n° 14155 | Fiche technique | 64545 caractères | 64545Temps de lecture estimé : 36 mn | 24/11/10 |
Résumé: Leurs nouveaux voisins sont plutôt au goût de Françoise et de Marc. Ils ont donc décidé de les entraîner dans leurs filets. | ||||
Critères: grp couplus voisins fellation cunnilingu fsodo jeu champagne fouetfesse -entrecoup | ||||
Auteur : Fantasio |
Nos nouveaux voisins
Allongée sur le divan, la tête posée sur les cuisses de son mari, Françoise s’amuse à le taquiner. Ils viennent de rentrer d’une soirée organisée par Tom et Cindy, jeune couple installé depuis quelques semaines dans leur banlieue bourgeoise et qui, dans la tradition nord-américaine, a organisé une « welcome party » pour ses nouveaux voisins. Tom, archétype du californien, à la quarantaine sportive et au bronzage impeccable, a été engagé par la boîte d’informatique où travaille Marc. Cindy est sa deuxième femme, plus jeune d’une dizaine d’année. Une allure de « poupée Barbie », naïve et ingénue, encore toute émerveillée de se retrouver à Paris, ville du plaisir et de l’amour, excitante mais aussi inquiétante pour une jeune américaine pas encore débourrée.
Tout en caressant les cuisses dénudées de son épouse, Marc ne peut s’empêcher de sourire en repensant à la jeune femme avec laquelle il a effectivement flirté pendant une bonne partie de la soirée. Lui jouant le rôle du « french lover », charmeur, un peu désabusé et dangereusement attirant.
Françoise ronronne doucement, tandis que la main de François se glisse sous sa robe pour venir se lover au creux de sa chatte.
Marc commence à être sérieusement excité par le tableau que lui laisse entrevoir son épouse. Sa main se glisse sous la culotte et ses doigts s’enfoncent entre les lèvres humides. Françoise est visiblement aussi excitée que lui.
Françoise a du mal à répondre. Sa chatte fiévreuse a pris le contrôle de son corps et de son esprit et Marc connaît les gestes qu’il faut pour la conduire aux portes du paradis.
D’une poigne ferme, Marc retourne son épouse et l’allonge sur ses cuisses, dans une position qui laisse peu de doute sur ses intentions.
Les jambes de Françoise s’agitent tandis que la main de Marc s’abat cruellement sur ses fesses rebondies. Sa petite culotte descendue au milieu de ses cuisses, elle se débat pour la forme car elle sait qu’il ne la lâchera pas avant que son cul n’acquière une jolie couleur rose et que son con se soit mis à couler sous l’intensité grandissante de sa jouissance. À chaque impact, ses muscles se contractent et une chaleur électrique rayonne au plus profond de ses chairs.
Pendant plusieurs minutes, avec une régularité métronomique, il lui martyrise le cul. À chaque impact, la jeune femme pousse un gémissement sonore, où se mêlent la surprise, la douleur et le plaisir. Lorsqu’il s’arrête enfin, c’est pour caresser les deux globes brûlants, glisser ses doigts au creux du sillon humide et les plonger dans la fournaise dégoulinante de son con. Françoise cambre les reins pour retenir les doigts et les entraîner plus profondément de sa chatte en chaleur. Son corps ondule sous la caresse. Elle murmure des « je t’aime » tandis que le fruit de sa jouissance s’écoule inexorablement entre ses cuisses.
Il l’aide à se relever, lui ôte sa robe, la débarrasse de son soutien-gorge et l’attire vers lui. Françoise enlace son mari, tandis que son long membre dressé s’enfonce lentement en elle. Ils s’embrassent pendant qu’elle le chevauche dans un harmonieux balancement de hanches, comme une écuyère faisant corps avec sa monture. Laquelle commence d’ailleurs à s’emballer, et à donner à son tour de puissants coups de reins, jusqu’à ce que des jets de sperme bouillonnants viennent enfin s’écraser au fond du con défoncé de sa cavalière.
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Pendant les jours qui suivent, Françoise passe beaucoup de temps avec Cindy. Leurs maris au boulot, les deux jeunes femmes en profitent pour lier connaissance, écumant les boutiques, transpirant ensemble au centre de fitness, partageant les expositions et les séances de cinéma, échangeant des confidences exclusivement féminines. Françoise a vite perçu que, sous son vernis policé de petite oie blanche, pudibonde et effarouchée, Cindy dissimule un tempérament plus volcanique, qui ne demande qu’à être éveillé. En experte, Françoise passe donc la semaine à décaper lentement chacune des couches de ce vernis qui emprisonne la libido endormie de sa nouvelle amie.
Les joues écarlates de Cindy révèlent son embarras. Elle n’a pas l’habitude de parler ouvertement de ce genre de choses avec ses amies de Springfields. Mais Françoise semble prendre cela avec tellement de naturel qu’elle en oublie vite son inconfort.
Françoise a saisi la main posée sur la table, sentant, sous la caresse de ces doigts, un frisson de surprise parcourir la peau de la jeune fille.
