n° 14177 | Fiche technique | 23925 caractères | 23925Temps de lecture estimé : 14 mn | 08/12/10 |
Résumé: Une véritable aventure, un peu romancée... Je demande à mon épouse de dépanner mon patron. Au-delà de ses espérances. | ||||
Critères: fh ff fhh hagé extracon inconnu fépilée fellation fist pénétratio fsodo champagne -cocucont -fhh | ||||
Auteur : Yann L |
J’avais rencontré Katya dans les années 90. Je travaillais alors pour le gouvernement au sein des forces spéciales. Plutôt doué dans cette branche, j’avais entamé une carrière aussi brillante que fascinante. Mais Katya était russe – russo-finlandaise pour être précis – et très vite on me mit sur la touche. Exit mon habilitation « secret défense », exit les missions pointues sur les points chauds du globe ! Mais Kaya était si belle ! Et j’étais tellement amoureux que je n’avais pas hésité un instant entre elle et mon job.
Jeune marié et rapidement embauché pour « aider » quelques chefs d’entreprises inquiets, j’avais repris une vie assez trépidante, accompagnant de très VIP lors de rendez-vous d’affaires souvent sensibles. Ce n’était plus les missions d’antan, mais c’était bien payé et presque amusant.
Ce soir-là, je devais assurer la tranquillité d’un dîner d’affaire entre un grand ponte français et un « exportateur » russe. La réunion se passait dans un hôtel particulier du 8ème, à deux pas de chez nous. Pas d’exotisme pour aujourd’hui, plutôt la routine !
L’ensemble du personnel, en nombre réduit, avait été contrôlé. Les locaux également. Les Russes arriveraient dans deux heures, l’interprète devait arriver, il était en retard et c’étaitt fâcheux. Particulièrement dans ce genre d’affaire.
Le téléphone sonna. Il avait eu un accident. Il n’était que légèrement blessé, mais l’autre conducteur avait été transporté à l’hôpital et il allait être retenu par les services de police…
La tuile! Mon patron était parfaitement anglophone et germanophone. Moi-même, je maîtrisais bien les langues orientales, mais aucun de nous ne connaissait assez le russe pour négocier à ce niveau. Immédiatement je pensai à Katya. Le patron était d’accord, je l’appellai.
Elle râla un peu. Une demi-heure, c’était si court, mais elle accepta, trop heureuse de m’aider dans mon job, elle qui se sentait responsable de mon éviction passée. Elle se sentait utile et elle était enthousiaste.
On sonna. C’était elle. Rapide. Efficace. Pas de maquillage si ce n’était un soulignement discret du regard. Une peau fraîche, une longue chevelure blonde tombant sur de fines épaules. Une robe noire sur une taille fine dont un discret décolleté laissait deviner des seins fermes. Une robe longue dont la fente savante laissait apparaître subrepticement une jambe dont les escarpins exagèraient encore la longueur et le tracé parfait. Elle était vraiment très belle !
Elle me sourit et m’embrassa. Je fis les présentations et mon patron lui exposa la situation, l’ampleur du contrat sous-jacent et l’importance capitale qu’il y avait à tout mettre en œuvre pour y parvenir.
Cette recommandation, toute professionnelle, me fit prendre conscience que je venais de faire entrer ma petite femme chérie dans un monde dont les règles n’étaient pas celles qui lui étaient familières. « Tout doit être mis en œuvre », avait-il dit. Bien sûr. J’en avais pratiqué de ces dîners d’affaire où « tout » était mis en œuvre. J’eus alors un instant de frayeur!
Lorsque j’étais reparti à zéro, on avait envisagé tous les moyens pour vivre, et en plaisantant sur son manque de capacité professionnelle dans un pays qu’elle connaissait mal, Katya m’avait dit :
On en avait ri, mais… Elle aimait tellement l’amour, le sexe, que lorsque je lui demandai s’il fallait choisir entre des ménages et call-girl, elle n’hésita pas à envisager de se prêter au jeu de la séduction.
Avait-elle compris l’allusion ? Serait-elle prête à franchir le pas ? Passer de la plaisanterie, peut-être du fantasme à l’acte? Comment réagirais-je?
