n° 14128 | Fiche technique | 29323 caractères | 29323Temps de lecture estimé : 17 mn | 01/11/10 |
Résumé: Ma femme et moi nous sommes préparés de petites vacances à deux dans la montagne, bien vite troublées par la rencontre d'un couple. | ||||
Critères: 2couples couplus extracon extraoffre vacances forêt campagne jalousie voir intermast fellation pénétratio fdanus fsodo échange -entrecoup -nature | ||||
Auteur : Lauriolan Envoi mini-message |
Nous avions décidé, Sylvie et moi (je m’appelle Laurent), de passer un mois à la montagne. Exceptionnellement nous avions pu faire garder nos deux enfants par mes beaux-parents.
Nous sommes un couple très uni – pas loin, l’un comme l’autre, d’atteindre la quarantaine – et nous voulions enfin profiter d’un long moment à deux, à l’écart des tracas de la ville.
Sylvie est une femme superbe, et l’amour que j’ai pour elle n’est pas le seul critère qui me permet de parler ainsi. Elle se fait facilement draguer dès que je m’écarte un peu d’elle. Je n’en tire pourtant aucune jalousie, car j’ai toutes les raisons de croire en sa fidélité, nos horaires de travail étant identiques. Elle n’accorde ce qui lui reste de temps libre qu’à notre petite famille.
C’est d’ailleurs une discussion sur ce sujet qui nous a poussés à programmer ces vacances dans les Alpes.
Au bout de quelques jours, nous avons fait la connaissance d’un couple du même âge que le nôtre et qui nous a dit vivre la même expérience que nous, pour la première fois lui aussi.
Lui, il s’appelait Cédric, grand comme moi, mais beaucoup plus musclé, il avait tout de l’allure du grand sportif, ce que je ne suis pas réellement. Elle, Isabelle, était un peu plus petite que nous trois. Sa beauté, qui n’avait pas le rayonnement de celle de ma femme, était pourtant évidente. Elle avait un visage éclatant aux courbes harmonieuses et à la douceur presque enfantine, parsemé de taches de rousseurs. De celui-ci émergeaient de façon troublante des yeux d’un vert clair et pénétrant qui provoquaient en moi à la fois une fascination et une gêne lorsque mon regard les rencontrait.
J’aimais beaucoup aussi sa chevelure sombre et soyeuse qui flottait gracieusement jusqu’à ses épaules. Ce n’était absolument pas mon type de femme, mais je percevais pourtant en elle d’autres attraits qui pouvaient bouleverser bien des hommes. À l’opposé de mon épouse à la sveltesse et à l’énergie rayonnante, elle irradiait plus discrètement une sorte force secrète qui semblait résulter de sa fragilité même et de son allure de femme-enfant. Et puis il y avait son joli buste qui faisait contraste avec ce que je viens d’évoquer et qui renvoyait à une féminité tout à fait troublante.
Quoique plus petite et plus menue que mon épouse, d’évidence, sa poitrine avait des formes bien plus généreuses.
Une fois passé ce trouble qu’une femme séduisante procure à un homme normalement constitué, je dois avouer que la relation d’amitié qui s’instaura rapidement entre nous, fit que je ne la vis plus que comme une jolie créature, mais envers qui je n’éprouvais aucun désir particulier. Ce qui était loin, d’être le cas de ma sublime épouse, que j’observais avec délectation discutant avec nos nouveaux amis.
Au bout de quelques jours, nous avons décidé de faire une randonnée ensemble. En fait, c’est Cédric qui a pris l’initiative, et qui nous a programmé un parcours qu’il nous a juré ne pas être trop difficile, adapté aux randonneurs occasionnels que nous sommes, ma femme et moi.
Le jour venu, le temps était superbe et la chaleur annoncée nous motivait plus encore pour prendre de l’altitude. Nous nous sommes donné rendez-vous près d’une vieille église et l’ascension a vite commencé.
Au début Cédric et Isabelle étaient devant pour nous indiquer naturellement le chemin.
