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Temps de lecture estimé : 17 mn
23/11/10
Résumé:  Après deux ans de planification pour un voyage en France, j'avais aussi planifié une visite dans un club échangiste de Paris. Ce fut une surprise pour ma conjointe mais encore plus pour moi en voyant son comportement au cours de la soirée.
Critères:  2couples fbi couplus inconnu boitenuit danser intermast fellation cunnilingu préservati fist pénétratio double échange québec -libercoup -extraconj
Auteur : Botine  (Une soirée à Paris dans un club d'échangistes)      
Une soirée à Paris

Je me présente : mon prénom est Frédéric mais Léa, ma conjointe depuis cinq ans, me surnomme Fred. Je mesure 1,82 m et Léa fait 1,69 m. Nous sommes dans le début de la trentaine. Nous travaillons tous les deux dans le domaine de la santé. Elle est infirmière et je suis médecin généraliste. Nous sommes ouverts d’esprit au niveau sexuel. Nous n’avons jamais cherché à regarder ailleurs. Nous aimons le sexe et nous en profitons régulièrement. Nous n’avons pas d’enfant encore. Nous sommes peut-être égoïstes mais nous pensons à notre carrière pour l’instant.


Depuis deux ans, nous planifions un voyage en France vers le mois de mai ou juin d’une durée d’environ un mois. Une semaine à Paris à visiter à pied et trois semaines à l’extérieur de Paris en voiture. Nous sommes assez sportifs. Nous avons déjà loué notre hôtel à Paris et nous sommes probablement aussi fébriles à préparer notre voyage qu’à le vivre. Tout ce que je vous écris est du passé, nous avons fait notre voyage en France, nous sommes revenus et certaines soirées nous regardons, Léa et moi, les photos et vidéos que nous avons rapportées. Naturellement, il y a certains endroits où nous n’avons pas pu prendre de photos et vous allez comprendre pourquoi. Laissez-moi vous raconter ce qui s’est passé lors de notre dernière soirée à Paris.


Naturellement, comme tous les touristes québécois nous avons vu la tour Eiffel, l’Arc de Triomphe, la cathédrale Notre-Dame, le Sacré-Cœur, Montparnasse et j’en passe. Nous avons apprécié l’architecture française ; par contre, il ne faut pas oublier que nous n’avons que 460 ans d’histoire au Québec comparé aux milliers d’années en Europe.


Donc pour cette dernière soirée nous avons pris notre repas du soir dans un restaurant sur les Champs-Élysées. Fruits de mer accompagnés d’un blanc légèrement fruité, avec une mousse au chocolat comme dessert. Pour bien digérer nous avons terminé avec un Armagnac de 100 ans d’âge, du moins c’est ce que le sommelier nous a dit. Nous n’avons pas vérifié.


Mais le clou de la soirée, je le réservais à Léa. Comme je vous l’ai dit, nous sommes ouverts d’esprit. Nous avons assisté à une soirée assez chaude Place Pigalle. Léa a trouvé intéressant le spectacle mais trop statique, pas assez de vrai dans le show ; un peu comme un film érotique où le son des « Ah » et les « Oh » n’arrive pas en même temps que l’image. Il faut dire qu’avant de partir du Québec, j’avais consulté souvent le site Revebebe et aussi les moteurs de recherche, pour savoir où il y avait à Paris ou dans la région des maisons chaudes d’échangistes. Non pas que je tenais à échanger Léa mais plutôt comme voyeur, pour vérifier la véracité de ce que l’on lit sur Internet.


J’avais donc trouvé un endroit où, selon la littérature, on respectait le choix des invités. J’ai trouvé leur système très ingénieux. En arrivant vous choisissez un bracelet d’une certaine couleur selon vos désirs. Par exemple le bracelet blanc veut dire : première fois dans un club d’échangiste et ne me touchez pas à moins que je le veuille. Le bracelet vert veut dire bisexuel et le noir veut dire ouvert à tout.


Nous avons pris un taxi et j’ai demandé au chauffeur de nous amener à une certaine adresse. Je ne lui ai pas donné l’adresse exacte car j’étais trop gêné. À la sortie du taxi, j’ai expliqué à Léa que j’aimerais finir la soirée dans une maison où il est possible de faire l’échange de partenaires mais en lui disant que mon intention n’était pas de l’échanger mais de voir comment ça se passait dans ce type de maison. Je lui ai expliqué le rôle du bracelet et que je n’irai jamais contre sa volonté.


