n° 14160 | Fiche technique | 18926 caractères | 18926Temps de lecture estimé : 12 mn | 29/11/10 |
Résumé: Après avoir fait la découverte des bienfaits du naturisme, je me trouve dans l'obligation de rester nue sous ma robe. Une première fois qui sera suivie de nombreuses répétitions. | ||||
Critères: fh vacances plage noculotte pénétratio -couple | ||||
Auteur : Nanou (Femme mariée quadra, libertine, un peu exhib, sans-culotte) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Journal d'une sans-culotte libertine Chapitre 02 / 16 | Épisode suivant |
Première fois sans culotte.
Encore une fois, nous voici en vacances dans les Landes. Forts de notre expérience précédente, nous n’avons eu aucune difficulté à trouver une plage naturiste et nous profitons tous les jours des caresses du soleil sur nos corps totalement exposés.
Un jour, ma sœur qui est en vacances avec son compagnon et leurs enfants à quelques distances de notre lieu de villégiature, nous invite à passer la journée avec eux et à dîner ensemble. Nous les rejoignons à la plage, près de leur location. Cette plage n’est pas naturiste, cependant, comme ma sœur est seins nus, je fais de même, ce qui ne me gêne pas, évidemment. Nous passons l’après-midi à discuter et à nous baigner, avec les enfants, dans les vagues de l’Atlantique.
En fin d’après-midi, ma sœur nous dit qu’ils vont rentrer pour prendre une douche et préparer le repas. Comme nous n’avons pas grand-chose à faire, nous décidons de rester pour nous baigner encore un peu. Puis, pour nous aussi, l’heure est venue de partir. Pendant que Bernard range parasol et autre natte de plage, je cherche mes affaires de rechange dans mon sac. J’ai beau chercher : rien !
Et puis, je comprends ce qu’il s’est passé. J’ai préparé mon sac comme pour aller sur notre plage habituelle, naturiste. Avant de partir rejoindre ma sœur, je lisais, en maillot de bain, sur le balcon de notre appartement. Ce que je fais pratiquement tous les jours. Seulement d’habitude, sur la plage, j’enlève mon maillot, du coup, il n’est pas mouillé et je peux le remettre pour rentrer. Ce qui fait que je ne mets jamais de vêtement de rechange dans mon sac. Et bêtement, j’ai fait la même chose. Seulement aujourd’hui, mon maillot est mouillé. Enfin le bas, puisque le haut je ne l’ai pas mis.
Donc, je n’ai pas trop de choix : soit je garde mon slip de bain et je mouille ma robe et le siège de la voiture, soit je l’enlève et je me retrouve fesses nues sous ma robe. Ma décision est assez rapide car je n’aime pas la sensation de froid que procure un tissu humide sur le corps, je n’ai pas envie de mouiller le siège de la voiture et je me sens bien quand je suis toute nue sur la plage. Alors pourquoi garder ce maillot ? J’aurai ma robe pour masquer ma nudité.
Aussitôt pensé, aussitôt réalisé, je passe ma robe, je m’assieds sur ma serviette et rapidement j’enlève mon maillot. Pour cela, il me suffit de détacher les deux nœuds de côté (mon maillot est un bikini minimum) et de faire glisser le petit bout de tissu entre mes jambes avant de le déposer dans mon sac, sous la serviette de bain. J’ai fait ça si rapidement que je pense que personne ne s’en est rendu compte. Surtout pas mon mari. Sur le trajet pour retourner à notre voiture, je dis à Bernard :
Et sans me prévenir, ni vérifier si quelqu’un regarde, il passe une main sous ma robe pour vérifier mes dires.
Pendant toute notre marche jusqu’au parking, il n’arrête pas de me peloter les fesses et quand je dépose mes affaires dans le coffre de la voiture, il n’hésite pas à relever complètement ma robe sur mes hanches et à découvrir mon postérieur à la vue de possibles passants.
Dans la voiture, chaque fois qu’il peut, il passe une main entre mes cuisses et s’arrange pour relever ma robe et découvrir mon intimité. De la même manière, dans l’escalier qui monte à notre appartement, il reste derrière moi, et soulève ma robe pour mater mon petit cul nu. Heureusement, il n’y a qu’un étage dans la résidence et nous ne rencontrons personne.
Nous devons aller faire quelques emplettes : un peu pour nous et des fleurs pour ma sœur, ainsi qu’une bouteille de vin. Nous prenons une douche avant d’y aller pour nous débarrasser du sable et du sel sur nos corps.