J’avais devant moi, les jolies fesses de notre accompagnatrice qui se balançaient et je ne faisais que penser curieusement au cul qui me paraissait plus beau encore, parce que plus ferme et musclé, de mon épouse que j’imaginais pareillement onduler en fermant la marche sans qu’il n’y ait personne pour en profiter…
J’étais perdu dans ces pensées, noyé dans le souvenir de la nuit précédente où elle m’avait laissé engouffrer mon visage dans sa raie. J’avais pu engouffrer ma langue dans sa rosette, ce qu’elle ne m’avait pas autorisé depuis si longtemps. J’attribuais sa clémence à l’altitude, à cette situation enfin si propice à l’accomplissement de notre intimité. Mais je compris plus tard que la raison était peut-être toute autre… Ce qui est certain, c’est que cette nuit-là, bien qu’elle ait refusé une fois de plus de m’abandonner la virginité de son anus, nous avons fait l’amour longuement et avec une fougue qui me faisait apprécier plus que tout, les vertus de la haute montagne !
Dès que le chemin s’est élargi, nous avons rejoint nos deux guides et avons pu discuter, de tout et de rien, et surtout dans un premier temps, des bienfaits de la randonnée, du contact avec une nature si belle… Mais finalement ce qui a attiré mon attention très vite, plus que la teneur des propos que nous tenions, c’est la façon dont « naturellement » la conversation s’est organisée.
Rapidement, lorsque le sentier s’est un peu resserré, Cédric et Sylvie se sont retrouvés devant à discuter, pendant que je me trouvais aux côtés de la troublante Isabelle. Par chance, je n’avais pas dans cette situation, à croiser son regard ! Il faut dire, pour comprendre le léger malaise dans lequel je me trouvais, que je suis quelqu’un d’assez timide.
Voir ma femme, enfin devant moi, onduler de la croupe dans son petit short moulant, accompagné d’une ravissante accompagnatrice qui semblait trouver de l’intérêt à discuter avec moi aurait dû me combler. Mais c’était tout le contraire qui se produisait. J’étais gêné à la fois de ne pouvoir « reluquer » à loisir le postérieur de ma femme, de peur que ma voisine ne devine quelque chose, comme je l’étais de sentir à mes côtés les effluves troublants de ma compagne d’un instant, qui mêlaient la suavité de sa transpiration à un parfum capiteux « très bourgeois » qui avait quelque chose d’insolite dans le cadre où nous nous trouvions.
Je me trouvais comme tiraillé entre diverses émotions où je ne savais quelle part donner au plaisir, au désir, ou à l’inconfort et à la douleur diffuse qui peu à peu m’envahissait, comme si j’avais peur de perdre peu à peu le contrôle de ce qui allait arriver…
Ce sentiment ne faisait que se renforcer lorsque curieusement mon attention ne se fixa plus seulement sur le délicieux postérieur de mon épouse, mais aussi sur ses fermes cuisses dénudées. À chaque pas, elles offraient le spectacle de leurs musculeux attraits, se contractant et se détendant à un rythme régulier, en cadence, à la proximité de son séduisant partenaire de promenade dont la musculature était plus édifiante encore.
J’avoue que j’étais dans un complet désarroi en voyant ainsi ce postérieur se balancer en cadence et ces jambes progresser avec une telle grâce si proches de celles de Cédric qui avaient un attrait bien plus étrange pour moi, qui n’ai jamais été attiré par les hommes, de cuisses plus puissantes et poilues que les miennes. Je voyais dans la symétrie des ondulations de leurs deux corps, le long desquels la sueur commençait à perler, comme le témoignage d’une absurde complicité qui me tenait malgré moi à distance.
