n° 14126 | Fiche technique | 33199 caractères | 33199Temps de lecture estimé : 19 mn | 28/10/10 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Une stagiaire arrive dans mon bureau... | ||||
Critères: fh hplusag jeunes collègues fépilée neuneu travail voir fellation humour -humour -bureau | ||||
Auteur : Jielel |
Ma stagiaire
La stagiaire est conne,
mais j’aime la stagiaire.
Tout a commencé il y a quelques mois déjà.
Je m’appelle Georges Vangaff, et je suis le PDG, le gérant, le manager, le fondateur et l’actionnaire principal et unique de la société Georges Vangaff Dessous S.A.
Trente ans que je suis dans la petite culotte et les dessous féminins… Mais pas de quoi fantasmer. Je fais dans le coton. Le style « Petit-bateau » devenu « Gros-paquebot ». Ma clientèle ? Les fesses et les seins tombants des mémères en homes. Je suis un vrai grossiste, fournisseur des grosses. La taille moyenne de mes produits ? Un mètre carré de coton blanc renforcé, blindé. On ne fait pas dans la dentelle ! Business is business, les affaires vont très bien, c’est tout ce que je demande. Même si je ne fais pas du string, je tire les ficelles du métier.
Mon affaire va bien, ma Jaguar roule bien, ma bourgeoise ne dit rien, que demander de plus ?
Il y a quelques mois, Yvonne, ma fidèle secrétaire, m’a demandé un petit service. En tout bien, tout honneur, bien sûr. Normal, cela fait trente ans qu’Yvonne travaille pour moi et elle adore nos produits. Un physique de vieille secrétaire avec lunettes, permanente et un poil sur le menton. Peu importe, elle a toujours été très efficace, mon réel bras droit, pas ma main gauche.
Elle m’a demandé de prendre sa nièce en stage. La petite était en première année d’assistante de secrétariat et devait faire une expérience en entreprise.
J’ai évidemment accepté. Je fais entièrement confiance à Yvonne et mieux vaut un petit service qu’une grosse augmentation pour satisfaire le personnel.
Le lendemain j’ai donc eu droit à la présentation officielle de la nouvelle stagiaire. Une blonde décolorée bien évidemment, mignonne mais pas l’air futé pour un sou. Mains moites, voix typique de la paysanne blonde. Elle s’appelle Natacha.
J’avais autre chose à faire que de m’occuper des petites stagiaires. Et je me suis replongé dans mes courbes de Gauss, il faut gérer la crise.
Après pas mal d’essais, la petite stagiaire est arrivée à m’apporter un café sans se brûler. Bel effort. Je lui ai quand même demandé si elle connaissait la sténo. La sténo ? elle m’a dit qu’elle ne l’avait jamais rencontrée. Je lui ai demandé si elle travaillait sur Word, elle a dit oui. Je lui ai demandé si elle travaillait sur Excel elle m’a dit qu’elle ne portait que du S, parfois du M mais jamais de XL… Je ne lui ai plus rien demandé.
Un café imbuvable par jour ça suffit, c’est mon cardiologue qui sera content.
Et puis un jour ce fut la catastrophe. Yvonne est venue dans mon bureau me demander un congé exceptionnel, sa maman allait mal, elle devait aller la rejoindre d’urgence dans son bled perdu. Je ne pouvais rien refuser à Yvonne. Trente ans de service et pas un seul jour de congé.
Elle a essayé de me rassurer en me disant que Natacha était là pour m’aider. J’ai fait semblant d’être rassuré.
Je me suis donc retrouvé devant le double du travail.
La stagiaire est sans doute une fausse blonde
mais c’est une vraie incapable.
Il faudra que je vérifie qu’elle ne mette pas du Tipp Ex sur nos écrans.
Et les jours ont passé. Yvonne toujours au chevet de sa mère, mon café toujours imbuvable.
Un matin la commande Marcel Demesmaecker est arrivée. Mon plus gros client ! Un dossier à finaliser, je n’en sortais plus, le temps pressait. Pas le choix, j’avais besoin d’un coup de main. Elle doit bien savoir faire des photocopies. J’ai pris l’interphone.
Il lui a fallu cinq minutes pour franchir une porte.
Elle est rentrée timidement, les bras croisés et a déposé quelque chose sur mon bureau. Le temps que je réagisse, elle était partie.
C’était un petit tas de tissu qu’elle avait laissé entre les contrats Marcel Demesmaecker et les factures. Curieux, je me suis approché.