Les joues de Cindy brillent comme un phare, elle éclate d’un rire nerveux en écoutant la confession de son amie.
Elles en resteront là pour ce soir. Vers onze heure trente, Françoise dépose la jeune femme devant chez elle, non sans poser un baiser amical sur le coin de ses lèvres. Sur le chemin qui la conduit chez elle, à quelques dizaines de mètres à peine, elle sourit en imaginant la tempête qui doit faire rage dans l’esprit de Cindy et la nuit torride qui devrait se dérouler dans leurs foyers respectifs.
Deux jours plus tard, c’est dans la vapeur brûlante d’un hammam que Françoise finit de déniaiser la pudique Cindy. Profitant du brouillard irréel qui les enveloppe, elle laisse courir ses mains sur les épaules dénudées de la jeune Américaine.
Cindy doit se faire violence pour répondre, écartelée entre son ange moralisateur qui lui recommande de repousser les avances de cette tentatrice et son diable fantasmatique qui l’invite à s’offrir aux caresses de son amie. Françoise perçoit le trouble qui agite la jeune femme. Alors, elle progresse lentement, se contentant de masser les épaules durant de longues minutes, jusqu’à ce que les muscles contractés s’assouplissent sous ses doigts et que ceux-ci puissent enfin poursuivre leur travail libérateur.
L’ange a rendu les armes et Cindy obéit comme dans un rêve, abandonnant son corps aux caresses de son amie. Les mains expertes de Françoise dénouent une à une les vertèbres contractées, dessinent des mouvements circulaires, partant du haut des fesses, descendant sur les hanches, remontant le haut des cuisses avant de soulever et d’écarter les globes charnus sur lesquels ils finissent par s’attarder, pour les malaxer, les assouplir, les détendre d’une poigne ferme et douce à la fois. Tout en s’appliquant, Françoise ne peut s’empêcher d’admirer la rondeur parfaite de cette paire de fesses juvéniles que Cindy s’astreint à entretenir au cours de longues séances de footing dans son club de fitness. Elle sourit en percevant les gémissements discrets qui montent doucement comme le chant des sirènes dans la torpeur nuageuse du bain de vapeur. Lorsque les doigts intrépides de son amie se glissent jusqu’aux chairs détrempées de sa chatte, Cindy resserre brusquement les muscles de ses fesses.
Cindy relâche lentement ses muscles et les doigts de Françoise s’enfoncent inexorablement entre les chairs roses de son sexe. À son grand étonnement, la jeune femme laisse échapper un long soupir de désir, allant jusqu’à redresser impudiquement son cul pour faciliter l’accès à sa grotte intime.
Cindy obéit sans même réfléchir. Elle est allongée sur le dos, les yeux fermés, entièrement nue, livrée aux caresses expertes de son amie. Dans le brouillard brûlant du hammam, son corps brille comme un diamant. Elle est vraiment magnifique, pense Françoise en souriant. Pas étonnant que Marc ait craqué.
Ses seins juvéniles, gonflés de désir, se dressent sur son torse, surmontés par deux petits cylindres durcis de près d’un centimètre de long. Sa taille fine et son ventre plat s’élargissent harmonieusement pour former un bassin généreux sous lequel brille un buisson doré protégeant l’accès de sa bouche intime. Une bouche gonflée comme celle d’une enfant, aux grosses lèvres appétissantes comme un fuit mûr, séparées par une fente étroite où brillent les chairs roses et ourlées de ses muqueuses détrempées.
Françoise se penche pour embrasser délicatement son amie. D’abord le front, puis sur ses lèvres entrouvertes, son cou, ses seins, son ventre, ses hanches, le mont de Vénus et l’intérieur de ses cuisses. Enfin, elle pose ses lèvres sur la bouche dégoulinante de la jeune fille qui écarte les jambes pour laisser la langue serpentine de Françoise se glisser entre ses chairs. Dans un spasme prolongé, un premier jet de liqueur salée jaillit du fond de sa caverne. Puis un deuxième, un troisième. Elle jouit sous les coups de langue de Françoise. Elle pose ses mains sur la tête de son amie comme si elle craignait qu’elle ne se retire trop vite. Ses gémissements se transforment en « Yes ! » sonores, son corps s’agite et Françoise se dit qu’il vaut mieux en rester là si elles ne veulent pas se faire virer du hammam.
Cindy ne prend pas la peine de renouer la large serviette autour de sa poitrine. Elle traverse le vestiaire comme dans un rêve, suivant les pas de son amie, indifférente aux regards admiratifs que les autres clientes posent sur son corps dénudé. Elles pénètrent ensemble dans une cabine de douche et Françoise ouvre brutalement le robinet d’eau froide. Cindy pousse un cri strident. Elle veut échapper à la morsure glacée, mais Françoise la retient en riant. Elle l’enlace, l’embrasse, leurs chairs frissonnent sous le jet puissant tandis qu’elles se dévorent la bouche avec passion. Au bout de deux minutes, Françoise interrompt le jet aussi brusquement qu’elle l’avait déclenché.
