n° 14168 | Fiche technique | 7463 caractères | 7463Temps de lecture estimé : 5 mn | 03/12/10 |
Résumé: Première vraie expérience d'un jeune étudiant... | ||||
Critères: h hh hplusag jeunes campagne jardin hsoumis fellation préservati hdanus hsodo confession -hhomo | ||||
Auteur : Pierrot1976 Envoi mini-message |
Je raconte cette histoire plus de quinze ans après les faits.
C’était en 1997, j’étais alors étudiant dans une ville de province, en troisième année de langues. À l’époque, j’avais pas mal de succès avec les filles et ça me plaisait bien. Mais j’avais aussi un penchant plus secret pour les aventures avec d’autres hommes.
Il y avait dans les environs de la gare un petit parc où se retrouvaient les hommes en quête d’un moment chaud sans suite ni prise de tête. J’étais déjà allé plusieurs fois dans ce parc où j’avais pu découvrir le plaisir de sucer une bonne bite, caché dans les buissons. J’aimais vraiment ça. J’aimais être à genoux devant ces hommes que je m’appliquais à pomper pour leur plus grand plaisir et le mien. Une fois, emporté par l’excitation de la situation, je demandai à l’un d’eux de m’initier à la sodomie. L’homme en question a bien failli me dégoûter à jamais de cette pratique avant même de la connaître. Il m’a fait mal et j’ai vite arrêté avant de rentrer chez moi.
Une autre fois, l’un des hommes du parc m’invita chez lui. La situation était alors idéale pour une première fois avec un lit dans un appartement, mais hélas, il n’a jamais pu bander et j’ai dû me contenter de ses doigts et de sa langue.
Quelques mois plus tard, vers la fin de l’année universitaire et alors que les examens étaient quasiment terminés, je passais la soirée avec des amis dans un pub. L’alcool aidant, l’idée de me faire enfin dépuceler par un homme a commencé à m’obséder. N’y tenant plus, j’ai salué mes amis, prétextant le besoin de dormir un peu, et je suis parti en direction du fameux parc.
Ce parc avait des allures de marché certains soirs. On y passait devant des hommes qui semblaient être à vendre ou à louer dans des vitrines de magasins.
Je repérai assez vite un homme d’une trentaine d’année assis sur le dossier d’un banc. Je m’approchai de lui et entamai la conversation d’usage.
Il me répondit oui et me demanda ce que moi je recherchais. Je lui répondis que je voulais que quelqu’un s’occupe enfin de mon cul. Je n’ai même pas eu honte de dire ça comme ça. Après tout, c’était le lieu tout indiqué pour aller droit au but. En parlant, je tâtai la marchandise et le laissai masser mon sexe à travers mon jean.
Il me proposa de m’emmener en voiture car il connaissait un coin tranquille en dehors de la ville. J’acceptai, le cœur battant à 200 bpm.
Dans la voiture, conversation banale. Il m’apprit qu’il était en couple mais aimait comme moi rencontrer des hommes de temps en temps. Plutôt actif, il me promit de bien s’occuper de moi. Il s’arrêta à ma demande pour acheter des préservatifs et me rassura en me disant qu’il avait du gel.
Après quelques kilomètres dans la campagne, il s’arrêta dans un petit chemin. En effet, l’endroit était vraiment tranquille.
Tout de suite, il commença à me caresser l’entrejambe à travers mon jean. Je lui rendis ses caresses. Lui était en short et je sentais bien sa bite déjà dure comme du bois.
Il me demanda de le sucer. Je lui répondis que je voulais d’abord me déshabiller entièrement. L’idée d’être nu devant lui dans cette voiture m’excitait au plus haut point. J’avais envie d’être sa chose. Je me débarrassai donc de tous mes habits. Je bandais et tremblais d’excitation.
Je me mis à genoux sur le siège passager et me penchai vers sa bite pour la sucer. Elle n’était pas très grosse et assez courte, ce qui me rassurait pour la suite. Je m’appliquais à le pomper. Léchant, suçant, malaxant. Sa main caressait tantôt mes fesses, tantôt ma queue. Au bout de quelques minutes, il me dit :
Je m’exécutai. Il actionna la manette du siège de manière à ce qu’il recule au maximum, puis fit baisser le dossier. Je me retrouvai à quatre pattes, le cul bien offert. Il se mit à genoux sur le bord du siège et enfila sa capote. Je l’entendis déchirer un petit sachet de gel. Il m’en enduisit l’anus et commença à me doigter.
Le fantasme de la sodomie m’avait souvent poussé à me doigter moi-même ou à me pénétrer avec divers objets. Il n’eut donc pas de mal à enfoncer ses doigts. Je me cambrai au maximum pour lui offrir mon petit cul. Enfin il sortit ses doigts pour présenter sa bite sur mon trou. Il s’enfonça doucement. Cela ne me fit ni mal ni bien. Je sentais simplement cette bite aller et venir doucement en moi, et je savourais la situation dans laquelle je me trouvais.
Une vrai salope qui s’offre à son mâle. Le cul bien relevé, je poussais des petits cris pour l’encourager. Ça commençait à devenir agréable lorsqu’il ne put s’empêcher de jouir. Il décula et se rassit sur son siège. Il retira sa capote et me demanda si j’avais aimé. Je lui répondis que oui, mais que comme je n’avais pas encore joui, j’étais prêt à faire encore ce qu’il voudrait. Il me demanda de le resucer. Je repris sa bite en bouche. Elle avait un goût de sperme et de caoutchouc. Pas terrible. Mais j’aimais être à son service. Il commença à me dire des trucs cochons. Me traitant de petite pute et de salope. J’adorais ça et le suçait de plus belle. Il avait bien éjaculé dans mon cul, mais pourtant il n’a pas débandé.
Je me relevai et lui demandai de me rebaiser comme une putain.
Cette fois, il sortit de la voiture et me dit de me mettre à genoux sur son siège, le cul tendu vers l’extérieur. Il était donc debout derrière moi et il me pénétra sans précaution. Cette fois-ci, c’était bien meilleur. Je gémissais et lui disais que j’étais sa pute et sa salope. Je lui demandais de bien me baiser comme une chienne. Je me faisais enculer dans une voiture en pleine campagne et j’adorais ça. À ce moment-là, j’aurais voulu que d’autres hommes se joignent à lui pour s’occuper de moi tellement j’étais bien dans mon rôle de femme offerte. Ce sentiment d’être à la fois rempli et tenu par des mains d’homme me rendait fou. Il finit par jouir à nouveau en me tenant fermement par les hanches. Quel délice.
Ensuite, on est rentrés dans la voiture et il m’a branlé. Je crois que j’ai éjaculé jusqu’au pare-brise.
Tremblant, le cul brûlant, je me suis rhabillé et il m’a redescendu en ville. On s’est quitté sur un trottoir. Je ne savais pas son nom et à l’époque, il n’y avait pas ou très peu de téléphones portables. Nous n’avions pas de moyen de rester en contact. Je l’ai regretté quelques minutes plus tard en rentrant chez moi car l’excitation était revenue. Je le voulais là, chez moi, pour me prendre sur la table, dans mon lit, pour le sucer et lui donner mon cul encore et encore.
Je ne l’ai jamais revu.
Mais pendant des années, j’ai continué à me branler en pensant à cette première sodomie dans la campagne !