Elle fut très surprise de ma proposition mais je l’ai rassurée en lui disant qu’elle serait maîtresse de son corps et que personne ne la toucherait sans son accord. Après quelques minutes de marche, nous sommes arrivés devant la maison et je lui ai dit qu’on pouvait changer d’idée. Si elle ne voulait pas vivre l’expérience de voir, nous partirions tout de suite pour notre hôtel. Elle prit quelques secondes pour réfléchir et accepta de tenter l’expérience mais elle me dit qu’elle ne voulait pas changer de partenaire. Si moi je le voulais, elle ne dirait rien. Marché conclu.


Après avoir sonné, la porte s’ouvrit devant, je pense, l’hôtesse de la maison. Elle nous fit entrer. Après les présentations, elle comprit rapidement que nous étions novices dans le domaine. Elle nous expliqua les règles de la maison. On paya le prix de l’entrée et on prit donc chacun un bracelet blanc ainsi que deux cadenas et elle nous indiqua où était situé le vestiaire. Nous nous sommes déshabillés et enveloppés dans une grande serviette blanche qui avait une odeur de parfum. On fit le tour de la maison rapidement et nous avons trouvé une table vide près du plancher de danse.


Il y avait déjà des couples qui dansaient au son d’une musique douce. Il était tôt dans la soirée mais déjà des parties de vêtements reposaient çà et là sur les chaises autour des tables. J’ai commandé deux verres de vin blanc et nous avons profité du spectacle. Léa était nerveuse et me tenait la main un peu plus fermement que d’habitude. La pièce était tamisée mais pas trop pour qu’on puisse distinguer les acteurs sur la piste de danse.


Après trente minutes environ de voyeurisme, nous avons décidé d’aller danser un slow. Cela faisait drôle de danser avec une serviette autour de la taille et Léa avec une serviette légèrement au-dessus des seins. Je plaçai mes mains sur les fesses de Léa et elle me prit par le cou. Nous avons dansé et avons profité du fait que nous étions proches des autres danseurs pour voir ce qu’ils faisaient. Tout près de nous, une femme avait baissé le haut de sa robe et enlevé son soutien-gorge et dansait plaquée contre son partenaire. Je voyais un autre couple occupé à se peloter l’un et l’autre.


À un moment donné, Léa me fit remarquer qu’entre elle et moi il y avait une protubérance inhabituelle qu’elle ne sentait pas lors de danses plus conventionnelles puis elle se mit à rire en me disant :



La musique s’arrêta et nous sommes retournés à notre place. En arrivant nous nous sommes aperçus qu’un nouveau couple venait de s’installer à la table voisine située à quelques centimètres de la nôtre. Nous les avons salués de la tête sans entamer de conversation.


Nous avons terminé nos verres et j’ai demandé au garçon de nous apporter une bouteille de champagne pour fêter cette soirée. Après que le garçon nous eut quittés, le couple d’à-côté s’est tourné vers nous et le monsieur nous dit à ma grande surprise :



Je fus étonné car il avait lui aussi l’accent québécois. Il me demanda d’où nous venions et je lui ai répondu de Montréal. Il répondit que le monde était petit car eux venaient de la ville de Québec. On partit à rire. Si loin du Québec et si proche à la fois. On ne s’attendait pas à retrouver d’autres Québécois. On les invita à notre table afin de partager avec nous notre bouteille de champagne qui arrivait justement.


Après quelques minutes de discussion nous nous sommes rendu compte que nous étions sur la même longueur d’onde. Ils avaient tous les deux un bracelet blanc. Julie, son épouse, lui avait fait promettre de ne pas la forcer et elle avait accepté de venir seulement pour voir et non pour échanger même si elle était ouverte d’esprit. Stéphane, son mari, avait proposé de venir dans ce club seulement pour voir comment ça se passait. Un peu comme nous. Nous avons discuté de leur voyage et du nôtre.


Après trente minutes, Stéphane demanda à Julie si elle voulait danser. Ils se levèrent et entreprirent une danse très collée. On voyait le pénis de Stéphane pousser au travers de la serviette. Julie devait le sentir car elle commença à appuyer dessus avec son bassin. Cela fit remonter légèrement le mien. La musique s’arrêta et ils revinrent à la table. Julie discutait avec Léa de ce qu’elle avait vu sur le plancher de danse.