Cindy reste quelques secondes groggy, comme un boxeur qui aura pris trop de coups. Puis son esprit s’éclaire enfin, ses chairs se réveillent, elle a l’impression de planer. Elle n’arrive pas à croire à ce qu’elle vient de faire, mais elle se sent tellement bien qu’elle ne peut qu’adresser un sourire reconnaissant à sa nouvelle amie.
En se séparant devant la maison de Cindy, les deux amies échangent un long baiser qui n’a plus rien du chaste baiser de l’avant veille. Tout en enlaçant la jeune américaine, Françoise distingue la silhouette de Tom qui les observe depuis la fenêtre du premier étage. Alors, elle laisse glisser sa main le long des reins de la jeune femme et remonte lentement la robe légère, pour révéler à ce vilain voyeur, le fesses brillantes de son épouse, séparée par la ficelle rouge d’un mini string de dentelle.
Sur ces mots, elle abandonne la jeune femme visiblement désemparée par la révélation de son amie.
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Le lendemain, Cindy se présente devant la porte de ses voisins à dix-neuf heure trente. Elle porte une robe d’été, boutonnée sur le devant et offrant une superbe vue plongeante sur ses imposants melons nourris au soleil de Californie. C’est Marc qui vient lui ouvrir la porte, et la jeune femme ne peut s’empêcher de rougir en croisant le regard visiblement ravi de son hôte.
Et c’est vrai qu’elle est superbe. Son visage rayonne et respire l’innocence naturelle d’une parfaite « next door girl ». Sans aucune retenue, il passe de longue secondes à contempler le corps juvénile, les seins dans leur écrin de coton, les magnifiques jambes nues terminées par des petites socquettes d’écolière. Françoise lui a raconté leur aventure au hammam et celle-ci a de toute évidence fait de l’effet sur l’allure générale de la jeune femme.
Les deux amies s’embrassent le plus civilement du monde, échangeant des banalités tandis que Marc leur prépare un apéritif dans la cuisine.
Ces remords tardifs ne sont pas vraiment une surprise pour Françoise, mais il en faudrait plus pour l’empêcher de mettre son plan à exécution. Ce soir, Cindy doit finir dans les bras de Marc et elle, dans ceux de l’athlétique Tom.
Le repas se passe très agréablement. Françoise veille à ce que le verre de Cindy ne soit jamais vide et Marc en profite pour porter de nombreux toasts à l’amitié franco-américaine, aux plaisirs de la table, de la vigne et aussi à ceux de la chair. Cindy a rapidement oublié ses doutes, noyant les conseils d’abstinence de son ange gardien sous les toasts portés en l’honneur de ses hôtes et de leur amitié naissante.
Les deux jeunes femmes se regardent en écarquillant les yeux. Cindy se retient de pouffer de rire pour ne pas embarrasser son hôte. Malgré son ingénuité, elle ne croit pas du tout à ces trucs d’hypnose. Françoise l’interroge du regard, en tant qu’invitée c’est à elle de décider.
Tandis que Marc disparaît, Françoise remplit son verre et celui de son amie et elles se rendent au salon sans pouvoir retenir leurs rires.
Lorsque Marc pénètre dans le salon, il porte un long sari de soie chamarrée et un turban sur la tête. Malgré leur intention de prendre tout cela au sérieux, elles ne peuvent s’empêcher de rire aux éclats.
Après avoir diminué l’éclairage, allumé quelques bâtons d’encens et mis une musique « new âge » en fond sonore, Marc approche une chaise et vient s’asseoir juste devant les deux jeunes femmes.
Les deux femmes ont visiblement du mal à conserver un semblant de sérieux. Elles se contentent de hocher la tête pour indiquer qu’elles ont compris et ferment les yeux, comme il le leur a demandé.
Les yeux fermés, les deux amies doivent se concentrer et serrer les dents pour ne pas exploser. Plongée dans l’obscurité et bercée par la voix chaude de Marc qui psalmodie son incantation hypnotique dans cette langue française qu’elle trouve si sensuelle, Cindy sent un irrépressible et délicieux frisson descendre le long de son dos jusqu’au creux de son ventre.
Les deux jeunes femmes ouvrent les yeux en même temps. Cindy est visiblement mal à l’aise. Elle ne sait pas si elle doit avouer à Marc que ses efforts n’ont pas été couronnés de succès ou si elle doit continuer à jouer le jeu et à se laisser conduire par la voix caressante de son hôte.
La jeune femme n’a pas l’occasion de répondre, qu’elle se retrouve en une seconde entraînée par son amie au centre du salon pour partager avec elle une danse lente et sensuelle.
