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n° 14148Fiche technique13100 caractères13100
Temps de lecture estimé : 8 mn
18/11/10
Résumé:  La maturité et la jeunesse découvrent les avantages de l'un et de l'autre...
Critères:  fh fagée jeunes extracon grosseins voir exhib lingerie hmast fellation pénétratio -totalsexe
Auteur : Ddpolo914            Envoi mini-message
La femme du proprio

Cette histoire se passe il y a quinze ans maintenant, dans les alentours de Liège en Belgique. J’avais 20 ans à l’époque et je louais un appartement au père de ma meilleure amie, Sophie.


On est amis depuis plusieurs années donc je connais très bien sa famille, je suis d’ailleurs déjà parti plusieurs fois en vacances avec eux.


Un jour, je rentre chez moi et je découvre plein d’eau dans le hall d’entrée. Ça vient du plafond, la salle de bain est juste au-dessus. Le verdict tombe assez vite, canalisation percée… tout est tellement trempé que le carrelage se décolle, il va falloir refaire toute la salle de bain. Au minimum quinze jours de travail.


Le père de mon amie m’annonce qu’il n’a pas d’autre appart’ pour me loger en attendant. Il me propose donc d’aller vivre chez eux durant les travaux ; de toute façon j’y vais souvent dormir, vu que quand je suis trop bourré durant nos sorties en boîte, Sophie me ramène chez eux. Elle vit juste à côté mais préfère me faire dormir dans son ancienne chambre chez ses parents plutôt que dans son divan. N’ayant pas d’autre possibilité, j’accepte, et puis il faut dire que ça me rapproche bien du boulot que j’ai en ce moment.


Me voilà donc à vivre chez mon proprio pendant quelques jours, voire semaines. Mon proprio est quelqu’un de super-sympa, il a créé sa propre société qui marche bien, il bosse beaucoup pour ça. Sa femme ne travaille qu’à mi-temps comme réceptionniste dans une société ; elle n’a pas besoin de travailler mais ça l’occupe. Je l’ai toujours trouvée bandante, elle s’habille souvent en tailleur, jupe ou robe avec des chaussures à talons et elle a des formes que je trouve terrible, des rondeurs juste là où il faut.


Au début, je ne les vois pas beaucoup. Je travaille la nuit pour les quinze premiers jours, je pars le soir vers 21 h 30 et je rentre le matin vers 6 h 30, je prends le petit déjeuner avec eux, puis ils partent travailler et me laissent seul à la maison, je prends une douche puis je pars me coucher.


Le début de la première semaine se passe comme ça, sans vraiment rien de spécial. Je suis ravi d’arriver au mercredi après-midi pour passer du temps avec la femme de mon proprio ; elle travaille les lundi et mardi toute la journée et le mercredi matin. J’ai d’ailleurs profité de mes premiers jours, seul à la maison, pour me rendre compte que sa garde robe est bien remplie question lingerie et mes douches matinales sont rythmées par des masturbations frénétiques en pensant à elle.


Les jours où elle ne travaille pas, dès que je me réveille, je l’aide à faire les courses ou à faire deux ou trois bricoles à la maison ; elle me flatte en me disant que cela lui fait du bien d’avoir un homme à la maison de temps en temps.


Le samedi matin, en rentrant du travail, pas de déjeuner, je monte me laver et, dans le couloir, j’entends du bruit venant de la chambre des proprios. Je m’avance sans faire de bruit et je le vois en train de besogner sa femme en levrette ; je n’ai pas une super vue d’où je suis, mais suffisante pour voir qu’elle a une bonne grosse paire de seins qui balancent sous les coups de butoir de son mari. Elle aime ça visiblement :



Il redouble d’ardeur et se vide en elle. Je m’éclipse et fonce directement dans la salle-de-bain prendre une douche. J’ai une trique d’enfer suite à ce que je viens de voir et je me masturbe comme un fou sous la douche lorsque la femme du proprio entre, me regarde, soulève sa robe de nuit, baisse sa culotte, s’assoit sur les toilettes et commence à pisser sans me quitter des yeux.



Je recommence une lente masturbation en la regardant et surtout en pensant à ce que je pourrais lui faire. Elle m’encourage :



Après quelques minutes, j’explose et ma semence gicle sur les parois vitrées de la douche.



Je suis un peu mal à l’aise à mon réveil et je me demande comment va se passer la fin du week-end avec eux. Mais plus rien ne se passe, mon proprio me demande juste si j’ai entendu quelque chose en rentrant le matin et sa femme fait comme si de rien n’était.