Plusieurs hommes promenaient leurs mains sous la serviette de leur compagne. Il y avait une femme qui avait deux cavaliers un en avant et un autre en arrière. Celui de derrière lui prenait les seins à pleines mains tandis que celui du devant lui masturbait le clitoris avec son doigt. Julie commençait déjà à mouiller. Elle dit qu’elle ne se sentait pas capable de faire ça avec des inconnus. Léa et Julie continuèrent à discuter tandis que Stéphane et moi observions les couples déambuler sur la piste de danse.


La soirée promettait car plusieurs couples dansaient nus et on voyait certains d’entre eux changer de partenaire. C’était difficile de ne pas avoir d’érection.


Un nouveau slow commença et je pris l’initiative de demander à Julie si elle voulait bien m’accorder cette danse. Elle regarda Stéphane qui dit oui de la tête, de même que Léa. On prit place au milieu de la piste et je mis mes mains autour de sa taille. Il faut dire que Julie est une très belle femme avec des formes aux endroits où il faut. Sa poitrine me faisait rêver et j’espérais qu’avant la fin de la soirée elle laisserait tomber sa serviette afin de voir au naturel, et non de façon imaginaire, la forme de ses seins.


Nous dansions un peu comme un frère et une sœur, ayant une certaine distance entre elle et moi. Mais même avec cette distance, elle sentit qu’une connexion se faisait entre elle et moi. Mon érection me trahissait. Mon pénis levait mais était arrêté par la serviette de Julie et elle le savait. Elle se tortillait afin de dégager mon pénis mais plus elle bougeait, plus mon pénis lui piquait le bas du ventre. De mon côté, je n’osais pas le prendre à pleine main de façon à le dégager de sa position inconfortable. Voulant probablement cacher ma situation à Léa et à Stéphane qui nous avaient rejoints sur la piste, elle colla ses seins sur ma poitrine puis pris mon pénis dans sa main et le fit remonter vers le haut.


Malheureusement sa serviette séparait ses seins des miens. J’ai commencé à remonter mes mains vers le haut jusque sous les aisselles et, tranquillement, mes deux pouces tirèrent gentiment sur la serviette qui se mit à descendre pour dévoiler le haut de ses seins. Elle ne dit pas un mot, ce qui m’encouragea à continuer. À un moment donné, elle tourna la tête pour voir son mari. Stéphane passait sa main sous la serviette dans le dos de Léa qui se laissait faire. Julie ramena sa tête et la déposa sur mon épaule. De mon côté, je continuai à faire descendre la serviette. Après quelques minutes de ce lent travail, je vis apparaître ses deux mamelons. Que de beauté ; l’eau me venait à la bouche. Non pas que Léa n’ait pas une belle poitrine mais ailleurs, c’est toujours plus vert…


À un moment donné, la serviette n’étant plus soutenue, elle glissa à la taille et je sentis Julie se coller encore plus sur moi. J’ai eu peur d’avoir une gifle mais au contraire, elle se frottait à ma poitrine pour faire durcir ses mamelons. Ma main droite vint se placer sur son sein gauche et j’ai commencé un léger mouvement circulaire avec ma main. Avec mon pouce et mon index, je tournai son mamelon tandis que ma main gauche lui pressait les fesses pour la coller encore plus sur mon pénis. Je n’ai pas osé me pencher pour lui prendre un mamelon dans la bouche et le sucer mais j’en avais envie. J’aurais beaucoup donné pour me transformer en essuie-glace afin d’aller de l’un à l’autre.


Malheureusement la musique prit fin, Julie remonta sa serviette sur ses seins et nous sommes retournés à notre table. De son côté, Léa réajusta sa serviette avant de s’asseoir. On continua à parler et Julie et Léa parlèrent entre elles. De temps en temps, je voyais Julie mettre sa main sur la cuisse de Léa puis remonter sous la serviette. Léa avait l’air d’apprécier. Dans sa jeunesse Léa avait déjà eu des expériences entre jeunes filles mais depuis notre rencontre, elle avait arrêté.


Nous avons terminé notre bouteille de champagne et Stéphane en commanda une autre. Un autre slow débuta et, cette fois-ci, ce fut Julie qui me demanda de danser. Au lieu de se diriger vers le centre de la piste, elle me prit le bras et m’entraîna vers le bar puis prit un préservatif dans un panier. Je fus estomaqué. Bizarrement Léa fit de même. Quel plan avaient-elles en tête ? Après avoir rejoint le centre de la piste, Julie descendit sa serviette jusqu’à la taille puis se colla à moi. Elle saisit ma main et la plaqua sous la serviette directement sur son sexe tout humide.


