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Temps de lecture estimé : 32 mn
07/11/10
Résumé:  Je vais vous raconter l'histoire de Sandrine, une jeune femme prude qui bascula dans les chemins de la dépravation.
Critères:  fh inconnu copains complexe fsoumise chantage fellation pénétratio fsodo mélo portrait
Auteur : Gérald Billet            Envoi mini-message
Les misères de Sandrine

PREMIÈRE PARTIE



Sandrine était une jeune fille de 19 ans, timide et réservée, quand elle se maria avec Christian. Il avait été son premier homme. Lui avait 26 ans à cette époque.


Sandrine et Christian divergeaient sur le plan physique, lui n’était pas à proprement parler un bel homme. De taille moyenne, un visage malgré tout assez harmonieux mais pas spécialement bien bâti. Il était du genre « brave mec sans histoire », foot, télé, copains.


Elle était une belle jeune fille. Une chevelure blonde et bouclée lui tombait sur les épaules et mettait en valeur des yeux couleur noisette. Son regard était profond mais malheureusement trop souvent triste. Une taille fine, un petit corps menu contrastaient avec une poitrine généreuse. On la remarquait toutefois peu car elle était toujours habillée très simplement, le plus souvent en robes bon marché et elle ne se maquillait jamais. Donc pas de jeans serrés, pas de jupes courtes, pas de chemisiers cintrés et flatteurs, les cheveux attachés, on la croisait sans presque la remarquer.


Elle avait 18 ans lorsqu’elle avait rencontré Christian. Ils habitaient à Lens, dans la même cité HLM mais ne se connaissaient que de vue. Avant de rencontrer celui qui allait devenir son mari, Sandrine sortait peu de chez elle, sa mère étant une femme autoritaire qui dirigeait son petit monde, c’est-à-dire son mari et sa fille – car Sandrine n’avait ni frère ni sœur. Elle rentrait directement du lycée à la maison et son principal divertissement était de se promener et discuter avec sa copine Virginie qui était dans la même classe qu’elle. Virginie était sa seule vraie amie. Beaucoup plus extravertie qu’elle. Elles étaient confidentes l’une de l’autre. À vrai dire, Virginie n’était pas une belle fille, petite et plutôt boulotte, mais elle était rigolote et vive d’esprit.


Sandrine se sentait oppressée et son plus grand désir était de partir vite de cette maison et d’échapper à sa mère qui, sans être un monstre, était très pesante. Intérieurement Sandrine l’appelait Madame Reproches.


Christian, lui, travaillait comme cuisinier dans une pizzeria du centre-ville. Sandrine l’avait rencontré lors de l’une des sorties autorisées. C’était un soir d’été et elle était avec un petit groupe d’amis, dont Virginie, bien sûr. Elle se souviendrait toujours de cette première rencontre. Chacun avait commandé une pizza individuelle. Lorsque la serveuse remit la sienne à Sandrine, elle éclata de rire en mettant ses mains contre ses joues. Sa pizza était en forme de cœur ! Le lien avait été noué, Christian avait remarqué qu’elle était seule… Il se présenta à leur table avec une bouteille de rosé et leur demanda s’ils n’avaient pas mal pris son initiative. Ils dirent que non et l’ambiance n’en fut que meilleure. Après son service, Christian les accompagna pour aller finir la soirée dans un karaoké.


À partir de ce moment-là, Christian se joignit à leur bande pour leurs sorties. Habituellement, Virginie était présente mais ce soir-là elle n’était pas venue et Christian la raccompagna, seul pour une fois.

Arrivé à cent mètres de l’immeuble, il arrêta la voiture.



Il se pencha vers elle et l’embrassa timidement. Elle accepta son baiser. Il recommença goulûment en approchant la main de son sein mais elle la retira instantanément.

Elle était déjà sortie avec quelques garçons mais ça s’était arrêté à de simples flirts, quelques baisers sur la bouche, pas d’attouchements. Quand ils voulaient aller plus loin, elle refusait systématiquement et on la laissait tomber.


Christian n’était pas vraiment son type d’homme mais il était gentil et prévenant, il savait lui parler et la mettre en confiance. Il savait l’écouter aussi, et s’intéressait à sa vie, ses désirs et ses émotions. Elle avait trouvé en lui un copain de confiance avec lequel elle se sentait bien. Elle n’était pas amoureuse pour autant mais elle avait envie de sortir de son renfermement, de se libérer. Ils prirent l’habitude de se voir souvent et Christian, fier de sortir avec cette belle fille, eut l’intelligence de savoir attendre et de modérer ses ardeurs. Il préférait y aller petit à petit.