Un soutien-gorge… c’était un soutien-gorge. Dentelle noire sexy 85 C qualité soldes chez Carrefoir, chaud, odeur de femme… Je n’ai pas compris. Je l’ai fait venir.
Il m’a fallu un moment pour comprendre…
Je l’ai regardée de haut en bas. Elle a vite remis son bras sur sa poitrine… Que devais-je faire ? La situation était absurde, j’ai failli éclater de rire, mais je risquais de vexer la petite. Je me suis repris :
Le téléphone a sonné. C’était Marcel Demesmaecker qui demandait des nouvelles de notre offre. Plus le temps de discuter et d’essayer d’expliquer un lapsus lingue à une béotienne blindée…
M’attendant au pire, je l’ai observée faire.
Elle s’appliquait à la tâche. Très concentrée, sa petite langue sortait à chaque fois qu’elle devait appuyer sur la touche COPY. Sa petite main relevait régulièrement ses cheveux blonds. En contre-jour devant la fenêtre, je pouvais constater que son 85 C se tenait très bien tout seul. Je pouvais même apercevoir l’ombre de ses tétons à travers son chemisier blanc…
J’ai voulu en avoir le cœur net.
Elle est tout de suite venue en courant vers moi, les feuilles tendues. Ses seins gigotaient en toute liberté. Mignons, très mignons. Pour les tenir, elle a mis son bras dessus et la pression les a fait déborder de son décolleté. Pas mal du tout.
Elle est repartie. Tout compte fait, son cul aussi n’était pas mal du tout.
La stagiaire est conne,
mais la stagiaire a quand même quelques atouts.
J’ai été l’assister dans son poussage de bouton de photocopieuse. C’est fou comme un petit contre-jour sur du tissu blanc permet de voir tous les détails d’un mamelon tendu…
J’ai rangé le soutien dans mon tiroir, les explications seront pour plus tard. Business oblige. Il y a des priorités.
Les photocopies étaient un peu de travers, le dossier est parti en retard, on n’est pas des bêtes.
Le lendemain, 10 heures, ma stagiaire m’a apporté mon jus de chaussettes quotidien.
Pour une fois elle a osé me parler…
Rassurée, elle est sortie.
Que deux soutiens ? Cette équation m’a trotté en tête toute la matinée. Action, je suis un homme d’actions. Je dois prendre mes responsabilités. Il faut savoir prendre des décisions, oser s’imposer, faire des choix. C’est qui le chef ici ?
Fin de journée, j’ai pris le téléphone interne.
Depuis ce jour, contrairement à l’avis de mon cardiologue et de mon comptable, j’ai décidé de prendre deux cafés par jour et de faire systématiquement des copies de tout mon courrier.
En fait, j’ai pris goût au café fade.
J’insiste pour que Natacha me l’amène et me le touille devant moi. La voir s’agiter avec sa petite cuillère, sa petite langue qui dépasse et surtout voir sa belle poitrine s’agiter en rythme me ravit. Qui a dit que le déca n’a pas d’effets excitants ?
Le business c’est bien mais un peu de soleil, surtout à travers un chemisier, ça ne fait pas de tort.
J’ai aussi débranché la photocopieuse du secrétariat, la mienne fonctionne bien…
La stagiaire est conne,
mais elle agite bien la petite cuillère.
Une semaine de passée, les affaires remontent.
J’avale mon troisième café. Avec trois sucres il faut bien touiller.
La stagiaire m’a demandé une lettre qui confirme qu’elle est bien en stage chez nous. Elle m’a aussi donné un formulaire d’évaluation à compléter pour son école. Je lui ai évidemment tapé la lettre, ma réserve de Tipp-Ex est à sec.
Cinq minutes après elle est venue pour mon quatrième café.
Mince elle a compris mon manège ! Elle va me demander que je lui rende ses soutiens-gorge.
Elle a continué, souriante-gênée :
Là, j’avais besoin d’explications.
Elle a souri et a posé ses mains sur le haut de son chemisier comme pour l’ouvrir.
Je me suis relu.
Elle avait l’air un peu déçue. J’ai essayé de me rattraper :
Ma stagiaire est conne,
mais ma stagiaire a de splendides nichons…
Malgré la crampe, j’ai repris le travail.
En fin de journée, j’ai regardé le dossier de stage que Natacha m’avait remis. Je m’en suis occupé en deux secondes. J’ai dit que tout va bien, je n’allais pas faire un état des erreurs et incapacités ni des avantages 85 C. J’ai coché les cases bonnes et dans les emplacements pour les commentaires j’ai mis rien à signaler, j’avais autre chose à faire que la promotion des stagiaires blondasses à tétons frémissants.