Whoaaa ! Quel homme heureux étais-je ? J’entrepris de lui frotter le clitoris qui était déjà sorti de sa cachette. Je m’activai avec mon pouce et mon majeur se fraya un chemin entre ses grandes lèvres. Je n’aurais jamais pensé que Julie aurait changé aussi rapidement. Je vis Léa qui tenait sa serviette sur son bras. Elle était nue, collée à Stéphane qui lui triturait les seins. Léa qui m’avait fait promettre de ne pas la jeter dans les bras d’un autre homme, à moins qu’elle ne le veuille !


Je déposai un baiser dans le cou de Julie mais au même moment, je sentis qu’elle était en train de dérouler le préservatif sur mon pénis en érection. Celui-ci me faisait tellement mal car il était gonflé comme jamais il l’avait été. Après avoir déroulé complètement le préservatif sur mon membre, elle le prit à pleine main et commença des mouvements de haut en bas et vice-versa. Comment pouvais-je tenir ? J’avais la plus belle paire de seins que je n’avais jamais vue et… j’en ai vu des femmes à poil dans mon cabinet.


C’était trop, je ne pouvais plus résister. Je me penchai, je pris le bout de son sein et je commençai à le sucer. Quel délice ! J’en avais deux à sucer… Je ne sais pas comment de temps cela a duré, je ne sais pas si je n’ai pas entendu la fin de la musique mais, tout à coup, je sentis venir la semence qui montait de mes couilles. Sentant mon pénis gonfler, Julie accéléra son mouvement et j’ai éjaculé dans le fond du préservatif. Cela a duré une éternité.


Après cet orgasme, je sentis Julie se masturber sur mon majeur. Ne voulant pas la laisser sur son appétit, je me servis de mon doigt comme d’un pénis et je l’amenai à l’orgasme. Une vraie fontaine ! J’entendais mon doigt entrer et sortir comme on suce une glace. Elle s’agrippa à moi et je sentis ses cuisses se refermer sur ma main. Elle m’a presqu’écrasé la main. Ses bras autour de mon cou agissaient comme un étau.


Lorsque nous reprîmes nos esprits, on entendit des applaudissements autour de nous. La question que je me posais surtout c’est comment Léa et Stéphane vont réagir. Arrivé à la table, je vis Léa assise sur sa serviette, toute nue et la main de Stéphane qui lui frictionnait le clitoris. Elle souriait et elle m’a demandé si cela avait été bon.


Julie s’est assise à gauche de Léa et moi à gauche de Julie. Stéphane avait toujours la main entre les cuisses de Léa. Julie s’est penchée et a commencé à embrasser Léa sur la bouche tout en lui prenant un sein dans la main. Léa se laissait faire et s’activa avec sa main droite à branler Stéphane et, de sa main gauche, jouait dans la vulve de Julie. Ne voulant pas rester inactif, je pris les deux seins de Julie et je les ai malaxés de façon à faire grossir les bouts des tétons. Cela a duré plusieurs minutes, en tout cas suffisamment pour que des spectateurs se groupent autour de notre table.


Stéphane éjacula dans le préservatif tandis que Léa eut un orgasme comme jamais elle avait eu. D’un côté Stéphane la pompait manuellement et de l’autre Julie jouait avec ses seins et lui roulait une pelle digne d’un premier baiser.


Tout le monde reprit son souffle. Par contre il n’y avait pas encore eu de pénétration. Promesse oblige. J’avais toujours une main qui se promenait sur les seins de Julie. J’avais de la difficulté à les laisser.


La soirée avançait et je proposai d’aller voir à quoi ressemblait la chambre des tortures que j’avais vue lors de notre visite. N’étant ni sado ni maso, je n’y avais pas prêté plus attention que ça.


Nous sommes partis tous les quatre avec notre serviette sous le bras et sommes entrés dans cette fameuse chambre. Elle n’était pas occupée. Il y avait une table à massage avec sangles au centre, quelques chaises et une armoire. Léa se coucha immédiatement sur le dos, jambes écartées et Julie se plaça au bout de la table. Elle avait la tête de Léa juste en-dessous d’elle. Julie commença à lui pétrir les seins et lui fit le bouche à bouche. Ses deux seins pendaient de sa poitrine tout près de la tête de Léa.


Stéphane et moi nous nous demandions ce qu’il y avait dans l’armoire. Elle n’était pas verrouillée. En l’ouvrant nous vîmes des pinceaux à poils courts et à poils longs de toutes sortes. Chacun était empaqueté sous cello avec un prix sur le paquet. Ce ne fut pas long à comprendre à quoi ces pinceaux servaient. J’en pris un à poil court et Stéphane prit un plumeau. Stéphane se plaça au bout de la table entre les jambes de Léa et commença à la chatouiller en promenant le plumeau sur son ventre, ses seins et son pubis.


