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n° 14143Fiche technique19184 caractères19184
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Temps de lecture estimé : 12 mn
14/11/10
Résumé:  Nathalie, prof de math, écrit à sa copine Caroline ses aventures érotiques.
Critères:  fh inconnu collègues magasin pied intermast journal -magasin -prof
Auteur : Albertine
Lettre à Caro - 1

Caroline chérie,


D’accord, j’ai des beaux pieds mais je n’avais pas de culotte.

Déjà la première ligne de ma lettre me donne un choc dans le ventre, je contracte ma chatte une fois, deux fois. Zut, il faut que j’arrête ; je ne peux tout de même pas me faire jouir devant trente ados qui font semblant d’étudier.


Ces surveillances sont assommantes. Heureusement, je peux t’écrire mes petites aventures cochonnes, je sais que tu aimes cela, sale fille !

On est à la veille des vacances mais il ne fait pas assez chaud pour être nue « en dessous », non tu ne trouveras pas l’explication.


J’ai un contrat avec le secrétaire de l’école, tu sais Albert qui va prendre sa pension l’année prochaine, je lui fais un petit plaisir et il me remplace à la surveillance du midi quand j’ai besoin d’un peu de liberté. Voilà comment c’est arrivé :


Il faut signer le registre des présences dans son bureau, il s’arrange toujours pour qu’on signe debout à droite de sa chaise, il regarde bien sagement ta signature avec un petit coup d’œil au décolleté éventuel mais rien de plus, c’est un rite depuis des années aussi je suis restée ahurie quand un jour il me dit :



Je suis sortie du bureau comme une flèche mais le lendemain avec un air penaud il recommence :



Sa voix tremble, pourtant il me regarde fixement – comme on doit regarder la rue quand on est décidé à se jeter par la fenêtre – c’est moi qui baisse les yeux mais je ne me sauve pas cette fois. Sa main est sur le bureau, à quelques centimètres de ma hanche, je la regarde « Albert, à quoi pensez-vous ? ». Je dois faire un effort pour sortir calmement.


Pendant l’étude, j’ai eu tout le temps d’y penser, à la main d’Albert entre mes cuisses pendant que je signe les présences. Bien sûr, c’est un grand classique, un fantasme de tous les hommes mais là, dans un bureau, à l’école et puis surtout que ce soit prévu, que je vienne vers lui en sachant ce qu’il va faire. Aucun homme ne m’a dit, droit dans les yeux : « maintenant je te mets la main au cul ».


Au fait, que veut-il faire exactement ? C’est pas si grave, je mettrai un slip bien serrant, il pourra tout au plus caresser mes fesses et je sais ce que je vais lui demander en échange.


Le lendemain même refrain :



Moi aussi j’avais pensé à cela, en me penchant pour signer je murmure à son oreille :



J’entends « Ouuui » comme s’il allait mourir.

Je reste penchée le Bic en suspend, sans le regarder ; je sens le bout de ses doigts monter entre mes jambes. Il passe la dentelle des jarretières et touche ma peau nue puis mon slip ; il pousse un peu sur le tissu entre mes fesses, je me retire vite et je lui dis :



Il me regarde comme un égaré et répète « Ouui » et, en effet, quand je suis entrée à l’étude, il était assis à ma place.

Et ta culotte me diras-tu ? Le lendemain il avait repris ses sens et il me dit :



Ce sympatrique et honorable vieux salaud voulait toucher ma chatte nue. Crois-moi, je déteste tellement surveiller l’étude que j’ai marché ; il n’est pas horrible, il ne transpire pas, il a des mains soignées, je ne risque rien, tout le monde entre et sort de ce bureau. Au moindre geste « non convenu » si pas inconvenant, je suis dehors. Bon, je me justifie comme je peux, tu sais que j’aime les situations scabreuses.


Depuis ce jour, le jeu est établi. Habituellement je m’écarte de lui pour signer et, quand j’ai envie qu’il me remplace, je signe à ses côtés en prenant mon temps, j’écarte un peu les pieds et je me cambre. Sa main monte directement en haut de mes bas ; je dois reconnaître qu’il n’est pas maladroit, il garde sa main tendue, pouce vers le haut, ainsi elle glisse facilement entre mes cuisses jusqu’à mon absence de culotte.


Ses doigts ondulent comment un poisson sur ma chatte pour faire sa place et écarter les lèvres ; son pouce appuie légèrement sur ma petite entrée. La première fois, je me suis crispée de ce côté-là, mais il ne force pas, il fait vibrer son pouce et je sens que je me détends, j’ai même envie qu’il entre.