Cindy se laisse entraîner, faisant onduler son bassin sous la conduite experte de son amie. Peu à peu, leur danse se fait plus intime, leurs corps se frôlent, leurs mains se caressent. La jeune américaine ne comprend pas vraiment ce qui lui arrive. Le jeu prend une tournure presqu’irréelle, elle ferme les yeux en repensant au hammam. Les mains de Françoise se posent sur ses fesses, sa jambe se glisse entre les siennes, venant se coller contre son sexe frémissant d’excitation. Elle finit par en oublier Marc, s’abandonnant avec délice aux caresses de son amie.
Les deux jeunes femmes obéissent docilement. Françoise lance un clin d’œil discret à Cindy, comme pour la rassurer et lui rappeler que tout cela n’est qu’une blague qu’elles sont en train de jouer à son mari.
Un masque d’angoisse se dessine sur le visage de Cindy qui, en une fraction de seconde, vire à l’écarlate. C’est au tour de Marc de se retenir pour ne pas éclater de rire. Françoise a aussi perçu le trouble de sa jeune amie et, pour ne pas lui laisser le temps de réfléchir davantage, elle se penche vers elle, prend son visage dans ses mains et l’embrasse avec passion. Déjà bien excitée par leur danse lascive, Cindy ne résiste pas très longtemps. Elle se laisse enlacer et dévorer par son amie tout en jetant des regards angoissés vers Marc qui se contente de les regarder en souriant.
Cindy tremble comme une feuille tandis que Françoise défait lentement les boutons de sa robe, jusqu’à révéler un petit soutien de dentelle blanche qui a bien du mal à contenir les deux fruits juteux de sa jeune poitrine. Ses doigts descendent encore, pour dévoiler la blancheur de son ventre et une petite culotte au voile translucide sur laquelle se dessine la tâche sombre et humide provoquée par le fruit de son excitation. Cindy est maintenant en sous-vêtements tandis que Françoise reprend sa place sur le divan en souriant le plus naturellement du monde à son mari et son amie.
Elle regarde fixement son amie qui continue à lui sourire béatement. Elle voudrait tout arrêter mais elle n’en à pas le courage. Elle ne sait pas comment ses nouveaux amis vont réagir. Alors, elle défait la fermeture éclair dans le dos de la robe de Françoise avant de la faire passer au-dessus de sa tête. Avec ses dessous de dentelle noire et ses bas résilles auto-fixant, Françoise est comme une mante religieuse prête à dévorer le pauvre papillon blond assis à ses côtés dans ses dessous de dentelle blanche.
Françoise allonge Cindy sur le divan et se met à lui masser les épaules et le dos comme elle l’a fait la veille. La jeune femme ferme les yeux, comme pour faire taire les reproches que lui murmure sa bonne conscience et s’abandonner pour la seconde fois aux mains expertes de son amie, qui en profite pour lancer un clin d’œil complice à son mari.
Elle ne réagit pas lorsque Françoise défait l’attache de son soutien-gorge avant de descendre doucement sa petite culotte afin de lui masser librement le dos et les fesses. Marc est fasciné par l’émouvant spectacle. Écartant les pans de son sari, il révèle à son épouse son épais gourdin dressé, frémissant déjà d’impatience à l’idée de partir bientôt à la conquête de son Amérique.
Cindy voudrait lui répondre, mais déjà Marc a refait son apparition dans la pièce, une bouteille de champagne à la main.
Françoise se relève dans un mouvement mécanique, lançant un clin d’œil complice à la jeune américaine allongée sur le divan, la culotte baissée sous les fesses et le soutien dégrafé. L’espace d’une seconde, le temps semble s’arrêter. Marc et Françoise savent que l’issue de la soirée se joue à cet instant. Mais, alors qu’ils redoutent une fin prématurée, Cindy se lève à son tour, pour finir d’ôter sa petite culotte et son soutien-gorge. Marc a bien du mal à contenir son émotion, comme en témoigne l’imposant gourdin dressé qui pointe entre les pans du sari. Il tend une coupe de champagne à ces partenaires en tenue d’Ève et ils finissent par trinquer tous les trois aux pouvoirs irrésistibles du grand Mharcaradja.
Tandis que les deux jeunes femmes s’exécutent en se retenant de rire, il écarte largement les pans de son sari, pour dévoiler un impressionnant lingam, dressé dans toute sa splendeur. Cindy ne peut s’empêcher de lâcher un « Oh ! » de surprise et d’admiration à la vue de l’impressionnant engin.
Françoise est la première à saisir le sceptre divin. D’un regard discret, elle invite Cindy à la rejoindre et bientôt vingt doigts agiles et délicats caressent langoureusement le serpent cyclopéen. Puis, Françoise se penche pour venir promener ses lèvres le long du mat dressé, glissant depuis les testicules jusqu’au gland à la peau délicate. Un instant hésitante, Cindy finit par la rejoindre et bientôt le membre sacré passe d’une bouche à l’autre, avec une intensité et un enthousiasme sans cesse grandissants. Marc sent qu’il ne résistera pas très longtemps à la dévotion de ses adoratrices. Sa tige s’agite nerveusement, ses muscles se contractent et deviennent douloureux. À bout de force, il finit par s’écarter brusquement des deux bouches voraces, poussant un râle profond et bien trop humain pour sa divine personne.