Les Russes arrivèrent : le « patron », entre 55 et 60 ans, mais plutôt bel homme, son service de protection (on se reconnaît, on se sent) et une petite femme brune, la quarantaine élégante, probablement sa traductrice. Discrète, on ne l’entendra plus de la soirée. Mon patron fit les présentations, Katya traduisit.
Le maître d’hôtel apporta du champagne. Ce serait une soirée champagne, pas très original, mais fonctionnel !
Katya ne buvait jamais et savait à merveille passer une soirée avec une coupe de champagne à la main sans jamais boire. Mais la situation très stressante qu’elle vivait modifiait un peu ses habitudes et je la vis tremper ses lèvres de temps en temps.
Puis on passa à table, une grande table ovale. Le Russe devait avoir Katya à sa droite et son lieutenant à sa gauche. Il demanda à changer la disposition. J’en étais content car s’il avait désormais ma femme à sa gauche (moins courtois), je me trouvais du même coup à côté d’elle. Ce fut lorsqu’elle s’assit que je compris la volonté de notre invité. Lorsque la fente de sa robe s’entrouvrit et dévoila une jambe longue, douce, si douce qu’elle ne pouvait retenir la soie qui ne cessa de glisser bien au-dessus du genou! Du côté droit. Mon inquiétude augmenta alors.
Le repas fut convivial. Je ne comprenais rien ou presque à ce que disait le Russe car en dehors des « négociations » (qui se passaient sans accroc), il y avait manifestement des conversations très privées entre Katya et le Russe puisqu’ils en riaient tous les deux et que nous n’avions plus le droit aux traductions.
Le souvenir du pays et le champagne avaient largement brisé la glace.
Soudain Katya se figea. La main du Russe venait de se poser sur sa cuisse dénudée, très haut, repoussant encore un peu la soie trop indiscrète.
La brusque immobilisation de mon épouse figea également la main importune… et l’ensemble des convives!
Elle se retourna vers moi et me demanda, comme un appel au secours :
Je répondis le plus calmement possible :
Je la vouvoyais pour lui signifier qu’il n’y avait ni mari, ni femme, mais une mission, vieux réflexe d’antan, puis me retournais vers mon patron :
Mon patron me fit discrètement une offre que je jugeais ridicule (même si elle était confortable, c’était de ma femme dont il était question quand même !), je repris :
Il corrigea son offre et l’assortit même d’un « intéressement à la signature »
Le Russe avait discrètement commencé à caresser sa cuisse. Elle, nous écoutait, et loin d’être idiote, venait de comprendre ce que pouvait signifier « mettre tout en œuvre ».
Elle me dit :
Et pour la rassurer (et la pousser dans une aventure qui quelque part m’échappait, mais m’excitait) :
(Je ne me rendais pas compte alors de la portée de ma phrase, je connaissais Katya, et en la matière si elle faisait de son mieux, ça pouvait effectivement aller très loin… mais on n’en était pas là tout de même).
Le Russe, ne sachant probablement pas qu’il s’agissait de ma femme, continuait sa caresse, puis prit une coupe de champagne et leva un toast :
Puis se retournant vers Katya, il prononça un second toast manifestement plus intime. Ils trinquèrent, burent d’un trait et jetèrent leur coupe « à la Russe ». Et il l’embrassa dans le cou.
Katya accepta ses baisers et jeta sa tête en arrière. Ses seins aux pointes durcies cherchaient à percer la soie noire de sa robe. Le Russe se tourna franchement vers elle et changea de main pour la caresser sans plus aucune pudeur. Il remonta sous le tissu léger jusque sous sa fine culotte. Il s’arrêta et lui murmura quelque chose. Il venait probablement de découvrir le satin de sa peau toujours parfaitement épilée. Elle lui répondit (je compris le « da », pas le reste) et il l’embrassa à pleine bouche.
Sa main quitta son sexe et vint pétrir ses seins. Il pinçait les pointes au travers de la robe, parfois jusqu’à la faire grimacer, au seuil de la douleur. Puis il passa sa main dans le décolleté pour venir saisir un sein à pleine main, toujours en l’embrassant comme un adolescent affamé.