Le lendemain Natacha m’a remercié pour le rapport et m’a assuré qu’elle allait bien appliquer mes recommandations.
Le week-end s’est passé et voici un lundi de merde. Yvonne absente, Marcel Demesmaecker qui veut modifier sa commande, des factures qui tombent, des clients qui ne paient pas…
À dix heures, j’ai vu mon café habituel arriver sur mon bureau. Mais pas le temps de le prendre. J’ai regardé Natacha sans la voir.
Elle a toussoté :
Elle est sortie en pleurnichant. J’ai juste eu le temps de remarquer qu’elle avait troqué son habituel blue-jean pour une jupe relativement courte et puis je me suis replongé dans mes papiers.
Et voilà mon café de onze heures. Nouveaux toussotements. J’ai tout de suite levé le regard pour croiser celui de Natacha qui fuyait vers le bas… J’ai alors eu la très bonne idée de suivre le chemin de ses yeux et qu’y avait-il vers le bas ? Pas de bas. Des jambes nues, toutes nues. Mollets nus, genoux nus, cuisses entièrement nues surmontées d’une micro-jupe qui laissait jusqu’à entrevoir ce petit creux entre cuisses, juste à l’orée de la clairière. Étonnant, provoquant. Tout à l’heure elle avait mis une minijupe maintenant il n’y avait plus de jupe du tout. Qu’est-ce qui lui arrivait à ma petite stagiaire ? Son salaire était fixé, pas de possibilité d’augmentation… Je ne comprenais pas. Du moins avec mon cerveau ! Mon pénis, lui avait tout compris. Quelles cuisses !
Là c’était moi qui étais troublé. Je n’ai trouvé rien d’autre à dire que :
Elle est sortie en souriant. Quelles jambes, quel cul ! Superbe. Waouh !
Ma stagiaire a un QI nul
mais quel cul !
Mon trouble est resté un moment. Je devais comprendre. Qu’a-t-il bien pu se passer dans le neurone de cette petite ?
Elle est entrée toujours gênée.
Oui bien sûr je désirais mais je devais rester un patron inflexible devant une petite stagiaire sexy. Je lui ai désigné les fauteuils bas.
Mince, j’ai avalé ma salive. S’asseyant devant moi, les jambes les plus serrées possibles, j’ai vu plus loin que le petit creux. J’avais une vue parfaite sur une petite dentelle blanche. Sa culotte, je voyais parfaitement sa petite culotte que sa micro-jupe ne savait plus cacher… Concurrence de mauvaise qualité mais là, je tombais quand même sous le charme. Avis de professionnel, avis de professionnel.
J’ai essayé de reprendre mes esprits. Des culottes j’en avais vu des tonnes, ça ne devait pas m’impressionner. C’est quand même pas parce qu’un de ces petits bouts de coton second choix moulait une petite chatte que je devais être troublé. Ce n’est pas le début d’une petite fente bien dessinée et du coton humide qui doivent distraire un homme d’affaires honnête !
J’ai suivi les conseils de mon ex-professeur en communication. En cas de balbutiements, de trac, de stress : se mettre à l’aise, respirer, ajuster sa voix, bien poser les pieds par terre. Mais où je mets ma bite ?
Je suis quand même arrivé à commencer un long discours sur le travail, un discours rassurant qui a eu l’effet de détendre l’atmosphère et les cuisses de ma stagiaire. La vue était de plus en plus agréable. On pouvait rentrer dans le fond du problème.
L’air embêtée, elle a tout de suite mis sa main sur sa poitrine la faisant ressortir encore plus. Elle est partie dans des explications nerveuses.
Et la voilà qui ouvre son chemisier pour me laisser plonger à la naissance de ces superbes globes. Cette fille commence à me fasciner. Elle gobe tout ce que je lui dis ! Elle gobe tout ? Là je m’éloignais du sujet.
Je me suis vite repris :
Là, encore une fois, je ne comprenais plus.
Elle a ajouté avec un léger rire faussement gêné :
Et là, vous avez devant vous, pour la première fois depuis trente ans de carrière, un PDG qui a le souffle coupé, qui ne sait plus rien dire, qui ne saurait plus rien vendre… Oui j’avais bien écrit ras, mais je voulais dire « Rien À Signaler », pas à ras-la-touffe…
Mais cela valait-il la peine d’essayer de lui faire comprendre ? La situation était complètement absurde mais le spectacle en valait ma chandelle.
Ma stagiaire est d’une naïveté déconcertante
mais qu’est-ce qu’elle est bandante !