Son corps est traversé de spasmes et de puissants jets de sperme chaud viennent s’écraser sur le visage extatique des deux femmes.
Alors que Marc disparaît dans la cuisine, la queue encore frémissante, les deux amies se lèchent mutuellement le visage avec gourmandise.
Quelques secondes plus tard, Marc invite les deux jeunes femmes à le rejoindre dans la salle à manger.
Le vin du repas, les coupes de champagne et surtout l’intensité de leur récente fellation hypnotique, ont définitivement fait disparaître les inquiétudes de Cindy, et c’est avec un frisson d’excitation impatiente, qu’elle prend place sur la table. Elle sent les perles de jouissance affleurer sur les lèvres de cette chatte béante, offerte à cet homme qu’elle ne rencontre que pour la seconde fois. Elle ne peut s’empêcher de sourire en pensant aux avertissements de sa mère à l’encontre de ces démons de français et à leur irrésistible pouvoir de séduction. En matière de pouvoir de séduction, l’envoûtant Marc correspond bien aux pires craintes de sa pauvre maman !
Planté devant les deux jeunes femmes, Marc a du mal à croire au succès du scénario préparé la veille avec son adorable complice. Il la regarde, elle lui sourit. Puis il plonge son regard dans le con brillant de Cindy qu’il s’apprête à dévorer avec gourmandise.
La jeune femme a fermé les yeux, son corps tremble d’impatience. Elle frissonne en sentant les doigts de Marc qui frôlent les chairs irisées de son coquillage béant. La main de Françoise qui saisit la sienne la rassure. Elle tourne la tête vers son amie, tandis que Marc s’applique à caresser les deux cons frémissant sous ses doigts. Son amie lui caresse tendrement la poitrine avant de l’embrasser dans un baiser passionné.
Les assauts de Marc se font plus intenses. Les corps des deux jeunes femmes s’agitent, tremblent tandis que leurs bouches continuent à se dévorer. Quelques minutes plus tard, Marc se penche enfin pour recueillir, dans sa bouche assoiffée, le délicieux nectar débordant des deux calices. Il passe de l’une à l’autre, sa langue s’enfonce, ses lèvres embrassent, ses dents mordillent délicatement les chairs hypersensibles, jusqu’à ce que Françoise et Cindy jouissent de concert, laissant exploser leur jouissance dans un long gémissement partagé.
On sonne à la porte.
Cindy finit pas se laisser convaincre. C’est vrai que cette aventure était incroyablement excitante et sa curiosité à voir comment son mari va réagir, décuple encore son excitation. Alors, tandis que les deux hommes continuent à discuter à quelques mètres à peine, elle reprend place sur la table en serrant nerveusement la main de son amie.
Dans le hall, Marc explique à Tom ce qu’il a manqué jusqu’ici. Depuis le début, celui-ci est au courant de la mise en scène préparée par ses voisins et qui vise à déniaiser quelque peu sa jeune épouse. Tandis que Françoise passait la semaine à préparer la jeune femme, Marc y était allé franco, « à l’américaine », mettant rapidement le marché sur la table.
Tom n’a pas été difficile à convaincre. Avec sa première femme, ils ont plusieurs fois partagé leurs ébats avec d’autres couples et cela fait pas mal de temps qu’il a envie de partager le même genre d’aventure avec Cindy. Mais jusqu’ici, il n’est pas parvenu à la décoincer. Alors, lorsque Marc lui parle du petit scénario imaginé avec Françoise, il ne peut se retenir d’éclater de rire.
Les deux hommes pénètrent enfin dans la pièce plongée dans la pénombre. Cindy a fermé les yeux, serrant fermement la main de son amie. Son corps brûlant frissonne en entendant les deux hommes s’approcher. Françoise a raison, pense-t-elle, si elle continue à jouer le jeu, Tom ne pourra pas lui reprocher d’avoir été la complice volontaire de cette impudique exhibition. Et puis, elle meurt d’envie de découvrir comment il va réagir. Alors, elle l’attend, offerte sur cette table aux côtés de son amie qui elle, regarde en souriant les deux hommes s’approcher. Elle est magnifique, et à la vue de Tom, elle sent sa chatte s’inonder délicieusement. Le voilà enfin ce « californiqueur » auquel elle rêve de s’offrir ce soir. Les deux amis lui rendent son sourire et Marc pose un doigt sur ses lèvres pour lui faire comprendre que le jeu se poursuit.
Cindy n’en croit pas ses oreilles. Tom n’est pas le moins du monde choqué de la découvrir dans cette position obscène ! Au contraire, il est même le complice de Marc avec qui il semble avoir partagé les préparatifs de cette séance. L’espace d’une seconde, elle pense à se relever et à mettre fin à cette mascarade. Mais, elle est allée trop loin. Son corps et son esprit se résument à ce petit animal frémissant qui pleure d’impatience entre ses cuisses écartées et qui ne demande qu’à avaler l’impressionnant engin de Marc.