Je suis excitée par l’idée avant de le sentir. Il suffit d’une petite poussée vers le haut et mon sexe s’ouvre, son index glisse tout seul entre mes lèvres ; je le laisse faire un va-et-vient chaud et mouillé. C’est bon, j’ai envie de m’ouvrir, je dois m’appuyer au bureau ; ça monte dans mes reins, dans ma gorge, mais je me retire vite avant qu’il ne touche mon clito, je ne pourrais plus me retenir. Après, je vais me faire jouir dans les toilettes, lui aussi je suppose (en suçant son doigt, lequel ?).


Attends… au premier rang un ado vient de faire tomber quelque chose, je connais le truc pour essayer de voir sous mes jupes et prendre une photo avec son portable. Je fais très attention dans cette classe, le prof à une simple table à tiroirs comme les élèves. Pendant que je te raconte des cochonneries, ma jupe est sans doute remontée. Tu sais que je m’habille assez long, mais avec de l’ampleur qui danse, cela permet à l’ami Albert de dégager sa main en cas d’alerte et bien d’autres audaces que je te raconterai.


Pauvre Albert, quand j’entre dans son bureau, il prend son air du chien qui voit arriver sa pâtée, (agite-t-il sa queue ?). Il m’a violée par attouchement trois fois le mois dernier, je vais le faire languir quelques semaines, mais comment cela se terminera-t-il ?


Tu dois penser que j’en fais beaucoup, c’est vrai que le geste est assez banal et souvent agaçant à domicile, spécialement pendant la vaisselle, j’essaie de comprendre « scientifiquement » ce qui m’excite dans ce genre de situation.


Il faut avant tout que je me sente belle, qu’il ait une vraie bouffée de désir et pas une simple envie de jouer ou de dominer. Il faut qu’il y ait transgression de règles sociales ou morales, il faut l’imprévu mais dans un climat sensuel. Il faut que je sois maîtresse de la situation, que je puisse arrêter à ma guise. Tu vas sans doute ajouter : « il faut oublier sa culotte », oui, cela arrive ou alors je l’enlève, mais c’est dans une autre histoire…


À propos, je te parlais de mes pieds, il est temps d’y venir, comme dirait Madame de Sévigné.


Ce matin, j’ai pris un tram trop tôt, je dois signer à 10 h 30 et il est à peine 9 h 30 quand je passe devant le magasin de chaussures, tu sais le magasin près de l’école. Le vendeur est sur le seuil, c’est un nouveau, il a l’air d’un violoniste Hongrois dans un tablier blanc de pharmacien.

Je sais qu’il va me baratiner mais j’ai une demi-heure à perdre, alors pourquoi pas ? Je te raconte au présent, je m’y crois encore tellement c’est « raide ».


J’ai ma jupe large à godets, pratique pour créer des audaces si excitantes en public mais un peu décourageante pour un gamin qui débute dans la vente de chaussure pour dames. Je décide de l’aider et quand il me présente la première paire d’escarpins, je relève ma jupe au-dessus des genoux pour me déchausser.


J’ai toujours adoré exciter les hommes, je crois que ma première expérience, je la dois à mon père. Impossible de me rappeler à quel âge, c’était devant la télé, il m’avait déjà dit plusieurs fois :



Je ne comprenais pas, alors il a pris une latte de mon cartable et l’a pointée entre mes jambes et il a dit :



Il est devenu tout rouge et il est parti à la toilette. Moi j’ai eu un choc dans le ventre que j’ai compris plus tard.


J’ai appris à créer cette tension du désir sexuel empêché par les conventions de la société, la morale, la pudeur ou de la peur. Je sais aussi que pour être excité, le mâle doit sentir que la femelle qui le provoque est chaude, elle doit transpirer le parfum du désir en se dérobant (autrement dit, elle doit mouiller), sinon ce n’est qu’une simple allumeuse.


Sur mon vendeur le mouvement de ma jupe a un effet immédiat, il rougit :



Il avance un petit tabouret, s’assied et d’autorité place mon pied droit à l’endroit prévu. Je ne proteste pas et il attaque la fermeture du bracelet de cheville, c’est dur, je m’y casse parfois un ongle, il panique et se met à genoux. Pour mieux voir.



Il débite tout cela le regard perdu, on ne me l’avait pas faite aussi poétique au départ d’un soulier. Pendant que j’écoute bêtement sa tirade, il a pris mon pied et le soulève, dix secondes de rêve et ma jupe est remontée jusque la dentelle de mes bas. Son regard n’était pas si perdu que cela, il a de l’avenir dans la chaussure, ce grand garçon, mais le charme fait place à la réalité. Et si c’était un violeur ? On dit qu’ils sont psychologues, qu’ils savent mettre les femmes en confiance.


