n° 14124 | Fiche technique | 10970 caractères | 10970Temps de lecture estimé : 7 mn | 28/10/10 |
Résumé: Le début de nos aventures où ma femme se révèle sous un jour que je ne lui connaissais pas. | ||||
Critères: fhh couplus fellation cunnilingu pénétratio sandwich fsodo -couple+h | ||||
Auteur : Loïc Envoi mini-message |
Lecteur fidèle de votre site, je ne pensais pas vivre un jour une aventure qui pourrait être publiée. Je m’appelle Loïc, j’ai 45 ans et ma femme Sandrine, 38. Un couple "normal" sans être spécialement canon, mais on nous dit plutôt agréables. Après 15 ans de vie commune, notre sexualité est devenue routinière. Trop à mon goût. J’ai bien essayé de pousser Sandrine vers plus de jeux, sans grand succès. Si elle accepte de temps en temps de se plier à mes désirs - utilisation de gadgets ou photos coquines, c’est toujours sans grande conviction. Lorsque je tente de l’emmener vers des discussions sur l’évolution notre relation vis-à-vis du sexe, elle se dit toujours satisfaite. Je lui ai fait part de certains de mes phantasmes comme l’exhib’ ou des soirées coquines avec d’autres personnes. J’ai toujours eu des réponses négatives me disant que cela ne l’intéressait pas. Quand je la questionne sur ses propres phantasmes elle me répond qu’elle n’en a pas spécialement. Les seuls moments où elle se lâche un peu plus, c’est quand elle a bu. C’est sûrement un peu à cause de ça qu’est arrivée l’histoire que je vous raconte aujourd’hui.
Nous avions convenu avec un couple d’amis, Chantal et Alain, de passer la soirée de samedi ensemble. Le restaurant prévu n’avait de table disponible que vers 21h30, nous avons décidé de nous retrouver à la maison pour l’apéritif. Après deux ou trois verres bien servis, nous sommes partis dîner. Ambiance sympa et encore quelques verres de vin et digestif. J’ai remarqué que Sandrine avait le verbe plus haut que d’habitude et les yeux pétillants. J’ai vite compris que l’alcool commençait à faire son effet. Je lui en ai fait la remarque et à mon grand étonnement elle m’a répondu devant tout le monde :
Je suis resté scotché de l’entendre parler comme ça devant des amis. Elle a d’ailleurs eu droit à quelques réflexions graveleuses de la part d’Alain, qui loin de la gêner l’ont encore rendue plus crue dans ces propos. Je commençais à envisager la fin de soirée sous les meilleurs auspices.
Au moment de repartir, Chantal demanda à Alain de la déposer avant de nous raccompagner, car elle travaillait le lendemain. Nous sommes donc montés à l’arrière et Sandrine s’est faite très câline, ce qui n’est pas dans ses habitudes en public. Après avoir laissé Chantal chez elle, au lieu de prendre la place devant, par jeu je dis à Alain :
Là-dessus il me répond :
Du tac au tac Sandrine lui répond :
Aussitôt elle se colle à moi et me roule une pelle mémorable. Sa main part vers ma braguette et elle me chauffe en me fixant dans les yeux. Je lui glisse à l’oreille que notre "chauffeur" nous voit dans le rétro. Elle me répond :
La prenant au mot, et pour la calmer, je la défie de retirer son string. À ma grande surprise, ne faisant ni une ni deux, elle passe ses mains sous sa jupe et enlève son string sans trop se cacher.
Arrivé devant chez nous, je propose à Alain de venir boire un dernier verre. Je prépare un cocktail et Sandrine met de la musique. Sur un morceau qu’elle aime particulièrement, je la vois, de la cuisine, commencer à danser d’une manière assez suggestive. Alain ne se prive pas de faire des réflexions allant jusqu’à crier « à poil ». Je reviens avec mes cocktails et toujours pour la provoquer dis à Sandrine :
Elle prend son verre, boit une grande gorgée en me fixant, droit dans les yeux, comme pour attendre mon assentiment. Je lui fais un signe de tête pour lui dire : « C’est toi qui vois ».
Elle se retourne vers la chaîne et change de disque et baisse la lumière. Quand j’entends les premières notes de la musique du film Neuf semaines et 1/2, je comprends qu’elle va le faire. (Elle m’a déjà fait ce genre de show en fin de soirée, quand elle avait bien bu, mais toujours lorsque nous étions seuls).
