et finis par effectuer quelques échanges de balles avec un homme d’environ 35-40 ans.


Il est à peu près 18 h, quand j’achève mon activité. Je rentre dans la chambre pour prendre une douche, et je la vois avec un large sourire, allongée sur le lit : elle est rayonnante !

Elle a bénéficié d’un massage californien d’une heure, de soins capillaires d’une demi-heure, plus divers petits soins qui, au final, l’ont occupée près de deux heures. Je la sens tellement relaxée qu’elle me semble totalement dénuée d’énergie. Je l’embrasse, mais me dis que son état n’annonce pas une soirée très active (encore une fois) !

Elle prend quand même le soin de me raconter et de montrer le petit « plus » qu’elle a choisi : une épilation de son entrejambe.

Je pars donc prendre ma douche, ce n’était peut-être qu’une impression…


À mon retour, elle me regarde avec ce même sourire, mais avec plus de lueur dans les yeux. Je viens à sa rencontre pour l’embrasser mais comme je suis nu, elle joue à la vraie petite coquine et me touche le sexe avant de le mettre dans sa bouche.


Je la regarde faire, J’adore ça ! J’ai en plus le privilège d’observer cette succulente fellation dans l’énorme miroir qui se trouve à côté du lit. Ce spectacle me ramène à mes récurrentes pensées bizarres de l’imaginer avec un tiers partenaire. Je lui en fais part et l’invite à se regarder dans la glace en pleine action. Il faut croire qu’elle aime se voir car elle y met plus de vice, ce qui n’est pas pour me déplaire… Je mets fin malgré tout à ce délice de caresse car je ne veux pas jouir tout de suite. Elle n’est cependant pas du même avis et insiste, en m’invitant à regarder dans la glace, en me demandant de m’imaginer que c’est le reflet de quelqu’un d’autre avec elle. Il ne m’en faudra pas plus pour éjaculer dans sa bouche : le bonheur !


Il ne me reste plus qu’à reprendre une douche pendant qu’elle se rince la bouche…


Il est maintenant 20 h quand, lavés, habillés, nous partons main dans la main au restaurant de l’hôtel.

Nous arrivons à l’entrée de celui-ci quand un membre du personnel nous informe qu’aucune table n’est disponible pour le moment et nous invite à attendre dans le salon, afin de prendre un apéritif, et de revenir vers 20 h 45.


Nous nous asseyons à une table et commandons un verre de rosé et un kir. Nous discutons comme un couple de jeunes amoureux. Je la trouve très en beauté dans cette petite robe légère, et il me tarde de l’enlever afin de profiter du contenu… Mes pensées sont cependant interrompues par la voix d’un homme qui nous accoste : c’est la personne avec qui j’ai joué au tennis cet après-midi.

Il souhaite savoir si l’un d’entre nous a du feu. Répondant par la négative, je pense que l’échange s’arrêtera là, mais il demande si nous permettons qu’il se joigne à nous.

Pourquoi pas, remarque… Nous aurons tout le dîner pour profiter de notre tête-à-tête, et puis j’avais trouvé ce gars très sympa lors de notre petite partie de tennis.


Nous faisons les présentations : il s’appelle Stéphane, il a 36 ans et est venu avec son épouse (qui est au téléphone avec sa mère qui garde leur fils). Il est plutôt beau mec : cheveux courts bruns, les yeux verts, plutôt grand et élancé, et à priori pas mal d’humour.

Nous nous présentons et je m’aperçois que Sandrine reste en retrait comme quand quelque chose la trouble…

Nous parlons de tout et de rien pendant ce bref moment, mais je trouve que le courant passe bien et je rigole en sa compagnie.


C’est au moment de passer à table que sa femme nous rejoint alors que nous allions nous séparer.

Stéphane, tout en nous présentant sa femme, nous propose de manger tous les quatre.

Toujours un peu à l’écart, je sens ma femme contrariée… Je l’embrasse dans le cou, et lui chuchote à l’oreille que je suis certain que nous allons passer une super soirée.