Entre ses paupières entrouvertes, elle regarde son mari qui vient d’une main distraite, caresser sa chatte inondée. Il la regarde en souriant, tout en léchant avec gourmandise ses doigts couvert de son abondante liqueur. Marc s’approche à son tour. Il place une coupe de champagne juste sous le con de la jeune américaine et fait couler un mince filet de champagne glacé sur son pubis. Les milliers de bulles acides viennent mordre les muqueuses de Cindy. Ses lèvres brillantes se contractent comme celles d’une huître sous l’effet du citron. La jeune femme laisse échapper un faible gémissement tandis que le vin pétillant parfumé à ses saveurs intimes s’écoule dans la coupe de champagne.
Tout en trinquant, les deux hommes comparent les mérites des deux chattes offertes devant leurs yeux. Celle de Françoise, entièrement épilée, aux petites lèvres pendantes, dessinant une dentelle ourlée qui déborde sur les grandes lèves et au-dessus desquelles se dresse, sous son petit capuchon, un clitoris écarlate. Celle de Cindy, recouverte d’une toison blonde délicatement taillée. Elle ressemble à une pêche aux grandes lèvres gonflées entre lesquelles brillent les formes sinueuses des petites lèvres. Bien qu’elle ait les jambes écartées, on ne distingue presque pas son bouton d’amour.
Et en effet, le minou de Françoise ronronne de plaisir sous les compliments des deux hommes. Leurs visages sont à quelques centimètres à peine des deux coquillages brillants. Elles peuvent sentir le souffle chaud de leur mari venir caresser doucement leurs chairs offertes.
Cindy sent une langue qui remonte le long de sa fente, depuis l’espace qui sépare l’anus de la porte du paradis jusqu’à son petit bouton qui se met aussitôt à vibrer. C’est la langue de Marc, elle en est sûre. Une langue experte qui visite chaque recoin de son vestibule, qui s’applique à titiller ses parties les plus sensibles déclenchant des frissons de plaisir et des explosions de liqueur au fond de sa chatte.
À ses côtés, Tom s’applique lui aussi à explorer l’antichambre du minou de Françoise, suçant ses petites lèvres distendues, jouant avec son bouton d’amour, jusqu’à ce que la jeune femme laisse échapper un long râle de plaisir. Les deux hommes s’abreuvent longuement au calice de leurs épouses et celles-ci ne cachent rien de l’intense jouissance qui leur traverse le corps.
Cindy serre fermement la main de son amie. Son mari vient de l’offrir à un autre homme et elle a du mal à croire que cela puisse l’exciter à ce point. Elle n’ose pas ouvrir les yeux. Elle sent sa chatte s’agiter nerveusement en entendant les deux hommes enfiler un préservatif avant de partir à l’assaut de leur palais inondés et d’ores et déjà conquis.
La queue de Tom est plus courte mais légèrement plus épaisse que celle de Marc et Françoise savoure par avance l’effet que ce magnifique saucisson sec aura sur sa petite chatte. L’étroit passage dans le vestibule, où les muscles vaginaux viennent emprisonner la queue est, avec le clitoris, le territoire de ses jouissances les plus intenses. Alors, lorsque dans un sourire, Tom vient y poser son gland, la jeune femme ferme les yeux à son tour, prête à un inéluctable orgasme.
Cindy n’a pas vu Marc s’approcher et c’est donc dans un spasme délicieux qu’elle sent la queue se poser sur ses lèvres grandes ouvertes. Elle en apprécie chaque centimètre, tandis qu’il l’enfonce en elle jusqu’à atteindre l’extrémité de sa grotte. Elle ne l’a jamais sentie aussi pleine, pleine à en exploser, ce qu’elle fait brutalement, comme une vague puissante essayant de repousser le vigoureux envahisseur.
Pendant de longues minutes, les deux hommes s’appliquent à limer en cadence les deux cons larmoyants, tandis que leurs propriétaires lancent leurs gémissements orgasmiques. Cindy a noué ses jambes autour de la taille de Marc, comme pour l’attirer en elle plus profondément encore, et Françoise a les siennes dressées à la verticale, posées sur les épaules de Tom, ce qui a pour effet de resserrer son fourreau et d’emprisonner encore davantage le solide gourdin de son partenaire.
Les jeunes femmes ont déjà joui à plusieurs reprises, et leurs maris sont à leur tour à la limite de leurs forces. Marc se retire le premier et, après avoir ôté son préservatif, inonde le torse et le ventre de Cindy d’une pluie de sperme chaud. Tom l’imite quelques secondes plus tard sur celui de Françoise.
Les deux hommes éclatent de rire et Cindy elle-même ne peut s’empêcher de partager leur hilarité en entendant le compliment de Marc.
Les deux amies pouffent de rire en disparaissant dans l’escalier qui mène à la salle de bain.