J’avais une certaine difficulté à répondre avec attention à la conversation que continuait de poursuivre Isabelle à mes côtés, d’autant plus que j’observais avec une certaine inquiétude l’implication, au contraire, de ma femme qui ne cessait de discuter avec son beau sportif. Ce qui me gênait plus encore, c’était d’entendre si souvent son rire éclatant qui me révélait l’évidence du plaisir qu’elle avait d’être à ses côtés. Je dois avouer que l’humour n’est peut-être pas mon fort, en tout cas pas un humour auquel mon épouse serait sensible…
Nous prenions un peu de retard, mais je ne pouvais pas entraîner ma compagne un peu plus petite que nous trois dans une course effrénée ! Et puis je pris le parti de prendre un peu de recul avec cette vision qui me dérangeait de façon idiote. Ma jalousie était évidemment déplacée et il fallait que je profite du plaisir d’être là, à marcher au milieu d’un paysage magnifique, auprès d’une femme que je redécouvrais, au détour d’un regard furtif, tout à fait belle à croquer.
Ce n’est qu’à ce moment-là en effet, que je découvris qu’elle avait paré son visage d’un léger maquillage qui lui allait à ravir. Ses lèvres rehaussées avec malice n’en avaient que plus d’attrait. Je me suis surpris pour la première fois à avoir une sorte de désir charnel à vouloir embrasser le délicat vermeil de l’ourlet de sa bouche.
Bien sûr, il peut m’arriver d’avoir, comme tout le monde je l’imagine, une pulsion fugitive pour une femme autre que la mienne, mais j’avoue que là, je fus surpris par la soudaineté et la violence de ma réaction à l’égard d’Isabelle.
Je ne pus m’empêcher, un peu plus loin, de faire glisser à nouveau mon regard vers elle et je fus cette fois captivé par les mouvements de ses seins à la fois fermes et souples. Le dessin impudique de ses mamelons me révélait l’absence d’un soutien-gorge !
Je vivais maintenant dans la plus grande confusion. En quelques secondes, alors que j’étais parti pour une saine randonnée avec un couple d’amis, j’avais éprouvé un violent désir pour ma femme, pour mon accompagnatrice, mais aussi d’une façon plus trouble pour son mari !
Je ne savais s’il fallait attribuer cet état à l’air de la montagne, mais j’avais l’impression qu’une foule de pulsions refoulées surgissaient sans que ma volonté ne puisse intervenir.
Alors que les silhouettes de nos prédécesseurs disparaissaient maintenant à chaque virage, un petit incident vint ajouter encore à mon trouble. Isabelle me demanda de m’arrêter un instant pour qu’elle enlève un petit caillou qui s’était glissé dans sa chaussure.
Je proposais mes services en l’aidant à défaire ses lacets et à se déchausser.
Je ne pouvais plus désormais détourner mon regard, ce qui aurait paru être de la muflerie de ma part. Et au fond, je n’en avais plus du tout la volonté !
C’est même avec une certaine avidité que je profitais de cette aubaine pour enfin observer sans retenue tous les attraits de ma ravissante interlocutrice.
Dans un premier temps, mon attention se porta à nouveau sur sa jolie poitrine que je savais désormais si différente de celle de Sylvie. Ma femme a de jolis petits seins bien fermes et bombés, surmontés de petits tétons fièrement dressés et qui ont gardé, malgré ses deux grossesses, les formes engageantes que j’avais connues lorsque je les ai dénudés pour la première fois, alors qu’elle était encore étudiante.
Ceux d’Isabelle, dont je ne doutais plus de la majesté, formaient un contraste avec son joli visage de femme-enfant. Ils semblaient appartenir à une femme à la pleine maturité et je devinais sous la blancheur du tissu de somptueuses aréoles au sombre incarnat, contrastant avec sa peau laiteuse. Leur relief engageant sous son T-shirt clair, était d’autant plus excitant qu’il était tendu par la masse de chair que j’eus brusquement envie de palper.
Elle était assise devant moi, et pendant qu’elle retirait sa chaussette pour vérifier qu’un autre gravier ne s’y était pas glissé, ce sont mes yeux qui glissèrent désormais le long de ses cuisses pour en savourer la délicieuse pâleur.
L’écrasante chaleur avait aussi chez elle fait son œuvre et je voyais de fines gouttelettes de transpiration perler le long de l’intérieur de ses cuisses.