Après quelques minutes, j’ai réussi à me reprendre… Quand on est coincé dans une conversation, l’humour, il faut passer à l’humour… J’ai ajouté sourire aux lèvres :
Rires.
Et elle de mettre son mollet sur son genou en le caressant pour me montrer la qualité du travail et, indirectement, pour me permettre de tout voir de sa culotte, élastiques et contenu compris.
Je n’ai pu que balbutier les yeux rivés sous sa jupe :
Mon « presque » a eu l’effet de la faire s’emballer… Paniquée, elle a remonté sa jupe, a écarté des deux mains le haut de sa cuisse de son pubis et a regardé…
Et le papa l’a prise dans ses bras pour la calmer. Et en plus, elle a la peau douce… Et merde.
Au contact, elle s’est vite reprise, s’est levée, a tiré sur sa jupe et a dit qu’elle revenait tout de suite.
Merde, elle me prenait pour son père. Je ne m’étais jamais senti aussi gamin.
Deux heures plus tard elle revenait toute fière et sûre d’elle.
Et elle de remonter innocemment sa jupe et d’écarter son slip pour me montrer qu’elle avait suivi les instructions. Elle avait tout mis à RAS, complètement à RAS… Plus un poil, plus rien. RAS.
RAS. Rien à signaler, là le patron n’a plus rien à dire. Sa chatte est parfaitement lisse, plus un poil ne dépasse. Sa petite fente est conforme à mon image, je bande.
Ma stagiaire est conne
mais qu’est-ce que je vais dire à ma femme quand elle verra la tache qu’il y a dans mon pantalon ?
Une demi-heure plus tard elle revenait avec mon café, je bandais encore…
Le lendemain la voilà qui vient m’apporter ma tasse de 8 heures.
Elle a été chercher du sucre dans l’armoire. Je voyais sa petite culotte, le pli de ses fesses, le tissu rentrait dans sa moule rasée. Elle est revenue vers mon fauteuil, elle s’est penchée. Quel décolleté, ses seins se balançaient là, à portée de main… C’était trop.
Elle a alors pris son sein d’une main et l’a fait sortir de son chemisier. J’ai touché. Il était ferme, gonflé à bloc.
Elle s’est redressée, a remis son sein à sa place, est sortie en vitesse et est revenue avec un paquet de Kleenex à la main.
Elle s’est vite assise à côté de moi et s’est mise à retirer ses bagues en les déposant sur la petite table. Tout en parlant, elle a remis ses seins à leur place précédente, à savoir hors de son décolleté. Quelle masse ! Superbes !
Pour une fois elle avait tout compris sans que je lui explique. Miracle du potentiel humain.
Elle a ouvert deux mouchoirs et les a déposés sur mes genoux. Je la voyais agir méticuleusement comme une infirmière qui prépare un soin délicat. Une fois ce travail fait, elle m’a souri et a commencé à ouvrir ma braguette.
Je n’ai rien dit, que voulez-vous que je dise ? Bien sûr que je bandais, j’avais encore une pleine vision sur ses seins et sa jupe écartée.
Toute concentrée, la langue dépassant de sa bouche, elle a commencé à me branler. Mains expertes, elle avait visiblement des heures de pratique. Sans doute son professeur de dactylo.
Comme avec le café ses seins et son cul gigotaient en rythme. Elle remuait bien la cuillère. Sa langue dépassait en salivant. Attention au lait. Trop tard, j’ai joui. Je n’ai pas su me retenir, normal, ça faisait presque une semaine qu’elle me faisait bander quatre fois par jour.
Tout de suite, elle s’est emparée du premier Kleenex pour entourer mon gland.
Une fois tout mon sperme expulsé, elle a replié délicatement le Kleenex pour prendre le second et me nettoyer correctement… Rien à redire. Du bon travail. Et qui a dit que les stagiaires blondes sont incompétentes ?
Toute fière elle m’a alors dit en remettant ses bagues et ses seins :
Elle avait raison pour une fois. J’étais aux anges, des années que je n’avais plus joui comme cela. C’est pas avec bobonne et nos rapports mensuels que je pouvais arriver à de tels résultats. Efficacité, propreté, tout est OK.
Ma stagiaire est conne, elle ne fout rien,
mais ma stagiaire est une fameuse branleuse.
Dès le lendemain, j’ai eu droit à un café amélioré. Elle est venue touiller tout contre moi. Je pouvais ainsi vérifier la conformité de sa culotte et de sa coupe.
Sans se faire prier elle s’est glissée en dessous du bureau et m’a fait une superbe pipe. Il faudra que j’installe un miroir derrière mon bureau.