Assis dans le salon, Marc sur le divan, Tom dans un profond fauteuil de cuir, un verre de whisky à la main, les deux hommes reprennent eux aussi leurs esprits. Même s’ils doivent une grande partie de leur succès à Françoise qui a réussi à convaincre Cindy de poursuivre le jeu, ils sont particulièrement fiers d’eux et ravis de l’évolution de la soirée.
En descendant l’escalier, les deux amies entendent leurs maris rire aux éclats dans le salon. Elles sont magnifiques, fraîches et pimpantes, lavées et parfumées, le visage éclairé d’un léger maquillage. Cindy a été surprise du soin avec lequel son amie lui a nettoyé l’entrejambes et les plis ridés de son petit trou, écartant ses fesses pour y diriger le jet puissant de la douche. Une de ces étranges pratiques des Français a pensé la jeune américaine, et pas du tout désagréable par ailleurs. Françoise quant à elle connaît son Marc. Elle sait combien il doit être impatient de venir visiter ce territoire inviolé.
Lorsqu’elles pénètrent dans le salon, Cindy serre la main de son amie en découvrant les deux hommes en tenue d’Adam, confortablement installés dans leur fauteuil, leur verre de whisky à la main.
La jeune femme hésite un instant Elle lance un regard inquiet vers son mari qui n’a d’yeux que pour la belle Françoise s’avançant lascivement vers lui. Alors, elle regarde Marc qui lui sourit, et son entrejambe frémit délicieusement tandis qu’elle s’en va le rejoindre.
Tout en accueillant leurs dociles compagnes, les deux hommes commentent le plus naturellement du monde les secrets les plus intimes de leur épouse. Leurs talents, leurs préférences, leurs faiblesses et leurs points sensibles, tandis que celles-ci se lovent contre leur corps dénudé comme deux plantes carnivores, impatientes de les dévorer. Cindy regarde Françoise partir à la découverte du corps de son mari. Comme une bonne élève, elle répète sur le corps de Marc, les caresses et les baisers que la jeune femme s’applique à prodiguer à Tom.
Marc sent la main de la jeune américaine se serrer sur sa queue assoupie lorsqu’elle entend Tom leur révéler cette passion dont elle a tellement honte. Elle sent son corps s’enflammer, tandis qu’en spécialiste, Marc le relance sur les circonstances de cette révélation.
Secret, tu parles ! Cindy a les joues et la chatte en feu. Elle fusille son mari du regard, mais celui-ci est trop occupé à discuter avec Marc, dont la main lui tâte vigoureusement les fesses comme pour en apprécier la fermeté et la douceur.
Tout en regardant Tom, visiblement plus intéressé par les caresses de Françoise que par le sort qui l’attend, Cindy obéit docile aux instructions du grand mage. Tandis qu’elle s’allonge sur sa plage imaginaire, elle ne peut réprimer un sourire en sentant un long coquillage pointu presser contre son ventre et se glisser entre ses cuisses.
Marc prend son temps pour contempler ce délicieux fessier aux miches nourries par le soleil californien. Il le regarde frémir d’impatience à la perspective de cette première claque qui viendra réveiller ses chairs, et il n’a pas le cœur à le décevoir. Quand il laisse enfin retomber sa main, Cindy lâche un « Damn’d » sonore qui déclenche immédiatement les rires de trois complices.
Tom sourit d’aise en sentant le corps de Françoise se raidir brusquement lorsque Marc lui suggère de s’occuper à son tour de son adorable derrière, pendant qu’il en fait autant avec celui de la tendre Cindy.
La jeune femme n’avait visiblement pas prévu ce petit interlude. Elle aurait aimé passer plus rapidement aux choses sérieuses avec le brave Tom, mais elle ne veut pas risquer d’interrompre prématurément leur agréable soirée. Alors, s’en va prendre position comme il le lui a demandé et pendant les cinq minutes suivantes le salon résonne de claquements secs, de cris stridents et de longs gémissements de plaisir, dès que les mains des deux bourreaux hommes se glissent entre les chairs frémissantes, pour plonger au cœur des deux volcans débordant de lave.
C’est vrai que Cindy est au septième ciel. Chaque impact sur ses globes brûlants lui envoie des éclairs électriques au plus profond du sexe, déclenchant un tsunami de plaisir qui s’écoule à gros bouillons entre ses cuisses et sur celles de son bourreau. Sa jouissance est tellement intense qu’elle n’a même pas réagi quand, sous le feu de ses caresses, Marc a enfoncé toute la longueur de son pouce dans l’étroit conduit de son cul. Ce n’est que lorsque celui s’est mis à évoquer les frissons délicieux de ses ébats sodomites avec Françoise, que la jeune femme, serrant soudain les fesses, a pris conscience de cette intrusion digitale au fond de son petit trou.
Cindy n’a pas pu retenir son cri du cœur. Malgré le pouce enfoncé dans son cul, elle ne peut se résoudre à l’idée d’une queue lui remontant les boyaux. Elle regarde son mari d’un air affolé, implorant silencieusement son aide. Mais Tom se contente de la regarder en souriant, tout en caressant le cul de Françoise, voluptueusement allongée en travers de ses cuisses.