Leur première relation eut lieu un samedi après-midi chez lui. Il l’avait invitée à écouter des disques et ce jour-là il devint plus entreprenant. Il l’avait allongée sur le canapé en l’embrassant, puis avait juste déboutonné sa robe et dégrafé son soutien-gorge. Elle le laissa faire voulant se prouver à elle-même qu’elle ne serait pas toute sa vie une fille coincée… Petit à petit, voyant que le chemin était libre, il s’enhardit, lui enleva sa culotte et la pénétra doucement. Les choses allèrent très vite. Moins d’une minute après il avait déjà joui. Il s’en excusa :



La fois d’après, il décida de prendre son temps, maintenant que le premier cap était franchi. C’était un dimanche après-midi chez lui. Il l’amena dans sa chambre et se déshabilla complètement. C’était la première fois qu’elle le voyait nu. Il n’était pas très musclé, juste un peu de poils au milieu de la poitrine. Il ne bandait pas vraiment encore, son sexe était gonflé mais tombant. Il lui demanda de se déshabiller. Elle accepta et commença par ôter ses chaussures puis elle tira vers le bas la fermeture éclair de sa robe, elle la fit tomber doucement à ses pieds et la posa tranquillement sur la commode. Elle était maintenant en petite culotte et soutien-gorge.


Elle ne bougeait pas, intimidée. Il lui demanda de se mettre complètement nue. Alors elle défit son soutien-gorge qui laissa apparaître une poitrine superbe. Des seins écartés, en forme de poires, aux larges aréoles brunes. Sa taille fine mettait en valeur cette poitrine opulente. Ensuite, elle fit glisser sa culotte et la posa sur la commode. Ses hanches étaient minces, ses fesses fermes et rebondies, un petit minou peu poilu châtain clair. Sa peau était mate et bien qu’elle ne l’exposât jamais au soleil, elle avait des reflets ambrés.


Elle était complètement nue maintenant, les deux mains croisées devant son sexe. Elle se tenait droite, le regard posé vers le bas, elle n’osait pas le regarder dans les yeux. Christian était fier de sortir avec une fille aussi belle. Bien que n’étant pas un Don Juan, il avait déjà couché avec quelques femmes mais aucune de celles-ci n’arrivait à la cheville de Sandrine.



La lumière de la chambre était maintenant tamisée. Il se coucha près d’elle et prit ses seins à pleines mains. Même couchée sur le dos, ils restaient droits et durs, chacun penchant légèrement vers l’extérieur de son corps. Il les caressa puis en téta les bouts, sa bouche n’arrivant pas à recouvrir totalement ses aréoles foncées. Sandrine se laissait faire un peu tendue. Il y avait peu d’excitation en elle, juste le sentiment de découvrir et la peur de décevoir.



Elle approuva d’un petit signe de tête.



Sandrine s’exécuta. Pendant ce temps, il l’embrassait goulûment en pétrissant ses fesses, puis il caressa son sexe et y pénétra un doigt pour voir si elle mouillait. Elle ne mouillait presque pas. Christian n’était pas vraiment bien monté mais ça, elle ne pouvait pas le savoir, n’ayant aucune référence en la matière. Il bandait dur maintenant mais la main de Sandrine recouvrait la presque totalité de son sexe, juste le gland apparaissait.

Il modifia sa position de manière à le présenter au niveau de sa bouche.



Elle hésita encore puis, devant son insistance, finit par ouvrir la bouche. Il lui fourra son sexe à l’intérieur. Elle engoba le gland mais sans bouger.



Joignant les gestes à la parole, il lui prit doucement la nuque et marqua la cadence.



Son sexe n’était pas long, mais il l’enfonçait dans sa gorge et elle toussa en le retirant. Il lui prit la tête et le réintroduisit calmement. Elle avait pris le bon rythme et faisait maintenant des va-et-vient qui semblaient le satisfaire. Il se mit dans une position plus confortable et l’observa pendant qu’il lui pétrissait les fesses. Il se disait intérieurement qu’il avait de la chance d’être tombé sur elle.

La fellation dura longtemps. Elle s’arrêtait de temps en temps pour reprendre son souffle.