Je suis alors rassuré quand j’entends Sandrine accepter l’invitation. Je ne manque pas de lui faire un nouveau bisou et de lui prendre la main. Nous marchons vers la table de quatre que le garçon nous attribue.

À table, Stéphane et moi reprenons notre conversation et rions alors que Sandrine fait connaissance avec Laure.


Une jeune et jolie femme de 32 ans, maman d’un petit garçon de 3 ans, elle est brune également, les yeux bleus. De taille moyenne, elle a une belle poitrine et sa silhouette ne trahit ni son âge, ni sa maternité…


Nous prenons du vin, mangeons avec appétit. C’est un dîner vraiment très agréable et nous rions beaucoup.

Si elles ont beaucoup parlé des enfants et nous de sport, la conversation devient plus « collective » et le vin aidant, Stéphane nous fait profiter de ses talents de comique pour nous raconter quelques blagues grivoises auxquelles nous ne manquons pas de rire.

Alors que le dessert arrive, et que la discussion a repris du sérieux, nous parlons de la grossesse et de l’accouchement de Laure, qui ont eu quelques incidences sur leur vie de couple. En fait, Stéphane a trompé Laure qui, quant à elle, a eu beaucoup de mal à s’en remettre. Nous étions assez mal à l’aise de rentrer dans un sujet de conversation comme celui-ci, mais restions à leur écoute. L’un après l’autre, ils ont expliqué leur point de vue, et Laure a fini par nous avouer que bien que la situation soit redevenue normale, leur sexualité était devenue quelque peu différente…


Je pense que le vin a encore une fois fait des siennes, car l’intimité des propos que nous tenait Laure était presque gênante mais quelque part excitante… Laure rêvait de faire l’amour avec Stéphane et un autre homme !

Interloqué, je regarde Stéphane, qui me sourit, gêné, et puis je regarde Sandrine… Elle n’a pas la même réaction que moi : elle est complètement à l’écoute de Laure.

Et là, sa réaction me sidère. Je ne l’avais pourtant pas vu boire plus que de raison, mais elle répond à Laure :



Sortir des propos comme ça devant deux personnes que nous connaissons depuis deux heures… D’ailleurs tout le monde est un peu gêné. La réalité et la teneur des propos que Laure et Sandrine ont tenus, ont pris tout leur sens et personne ne sait plus quoi dire… Sauf Stéphane, qui ressort encore une vieille vanne qui sort tout le monde de l’embarras.


Nous mangeons notre dessert et finissons tranquillement le café qui nous avait été servi, avant de sortir de table.



Il est minuit mais le café, l’alcool et le fait d’être seuls sans les enfants nous poussent à accepter sans nous concerter.


Nous prenons le chemin du salon, commandons un digestif léger et recommençons à bavarder. La discussion reprend inévitablement sur ce sujet si particulier. Laure et Sandrine échangent sur ce qu’elles aimeraient vivre lors d’un moment tel que celui-ci. Sandrine me surprend encore… Elle, qui se livre comme ça, c’est impossible !


Elle vient à côté de moi et me regarde comme tout à l’heure dans la chambre. Elle me glisse à l’oreille :



Je ne comprends pas ce qu’elle veut dire… Il faut qu’on les quitte tout de suite pour aller baiser dans notre chambre ? Ou bien… Je n’ose pas imaginer cette solution, je ne suis pas préparé. En fait, je crois que ma psychologie actuelle m’amène à me faire trop d’idées. Il est près d’une heure du matin quand nous nous quittons pour rejoindre nos chambres respectives. Il n’y aura donc pas de « dérapages » de notre vie sexuelle…


Alors que je suis en train de fermer la porte de la chambre, elle me saute dessus et me « supplie » de la baiser. C’est vrai, finalement, que mes troubles engendrés par leurs propos, à Laure et elle, sont paradoxaux : je me sens à la fois suspicieux et excité. Comment a-t-elle pu se comporter comme ça avec des gens qu’elle ne connaît pas ? Ce n’est pas elle… Et pourtant, je bande comme un fou à nous imaginer passer le pas.