Pendant que je finis de me sécher, Bernard me dit :
Bernard ne réponds rien, cependant, je sens bien qu’il n’avait pas envisagé la suite des événements de cette manière.
Je me dirige vers la penderie et je prends ma robe rose. C’est une robe sans manche avec de fines bretelles, en haut, elle est de forme bustier. De ce fait, je peux, sans problème, la porter sans soutien-gorge. À mi-cuisse, elle découvre mes jambes dorées par le soleil. Je l’enfile et me voilà prête à aller faire nos achats. Première fois de ma vie, où je vais parcourir des lieux publics, endroits inhabituels pour être parfaitement nue sous mon seul vêtement. Il est vrai que, à peine une heure auparavant, c’était déjà le cas. Cependant, entre la plage et le parking, ce n’était pas la même chose. Le fait d’être en maillot de bain, donc à moitié nue, m’a fait paraître la situation moins étrange.
Nous descendons au petit centre-commercial situé à quelque distance de notre location. Nous pouvons y aller à pied. Bernard me prend la main et, en premier, nous allons à la supérette. À un moment, je me penche pour saisir un article dans un linéaire situé assez bas. Je ne me suis pas rendu compte immédiatement que Bernard était resté derrière moi. Je me relève, me retourne et capte le regard de mon coquin de mari dirigé sur la partie la plus charnue de mon anatomie.
Je ne dis rien, toutefois, je suis sur la même longueur d’onde. Me sentir nue sous ma robe, au milieu d’inconnus, me met dans un état d’émoustillement sympathique. C’est peut-être l’idée de transgresser un interdit ou au moins une convenance non dite par la société bien pensante. En plus, Bernard est ravi de cette situation et j’adore quand mon chéri est dans cet état d’esprit.
Nous continuons nos achats, la dernière étape est le fleuriste, puis nous remontons dans notre logement pour déposer nos achats personnels. Comme tout à l’heure, mon cher et tendre ne peut pas s’empêcher de passer sa main sous ma robe. Dès qu’il a ouvert la porte, il me laisse entrer, dépose nos achats au sol et referme la porte. Il glisse sa main sous ma robe et entreprend de me caresser le minou d’un doigt fureteur, il s’exclame :
En fait, il est dans le vrai, me savoir totalement nue sous ma robe au milieu des gens me réjouit, c’est vraiment une sensation que je n’imaginais pas avant. Aussi, quand Bernard passe sa tête sous ma robe pour me titiller le bouton avec sa langue, j’écarte sans délai les jambes pour lui faciliter la tâche et m’offrir totalement à ses caresses buccales auxquelles je suis très sensible. Très vite, je suis dans un état d’excitation avancé, je me sens humide de plaisir et le plaisir monte en moi.
Mon chéri a dû le sentir, il se relève me tourne dos face à lui et prend mes mains pour les appuyer sur la commode de l’entrée. Je sens ma robe se relever sur mes fesses et une fraction de seconde plus tard, le chibre de mon mari appuie à l’entrée de mon puits d’amour. De temps en temps, quand la situation s’y prête, c’est-à-dire quand je suis bien chaude, j’aime bien être prise « à la hussarde ». Aujourd’hui, c’est un jour avec.
Et Bernard doit, lui aussi, être dans de bonne disposition, car, d’un seul coup de rein, il pénètre mon sexe avide de sensation. Sans attendre, il débute ses mouvements de va-et-vient dans ma chatoune. Il s’agrippe à mes hanches et s’enfonce en moi à un rythme qui se cale sur mon ascension vers le septième ciel. Ses impulsions profondes et cadencées m’entraînent inéluctablement sur le chemin de la jouissance. Je sens la montée du plaisir déferler en moi. Mon chéri accélère petit à petit son rythme, je sens sa tige de chair parcourir mon puits d’amour avec enthousiasme et dynamisme. Ce petit intermède sexuel me ravit les sens et je jouis avec intensité. J’atteins le summum du plaisir quand Bernard déverse sa jouissance au fonds de mon corps en restant profondément enfoncé en moi.
Puis, il faut bien se séparer, la position est intéressante pour faire l’amour, mais pas très confortable. Bernard se retire et m’aide à me redresser, il me prend dans ses bras et m’embrasse :
Je me dirige vers la salle de bain pour reprendre une douche rapide. Bernard me rejoint et nous nous lavons de concert. Mon chéri m’essuie gentiment, sans oublier de passer ses mains sur mon corps encore imprégné du plaisir qu’il vient de me donner. Je me recoiffe pendant qu’il se sèche, quand j’ai fini, il me tend ma robe et me dit :
Il est vrai que le mobilier de notre studio est des plus sommaires, seuls les fauteuils installés sur le balcon sont confortables. En plus, je discute pour la forme car, dans ma tête, je m’étais dit que si Bernard ne demandait rien je mettrai une culotte, autrement, j’exaucerais son souhait de me sentir toute nue sous ma robe légère.