J’aurais voulu accompagner de mes doigts le trajet de ces larmes de sueurs mais curieusement, la partie d’elle que j’eus soudain violemment envie de caresser, ce sont ses cheveux ou plus exactement sa nuque, pour pouvoir ensuite glisser mes doigts dans sa brillante chevelure de soie, plus brillante encore sous les rayons du soleil.
C’est un peu comme si, d’un seul coup, elle ressentit le poids de mon regard. Elle venait de retirer entièrement sa soquette et pour moi, voir ainsi son pied dénudé, c’était un peu comme si elle m’offrait sa nudité toute entière !
Son pied menu était charmant de finesse et d’élégance et je crus ressentir pour la première fois, le pouvoir érotique de cette charmante extrémité de chair qu’elle avait paré d’un rouge à ongle assorti à celui qui parait ses doigts tout aussi fins.
C’est à ce moment précis qu’elle a relevé ses beaux yeux pour plonger son regard dans le mien. J’avais l’impression d’être envoûté, c’était comme si toutes les nuances de vert de la végétation qui nous enveloppait se trouvaient concentrées dans ses yeux-là !
La profondeur de son regard, qu’elle soutenait désormais sans équivoque, me donnait l’impression de pouvoir plonger en elle comme j’aurais plongé pour découvrir cette part d’ombre que j’avais caché en moi. Et puis brusquement, je fus pris d’une peur panique. Je me mis à nouveau à penser à Sylvie qui maintenant devait être loin de nous et qui se retrouvait seule avec ce cruel compagnon de randonnée !
Isabelle semblait comprendre mon inquiétude et ne chercha pas à me retenir. Elle me demanda simplement de l’attendre pendant qu’elle remettait sa chaussure avec un empressement que je ne pus qu’apprécier.
Après ce moment d’abandon, je savais qu’une seule chose pourrait me réconforter, retrouver la trace de ma femme et de son accompagnateur le long de ce chemin.
Nous avons marché longtemps à un rythme soutenu et j’étais passablement agacé de voir que nos deux acolytes ne nous avaient pas attendus. Mais j’avais constaté déjà tout à l’heure qu’ils avaient marché de longues minutes sans se retourner une seule fois et cette cruelle pensée n’était pas là pour me rassurer.
Et puis j’ai entendu à nouveau son rire clair et éclatant. Je me demandai décidément ce qu’il pouvait lui dire pour la faire rire ainsi !
En continuant à m’avancer, alors qu’Isabelle avait eu la gentillesse d’être à mes côtés sans rien laisser paraître pour sa part d’une quelconque inquiétude, je me rendis vite compte que les voix qui nous parvenaient ne provenaient pas du chemin, mais de la profondeur du bois sur notre gauche.
Et puis un profond silence succéda aux éclats de voix de Sylvie.
Une sorte d’angoisse sourde monta en moi et Isabelle dut percevoir cette crainte car elle prit simplement ma main.
La suavité de sa peau contre la mienne me rassura, tout en me renvoyant à cette peur absurde qu’elle ne semblait pas partager. Nous étions comme deux enfants, main dans la main, marchant doucement dans le sous-bois pour ne pas faire de bruit.
J’en étais venu sans m’en rendre compte à retenir mon souffle, quand j’entendis distinctement le souffle de mon épouse. À une distance raisonnable, je vis ce spectacle fascinant et cruel.
Sylvie était adossée à un arbre, torse nu, pendant que Cédric léchait l’un de ses seins tout en frottant la paume de sa main contre l’autre sans aucun ménagement.
Je voyais ma femme ainsi se faire lécher et tripoter la poitrine avec une évidente complaisance que je ne pouvais que constater, accompagnant même les gestes de son partenaire en appuyant cette tête gourmande vers chacun des monticules boursouflés de sa jolie poitrine.
Je réalisais qu’elle avait déjà perdu tout contrôle et qu’elle se laissait aller aux caresses de son partenaire comme si je n’étais pas là. En vérité, cela faisait sans doute de longues minutes que, pour elle, je n’étais plus là !