C’est ce sentiment qui prédomine alors qu’elle vient de s’agenouiller pour baisser mon short et commencer sa deuxième pipe de la journée. Ses mouvements sont très prononcés et dictés incontestablement par ses pulsions.

Elle m’avale littéralement. Je lui caresse les cheveux et regarde à nouveau vers le miroir. C’est encore une explosion d’idées qui me passe par la tête.

Je suis à mon tour dans cette dynamique où le sexe va dicter nos envies et nos actes : plus aucune retenue ne viendra obstruer ce moment. J’en suis sûr !

J’oserai donc tout ce qui me passera par la tête sans me dire « Que pensera-t-elle ? ».


Je l’allonge sur le lit, enlève sa robe, baisse sa culotte et accède directement à son intimité complètement trempée.

Je la lèche à mon tour sans aucune douceur : je la bouffe ! J’insère déjà deux doigts en elle, qui remue son bassin pour qu’ils s’enfoncent profondément. J’en ajoute un troisième puis un quatrième : aucune difficulté…

Je suis comme un fou, c’est un régal visuel !


Je rapproche à nouveau ma queue de sa bouche, qu’elle gobe avec une véritable frénésie. Sa chatte est remplie de mes doigts, sa bouche de ma queue et je suce son clitoris… Nos corps gesticulent solidairement aux mouvements de l’un et de l’autre.


J’ai envie d’elle ! J’ai envie de la baiser ! J’ai envie de l’enculer ! J’ai envie de la pousser dans ses derniers retranchements. Je m’allonge sur le dos et la supplie de s’occuper de moi. Elle ne se fait pas prier. Ses mouvements de bassin sont très forts, et je me tiens à ses fesses pour la maintenir sur moi.


Mon vice me pousse à glisser mes doigts vers son anus. Il est trempé de mouille. Je pénètre donc un doigt qui rentre tout seul : elle ne me dit rien… J’ose donc un deuxième : elle ne me dit toujours rien…

La seule réaction qui vaudra réponse sera son énorme et chaud bisou. C’est décidé ! Elle a l’air d’aimer ça, alors je vais l’enculer, et je ne lui demanderai pas son autorisation. Je me positionne face à la glace. Elle est dos à moi, et donc également spectatrice du reflet. Je commence ma pénétration anale. Nous voyons ce qui se passe, et je suis incapable d’y rester insensible, elle non plus apparemment. Je suis entièrement dans son cul, et nous voyons tout. Elle bouge à nouveau son bassin : je suis déjà au bord de jouir et je suis malheureusement obligé d’arrêter.


Je ne peux plus assumer physiquement mon désir, et je finis par lui dire :



Je finis par remettre deux doigts dans sa chatte et la lèche afin de l’amener au plaisir final.

Il ne faut pas longtemps… Elle jouit très fort.

L’extrême excitation est retombée… Elle reste étendue quelques secondes et elle m’invite à la pénétrer pour jouir à mon tour. C’est très court également mais intense.

Il est deux heures du matin, nous nous endormons enlacés…


Il est 5 heures, lorsqu’elle me réveille. Elle a visiblement du mal à dormir et ne cesse de tourner dans le lit. J’essaye de me rendormir, mais quelque chose la perturbe et elle m’en empêche.



C’est l’air penaud qu’elle finit par m’avouer qu’elle a fait un rêve après s’être endormie et qu’elle est perturbée. En fait, elle nous revoyait faire l’amour dans les mêmes circonstances que la veille. Alors que je mentionnais le fait de regretter l’absence de Tonio durant l’acte, elle m’avoue avoir songé que nous étions pourtant trois… Stéphane était là, et pendant que je la prenais en levrette, elle le suçait.

Elle ressemble à une petite fille qui a fait une bêtise. Elle ne m’a pourtant pas trompé !

Quant à moi, je suis dérangé de la voir comme ça, je n’aime pas la sentir malheureuse alors que rien ne justifie qu’elle le soit. Mais paradoxalement, la situation est malgré tout stimulante, et je ne tarde pas à avoir une érection.