Je m’habille, ce qui ne prend pas trop de temps, vu la simplicité de mes vêtements. Nous quittons notre appartement et nous dirigeons vers notre voiture. Durant tout le trajet, comme tout à l’heure, Bernard profite de la moindre occasion pour toucher mes cuisses, mon ventre et mon intimité. Je lui facilite l’accès en gardant les cuisses écartées. J’aime bien quand mon chéri s’occupe de moi. Dès qu’il a garé la voiture, je sors et prends les fleurs déposées sur le siège arrière. Quand je me redresse je m’aperçois qu’il est déjà derrière moi, la bouteille à la main, le regard sur mes cuisses dévoilées par ma position. Je lui souris et nous prenons le chemin de l’appartement de ma sœur.
Mon beau-frère nous ouvre et nous accompagne jusqu’au salon. Parce qu’il y a un salon dans leur appartement qui est plus grand que le nôtre. C’est certainement dû au fait qu’ils ont deux chambres : une pour eux, une pour les enfants. Donc, qui dit salon, dit fauteuils et canapés, je pense que cela va être drôle, surtout qu’ils semblent profonds et confortables. Fred nous invite à nous asseoir pendant qu’il cherche un vase et va ouvrir la bouteille. Il y a deux fauteuils et un canapé. Je prends place sur le canapé et fait signe à Bernard de s’asseoir sur le fauteuil situé en face. De cette manière, lui seul aura la possibilité de voir mon entrejambe, l’autre fauteuil est à angle droit. Dès que je suis assise, je m’aperçois qu’effectivement le canapé est profond. Ma robe remonte sur mes cuisses et les dévoile largement. Il va falloir que je fasse attention, au moins pendant que nous prenons l’apéritif, après nous passerons à table. Discrètement, avant que ma sœur, mon beauf ou les enfants arrivent, je dis à Bernard :
Nous nous taisons, car Claudine arrive les mains pleines d’amuse-gueule. Elle aussi a mis une robe et je parierais bien qu’elle non plus n’a pas de soutien-gorge, en bas c’est plus difficile, seul Bernard pourra le dire, car elle s’assied à mes côtés.
Fred revient avec les fleurs et nous fait la liste de ses propositions. Nous buvons tranquillement en discutant, les enfants viennent de temps en temps prendre quelques biscuits et boire leurs sodas. Petit à petit, l’alcool m’échauffe un peu les oreilles et j’ai de plus en plus de mal à faire attention à garder les cuisses serrées. Je le constate quand je vois le regard de Bernard se diriger régulièrement sur mes cuisses. Heureusement, ni Claudine, ni Fred, ne sont en face de moi et je pense qu’ils ne peuvent rien voir. Aussi, je m’enhardis et, de temps en temps, j’écarte les jambes légèrement pour aguicher mon mari. Ça lui apprendra à me mettre dans des situations délicates.
Heureusement, arrive l’heure de passer à table. J’attends que ma sœur et Fred se soient levés et avant d’en faire de même, j’écarte largement les cuisses pour dévoiler ma nudité intime à mon coquin de mari qui est resté assis, à attendre pour me mater. Le repas se passe gentiment : à table, assise sur une chaise, le risque d’exposer mon intimité est nul.
Nous quittons ma sœur et sa petite famille sans anicroche scabreuse. Pour moi surtout, car je suspecte mon coquin de mari de se délecter de ce genre de situation où mon anatomie peut être exposée à des regards étrangers ou même connus. Toutefois, je mentirais en disant que cela me gêne profondément. Au fond de moi, cela me plait.
Ces pensées égrillardes, l’alcool, les caresses de Bernard dans la voiture me mettent dans un état de fébrilité sexuelle considérable. Mon chéri – pas fou l’animal – s’en rend compte. Aussi, dès que nous sommes rentrés, il me fait l’amour. Cette fois-ci, il ne me baise pas comme tout à l’heure, il me caresse partout comme il sait si bien le faire, me fait languir, puis s’enfonce en moi pour m’amener jusqu’à un orgasme fantastique qui me laisse pantelante et repue de plaisir.
Le lendemain matin, quand je me réveille, Bernard a préparé le petit déjeuner avec des croissants tous frais qu’il est allé chercher à la boulangerie du petit centre commercial.
Et il avait raison le bougre, l’avenir allait le prouver.