Je suis assise sur la banquette qui court le long du mur, je sens que je vais crier, je panique, je me cramponne au bord des deux mains, si je lâche je vais tomber sur lui, comment attraper ma jupe ?

Je hurle :



Il continue sa litanie :



Je n’écoute plus, des gens passent dans la rue, je crie ? Non, je serais ridicule. Il a réussi à enlever ma chaussure et garde mon pied serré dans ses mains, j’essaie de le retirer mais je glisse et ma jupe ne suit pas… horreur, c’est le jour d’Albert et je n’ai pas de culotte !



Je dois faire quelque chose, des images défilent à toute vitesse, il me viole, je crie, des gens entrent et le tirent en arrière ; il se débat, il n’arrête pas de répéter : « elle n’a pas de culotte, la salope ». Non, il faut trouver autre chose… Je respire un grand coup et je lance mon pied pour le repousser, pour le basculer. C’est raté, il est toujours à genoux et tient mon pied plaqué contre son ventre, ma jupe est redescendue, de ce côté c’est gagné.


En cas de viol il paraît qu’il faut parlementer, je vais essayer calmement :



Je ne peux m’empêcher de rire à cette image, tu sais que j’adore sentir une petite brise sur mon ventre nu, je réplique :



Le coquin sait y faire, il a retrouvé de l’aplomb, j’ai presque oublié le risque de viol et pourtant ça ne peut que mal finir.

Je ne vois pas comment m’en tirer. Dans une minute, il va me supplier de toucher mes bas, puis mes cuisses, et après ? Pendant que je fais des plans, mon adorateur fait des progrès, il a fait glisser mon pied vers le bas, je sens qu’il l’appuie sur son sexe et qu’il bande, me voila bien embarquée.


J’ai une idée, à son âge on jouit vite. Dans le fond, si je le fais décharger, il me fichera la paix ; je ne peux pas imaginer baiser au milieu du magasin à deux pas de l’école et pourtant il faut qu’il jouisse sinon il ne me lâchera pas. C’est décidé, je vais l’exciter à fond.



Et, comme si j’avais confiance, je tire sur ma jupe et je lui laisse voir un peu au-dessus de la dentelle. Il fait semblant de réfléchir mais je sens qu’il frotte la plante de mon pied sur son sexe. J’ai toujours adoré ça, je trouve que le pied est aussi sensible que la main ; sur un membre nu bien dressé, je fais des merveilles avec mes orteils.



Avoue que l’image fait mouiller ! C’est du Baudelaire amélioré, il ne faudrait pas que je jouisse avant lui, je fonce :



Et il se déboutonne et sort de son slip un beau sexe d’adolescent bien droit. Je le couvre immédiatement de mon pied comme si je ne croyais pas qu’il allait le faire et que je suis choquée. Je commence aussitôt la danse des orteils sur son gland, il me regarde en suppliant comme Albert alors je remonte ma jupe.


J’ai l’habitude de cette mise en scène mais chaque fois je me laisse prendre au jeu et cela finit toujours par un orgasme. Je garde les genoux serrés et je rassemble le tissu avec précaution pour ne pas le froisser. Je prends mon temps avec des hésitations et puis, abandonnant toute pudeur, comme il est convenu de dire, je relève tout d’un coup jusque la ceinture ; je veux montrer mes hanches et mon ventre avant, il n’y a pas à dire c’est beau ! Sur mon apprenti sculpteur, l’effet est foudroyant, il débanderait d’admiration si mon pied ne continuait pas à soutenir son moral.



Je lui jette cela à la figure comme une maîtresse sado-maso. Bingo, il prend son mouchoir ; j’abandonne son sexe et j’écarte les cuisses, très fort sans retenue, je sens ma chatte qui s’ouvre, je baisse les yeux brusquement gênée. Il réussit à créer un tel climat de sensualité que je me trouve dans cette situation extravagante de montrer mon ventre à un marchand de souliers inconnu.


Ce n’est pas moi cette fille impudique, jambes écartées, sexe offert. Trop tard je vois ma grosse touffe noire (elle est vraiment grosse, tu verras) entre mes cuisses ouvertes, je la sens trempée, il doit voir mes lèvres rouges, luisantes comme je les vois quand je me fais jouir devant mon miroir.


Et mon petit ami ? il se branle sans modération et ne quitte pas des yeux ma fente ; je ne bouge pas mais je ne peux empêcher que mon ventre se contracte et pousse vers lui mes hanches, toute ma vulve, je m’ouvre encore plus. Enfin le sperme vient, comme Malherbe dans Boileau. Il est secoué de décharges, la bouche ouverte, il tombe sur ses talons ; je ne connaîtrai pas la fin de son plaisir, je récupère ma chaussure et je file.