Elle est encore une fois au centre de mes envies, de mes désirs, et je dédramatise le contexte en lui touchant le sexe et lui disant qu’elle est une vraie coquine… Elle se retourne, m’embrasse, me dit « Je t’aime » et se serre contre moi. Nous nous rendormons.


Le lendemain matin, nous nous réveillons quelque peu troublés, et pourtant je suis certain que nous allons passer une très bonne journée…

Toilette, on s’habille, et nous voilà partis prendre le petit-déjeuner. Arrivés dans la salle de restaurant, nous retombons nez à nez avec Stéphane et Laure qui quittaient la salle. Je regarde Sandrine exprès afin de le taquiner, et elle me sourit…



Pour seule réponse de sa part, Sandrine se met à rougir… Stéphane et Laure pouffent en imaginant que notre nuit a dû être plutôt chaude. Je leur fais comprendre du regard qu’ils n’ont pas tort, et Stéphane me fait un clin d’œil.

Stéphane me propose alors de refaire un tennis après notre petit-déjeuner. Je demande son accord à Sandrine, qui me le donne, et lui propose de rester avec Laure si elle n’a rien d’autre de programmé. N’étant pas le cas, nous nous accordons pour 10 h 30.


10 h 30 : je rejoins Stéphane et laisse Sandrine en compagnie de Laure.

Mon acolyte n’a pas le même sourire que d’habitude, on croirait qu’il a quelque chose à m’avouer… Nous commençons malgré tout notre petite partie, qu’il stoppe rapidement en m’avouant avoir quelque chose qui le turlupine… Il est très hésitant, mais arrive enfin à se lancer : il nous remercie tout d’abord pour cette super soirée de la veille et me félicite d’avoir une aussi charmante épouse. Cette nuit, alors que Laure et lui étaient rentrés dans leur chambre, celle-ci s’est véritablement jetée sur lui en lui faisant passer un moment de sexe incroyable. Quoi de plus bizarre que de passer un moment tel que celui-ci alors que vous êtes un couple amoureux ? Rien justement… Sauf que Laure lui a suggéré, histoire de corser un peu l’instant, qu’elle aurait beaucoup aimé que je sois là… Stéphane est en train de m’expliquer qu’à quelques mètres de nous, ils ont passé un moment identique au nôtre sans que nous n’ayons pu l’imaginer. Je n’ai pu m’empêcher d’admettre que cette situation plutôt cocasse était très curieusement réciproque…

Stéphane me regarde interloqué :



Je fini par lui dire que j’étais dans tous mes états et très excité… Tout comme lui au même moment.


Stéphane me propose alors l’impensable : mettre nos épouses devant le fait accompli et organiser un moment coquin. Je n’en crois pas mes oreilles et suis abasourdi. Je n’imagine pas un seul instant la mienne répondre favorablement à cette proposition.

En y repensant, nous les avons trouvés super sympas, Sandrine trouve Stéphane à son goût et Laure n’est pas vilaine non plus… Ce sont ces arguments qui me restent en tête, et je finis par admettre l’inimaginable : je veux le faire ! Stéphane me propose alors de les rejoindre dans leur chambre, en début de soirée, au prétexte d’un apéro plus tranquille.


Il n’aura pas fallu beaucoup insister pour faire accepter le principe d’un apéro « tranquillou » à Sandrine, qui n’est évidemment pas au courant de nos arrière-pensées. Il est 19 h, lorsque je frappe à la porte de la chambre 207 : c’est Laure qui nous ouvre.

Stéphane est quant à lui dans leur petit salon. Il est en train de préparer quatre verres et de quoi grignoter.

Il fait la bise à Sandrine et me fait un discret clin d’œil. Je lui souris. Nous nous asseyons dans le petit canapé et Stéphane sert à tous du rosé. Nous discutons de tout et de rien et puis nous sommes un peu repartis sur les sujets coquins de la veille. Je sens que Stéphane n’arrive pas à trouver l’occasion de mettre le sujet sur le tapis. Je le précède donc en rappelant à tous que si ma femme avait rougi ce matin au petit-déjeuner, c’est qu’il y avait une bonne raison, et qu’elle était dans la chambre. Sandrine m’assassine du regard !