De mon côté, je me concentrai sur son clitoris qui avait déjà fière allure. Après quelques minutes de ce traitement, Léa se tortillait sur la table. Son bassin montait et descendait, ses cuisses s’ouvraient et se fermaient sous les coups des deux pinceaux. Entre temps, Julie avait commencé à lui tirailler les deux seins en alternant ses baisers d’un sein à l’autre.


Stéphane me jeta un coup d’œil rapide comme pour me demander la permission en désignant le sexe de Léa qui transpirait de cyprine comme si elle venait de sortir de l’eau. Je fis un léger signe de tête et il n’en fallut pas plus pour qu’il plonge sa tête entre les cuisses de Léa. Je voyais sa langue aller de l’anus jusqu’à son clito. Il s’attardait sur le clito en le suçant, le mordillant, l’aspirant. Je le voyais gonfler à vue d’œil. Je ne lui avait jamais vu un aussi gros clitoris. J’en ai profité pour lui passer le pinceau sur le bout du clito. Elle criait :



Je laissai Stéphane continuer avec le pinceau et sa langue et j’enfilai un préservatif qu’on pouvait trouver dans un panier en osier tout près de la table. J’avais les yeux rivés sur les seins de Julie qui se baladaient au-dessus de la figure de Léa. Je me suis placé en arrière d’elle, je l’ai prise par la taille et j’ai glissé mon pénis entre ses deux cuisses qui dégoulinaient de cyprine. Je faisais du surf sur ses grandes lèvres mais à l’envers. Ça glissait tout seul. Julie faisait en sorte que son vagin tire sur mon pénis comme une ventouse en gardant constamment le contact avec ses petites et grandes lèvres. C’était sublime. Mon pénis glissait d’avant vers l’arrière sans jamais entrer dans sa grotte sacrée. Les deux femmes ne nous avaient pas permis d’aller plus loin.


Je n’avais pas remarqué mais nous avions des invités voyeurs hommes et femmes qui se masturbaient les uns les autres. Notre hôtesse avait un déshabillé presque transparent. On voyait comme au travers d’une moustiquaire. Elle se massait le clitoris d’une main et passait d’un sein à l’autre avec l’autre.


Mes mouvements d’avant vers l’arrière faisaient gonfler mon pénis. C’était atroce et sublime en même temps. C’était la première fois que je faisais l’amour avec une autre femme depuis que je connaissais Léa. Est-ce que je la trompais ? Mon pénis n’était pas enfoui dans son vagin, il frottait sur ses lèvres et frappait son clito à chaque course mais il était toujours à l’extérieur un peu comme une saucisse dans un pain à hot-dog.


Julie me fit une agréable surprise car à un moment donné, lorsque mon gland était presque sorti de ses grandes lèvres, elle bascula son bassin vers le haut, ce qui eut pour effet d’ouvrir ses lèvres et automatiquement, lorsque je poussai sur mon pénis, il entra au fond de son nid d’amour… Était-ce accidentel ou volontaire ? J’ose espérer que ce fut sa façon de dire oui à une pénétration. Je ne perdis pas de temps et j’ai commencé à la pomper avec toute l’énergie que j’avais. Sous les coups de mon boutoir, Julie commença à haleter, à dire :



Je pense que Léa a vu ce qui se passait car Julie avait enfoui sa langue profondément dans sa bouche et lui serrait les seins à lui faire mal. De son côté, Stéphane lavait toujours le sexe de Léa, lèvres, anus et clitoris. Léa, qui n’en pouvait plus de se faire labourer par la langue de Stéphane, se mit à crier :



C’était la première fois que j’entendais Léa parler ainsi. Stéphane la pénétra jusqu’à la garde et se mit à la limer à grands coups de pilon. Léa réagissait à chaque coup de pénis. Elle émettait des sons à faire jouir un eunuque.