Je voyais par instant leurs langues se mêler dans des baisers brouillons et enflammés. Puis sa main redescendit vers son sexe. Je voyais sous mes yeux, contre moi, la femme que j’aimais plus que tout, subir les assauts désordonnés et violent de ce Russe trop important.
Il lui léchait le cou et glissait ses doigts entre ses lèvres intimes. Ils s’étaient calmés.
Il lui parla à l’oreille. Elle sursauta et lui répondit sur un ton interrogatif, en nous regardant autour de la table, attentifs au spectacle.
Alors, toujours assise, jambes serrées, elle remonta sa robe, se leva légèrement pour dégager ses fesses de la chaise, attrapa sa culotte et la retira le plus discrètement qu’il eût été possible de le faire dans de telles circonstances et la laissa choir au sol.
Le Russe glissa immédiatement sa main entre ses cuisses et, d’une pression aussi douce que ferme, l’obligea à s’ouvrir un peu. Il la caressa un instant, un court instant. Il avait envie de profiter du spectacle, peut-être aussi de nous en faire profiter aussi, il lui écarta alors franchement les cuisses et nous offrit le tableau émouvant de cette orchidée épanouie, ruisselante de rosée, posée sur cet écrin de satin rose. Plus prosaïquement, il plongea alors ses doigts nerveux dans l’intimité de ma tendre moitié.
Était-ce le champagne, l’excitation, la peur ou la honte ? Katya, si blanche, était rouge, brûlante.
Assise là, à côté de moi, offerte. J’aurais voulu me jeter sur elle pour profiter de ce corps si sensuel, mais moi aussi j’avais une mission ; et je restais imperturbable. Un œil sur le lieutenant du Russe et une oreille reliée aux collègues de l’extérieur, je veillais, professionnel.
Soudain, brutalement même, il dégagea la table d’un revers de bras, prit ma femme par la taille et l’assit sur la table, face à lui.
Il la maintenait couchée, une main sous chacune de ses cuisses relevées et plongea son visage vers son pubis avant de la dévorer littéralement !
Elle ne put se retenir bien longtemps et jouit violemment.
Fin gastronome, le Russe se saisit de la corbeille de fruits placée devant moi, prit une grappe de raisin et caressa le sexe de Katya avec un gros grain de raisin blanc. Quand il fut recouvert de liqueur féminine, il le croqua et l’avala. Puis un deuxième, et d’autres encore.
Il en prit un autre, le trempa dans la coupe d’amour ainsi impudiquement offerte et le prit entre ses dents. Glissa le long de son ventre, se releva pour regarder Katya et croqua le raisin de telle sorte que son jus et sa pulpe giclent sur son corps. Il la lécha. Il recommença et vint croquer le raisin au-dessus de ses seins, il la lécha encore.
À chaque fois qu’il remontait vers le visage de Katya pour mimer cette éjaculation frugale, il semblait prendre un malin plaisir à frotter sur ses lèvres intimes et son clitoris, la toile rêche de son costume.
Il croqua un grain de raisin au-dessus de son visage, puis lui lécha les yeux, la bouche, le cou, frottant toujours son costume maculé de cyprine sur le sexe meurtri de ma femme.
Il perdit le grain suivant. Il éructa quelque chose en russe ou en tchétchène et parti à la recherche du grain récalcitrant, enfonçant ses doigts autant qu’il le pouvait, mais sans résultat. Il maugréa encore sans que l’on sache quoi (Katya avait cessé de traduire depuis un moment déjà), puis reprit du raisin et, paradoxalement, se mit en tête de faire entrer toute la grappe dans le vagin de mon épouse, grain par grain. (Heureusement que la coupe de fruit ne contenait pas un régime de bananes !)
Quand la « coupe » fut pleine, il cria
Le maître d’hôtel rapporta une bouteille. Le Russe en arrosa copieusement les seins et le ventre de Katya qui hurla au contact glacé du liquide sur son corps brûlant. Il la lécha longuement jusqu’à ce que tout le vin ait disparu, puis s’assit face à elle et fit couler le champagne sur son bas-ventre pour le boire entre ses lèvres intimes.
Grisé par l’alcool et la situation – à moins que ce ne fut une habitude – il commença à la caresser avec le goulot de la bouteille; mais le vagin déjà plein de raisin ne pouvait le laisser pénétrer.