Stéphane demande de manière faussement innocente :



Et je continue en lui disant qu’elle avait rêvé plus tard dans la nuit, qu’il était là et qu’elle le suçait pendant que je la prenais. Sandrine restait bouche bée, alors que Laure était bouleversée à l’idée que leur soirée intime avait été la même. Le dossier était lourd, peut-être un peu trop, et nous décidons, histoire de nous remettre les idées en place, d’aller manger.


À table, l’ambiance est plutôt bonne, Stéphane rigole, blague et ne cesse de faire des sous-entendus. Personne ne réagit vraiment, mais on sent que finalement, personne n’arrive à entrevoir un aspect concret de cette situation. La seule chose est que tout le monde boit un peu plus que la veille.

Arrive le dessert, et chacun se régale, quand Stéphane propose de prendre le digestif dans leur chambre. Tout le monde sait que si nous acceptons, ce ne sera pas que pour ça. Laure, qui ne s’est pas réellement exprimée, en rajoute en argumentant que ce serait super sympa avant que tout le monde ne reparte. Voyant que Laure n’y est pas opposée, Sandrine finit par admettre qu’elle a très envie que nous ne nous quittions pas comme ça…


Il est 22 h 50, la porte de la chambre 207 s’ouvre à nouveau, Stéphane allume la lumière, l’atmosphère est lourde, et nous prenons place dans le canapé laissé vacant quelques moments plus tôt. Stéphane sort un petit digestif local, acheté en guise de souvenir.

Je sens que les oreilles me chauffent, car j’ai effectivement pas mal bu à table et mes idées sont troubles. Je regarde Sandrine et lui glisse à l’oreille que si elle m’aimait, elle serait assez coquine pour faire quelque chose d’excitant devant tout le monde. Je pense qu’elle n’est pas non plus dans son état normal, parce qu’elle rigole, mais ne fait rien. Ces idées sont assez saugrenues, je l’accorde, mais étant en short, je n’arrive pas à cacher mon érection.

Stéphane le lui fait remarquer. Pour seule réaction, Sandrine m’embrasse, met sa main dans mon short et me touche…


Quelle sensation ! Elle m’embrasse goulûment comme la veille. Stéphane finit par aller au bout de ses pensées et lui demande de me sucer. Elle n’hésite pas très longtemps… J’ai droit à une divine pipe devant deux spectateurs.

La situation nous échappe et nous venons de dépasser le point de non retour. Pourtant, dans l’excitation, rien ne me fait plus plaisir. Stéphane devient même plutôt entreprenant, il s’assied à côté de ma femme et lui touche le dos, descend même sur ses cuisses et les lui effleure.

Laure n’est quant à elle que spectatrice. Elle est hypnotisée par la scène et reste à distance. Stéphane continue ses caresses, et ma femme se repositionne mieux entre nous deux pour mieux les recevoir. Stéphane a tout le loisir d’accéder à son entrecuisse, plus que largement ouvert, et découvre son sexe à travers la culotte. Je n’en peux déjà plus et demande à Sandrine d’arrêter, et je lui glisse à l’oreille qu’elle peut peut-être s’occuper de notre hôte… Elle me fixe comme si elle voulait confirmation de ce que j’avais dit !



Ma femme déboutonne et baisse le pantalon de Stéphane. Ce coquin n’avait pas de sous-vêtement, et c’est une belle bite qui se trouve à quelques centimètres du visage de Sandrine : hasard ou coïncidence ? De ce que je peux voir, le sexe de Stéphane ressemble à Tonio. Sandrine est assez hésitante, mais elle finit par toucher ce membre pour la première fois. Elle le branle, le caresse, le regarde et finit par le goûter du bout de la langue. À croire que l’examen est passé avec réussite puisque, dans la seconde qui suit, elle le prend dans sa bouche et entame une pipe au moins aussi gourmande que celle qu’elle m’offrait quelques instants auparavant.