Elle ne répondit pas. Il se retira de sa bouche puis se mit sur elle en lui écartant les jambes. Sandrine ne disait toujours rien, elle savait qu’il était parfaitement normal qu’un homme couche avec sa petite amie et elle se laissait faire. Toutefois son excitation à elle était quasiment nulle, sans doute bloquée par l’émotion. Christian la pénétrera en lui posant les deux jambes sur ses épaules puis, une fois introduit, il entama les va-et-vient. Il éjacula presque de suite, sans doute trop excité pour pouvoir se retenir, c’est du moins ce qu’elle pensa. En fait, Christian était un éjaculateur précoce et pendant toute la durée de leur relation, il ne fut jamais capable de se retenir plus de deux minutes. Après avoir joui, il resta un long moment affalé sur elle. Elle avait les yeux grands ouverts et regardait le plafond…


À partir de là, tout alla très vite. Christian considéra que Sandrine était « sa » femme et elle se laissa aller dans cette situation qui, sans être idyllique, n’en était pas moins confortable. Un homme gentil et amoureux qui la gâtait. De plus, ses parents ne voyaient pas cette relation d’un mauvais œil, conscients du fait que leur fille était adulte et qu’elle était tombée sur un homme somme toute « bien ».


Christian eut l’opportunité de prendre en gérance une pizzeria à Maubeuge. Il l’annonça à Sandrine en lui proposant de le suivre et, pour que les choses soient claires, de l’épouser. Elle accepta.

La soirée de noces fut sympathique mais Sandrine n’affichait pas le bonheur qu’aurait dû vivre une jeune mariée. Elle n’avait jamais été vraiment amoureuse de son nouvel époux, sa principale motivation étant de fuir la tyrannie de sa mère.

Virginie était présente bien sûr. Elle était jalouse de sa copine qui se mariait alors qu’elle, elle n’avait jamais trouvé un homme qui lui propose autre chose qu’une relation rapide.


C’est à partir du moment où ils s’installèrent à Maubeuge que leur relation commença à se détériorer. Christian peinait à rentabiliser sa nouvelle affaire. Il travaillait dur pourtant, mais ils arrivaient tout juste à joindre les deux bouts. Sandrine de son côté regrettait d’avoir été obligée d’arrêter ses études seulement deux mois avant de pouvoir passer son bac, qu’elle aurait eu facilement d’ailleurs car elle était une bonne élève.


Ils décidèrent qu’elle devrait travailler et elle trouva un poste d’auxiliaire de vie auprès de personnes âgées, c’est-à-dire qu’elle leur faisait le ménage, préparait les repas et leur tenait compagnie.

Christian étant très jaloux, il s’obstinait à exiger de sa femme qu’elle s’habille de manière très prude et ne se maquille pas.


Les années passèrent sans qu’ils aient d’enfants car, après avoir passé des examens, il s’avéra qu’il était stérile. Son affaire n’étant pas suffisamment rentable, il se fit embaucher comme cuisinier. Il passait beaucoup de temps avec ses copains à discuter foot, jouer aux cartes et boire des bières.


Elle avait 35 ans maintenant et elle se posait de plus en plus de questions. Sa vie était sans intérêt. Si au moins elle avait eu un enfant, mais rien… Elle voyait le temps passer sans aucun espoir d’amélioration… Jusqu’au jour où elle décida que ça ne pouvait plus durer et elle annonça à son mari qu’elle voulait divorcer.


Il le prit très mal, bien sûr, mais elle ne lui laissa pas le choix.




DEUXIÈME PARTIE



Deux mois après elle s’installa dans un studio à Lille pour se rapprocher de sa famille et surtout s’éloigner de Christian. Elle trouva facilement un nouvel emploi d’auxiliaire de vie. Ce travail lui permettait de vivre modestement, son salaire suffisant tout juste à payer son loyer et lui assurer le minimum vital.


Elle renoua des contacts avec Virginie qui habitait à Lille, elle aussi. Sandrine avait besoin de parler, de se confier. Elles allèrent dîner un soir dans un petit restaurant du centre-ville.



Virginie lui choisit un beau jean moulant qui mettait merveilleusement ses fesses en valeur. Elle lui fit prendre des petits hauts dont un en satin pourpre avec un décolleté plongeant à vous faire damner un saint, un string et un soutien-gorge à balconnets.