Quelques minutes après elle se relevait, réajustait son chemisier, redescendait sa jupe et avalait sa salive.
Une pipe c’est quand même mieux, on économise des Kleenex, soyons écolos.
Depuis ce jour, moi qui avais toujours été dans la culotte, j’ai révisé mes centres d’intérêt et je me suis focaliser sur une et une seule culotte, celle de ma stagiaire.
Ma stagiaire est conne,
mais je crois que j’aime ma stagiaire.
N’en déplaise à mon cardiologue, je suis passé à six cafés et deux pipes par jour.
Très rapidement, j’ai étudié le savoir-faire et toutes les compétences de ma stagiaire.
Évidemment le rendement de la boîte a diminué. J’ai passé de plus en plus de temps à touiller mon café dans la cafetière, à tremper ma petite cuillère, mais bon, on ne vit qu’une fois… Et tant pis pour les dossiers, les commandes et les taches de sperme sur les factures. Faute de donner un esprit à mon entreprise, ma stagiaire lui donnait du corps.
Et puis Yvonne est revenue, sa mère allait mieux. Yvonne a ainsi pu me soulager question travail, Natacha, elle, pouvait continuer à me soulager question tension testiculaire. C’est ça le travail d’équipe.
Bien sûr ma femme m’a quitté pour cause d’incapacité à bander pour sa robe de chambre, ses bigoudis, ses seins plats, sa culotte barbelés et sa chatte forêt en friche… Il faut dire qu’elle était aussi passée au bureau pour prendre un café et qu’Yvonne n’avait pas su me prévenir à temps. J’ai eu beau lui expliquer que j’étudiais la concurrence, le fait que Natacha ne porte plus de culotte et que son cul soit posé sur mon bureau lui a mis la puce à l’oreille. Elle est partie avec ma Jaguar et ma maison. Pas grave, j’avais plus qu’il m’en fallait au bureau.
Au plus mon moral et ma bite remontaient, au moins les affaires avançaient.
Un jour, après une de ces éjaculations qui demandent le respect et surtout après un moment de repos, j’ai relancé mon cher client Marcel Demesmaecker comme me l’avait conseillé Yvonne.
Chère Yvonne, toujours là au bon moment. Contente des promotions de sa protégée.
J’ai donc mis au point le contrat du siècle. Je l’ai confié à Yvonne pour les copies, pas fou le mec. Et j’ai organisé LA réunion.
Tout s’est passé comme prévu.
Marcel Demesmaecker est arrivé au Bureau et c’est Natacha qui l’a accueilli.
Comme prévu, j’ai prévenu en dernière minute que j’aurais une demi-heure de retard.
Comme prévu Marcel Demesmaecker a passé un excellent moment à m’attendre. Comme prévu, il a eu droit au cul de Natacha qui l’a précédé dans l’escalier, aux seins de Natacha quand elle lui a servi le café, à la culotte de Natacha quand elle a ramassé le dossier qui était tombé par terre et enfin à la pipe de Natacha quand Marcel n’est plus arrivé à cacher la bosse dans son pantalon…
Quand je suis arrivé mon cher client était tout sourires.
Il a évidemment signé le contrat tout de suite sans le relire. J’ai fait de même, les yeux rivés sur les cuisses de Natacha et son oubli de remettre sa culotte. Toujours distraite cette petite. Ça avait été un sacrifice pour moi de partager le con et les compétences de Natacha, mais c’était pour la bonne cause. Ce jour-là je me suis dit que je nommerais Natacha comme assistante de signature de contrat. Je n’ai appris bien plus tard que c’était en fait sa spécialité.
On a bu le champagne ! Yvonne est venue me rejoindre. Demesmaeker et elle avaient l’air très satisfaits.
Ma stagiaire est conne.
J’aime ma stagiaire.
Aujourd’hui je passe encore des heures et des heures à la mater. De mon banc préféré, je peux voir la superbe affiche qui trône au-dessus de mon bureau. Cette affiche où Natacha est si sensuelle dans ses dessous sexy sans un seul poil qui dépasse. Toujours aussi charmante, toujours aussi bandante…
Bien sûr il est écrit en dessous « Les dessous Marcel Demesmaecker S.A., le charme de la nuit ». Bien sûr, Natacha travaille maintenant pour Marcel Demesmaecker et Yvonne… Bien sûr, je dors maintenant dehors, sous les ponts mais bon, quand j’ai froid, je vais au fond de ma poche. Et là, je le sens, je le sais, j’ai toujours son soutien.
Jielel
Juin 2010