Pendant qu’elle suce Stéphane, j’entreprends de baisser sa culotte. Elle est maintenant les fesses et le sexe nus. Je regarde Laure qui, assise sur le lit, profite du spectacle et se touche. Je l’entends même respirer assez fortement.

Je suis accroupi devant ma femme et commence un cunnilingus. Elle mouille abondamment, mais je ne vois pas comment la situation pourrait justifier du contraire.


Plus les secondes passent, plus je sens l’excitation collective monter. Sandrine est une vraie furie qui a soif de sexe… C’est vraiment la toute première fois que je la vois comme ça. Elle malaxe les boules de Stéphane et je vois sa bouche monter et descendre le long de cette tige de chair qu’elle a l’air d’apprécier au plus haut point… Mais Sandrine cesse assez rapidement, en demandant à Stéphane qu’il la lèche. Elle écarte les jambes en posant ses pieds sur le canapé, de chaque côté de la tête de son amant, et elle se saisit de ses cheveux pour pousser son visage sur son sexe. Il la bouffe, et je le vois insérer un doigt, puis deux. Laure en a fait de même de son côté, elle se doigte la chatte et se caresse sans retenue. Je suis spectateur de ces deux scènes. C’est incroyablement jouissif. Je regarde ma femme, et aime à la voir prendre du plaisir, et j’aime regarder Laure dans cet acte si intime que la masturbation. Pourtant, je n’ose rien à son égard : il n’a jamais été évoqué le fait que je puisse aller au-devant d’une autre fille lors de nos chaudes conversations…


J’ai maintenant envie de voir mon amour se faire prendre et le lui évoque à l’oreille. Elle m’attrape par le cou et me tire vers son visage pour m’embrasser avec ferveur… Elle est dans la même dynamique que moi : elle en a très envie.


Stéphane, qui ne parle pas depuis que tout a vraiment commencé, demande à Laure de le sucer. Laure nous rejoint et se mêle enfin à nous. Elle suce Stéphane avec beaucoup d’envie également. Nous nous positionnons en face d’eux. Sandrine est en levrette, et j’essaie tant bien que mal de coulisser dans son intimité sans jouir. Elle est toute excitée de voir la bouche de Laure aller et venir sur la bite de Stéphane. Elle se rapproche d’eux pour voir de plus près, et finit par avoir l’aval de Laure pour la remplacer, alors que je continue mon va-et-vient… Sandrine est donc entre moi et Stéphane, avec deux bites pour elle !

Je n’en peux plus et je me retire. Je demande à Laure s’ils ont des capotes. Elle sort une boîte et je lui demande d’en mettre une à son homme. Stéphane est maintenant équipé pour prendre mon cœur. Quant au mien (au sens biologique du terme), il bat la chamade. Je vais enfin assister au spectacle que j’aime tant voir dans notre lit quand Tonio l’honore : sa petite chatte prise par un autre sexe que le mien…


Sandrine n’est pas très hésitante et se retrouve sur Stéphane mais dos à lui… Je sais ce qu’elle veut : que je la lèche pendant que Stéphane la prend. Soit, j’ai envie aussi…

La pénétration se fait lentement et délicatement. Stéphane est maintenant suffisamment entré en elle pour commencer ses va-et-vient. Je suis à quelques centimètres de la scène : c’est fabuleux !

J’entends Sandrine gémir, je vois ses seins bouger au rythme de la pénétration. Je vais entamer mon cunnilingus, alors qu’elle est déjà remplie… Au moment où je me baisse, je vois Laure qui se positionne derrière Sandrine, le sexe sur la bouche de Stéphane. Et le plus incroyable, c’est qu’elle se sert des seins de ma femme pour prendre appui. Sandrine ne réagit pas, mais en soi, qu’est-ce qui, dans un moment comme celui-ci, pourrait poser problème ? Cette nouvelle vision tant fantasmée me pousse à aller sans retenue vers son sexe et le sucer avec une gourmandise excessive.

Comme dans notre chambre, une glace nous permet de visualiser trois scènes simultanées :

1 - Stéphane prend ma femme et lèche la sienne.

