n° 14152 | Fiche technique | 8030 caractères | 8030Temps de lecture estimé : 5 mn | 21/11/10 |
Résumé: À la terrasse du bar puis devant la cheminée. | ||||
Critères: fh ffh caférestau exhib fellation confession -couple | ||||
Auteur : Serjetcoco (Serj, Coco et leurs petites confidences) Envoi mini-message |
À la terrasse d’un bar
Ce jour-là, nous décidâmes de mettre en place un nouveau petit jeu. Colette portait une adorable jupe serrée et plutôt courte, ainsi qu’un chemisier suffisamment transparent pour laisser deviner sa délicieuse anatomie. Nous arrivions à la fin du mois de septembre et les journées étaient encore plutôt belles.
Elle en ressortit avec ce joli petit ensemble agrémenté d’une veste mi-longue et d’escarpins dont je raffolais. Sa cheville brillait et donnait à ses jambes bronzées une allure magnifique. Je la trouvai particulièrement craquante et désirable. Je m’approchai et l’enlaçai. Elle sentit que je voulais la caresser et doucement, avec un sourire espiègle, elle me repoussa et me pria d’attendre un peu pour découvrir son petit jeu du jour.
Nous décidâmes de partir le long de la côte et d’aller marcher main dans la main sur le port de Carantec. Le temps était vraiment clément. Arrivés le long des quais, elle m’invita à nous asseoir à la terrasse d’un café particulièrement bondé sous ce ciel bleu. Derrière ses lunettes de soleil, je ne voyais pas ses yeux, mais je savais qu’ils brillaient de cette malice que j’appréciais tant. Face à moi, et dos à la mer, je pouvais l’admirer en toute impunité sans que quiconque ne puisse en voir autant que moi.
C’est là qu’elle démarra son jeu. Doucement elle souleva une jambe pour la croiser sur l’autre et je compris à son sourire qu’elle me demandait de regarder le haut de ses cuisses. Intrigué, j’observais et m’aperçut qu’elle ne portait pas de culotte. Son sexe rasé de près, était couvert d’une petite toison très courte qui laissait apparaître ses lèvres offertes comme un coquillage merveilleux. Elle se pencha alors vers moi et je vis que ses seins étaient aussi libres que l’air. Ses pointes s’imprimaient sur le tissu du chemisier.
Je ne voyais déjà plus la mer, ni le petit port. Sa veste lui permettait de poser sa main sur la jambe et d’un doigt, elle se caressa la cuisse. Mon érection fut immédiate. On nous servit deux cafés. Elle attrapa sa tasse, but une gorgée en me souriant et lorsque qu’elle la reposa, eut le temps de glisser un doigt vers son intimité, sans même que l’on puisse la voir de la terrasse. Personne ne pouvait se douter à part moi, de son petit jeu. Puis elle me tendit la main que j’embrassais avec délicatesse ; mon sexe durcit un peu plus en sentant l’odeur absolument merveilleuse qui s’en dégageait.
Elle acquiesça d’un sourire qui en disait long.
Elle décroisa les jambes, se retourna pour se lever et alors que je réglais l’addition je vis que notre voisine de table n’avait rien perdu de la scène. Ni Colette ni moi n’avions vu qu’elle avait le regard porté sur nous…. Je vis par contre à ses joues devenues roses que le jeu de jambes de ma compagne l’avait troublée.
En remontant vers la ville, nous prîmes un petit chemin bordé de pins et là, seuls, mais au risque de nous faire démasquer, Colette me laissa la caresser longuement, une main sous sa jupe, l’autre sur son corsage tandis qu’elle-même m’embrassait fougueusement et me massait l’entrejambe. Plus tard, elle m’avoua avoir vu notre voisine de table nous regarder mais que cette situation m’étant réservée, elle n’avait pas voulu s’arrêter en chemin. Nous partîmes d’un même râle… Je venais pour la énième fois d’être envoûté…
ooo000ooo
Devant la cheminée
Direction la maison à travers les rues pittoresques et les chemins sauvages de bord de plage. Régulièrement nous nous arrêtons pour nous adonner à un baiser passionné. Nous partageons le goût commun de s’embrasser avec un jeu de nos deux langues humides et sensuelles. Nous jouons beaucoup de nos langues, qu’elles servent à se dire des mots doux, ou qu’elles servent à se découvrir l’un l’autre. Dans un bouche-à-bouche enflammé, elles rivalisent de caresses et de curiosité tel un sexe d’homme explorant l’intimité intime de sa partenaire. Colette peut alors ressentir combien une pénétration, serait-elle de sa langue dans ma bouche, est délicieuse.
Nous arrivons enfin et c’est avec délice que nous nous installons devant une bonne flambée. Nos regards se croisent et sur le canapé, Colette s’allonge lascivement, jupe remontée et doigts mutins écartant ses lèvres intimes. L’appel est sans équivoque. Je plonge ma tête vers le coquillage offert ; y poser mes lèvres est aussi doux que sur sa bouche. Les petites lèvres, parfaitement ourlées, sont demandeuses et rapidement Colette se met à gémir. Son intimité sent le miel. Le petit bouton tant convoité est gonflé ; je le titille doucement de la pointe de la langue, puis je l’aspire littéralement. Ma verge est dure comme de l’acier et je remercie intérieurement ma douce compagne de la libérer et de la masser alors que je suis venu tête-bêche sur elle.
Prit d’une frénésie de plaisir, elle pousse ma nuque pour mieux l’embrasser, toujours plus goulûment tandis que du bout de ses ongles, elle me gratouille la verge et les bourses avec une infinie douceur. À un moment donné, elle se cabre et jouit dans ma bouche avec un grand gémissement.
Peu après, elle prend le relais, me couche à mon tour sur le canapé et, telle une chatte nettoyant son petit, entreprend de lécher ma hampe durcie, qu’elle aime à appeler ma petite épée de hussard ; jeu de langue sur mon gland ; découverte de chaque millimètre de mon sexe jusqu’à sa base, puis aspiration au cœur de sa bouche devenue un nid merveilleux. Elle sent que mon plaisir monte, que je ne vais pas tenir bien longtemps. J’ai une envie impérieuse d’éjaculer en fortes saccades. Elle le sait, en joue et en rejoue, à genoux le long du canapé. Pendant ce temps je caresse ses cheveux et regarde cette bouche avide engloutir mon membre. Elle fait durer le plaisir. D’une main experte, elle se met à me branler et vient m’embrasser. Nos langues se confondent à nouveau.
Je n’en peux plus, je la préviens que je vais devoir lâcher ma semence, qu’elle va l’inonder et que c’est délicieux, trop bon, trop fort. Je n’ai plus de mots, tellement la sensation m’électrise. Je regarde son corps parfait, abandonné, la jupe relevée sur des fesses merveilleuses et là, j’aperçois sa main qui cherche son sexe pour de nouvelles caresses.
C’en est trop pour moi, je craque et me laisse aller. J’ai l’impression que de la jouissance sort à l’état solide de ma verge. Je hurle de bonheur. Elle en profite pour me caresser les bourses d’un geste expert. Mon éjaculation semble ne plus jamais s’arrêter. C’est un régal sans nom. Je tombe en extase, vidé, exténué, sans plus aucune force. Elle laisse couler ma semence sur ma verge. Elle redresse la tête, me regarde et jouit à son tour. Puis elle m’embrasse et c’est moi cette fois-ci qui goûte sur sa bouche, les effluves de mon envie…
Colette se serre contre moi, le feu crépite, nous sommes aux anges, au septième ciel à côté d’eux.