Je la voyais comme subjuguée par ce grand mâle à la carrure imposante. En vérité, j’avais l’impression de rêver ou plutôt de vivre le pire des cauchemars. La main d’Isabelle qui tendrement caressait la mienne avec le but évident de me rassurer, me ramenait malheureusement aussi à l’évidence que tout cela était bien réel !
Et puis je vis ma femme, que j’ai toujours jusqu’ici perçue comme si fidèle, s’agenouiller pour baisser sans ménagement le short de son amant et dégager un sexe bandé aux belles proportions. En un instant elle l’avait englouti et lui appliquait une tendre fellation avec toute l’application dont je la savais capable en la matière.
Voir ainsi sa bouche si gourmande, que j’avais eu le plaisir de sentir une dernière fois au contact de mes lèvres quelques instants auparavant, au départ même de cette randonnée, envelopper la verge de ce quasi inconnu, pour la sucer avec une telle avidité, avait quelque chose d’absolument surréaliste.
Mais que dire de ce qui s’est passé ensuite, quand elle s’est relevée pour plaquer cette fois-ci sa poitrine contre le tronc d’un arbre, alors qu’elle prenait elle-même l’initiative d’offrir la nudité de son cul à son partenaire en faisant tomber son short et sa culotte à ses chevilles.
Elle l’a laissé ainsi s’introduire en elle par-derrière, tout en lui laissant le loisir de masser sa rosette. Il ne fallu pas longtemps pour qu’il la pénètre ainsi par ses deux orifices les plus secrets, lui fourrant l’anus de son pouce, pendant qu’il la baisait comme s’il s’était agi de deux animaux en rut !
Cette impression de sauvagerie était renforcée encore par les cris perçants que poussait désormais mon épouse, tout en frottant ses seins rougis par le plaisir autant que par la douleur contre l’écorce rugueuse.
En vérité, outre la position insolite dans laquelle elle se trouvait, c’était toute son attitude qui renvoyant à une sorte de sauvagerie primitive.
Ces cheveux étaient désormais défaits et bientôt elle se dégagea, pour se vautrer à plat ventre contre le sol. Sa peau nue (elle n’avait gardé que ses chaussures et ses chaussettes) se trouvait ainsi au contact direct du tapis de feuilles et de terre, dans lesquels j’imaginais grouiller toutes sortes de vermines.
Cette posture où je la voyais se vautrer avec frénésie, comme si elle était soudainement possédée par quelque démon, avait pour elle un objectif, offrir tout ce qu’elle pouvait encore à son partenaire sexuel. Je compris bien vite qu’elle voulait ainsi lui faire l’offrande de la part de virginité qu’il lui restait. Elle avait relevé son sublime postérieur et était en train d’écarter ses fesses afin d’assouvir cet ultime désir.
Bien sûr, son homme des bois ne s’est pas fait longtemps attendre. En un instant il a présenté sa hampe turgescente dans le sillon si accueillant et, s’assurant à peine de l’acquiescement de sa compagne, il est rentré en elle d’un seul coup, jusqu’à la garde ! Le cri qu’elle poussa alors, avait quelque chose de déchirant et de plus bestial encore, que tout ce que j’avais vu et entendu dans ces quelques minutes.
Je me sentais, quant à moi, comme véritablement sonné… j’avais à peine la force de continuer à observer ce spectacle aussi fascinant qu’obscène, de ma femme rampant comme un reptile, la chair à vif, souillée par les immondices de la forêt, en train de se faire enculer par Cédric avec des soupirs où se mêlaient maintenant nettement la jouissance à la douleur.
Une fois encore, il semblait qu’à mesure que ma femme s’éloignait de moi, Isabelle, elle, se faisait plus proche, physiquement, car elle s’était blottie dans mon dos, de telle sorte que je sente la douce et chaude suavité de sa lourde poitrine se pressant contre moi, mais aussi par son attention vis-à-vis de ce que je pouvais ressentir.
J’avais la gorge serrée et je ne savais quoi répondre. J’avais la volonté de détourner mes yeux de ce spectacle qui me devenait insupportable. En même temps, je constatais qu’il y avait une sorte de plaisir pervers à voir ma femme métamorphosée et superbe, s’avilir ainsi et jouir d’un inconnu. J’avais l’impression de devenir fou ! Au fond de moi, je voulais que tout s’arrête et en même temps qu’elle puisse jouir jusqu’à la lie !