2 - Laure tripote les seins de Sandrine.

3 - Je lèche ma femme…


Il y a 48 heures, nous partions en week-end en amoureux pour nous retrouver, et nous voilà à baiser avec un autre couple.


N’y tenant plus, je cesse de sucer Sandrine, me lève face à elle et lui présente ma queue. Le regard absent, elle comprend malgré tout ce que je veux. Elle me suce à nouveau, il me faut très peu de temps pour sentir que je viens et je le lui dis. C’est incroyable, mais ma chérie prend la main de Laure et la pose sur mon sexe afin qu’elle me branle. C’est après juste deux ou trois allers-retours que j’asperge le visage de ma douce et son cou de ma semence. C’est donc moi qui en ai fini le premier, et qui vais donc jouer les voyeurs…


Sandrine est souillée, et toujours entre la bite de Stéphane et les mains de Laure, quand Stéphane nous informe qu’il va venir. Ma femme se retire aussitôt : elle a la délicatesse de laisser Laure se faire prendre par son mari pour qu’il jouisse. Sandrine lui retire sa capote. Laure se met en levrette et Stéphane se présente à elle quand Sandrine se saisit de sa bite pour l’introduire elle-même en Laure.

Les voilà tous les deux en amoureux. Moi j’ai joui, et Sandrine se retrouve sans partenaire…


Je regarde ma femme, elle me regarde ! Je pense qu’au vu de la situation, et de son état, elle a encore envie de me faire plaisir par son plaisir, et donc de me surprendre encore…

Elle chuchote quelque chose à l’oreille de Laure qui lui sourit tout en fermant les yeux sous les coups de reins de Stéphane. Sandrine s’allonge face à sa future partenaire : elle veut jouir grâce à la bouche de Laure… Je suis subjugué, et Stéphane qui voit ça ne peut se retenir d’éjaculer !

Laure entame un cunnilingus qui emmène ma femme doucement vers la jouissance. Cette caresse buccale émanant d’une femme ne la dégoûte en rien. Bien au contraire ! Elle prend un énorme plaisir, et j’en suis ravi !


Je m’allonge à côté de ma chérie, pour l’accompagner jusqu’à l’orgasme et lui caresse le ventre, puis je me repositionne accroupi derrière elle et lui caresse les cheveux en regardant la langue de Laure triturer son clitoris. C’est au moment où elle insère un doigt que Sandrine jouit très fort et pourtant si délicatement… Elle se redresse après de courtes minutes et lui fait un petit smack qui précédera un sincère « merci » !

Nous restons plantés là quelques instants avant d’entendre Laure nous dire, en rigolant :



C’est Stéphane qui se charge de sa douce, en lui prodiguant à son tour une exquise caresse buccale. Nous les regardons avec beaucoup de tendresse, car curieusement on se voit en eux : ils sont amoureux !

Sandrine s’approche de Laure et lui caresse les seins et le ventre comme je venais de le faire juste avant. Il ne faudra que quelques minutes à Laure pour atteindre l’orgasme dans la bouche de Stéphane.


Il est maintenant 1 h 10, et nous reprenons nos esprits. Nous venons de prendre conscience de nos actes… Nous nous regardons et nous sourions. L’expérience a été, je crois, une franche réussite pour tous, même si tout le monde sait qu’elle ne se renouvellera pas de sitôt ! En tout cas pas pour nous… Quoique…

Quant à moi, en l’espace de deux ou trois heures, j’ai pu partager ma femme avec un autre homme, je l’ai vue profiter d’une femme, et nous avons joui ensemble sans la moindre retenue. C’est un moment de partage tel que celui-ci qui me pousse à admettre l’indéniable : je l’aime !


Nous sommes encore nus quand nous nous embrassons pour nous quitter, après quelques remerciements.

Nous nous rhabillons et leur disons au revoir et bonne nuit.

Nous repartons le lendemain, et nous savons que nous nous ne reverrons pas…


… pas tout de suite ! Eh oui ! j’ai vu ma femme prendre le numéro de Laure…