Il lui dit quelque chose qui devait signifier « pousse » car elle contracta ses muscles et fit sortir les derniers grains qui atterrirent directement dans la bouche avide du Russe qui en guettait la sortie.
Lorsqu’elle ne put plus évacuer seule les grains de raisins, il plongea ses doigts et continua à manger, et boire, tout ce qui sortait de cette coupe si sensuelle.
Quand il ne put plus rien retirer, et estimant qu’il y avait désormais assez de place, il reprit sa séance de masturbation champenoise, enfonçant l’épais goulot de la bouteille aussi loin qu’il lui fut possible de le faire.
Le goulot entra en contact avec le raisin restant et des grains explosèrent dans le vagin de Katya qui réagissait à chaque mouvement dans une sorte d’orgasme permanent, d’état second. Profondément enfoncée en elle, la partie large de la bouteille venait buter contre son pubis, et malgré les efforts de son amant (ou son tortionnaire?) pour gagner quelques centimètres encore, il n’était vraiment plus question d’aller plus loin. Son sexe étroit, malgré nos jeux érotiques fréquents, ne permettait pas ce genre de comportement excessif.
Elle était depuis le début à plat dos sur la table, cuisses largement écartées sur son sexe lisse et largement ouvert, dans une position d’une indécence incroyable ; cela n’était pas suffisant pour ce Russe insatiable. Il se leva, la fit basculer encore plus en arrière, relevant ses fesses pour rehausser son pubis ? Il versa alors le champagne directement dans le vagin de ma belle, goulot planté dans ses chairs. Et lorsque l’air venait à manquer pour permettre un écoulement normal (!), il retirait légèrement le goulot, glissait ses doigts et la pénétrait à nouveau, avec la bouteille et les doigts réunis. Katya cria encore sa jouissance.
Le Russe but tout ce qu’il pouvait recueillir, puis sortit son sexe durci et la pénétra très rudement, sans aucune précaution. Son sexe entra dans le vagin déjà encombré de raisin. Plus fin que la bouteille, le sexe du Russe glissa, écarta les grains, en éclata certainement quelques-uns au fond de la matrice de la belle traductrice.
À chaque coup de boutoir, il réduisait un peu plus le raisin en bouillie et je pouvais voir le sexe de l’homme aller et venir si violemment dans ce trésor de féminité et de délicatesse, je pouvais voir cette bouillie de raisin trempée de cyprine et de champagne.
Sous la violence de l’acte, Katya avait glissé en arrière et sa tête tombait au bout de la table, devant mon patron. Ce dernier était jusqu’alors resté très digne, l’expérience et l’âge (lui avait une bonne soixantaine, tout de même) lui permettaient de d’assister à ces dîners d’affaire, qui parfois dégénéraient ainsi, sans émoi particulier. Les yeux de mon épouse, la tête ainsi renversée, plongèrent dans ceux de mon patron.
Toujours bousculée sans ménagement, sa nuque frottait, heurtait même, le bord de la table. Avec une douceur très « paternelle », il glissa une main dans ses cheveux pour la soulager. Le Russe continuait, Katya plus à son aise et, sans quitter mon patron des yeux, se laissa aller dans un nouvel orgasme. Je n’avais jamais vu mon patron ainsi, il était écarlate, suffoquait presque. Il soutenait maintenant la nuque de Katya de ses deux mains. Il se baissa alors et déposa un baiser pudique sur ses douces lèvres. Elle lui rendit son baiser. Ils s’embrassèrent alors à pleine bouche, leurs langues ne se perdant que sous les chocs répétés du Russe.
Mon patron se releva, une main soutenant toujours la nuque de ma femme, ouvrit sa braguette, en sorti un membre encore respectable et, sûr de lui, le plongea dans la bouche de Katya.
Elle adorait me faire ce genre de gâterie et y trouvait toujours son plaisir. Le Russe d’un côté, l’autre dans sa bouche, elle jouit encore.
Mon attention se tourna alors vers mon patron (et de moins en moins vers le boulot, il faut le reconnaître) car ma femme le dévorait comme si elle n’avait rien mangé depuis huit jours! Elle y mettait tout son cœur et y prenait un plaisir manifeste. Calmée après tant d’orgasmes répétés, elle avait tout loisir de s’occuper de ce sexe nouveau dont elle goûtait les premières saveurs.