Je ne trouvais rien de mieux à dire à ma si jolie compagne :
Je ne savais comment interpréter cette remarque, mais je dois avouer que je n’eus pas longtemps à me poser la question.
Je n’avais pas cette fois à interpréter ses propos, car elle avait joint le geste à la parole.
Délicatement, elle a relevé son T-shirt plus humide encore que tout à l’heure, pour m’offrir le spectacle sublime de ses superbes seins aux contours si avenants.
Comme je l’avais espéré, ses bouts de seins étaient extraordinaires. Ses aréoles bien sombres et larges se dessinaient en effet, superbement, au sommet de ses somptueux globes laiteux. Ses mamelons étaient proéminents et leur pointe arrogante était une invitation sans détour à les prendre en bouche.
J’avais cette fois renoncé à toute volonté de résister aux appas de ma délicieuse accompagnatrice. C’est elle qui m’y a pourtant invité, tant j’étais encore paralysé par la beauté du spectacle qu’elle m’offrait. Elle a glissé doucement sa petite main dans mes cheveux et a attiré mon visage vers sa tétine impudique.
L’instant d’après, j’avais une nouvelle fois l’impression d’être dans un autre monde. Je me retrouvais comme un petit enfant abandonné qui cherche le réconfort d’une aimable nourrice. Je tétais avec appétit ce bonbon de chair si doux et délicat à la saveur exquise.
Coup sur coup, deux épreuves singulières m’avaient amené à cet état régressif que je ne pus que constater lorsqu’Isabelle, décidément singulièrement chaleureuse, fit glisser sa main libre dans mon slip pour prodiguer à mon sexe, réduit alors à ses plus modestes proportions, un massage chaud et tendre.
J’adorais son odeur et je prolongeai la dégustation en léchant délicatement ces perles de sueurs qui glissaient entre ses seins.
Au loin, les râles de jouissances de ma femme me parvenaient encore et me faisait imaginer qu’elle avait à nouveau changé de position… mais tout cela n’avait plus d’importance, car j’étais moi-même soumis au total abandon de mes sens.
Je voyais maintenant au-dessus de moi la sensuelle silhouette d’Isabelle qui s’était entièrement dénudée. Elle avait, avec dextérité, défait mon short et libéré mon sexe, qui était maintenant fièrement dressé mais, avant de s’occuper de lui, elle me prodigua du plat de ses mains si douces un massage exquis, faisant glisser ses doigts le long des poils de mon torse.
Ce n’est que lorsqu’elle a introduit mon membre en elle que j’ai entraperçu le joli mont de Vénus paré d’un fin duvet brun qu’elle avait taillé avec soin en forme de petit triangle.
Je me mis à caresser sa petite toison pour ensuite porter mes doigts à mes narines et en humer la délicate et prégnante saveur. Mais ma cavalière, qui faisait coulisser avec une savante lenteur sa petite chatte humide le long de ma verge, m’offrit un mets plus succulent encore. Elle introduisit deux doigts dans son vagin et les offrit, luisants de sa liqueur d’amour, à mes lèvres et à ma langue. Je buvais ainsi savoureusement de son nectar intime.
Ma superbe maîtresse me chevaucha bientôt avec plus de fougue et de vigueur, et je ne pus résister longtemps à me décharger en elle. J’étais submergé par un plaisir intense que je n’avais jamais connu jusqu’alors, jusqu’à en perdre conscience.
Quand je suis revenu à moi, Isabelle était toujours lovée autour de mon sexe et je sentais plus que jamais la chaleur de ses cuisses se serrer contre mon bassin.
Elle s’était penchée légèrement pour caresser mon visage de ses mains, puis de sa bouche. Je répondais à ses tendres baisers qui me rappelaient les émotions de la première fois où j’avais fait l’amour, avant même de connaître Sylvie.