Notre hôtesse vint se placer de côté entre moi et Julie et glissa une main sur le clitoris de Julie et l’autre sur mon pénis. Elle serra mon pénis à chaque passage. Après quelques minutes de ce traitement, je n’en pouvais plus et je me mis à éjaculer comme jamais je ne l’avais fait. Julie cria de tous ses poumons sa jouissance. Elle se pencha sur Léa et la serra fort contre sa poitrine. Léa jouissait en même temps que Stéphane et c’était à savoir celui ou celle qui crierait le plus fort. Tranquillement nous sommes revenus sur terre et notre hôtesse s’est penchée à mon oreille et me murmura :



Je lui ai répondu :



Elle tira une toute petite table du dessous de la table de massage, se coucha sur le dos et enfouit sa tête entre les cuisses de Julie d’où coulait une fontaine de cyprine. Avec ses jambes autour de mes fesses, elle m’attira vers elle et saisit d’une main mon pénis pour se le rentrer dans le vagin. Elle me dit :



Un jeune couple s’est avancé vers la table et le jeune homme présenta son pénis à la bouche de Léa. La jeune femme fit le tour de la table et prit les seins de Léa dans ses mains pour les malaxer. Stéphane en profita pour saisir les seins de cette jeune femme pour les embrasser. Léa ouvrit la bouche et se mit à le sucer. Stéphane passa derrière la jeune dame et lui fourra son pénis au plus profond de son vagin. Elle en profita pour insérer sa main dans le vagin de Léa et la pistonna comme une locomotive lancée à fond de train.


Stéphane était déchaîné avec cette nouvelle venue. Il lui tripotait les seins en les soupesant et en tirant les tétons. Elle avait l’air d’aimer ça car elle accordait son bassin avec les coups de queue de Stéphane. Léa n’en pouvait plus, la main entière de cette nouvelle personne lui pistonnait le vagin. Elle n’avait jamais subi l’assaut d’une main complète car j’ai toujours eu peur de lui faire mal. Mais cette fois, c’était une toute petite main, comme un gros pénis. Je pense que cette main devait faire travailler aussi ses doigts.


Léa explosa en bougeant son bassin dans tous les sens. La jeune femme eut un orgasme en même temps que Stéphane qui s’effondra sur son dos. Elle retira sa main du vagin de Léa et se mit à la lécher. Stéphane retira son pénis du vagin de cette jeune dame mais aussitôt, elle se mit à le nettoyer avec sa bouche et sa langue. Après quelques minutes de ce traitement, Stéphane recommença à bander.


Je ne sais pas où il trouvait toute cette énergie, moi je n’en pouvais plus. Iris m’avait vidé complètement. Elle se leva et entreprit de pomper Stéphane qui avait le pénis droit comme une chandelle. Après quelques minutes, elle se leva et entoura la taille de Stéphane avec ses jambes tout en laissant le pénis de Stéphane lui pénétrer le vagin. Stéphane commença ses mouvements lentement et accéléra de plus en plus vite. La jeune dame entreprit de jouer avec les seins d’Iris tout en lui roulant une pelle digne de Juliette.


Je me présentai en arrière d’Iris et j’entrepris de lui dilater la rondelle avec mon pouce. Il y avait assez de cyprine qui coulait que je n‘eus aucune difficulté à m’introduire. Après quelques va-et-vient, je changeai mon pouce pour mon pénis. Stéphane m’aida en ralentissant ses mouvements et nous nous sommes ajustés l’un par rapport à l’autre. À un moment donné, Iris se mit à trembler et cria son orgasme à toute la salle de spectateurs. De notre côté, Stéphane et moi avons éjaculé nos dernières gouttes de sperme dans le vagin et dans l’anus d’Iris. Elle finit par nous laver avec sa bouche et, de mon côté, je lui ai sucé les deux seins à tour de rôle. Le jeune homme se mit à masturber Iris avec son majeur et Iris en demandait encore. Elle masturbait le jeune tout en se faisant masturber. Tous les deux finirent dans un orgasme. Quelle soirée…


Je ne sais pas combien de minutes tout cela a duré mais ce fut l’apothéose de cette soirée. Léa s’est levée un peu courbaturée puis nous nous sommes dirigés vers la douche. Trente minutes plus tard, Stéphane nous avait ramenés à notre hôtel. Pour nous faire la bise et échanger nos adresses respectives je serrai la main de Stéphane et Julie et Léa se sont fait un dernier bouche à bouche, un peu plus long que la normale. Stéphane et moi nous nous sommes regardés en nous faisant un clin d’œil. Était-ce une nouvelle aventure ? L’avenir nous le dira.


Nous avons terminé nos vacances et tout au long de ces trois semaines, à chaque fois que je faisais l’amour à Léa, je pensais à la poitrine de Julie et à son con mouillant dans la cyprine. Léa pensait-elle au pénis de Stéphane ? Elle ne m’en a pas reparlé. C’est une histoire à suivre.