n° 14140 | Fiche technique | 8160 caractères | 8160Temps de lecture estimé : 6 mn | 12/11/10 |
Résumé: Observée à mon insu, la situation m'excite et me pousse à faire découvrir mon corps à un garçon. | ||||
Critères: fh jeunes complexe vacances douche fmast intermast init confession -camping | ||||
Auteur : Maelys Envoi mini-message |
C’était lors de mes premières vacances toute seule que j’ai perdu mon complexe sur la taille de ma poitrine.
Je venais juste d’avoir 18 ans (je sais, cela a déjà été fait). Mon bac en poche, on est parti à trois copines en vacances dans un camping de l’arrière-pays niçois.
On a planté notre tente en face – on n’a pas choisi – de deux tentes de quatre garçons qui étaient dans la même situation que nous, en vacances, après le bac. Dans ce groupe, il y en avait un qui était très grand (sans doute deux mètres ou pas loin). L’observation mutuelle, naturelle, nous a rapprochés. Les garçons ont tenté des approches plus ou moins fines. C’était très sympa malgré tout. Au bout de quelques jours, nous étions plus ou moins amis et nous avons partagé quelques repas du soir – tard – autour de nos tables de camping, mises en commun. Le grand gaillard, qui se prénommait Philippe, jetait souvent des regards timides vers moi et notamment mon buste, pourtant masqué par des t-shirts assez amples pour ne pas me mouler les seins. Il détournait rapidement le regard dès qu’il avait l’impression que je pouvais m’en apercevoir.
Plage, activités diverses, notre première semaine de vacances s’était vraiment bien passée.
Un matin, j’étais restée seule au camping. Les filles étaient parties faire des courses et je devais de mon côté, faire du rangement. Trois des quatre garçons, sportifs, avaient décidé de partir en randonnée pour la journée dans les montagnes environnantes. Restait Philippe, qui ne partageait pas les goûts de ses camarades pour les efforts sportifs.
Les filles devaient revenir en milieu d’après-midi et j’avais traîné, dans ma tente, lisant et écrivant quelques cartes postales. À 11 h, je me suis secouée un peu et je suis allée prendre ma douche. Les deux blocs pour les femmes et les hommes avaient des entrées séparées mais étaient installés dans le même bâtiment.
Je débutai ma toilette, me savonnai et commençai à me rincer. Les pommes de douche, fixées, ne permettaient pas de se faire du bien, mais l’eau qui coulait entre mes cuisses me donnait quelques envies et j’envisageais sérieusement de me donner un petit plaisir en enlevant la mousse de mon intimité.
Par réflexe (les murs avaient deux mètres, quand même), j’ai levé la tête pour vérifier que la confidentialité de mon acte était préservée. Surprise, la tête de Philippe dépassait du mur du fond de ma douche. Mes mains se portèrent instinctivement sur ma poitrine et ma vulve, afin de les cacher. La tête de Philippe disparut et je l’entendis sortir rapidement de sa cabine. Je finis de me rincer, sans pratiquer le petit plaisir que je m’étais promis, m’habillai et sortis du bloc, à la fois gênée d’avoir été observée à mon insu mais aussi un peu excitée d’avoir été l’objet de l’envie d’un garçon de voir mon corps.
J’arrivai à ma tente et jetai un œil sur celle de Philippe, fermeture éclair remontée. Je posai mes affaires dans ma tente et me dirigeai vers celle de Philippe.
Pas de réponse.
Toujours pas de réponse.
Je lui demandai si on pouvait continuer la conversation à l’intérieur. Il accepta et on s’assit sur les chaises de camping dans l’auvent et on discuta.
À ce moment, je me sentis troublée par cette naïveté et assez flattée qu’il me considère comme quelqu’un de désirable. Je choisis de donner une autre tournure à notre discussion.
Je le pris par la main. Il eut un mouvement de recul. Il se demandait ce qui allait se passer.
Je l’emmenai dans sa chambre, l’une des deux de la tente où ils étaient installés. La discussion m’avait excitée et j’avais envie de profiter de la situation, ce qui était, somme toute, la moindre des choses.
Philippe a les bras qui tombent. Il ne s’attend pas à cela.
J’ai enlevé mon t-shirt blanc et mon soutien-gorge. Philippe n’en perdait pas une miette et resta figé, les yeux rivés sur ma poitrine dévoilée.
Il s’approcha de moi et prit mes seins à deux mains, ce qui amplifia l’érection de mes tétons déjà durcis par le caractère excitant des circonstances.
Il s’exécuta avec une grande douceur. C’était bon !
Un peu maladroit, il les tira un peu fort et j’eus un peu mal et je me dégageai. Il avait une belle érection sous son short que je baissai en même temps que son slip et sa verge m’apparut, pas très grosse mais assez longue et recourbée. Il eut un tressaillement quand je la saisis et la caressai.
Sans plus attendre, je quittai mon short et ma petite culotte. Il regarda avec attention ma toison. J’écartai les cuisses en lui disant quelque chose d’indécent qui me fait mouiller encore aujourd’hui :
Sans être coincée, il ne m’était jamais arrivé de dire quelque chose d’aussi cru. Il approcha ses mains, toucha ma toison et fit glisser ses doigts dans la fente de ma vulve déjà humide, mais sans oser écarter mes grandes lèvres qui ne demandaient que cela.
Il s’exécuta avec moins de réserve, touchant mes petites lèvres, passant son doigt entre, effleurant mon clitoris mais évitant le vestibule de mon vagin. Ma respiration s’était accélérée et j’avais envie qu’il me donne du plaisir.
Il introduisit le majeur puis l’index dans mon vagin, d’abord de manière hésitante, puis en tournant mais sans appuyer sur la partie antérieure. Je lui pris la main, lui montrai comment faire et il parvint à me donner un orgasme après de longues minutes, moi me touchant les seins. Je retirai sa main de mon vagin au moment des contractions.
Il s’enhardit et me demanda :
Je lui pris la verge et je le masturbai lui caressant en même temps les testicules. Il éjacula assez rapidement aspergeant ma poitrine et mon cou d’un jet abondant.
Quelques jours plus tard, je lui fis découvrir l’amour, dans un bois pas très loin du camping, mais c’est une autre histoire.
Depuis cette journée, je sais que mes seins attirent les hommes et je ne complexe plus sur leur taille importante.