Nous tournant le dos elle commence à défaire un à un les boutons de son chemisier, elle le laisse glisser le long de ses bras et le lance sans se retourner vers Alain. Toujours de dos et ondulant du cul elle dégrafe l’attache de son soutien-gorge qui termine sa course sur ma tête - exactement comme dans le film. Ses mains cachant ses seins, elle tourne légèrement la tête en nous jetant une œillade provocatrice. Toujours de dos, elle se caresse les jambes en remontant vers ses fesses. La jupe suit le mouvement et nous dévoile son cul. Après quelques secondes de ce manège, elle défait la ceinture de sa jupe et la laisse tomber au sol et comme elle n’a pas remis son string la voilà entièrement nue devant nous. Après quelques sifflets et applaudissements, je m’attends à la voir ramasser ses affaires et se rhabiller.
Au lieu de ça, elle continue à se trémousser ainsi, juste vêtue de ses escarpins en se rapprochant de moi. Assis sur le canapé, je me suis retrouvé avec son sexe à hauteur de mon visage. Je la regarde et du coin de l’œil lui rappelle que nous ne sommes pas seuls. Loin de l’arrêter, elle pose un pied sur le canapé, ce qui a pour effet d’écarter son sexe, et commence à le frotter sur ma bouche en mimant un cunnilingus plus que réaliste.
Je la saisis par les fesses et, du bout de ma langue, caresse son clitoris, déjà bien excité.
Je me demande où cela va nous mener.
La réponse ne tarde pas à venir. Sandrine me dit :
Et, se tournant vers Alain :
Aussitôt, Alain se lève et se glisse derrière elle. Il empoigne ses seins et l’embrasse dans la nuque. À voir sa réaction, je ne suis plus très sûr qu’elle fasse ça que pour mon plaisir. Après s’être laissée caresser quelques instants comme ça, elle se retourne et s’attaque à la ceinture du pantalon d’Alain en se laissant tomber à genoux. Un brin de jalousie m’a traversé un instant l’esprit quand je l’ai vu prendre le sexe d’Alain dans sa bouche, mais de la voir aussi épanouie me fait plaisir et je ne tarde pas à la prendre par-derrière pendant qu’elle le suce. Elle pousse un râle de satisfaction. Après quelques moments dans cette position c’est elle qui, menant le jeu, décide d’inverser les rôles pour se faire prendre par Alain et se jette sur mon sexe avec une frénésie que je ne lui connaissais pas. Elle qui avait toujours eu l’air sur la réserve se lâche totalement. Elle était devenue une vraie furie, en demandant toujours plus.
Très excités, Alain et moi tardons pas à jouir. Après quelques minutes, le temps de reprendre nos esprits, elle me dit :
Je n’en revenais pas de l’entendre parler comme ça. Pendant que nous sirotons nos verres, elle se met à genoux devant nous et nous suce tous les deux en même temps. Devant un tel traitement notre forme revient très vite. Quand elle estime que notre vigueur est redevenue correcte elle fait allonger Alain sur le dos en lui disant que son sexe étant plus gros que le mien, elle a peur de ne pas supporter la sodomie d’un engin si volumineux et le dirigeant de sa main s’empale sur lui. À sa réaction, je vois très vite qu’elle apprécie la différence de taille. Après lui avoir laissé un temps d’adaptation, je pointe mon gland à l’entrée de son anus et sans trop d’effort la pénètre profondément. Nous sommes partis dans une chevauchée à trois endiablée.
Elle a joui plusieurs fois en hurlant son plaisir et en employant des mots très crus, que je ne l’avais jamais entendu prononcer. Au bout d’un moment, elle nous dit d’arrêter. J’ai cru un instant qu’elle en avait assez, mais pas du tout.
Elle me dit :
Après deux secondes de réflexion, je lui réponds :
Elle se positionne en levrette et avec beaucoup de précautions Alain entre dans son trou le plus étroit. Une fois qu’elle s’est habituée, c’est elle qui lui réclame de la défoncer à fond. Devant ce spectacle qui m’excite au plus haut point, je me place devant son visage et commence à me masturber. Entre deux râles elle me sourit et tire sa langue comme pour récolter mon jus. Ni tenant plus, j’inonde tout son visage de ma semence. Alain ne voulant pas jouir en elle se retire en lui arrachant un soupir de regret.
Et aussitôt elle le prend en bouche pour lui faire une fellation goulue. Il ne résiste pas longtemps à ce traitement et se vide dans sa bouche et sur son visage. Elle récolte le surplus avec ses doigts et les lèche avec gourmandise à la manière d’une vraie star de porno.
Une fois qu’Alain nous eut quittés, elle me dit :
Nous nous sommes enlacés et embrassés tendrement. Je pouvais sentir dans sa bouche le gout du sperme d’Alain, mais ça ne m’a pas dérangé.
Lorsque nous nous sommes couchés, après avoir éteint la lumière, elle m’embrassa pour me souhaiter une bonne nuit et me dit :
Si notre histoire vous a plu, je vous raconterai les suites.