Le soir avant de sortir, elle se maquilla, fond de teint, noir aux yeux, rouge à lèvres. Sandrine était métamorphosée.


Quand elles arrivèrent à cette soirée salsa, il y avait déjà beaucoup de monde, l’ambiance était bonne, la sangria et le punch coulaient à flots. Ça faisait très longtemps qu’elle ne s’était plus retrouvée dans une ambiance de fête.


Virginie fit les présentations. La soirée se passa agréablement mais Sandrine restait silencieuse, elle regardait surtout et écoutait les autres, un peu éméchée, la sangria faisant son effet. Lucien, qui se faisait appeler Lulu, ne la lâchait pas d’une semelle, la faisant danser et lui proposant des verres. Il était plutôt bel homme, assez élégant dans son costume gris, grand et costaud, crâne rasé. En fin de soirée, il lui proposa de la raccompagner.


Sandrine alla demander à Virginie ce qu’elle en pensait.



Virginie s’éloigna de Sandrine qui prenait un dernier verre avec d’autres amis pour se donner du courage et s’approcha de Lulu.



Virginie avait toujours été jalouse de sa copine qui était bien plus belle qu’elle. Elle savait que Lulu était un coureur de jupons et elle avait décidé de la lui offrir sur un plateau.


Arrivé pas très loin de chez elle, Lulu gara sa voiture dans un coin sombre. Ce scénario lui remettait en mémoire son premier flirt avec Christian. Elle se doutait de ce qui allait se passer… Sans préambule, il la prit par l’épaule et l’embrassa. Elle eut un mouvement de recul puis, se souvenant des consignes de sa copine, se laissa faire. Lulu lui fourra de suite la main sous son chemisier et attrapa son sein droit. Elle ne disait rien. Il lui défit son soutien-gorge.



Il redémarra la voiture, s’engagea dans un petit chemin sombre et se gara. Pendant ce temps, Sandrine avait reboutonné son chemisier. Quand il se pencha à nouveau vers elle, il lui dit :



Il sourit et la déshabilla à nouveau.



Elle obtempéra et le retira. Elle se retrouvait complètement nue.

Lulu, lui, était resté habillé. Il défit simplement son pantalon qu’il baissa sur ses genoux.



Elle avait l’habitude, Christian étant un adepte de la fellation. Sans discuter, mais un peu apeurée, elle prit le sexe dans sa bouche. Il était bien plus gros que celui de son ex-mari et elle eut de la difficulté à l’enfourner. Puis elle prit le rythme que Lulu lui imposait en lui tenant la tête. Quand il décida que c’était le moment, il mit le siège en position couchette, lui écarta les jambes et la pénétra profondément. En fait, il ne lui fit pas l’amour, il la baisa. Quand il eut éjaculé en elle, il resta un long moment sans se retirer puis se remit à sa place en allumant une cigarette.



Sans attendre qu’elle se soit rhabillée, il redémarra la voiture. Elle remit ses vêtements en roulant. Arrivé devant sa porte, il lui dit :



Elle monta les escaliers un peu triste, ouvrit la porte de son studio, se coucha tout habillée et s’endormit de suite.


En rentrant, Lulu téléphona à Virginie.



Le lendemain matin, elle téléphona à Sandrine.



Quand Virginie sonna à sa porte, il était 15 h. Elles s’installèrent sur le clic-clac qui lui servait de lit.



Elle éclata de rire.



Une fois éloignée, Virginie sortit son portable et chuchota.



Virginie tira la chasse pour faire « comme si » et revint.



Virginie lui faisait des signes et chuchotait pour lui dire ce qu’elle devait répondre.



Elle regarda Virginie, elle était rouge de honte.

Virginie la regarda en souriant.



Une demi-heure plus tard, Lulu sonna à sa porte, Sandrine lui ouvrit. Il écarta la serviette qu’elle tenait timidement devant elle. Elle avait toujours une taille fine. Sa poitrine n’avait plus la fermeté de ses 19 ans mais restait magnifique. Elle tombait légèrement, ce qui accentuait la forme en poires de ses seins. Ils étaient écartés les bouts vers l’extérieur. Ses hanches un peu plus larges et son cul toujours bombé.



Ce faisant, il défit sa braguette, abaissa son pantalon, la prit par les épaules et la mit à genoux. Il lui présenta son sexe droit comme un I.