Marc saisit délicatement le visage de la jeune femme dans sa main. Il la fixe de ses yeux brillant d’excitation. Sa voix chaude et cette langue tellement exotique coulent dans les oreilles de la jeune américaine. Elle ne peut pas, elle ne veut pas résister au pouvoir du grand Mharcaradja. Alors, lorsqu’il lui demande de s’agenouiller sur le divan, la tête posée sur le dossier, pour offrir à Tom et à Françoise le panorama ensoleillé de son appétissant derrière, Cindy obéit docilement.
Françoise ne se fait pas prier lorsqu’il lui demande de venir, elle aussi, prendre place, à côté de son amie, laissant les deux hommes en admiration devant ces deux paires de fesses rougeoyantes, au cœur desquelles ils s’apprêtent à enfoncer leur membre durci. Françoise passe le bras autour des épaules de son amie, comme pour la rassurer. Elles ont appuyées leur tête sur le dossier du divan, dressant effrontément leur cul. Leurs maris se tiennent debout derrière elles, la queue glissée entre leurs cuisses, frottant leur gland contre les lèvres baveuses de leur con, tandis que d’un doigt trempé de jus de moule, ils assouplissent et lubrifient les deux petits orifices, jusqu’à les faire bailler, comme une bouche de nourrisson attendant la tétée.
Après avoir enfilé un préservatif, ils décident sur un discret signe de tête, d’avancer en même temps. Poussant avec une lenteur méthodique, leur gland au cœur du muscle élastique qui s’écarte doucement pour céder le passage et l’accès au fourreau soyeux.
Cindy découvre pour la première fois le délicieux frisson provoqué par une bite qui lui traverse le cul et lui remonte le colon. Son con pleure des larmes de joies tandis que le membre de Marc s’enfonce lentement dans ses entrailles. Le petit trou de Françoise n’en est pas à sa première visite, mais l’épais gourdin de Tom lui écarte la rondelle comme jamais, et elle aussi, s’inonde d’une intense jouissance tandis que le membre frémissant se glisse tel un anaconda, au fond de ses boyaux.
Les deux hommes chevauchent leur pouliche côte à côte. Leurs hanches claquent à l’unisson contre les fesses encore rouges de la fessée, rythmant les gémissements passionnés des deux jeunes femmes et le clapotis humide de leur con qui crache sans discontinuer les liqueurs salées de leur jouissance. Au milieu de leur séance de trot, ils décident de changer de monture, et, après s’être débarrassés de leur préservatif, ils s’appliquent à honorer le cul de leur épouse.
Les deux queues pénètrent sans difficultés dans les trous béants et Cindy découvre avec délice que les muscles de son anus peuvent encore s’élargir davantage pour accueillir la tige épaisse de son mari. Les deux femmes se redressent pour, en se retournant, venir dévorer la bouche de leur compagnon.
Marc et Tom déchargent presqu’au même moment dans le cul accueillant de leur délicieuse épouse. Envoyant de puissants jets de sperme au fond de l’étroit conduit, comme un torrent de lave brûlante remontant dans leurs entrailles. Les quatre partenaires gémissent de concert tandis que les calices nacrés des deux femmes s’écoulent comme deux fontaines.
C’est fini. Ils restent tous les quatre, côte à côte, durant de longues minutes. Françoise caresse tendrement le visage trempé de Cindy tandis qu’au fond de leur cul, les deux queues épuisées frémissent dans un dernier spasme.
Françoise prend la main de Cindy et, après avoir ramassé leurs vêtements, la conduit pour la seconde fois de la soirée dans la salle de bain.
Après s’être rhabillés, les deux amis se tapent dans la main pour sceller la promesse d’une prochaine aventure à quatre, tandis qu’au même moment leurs épouses refont leur apparition dans le salon. On pourrait croire qu’il ne s’est rien passé, si ce n’est ce regard pétillant qu’elles jettent sur leur mari et cette délicieuse rougeur qui fait briller leurs joues.
Après s’être dit au revoir d’une manière plutôt chaste au vu de leur récents ébats, Marc et Françoise regardent leurs nouveaux amis s’en aller, depuis le pas de la porte. Alors qu’ils sont encore dans l’allée, Tom décide d’invoquer à son tour le pouvoir du grand mage.
Cindy se débarrasse sans chichi de son petit slip en dentelle qu’elle lance en défi à son mari. Puis, elle remonte sa robe sur ses hanches pour présenter à celui-ci et à leurs amis deux superbes fesses dénudées brillant sous la lumière de l’entrée. Ils éclatent de rire tous les quatre tandis que Tom et Cindy disparaissaient dans la rue déserte.
Il lui court après en riant, lançant des imprécations étranges dans une langue inconnue, traversant la maison qui résonne des cris hystériques de Françoise, avant de finir dans leur chambre, prêts à une dernière séance de jambe en l’air à l’issue de laquelle ils pourront s’endormir et rêver à leur prochaine rencontre avec leur nouveaux voisins.