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n° 14175Fiche technique10244 caractères10244
Temps de lecture estimé : 6 mn
07/12/10
Résumé:  Il a dû annuler leur précédent rendez-vous au dernier moment. Elle est fâchée. Elle va le punir.
Critères:  fh amour hsoumis fdomine vengeance dispute cérébral chaussures cunnilingu sm attache fouetfesse init -hsoumisaf
Auteur : Mieline            Envoi mini-message
Première punition

Elle avait laissé la porte entrouverte pour ne pas avoir à se déranger quand il sonnerait. Elle était assise sur le canapé, vêtue d’un body de velours noir, d’une veste rouge et de ses bottines. Dès qu’il entra, elle lui dit :



Il se déshabilla avec beaucoup d’empressement. Bon sang qu’il était beau… mais elle ne devait pas se laisser attendrir. Il fut vite à ses pieds. Elle tendit légèrement une jambe :



Il tendit une main vers son mollet et voulut la caresser doucement. D’un geste agacé, elle repoussa son admirateur avec le talon de sa botte.



Il obéit. Quelques bisous plus tard :



Il obéit encore… un peu maladroitement et timidement c’est vrai, mais de le voir là, à ses pieds, faire de son mieux pour la satisfaire, ça la faisait déjà fondre… Mais bon, ils savaient bien qu’il avait mérité sa punition, et elle irait jusqu’au bout.



Elle lui désigna le côté du canapé, à sa droite. Il se releva en silence et se remit en position, là où elle lui demandait. Elle attrapa une boîte à chaussures dans laquelle elle avait préparé quelques petites choses. Elle lui tendit le masque :



Quand il fut prêt elle se leva, prit les cordelettes dans la boîte. Il l’entendit bouger.



Et elle lui pinça un téton, puis tira un peu, puis tourna sèchement.



La main de la maîtresse se fit câline. Elle caressa la joue de son homme, descendit le long de son cou, parcourut son buste :



Elle lui attacha assez fermement les mains. Assez pour l’entraver, et qu’il le ressente, mais pas assez pour lui faire mal. Elle lui attacha aussi les pieds et alla se rasseoir.



Il se pencha et elle accompagna son mouvement jusqu’à ce que sa tête rencontre ses cuisses.

Comme il était touchant ainsi, nu, les mains bloquées dans le dos, le visage enfoui entre ses jambes.



En parlant, elle glissait doucement les doigts dans ses cheveux, passait sur ses épaules viriles, descendait le long d’un bras, remontait, redescendait le long de son buste, il frémissait. Elle aimait le spectacle de sa tête appuyée, abandonnée sur ses jambes. Elle sentait ses joues déjà brûlantes, écrasées dans son entrejambe.



Il y eut un silence. Soudain, le premier coup tomba.

Et deux, trois, quatre, cinq. Rapides. La main, bien à plat, était tombée avec une énergie qu’elle avait voulue raisonnable, mais efficace. Il s’était crispé, avait lâché un « argh » dans lequel elle avait entendu plus de surprise et de résistance que de vraie souffrance.

Sa main caressait maintenant la fesse qu’elle venait de frapper, glissait sur la cuisse crispée.



Un, deux, trois, quatre, cinq. Sur l’autre fesse cette fois. Et dans le silence qui s’installa après ces claquements sonores, la main cajoleuse reprit son errance, fit frémir ces quelques millimètres de douceur entre la cuisse et la fesse. Se glisser dans l’entrecuisse, caresser son périnée, serrer doucement ses couilles… mais elle lui avait attaché les jambes bien serrées l’une contre l’autre, et elle ne put aller très loin.



Elle le saisit sèchement par les cheveux et murmura :



Elle enfonça ses ongles dans son dos.



Un, deux, trois, quatre, cinq d’un côté. Plus fort que les premiers. Pas le maximum qu’elle aurait pu, mais quand même. Et elle enchaîna, un deux trois quatre cinq sur l’autre fesse.


Cette fois les petits globes rebondis de son amant avaient rosis. Que c’était beau. Ce rose fit monter d’un cran encore son excitation. Cela faisait un moment qu’elle mouillait dans son body de velours, mais là, elle avait trop envie maintenant.



Elle n’aurait pas su dire si c’était une affirmation ou une question. Il y avait à la fois du soulagement et du regret dans ces mots.



Elle déboutonna son body, le releva, écarta ses jambes et guida la tête de son amant vers sa grotte. Elle ne voulait pas le détacher encore, elle voulait qu’il la suce, qu’il la lèche et qu’il la suce encore, encore et encore jusqu’à la faire jouir. Sans le détacher, elle réussit à le remettre à genoux devant elle. À ce moment-là, elle aimait plus que tout cette part de lui, soumise et humble, cette part de lui-même qui faisait de lui un homme rampant à ses pieds, et elle voulait que ce soit en homme rampant, en homme à genoux, qu’il la mène au plaisir.


Elle releva une jambe, écarta ses petites lèvres. La langue titilla tout de suite son clito. Elle faillit jouir mais il osa la faire attendre encore un peu, et descendit, pour introduire sa langue dans son con. Elle ondulait. Elle gémissait. Enfin la langue revint sur le clito. Soudain il mordilla le fruit trempé de sa maîtresse. Cette morsure la fit partir. Elle trembla, cria. Il continua à mordiller.


Agitée de spasmes incontrôlés, elle continuait à s’abandonner, à sombrer dans ce gouffre de plaisir, à se ressourcer dans ce lieu où se rencontrent l’humain et le divin, parce que, dans son plaisir, elle se sentait plus vivante et plus forte que jamais. Cette force, cette énergie était si puissante qu’elle ne pouvait pas être seulement humaine. C’était pour elle, à cet instant, une énergie surhumaine que l’énergie qui circulait entre eux. C’était Divin.


La première réflexion qu’elle se fit quand elle revint sur terre, c’est que ce serait sans doute l’un des plus beaux cunni de sa vie. Elle réalisait la chance qu’elle avait d’être la maîtresse de cet homme là en particulier. Et après tout, peut-être qu’ils n’avaient pas fini de s’amuser ensemble. Incha’Allah !