Sans plus de commentaires, elle mit le gros sexe dans sa bouche, une main sur ses fesses, l’autre le branlant pendant qu’elle le suçait consciencieusement.



Elle s’exécuta. Puis, il la prit par la main et l’amena sur le clic-clac qu’elle avait mis en position-lit selon les directives de Virginie. Il la fit mettre en levrette et la pénétra profondément.



Il se retira, alla au frigo et prit la plaquette de beurre, il en coupa un morceau, revint vers elle et lui pasticha les bords de l’anus et le trou. Ensuite, tranquillement, il positionna son sexe devant le petit trou et la pénétra doucement. Elle ne put réprimer des petits cris de douleur au fur et à mesure que le sexe s’enfonçait en elle.



Elle ne répondit pas.



Ils passèrent une bonne partie de l’après-midi comme ça. Lulu était endurant, il alternait les positions, un coup en se faisant sucer et lécher, un coup en lui embrassant le minou, un coup en la baisant, un coup en l’enculant. Cette fois elle y prenait, elle aussi, un réel plaisir et une fois que sa gêne fut passée, elle en redemandait. Jusqu’au moment où il la fit mettre à nouveau à genoux, lui demanda d’ouvrir grand la bouche et se branla au bord de ses lèvres.



Elle acquiesça d’un signe de tête.

Il éjacula sur son visage. Une grosse quantité de sperme coulait sur son nez et sa joue.



C’est ce qu’elle fit.



La semaine passa tranquillement, Sandrine se remémorait sans cesse cet après-midi hard. Elle était partagée entre deux sentiments, la honte et la satisfaction d’avoir pris du plaisir. Deux fois, elle avait eu un orgasme.


Le téléphone sonna le vendredi soir, c’était Virginie.



Virginie détailla les qualités de Laurent, lui disant qu’il était attentionné, qu’il était drôle. Elle lui raconta les vacances qu’ils avaient passées ensemble avec un groupe d’amis, lui disant qu’il était le pitre de la bande. Bref, elle lui fit un argumentaire complet.



Quand elle se présenta chez elle, Sandrine était habillée très simplement, pantalon noir assez large et petit pull léger.



Elle revint avec un chemisier blanc, un peu transparent.



Quand Laurent arriva vers 21 h et que les présentations furent faites, il fut estomaqué de voir cette belle femme et comme Virginie lui avait dit qu’elle serait à lui, il en bandait déjà.

Ils restèrent ainsi à discuter de choses et d’autres, surtout de musique. À un moment, elle prit Sandrine à part.



Ils se réinstallèrent tous les trois au salon et Laurent dit :



Quand ils arrivèrent chez lui il mit le CD.



Il s’assit très près d’elle.



Elle ne répondit que d’un petit merci timide. Voyant qu’elle ne refusait pas ses avances, il s’enhardit et enfonça la main sous son chemisier. Elle ne disait toujours rien, se souvenant des consignes de sa copine. Il posa ses lèvres sur les siennes et fourra sa langue profondément dans sa bouche en la faisant tourner à un rythme rapide. Elle était un peu dégoûtée mais ne disait toujours rien. Il déboutonna son chemisier et dégrafa son soutien-gorge. Il fut surpris par la douceur et la fermeté des deux globes.



Ensuite, il la fit se positionner à quatre pattes pour la prendre en levrette. Mais cette fois, contrairement à la fois précédente avec Lulu, elle ne ressentit aucun plaisir, mais elle se dit qu’il valait mieux assouvir les désirs de cet homme en se promettant que ce serait la première et la dernière fois.

Ça dura trop longtemps pour elle… Il lui dit :



Alors, pour l’exciter, pour qu’il éjacule, pour que ça en finisse, elle lui dit les mots qui, elle le savait, allaient l’amener à la jouissance.



En effet, ça ne dura pas, dès qu’il entendit ces paroles, il fit encore deux ou trois va-et-vient puis éjacula dans un petit cri suivi d’un long soupir.



Elle ne répondit pas de suite, elle le laissa s’apaiser, puis chuchota :



Lorsqu’elle arriva chez elle, Sandrine se jeta sur son lit et se mit à pleurer, d’abord en hoquetant, puis elle se calma doucement, la tête contre l’oreiller. Puis elle alla prendre une longue douche chaude, se sentant souillée, et enfin elle s’endormit profondément pour un sommeil réparateur.