Je retourne donc travailler le lundi soir et revient prendre le petit-déjeuner avec eux le mardi matin. Mon proprio part travailler, sa femme est prête peu après, toujours habillée aussi sexy ; je la regarde sortir et monte me laver. En mettant mes habits dans le bac à linge, je remarque une paire de bas et un porte-jarretelles. En voyant ça, je suis déjà excité et je commence à me masturber avec la paire de bas. Le contact du nylon sur mon sexe m’excite terriblement et il ne me faut pas longtemps avant d’exploser sur le carrelage de la salle de bain…



Elle était là, juste à la porte de la salle de bain !


Voyant mon interrogation sur le visage :



Et, à nouveau, elle s’en va…


Le lendemain matin, après le départ de son mari, alors que je suis toujours assis à table, elle revient dans la cuisine et me dit directement :



Elle entre dans le salon, s’assoit sur le divan et me dit de me mettre à côté d’elle, qu’elle voit bien ma queue.


J’enlève mon bleu de travail, m’assied, prend ma bite directement en main et commence à me masturber en la regardant. Elle a les yeux rivés sur ma bite.



Elle relève sa robe jusqu’à la taille, juste assez pour voir qu’elle porte un porte-jarretelles avec des bas couleurs chair avec juste un petit string.



Je lui prends la main et la pose sur ma bite tout dure…



Elle ne s’attendait visiblement pas à ça, elle reste quelques instants sans réaction et, alors que je me branle doucement, avec sa main elle me repousse, attrape ma bite et recommence à me masturber lentement en me regardant.



D’une main, elle me branle lentement et de l’autre m’astique les couilles ; je suis au bord de l’explosion. Je me tourne vers elle, lui attrape la tête et l’embrasse. Après un moment d’hésitation, elle ouvre la bouche et nos langues s’entremêlent. Tout en l’embrassant, elle continue à me masturber et moi je commence à lui peloter les fesses, les seins, l’entrejambe.



Et elle me renfourne sa langue dans ma bouche, je la pelote de plus belle, détache sa robe, la fait glisser jusqu’à ses hanches et dégrafe son soutien-gorge, Je lui malaxe les seins et abandonne sa bouche pour lui téter les mamelons.



Tout en m’affairant sur ses seins, d’une main j’écarte son string et commence à la doigter ; elle est trempée tellement elle mouille. Elle écarte les cuisses en grand pour me laisser faire et je la doigte de plus en plus fort. Elle gémit de plus en plus, je me mets alors entre ses jambes, lui enlève son string et lui enfourne ma langue dans sa fente.



Elle est complètement offerte, et me plaque littéralement le visage sur sa chatte. Je joue avec ma langue sur son clitoris et il ne faut pas longtemps pour que je la sente se crisper, son corps plein de spasmes.



Et alors qu’elle se redresse :


À moi maintenant !


Je présente ma queue face à elle :



Je lui saisis le visage et enfourne ma bite dans sa bouche.


Elle ne rouspète même pas, attrape ma bite et me pompe comme une folle, elle m’aspire, me lèche, l’enfourne jusqu’au fond de sa gorge tellement fort qu’il ne me faut que quelques minutes pour lâcher tout mon jus dans sa bouche. Elle continue de me pomper jusqu’à la dernière goutte tout en me regardant droit dans les yeux.


Elle se lève, m’embrasse à nouveau :



Mais moi j’en veux encore maintenant… en la ramenant contre moi.



Allez, juste un dernier baiser avant de partir. Et je lui roule une pelle d’enfer.



Évidemment, on s’excite mutuellement et alors que je lui pelote à nouveau les seins et les fesses, elle ondule du bassin pour faire coulisser ma bite le long de sa fente qui mouille tant et plus.

N’y tenant plus, je la soulève, la porte et la couche sur la méridienne, relève ses jambes contre mon torse et la pénètre d’un seul coup.


Je lui donne des grands coups de queue et il ne lui faut que quelques allers-retours pour avoir un nouvel orgasme. Je la besogne sans ménagement, alternant les mouvements rapides et lent, sortant ma queue jusqu’à l’entrée de sa grotte pour y replonger d’un grand coup jusqu’au fond.



Elle se met à quatre pattes sur la méridienne, je lui lèche la chatte puis la prend sauvagement en levrette. Elle gémit de plus belle :



Et elle part dans un nouvel orgasme qui m’excite tellement que je jouis aussi et lâche toute ma semence au fond d’elle…



Nous nous embrassons encore.



Je lui tends ses vêtements mais je garde le string, faudra qu’elle aille travailler sans, elle s’habille, revient vers moi, m’embrasse à nouveau et me saisit la queue :



La suite bientôt si ça vous dit…