C’est à l’instant précis, où je me remis à penser à ma femme, que je vis son visage au-dessus de celui d’Isabelle.
À peine en retrait se trouvait Cédric qui arborait un sourire radieux, alors que celui de ma femme paraissait plus timide, peut-être de peur de me blesser davantage.
Tous deux, bien sûr, s’étaient rhabillés, et je dois avouer que j’ai vécu la situation de façon plutôt humiliante. Je n’étais guère en position d’exprimer la moindre réprimande au couple qui nous observait, alors que j’en avais en partie profondément envie.
Parler de gêne de ma part, c’est être en deçà de la réalité. C’est tout penaud qu’il m’a fallu enfiler mes vêtements sans pouvoir profiter plus longtemps de la si troublante nudité d’Isabelle.
Ensuite, sur le chemin du retour, dans un silence impressionnant, les « couples naturels » se sont reformés.
Nos « guides » nous devançaient et nous étions là, Sylvie et moi, l’un à côté de l’autre, sans oser briser ce silence, peut-être par peur du ridicule, à moins que ce ne soit pour préserver ce moment si particulier que nous venions de vivre.
Et puis nous avons vu nos hôtes de promenade se rapprocher physiquement, continuant à avancer, les bras entourant leur taille.
Au bout d’un certain moment, nous avons fait de même sans trop savoir qui de nous deux a vraiment pris l’initiative. Nous avions finalement besoin de sentir la chaleur de notre peau.
Ce besoin de nous rassurer, et de reprendre contact, prit une tournure une nouvelle fois imprévue.
Il n’y avait pas réellement de désir sexuel dans nos attouchements, car nous étions l’un comme l’autre pour l’instant rassasiés. Mais nous avions le désir de rentrer en contact avec les parties les plus intimes de nos chairs.
C’est ainsi que le plus naturellement du monde nous avons poursuivi la fin de cette randonnée : Sylvie en en enserrant ma bite entre ses doigts, comme si elle voulait la garder bien au chaud rien que pour elle, et moi fourrant mes doigts dans son sexe encore humide et palpitant des prouesses dont elle ne m’avait rien dissimulé.
Nous savions, l’un comme l’autre, que nous venions de nous abandonner de la façon la plus honteuse à un double adultère et il y avait sans doute une saveur bien singulière à sentir entre nos doigts les sécrétions intimes des partenaires d’un instant qui nous devançaient. Cette expérience curieusement semblait brusquement nous rapprocher. Il ne nous échappait pas qu’Isabelle et Cédric réagissaient comme nous en cherchant le contact de leurs parties intimes.
Lorsque nous nous sommes quittés dans la vallée, nous savions déjà que nous ne nous reverrions pas. Il n’était pas nécessaire d’en dire davantage; nos bouches n’avaient plus à exprimer que ce dernier baiser appuyé que j’échangeais avec Isabelle pour sentir une dernière fois la saveur si singulière de ses lèvres et de sa langue, pendant que Sylvie faisait de même avec Cédric. C’était une façon de nous remercier mutuellement qui exprimait bien plus que tout autre discours.
En rentrant à la maison, nous savions ma femme et moi, que contrairement à nos amants d’un jour qui avaient pris eux-même l’initiative de nous tendre ce piège si particulier, et qui avaient une expérience indéniable en la matière, nous ne chercherions pas à renouveler ce qui avait été aussi une épreuve pour notre couple.
Par contre depuis ce jour, un rituel bien sympathique s’est imposé à nous, que nous associons à la pensée émue d’Isabelle et de Cédric.
Nous savons que lorsque nous partons en randonnée à deux, il faut prévoir au moins un détour pour nous adonner à des pulsions sauvages qu’il est préférable de cacher à des promeneurs non avertis.
Si malgré tout nous devions être surpris, cela n’a plus guère d’importance. Nous avons l’un comme l’autre franchi les bornes de l’impudeur au sein même de notre couple.
Dans ces moments-là, quand j’entends ma femme crier de toutes ses forces, c’est comme si nous étions seuls au monde et que la montagne était à nous !