Le lendemain matin, elle entendit la sonnette. Elle n’attendait personne… Elle enfila son peignoir et alla ouvrir. C’était Virginie qui était là, avec un paquet de croissants qu’elle portait devant elle.



Le soir même, Virginie téléphona à Robert.



Ensuite, elle appela Sandrine.



Le lundi matin, elle se rendit au garage de Robert.



Un moment après.



Il la regarda longuement, ses cheveux tombaient sur ses épaules avec de jolies boucles. Même si elle n’était pas maquillée ni habillée de façon séduisante, elle dégageait toujours quelque chose de magnétique. Robert se rappela de ce que lui avait dit Virginie, il sentit son sexe grossir.



Il défit son pantalon et sortit son sexe.



Elle se mit à genoux et commença à le sucer lentement les yeux fermés. Il lui tenait la tête et, au fur et à mesure que son excitation montait, accélérait la cadence.



Maintenant, il avait pris la tête de Sandrine avec les deux mains et la faisait sucer de plus en plus vite.



Quand il finit par jouir, il stoppa d’un coup en la retenant pour qu’elle ne se retire pas.



Tout le restant de la semaine, Robert passa chez Sandrine pour aller chercher son « acompte ».

Il passait la nuit avec elle. Robert était un adepte de la sodomie. En arrivant, il se faisait bien sucer puis l’enculait et comme il était très viril, il se réveillait une ou deux fois dans la nuit pour l’enculer à nouveau puis se rendormait. Il savait que cette situation ne durerait pas et il voulait en profiter au maximum.

Le samedi comme promis la voiture était prête, Robert était un gars malgré tout correct. Il lui remit les clés de la voiture en lui disant :



Sandrine monta dans sa voiture et partit sans dire merci, ni quoi que ce soit.



Ce faisant elle raccrocha. Sandrine resta perplexe son téléphone à la main. Elle se posait beaucoup de questions et se demandait si elle avait raison. Elle allait se retrouver à nouveau seule. Avant, avec Christian, les choses étaient beaucoup plus simples, ils travaillaient tous les deux et arrivaient à avoir une petite vie tranquille, ils avaient même envisagé d’acheter une maison. Elle commençait à regretter son ancienne vie. Puis cette idée s’estompa. Jamais elle ne pourrait retourner vivre avec un homme qu’elle n’avait jamais aimé, qui buvait et qui ne s’intéressait plus à elle. Et puis, cette vie de routine sans intérêt, décidément non.


Elle décrocha le téléphone et composa le numéro de Virginie.



Le mercredi soir, Sandrine était jolie avec son jean moulant. Elle avait mis un petit pull rose un peu serré qui mettait en valeur sa poitrine. Elle était à peine maquillée et avait coiffé ses cheveux en queue de cheval. Elle avait un air sage et sexy à la fois.


Frédéric était un très bel homme, la quarantaine, divorcé, il avait deux enfants qui vivaient avec leur mère. Il dirigeait une agence immobilière. Il était grand et avait de beaux yeux bleus. Dès qu’elle le vit, le cœur de Sandrine se mit à battre fort. Avec les autres hommes qu’elle avait connus, c’était le jour et la nuit.


Ils passèrent une soirée très agréable. Frédéric avait de la conversation et de l’humour. Durant tout le repas, il paraissait être fasciné par Sandrine, il l’interrogeait sur ce qu’avait été sa vie, ce qu’elle aimait, ce à quoi elle aspirait. En fin de repas, Virginie demanda à Sandrine de sortir un moment avec elle. Elle voulait fumer une cigarette et détestait être seule.



Virginie retourna dans le restaurant et entraîna Frédéric dans un coin, ils parlèrent longuement. Ensuite elle ressortit.



Une larme coula sur la joue de Sandrine.



Frédéric régla l’addition et dit à Sandrine :



Il l’accompagna jusqu’à la voiture et lui ouvrit la portière. Ils roulèrent un long moment et il se gara dans un endroit tranquille. Il se pencha vers elle et l’embrassa… D’elle-même elle ôta son pull puis défit son soutien-gorge. Il lui caressa les seins doucement. Elle lui dit :



Il s’approcha d’elle et déposa un petit baiser sur le bout de ses lèvres, puis caressant sa nuque, il l’embrassa tendrement.



Une larme coula sur la joue de Sandrine, mais cette fois, c’était une larme de bonheur.