Malgré l’érotisme de la scène, malgré l’état de ces deux hommes profitant ensemble de mon épouse, je me calmais un peu, probablement en phase avec la femme que j’aimais et qui, elle, savourait calmement ce moment étrange d’après-jouissance prolongé du plaisir d’être ainsi encore comblée. Plus calme donc, je reprenais conscience de mon travail, je faisais un point de situation avec le reste de l’équipe de sécurité lorsqu’un cri violent me ramena brusquement vers la table. En une fraction de seconde, le lieutenant du Russe et moi-même avions nos armes en main, paré à « traiter l’incident ».
Mais rien de grave apparemment. Katya, pourtant calme un instant auparavant et attentive au bon plaisir de mon patron venait de lui mordre sauvagement le sexe. Le pauvre homme venait de crier de douleur et de surprise à la place de mon épouse qui, la bouche pleine, n’avait pu crier aussi fort que nécessaire lorsque le Russe lui planta son pieu entre les fesses. Une fois encore, il l’avait pénétré d’un coup, brutalement.
Certes l’accès était détrempé, mais ce gros rustre n’y avait vraiment mis aucun égard !
Heureusement que nous pratiquions cet « accès » assez régulièrement, si elle avait été vierge de ces usages, elle aurait certainement souffert d’avantage. C’était vrai qu’elle goûtait assez peu cette pratique, mais lorsque nous le faisions dans de bonnes conditions, elle en tirait ses plus belles jouissances.
Là, c’était plutôt mal parti! Elle qui ne supportait la sodomie qu’avec moults égards, elle était servie.
Passée la surprise, et probablement la douleur initiale, elle reprit un rythme calme, mais soutenu, tantôt avec sa bouche, tantôt avec sa main lorsque les plaisirs de Sodome lui faisait perdre la tête.
Mon patron explosa entre ses lèvres et sur son visage. Du bout des doigts, il lui caressa la joue, recueillant le sperme égaré. Elle ouvrit la bouche, l’appelant du regard. Il déposa sa liqueur sur sa langue gourmande. Elle referma ses lèvres sur ses doigts et s’en délecta, continua sa fellation espérant peut-être qu’il en sortira encore quelques gouttes.
Cela décida enfin le Russe à se laisser aller. Il se dégagea de l’anus de Katya et l’aspergea généreusement, la caressa avec son propre sperme, l’étalant sur ses seins et sur son sexe puis lui donna ses mains à lécher. Et elle lécha consciencieusement.
La petite femme brune sortit alors de sa réserve. Elle s’adressa au Russe qui lui répondit avec un geste pouvant signifier « elle est à toi ». Elle dit alors à Katya :
Elle donna sa main à lécher au Russe qui ne parut pas surpris, puis glissa ses doigts entre les chairs meurtries de ma femme. Sa main était si menue que très vite elle entra tout entière, sans effort apparent. Ses doigts se mirent alors à fouiller chaque recoin de son vagin, puis ressortirent, la main en cuillère, pour extraire tout ce qui y restait. Le poing presque fermé pour ne pas que s’échappât la bouillie de raisins provoquait une grimace lorsqu’il forçait la sortie. Et la main replongeait, presque fluide, jusqu’au fond, et ressortait presque fermée. Une fois, deux fois… Jusqu’à ce que la femme parusse satisfaite.
Elle disposa une bouteille de champagne près d’elle, reprit sa pénétration manuelle et une fois en elle ferma complètement son poing et lui dit :
Elle commença à la masturber lentement avec son poing fermé. Katya hurla une fois encore. Manifestement de plaisir, encore.
La petite femme brune profita du relâchement consécutif à son orgasme pour enlever son poing et verser dans le vagin distendu le contenu de la bouteille de champagne, évacuant ainsi les derniers débris de raisins.
Elle embrassa ses lèvres intimes, posa un baiser délicat sur son clitoris et se releva.
L’embrassant tout aussi délicatement sur ses lèvres et lui murmura doucement :
[…]
La suite fut beaucoup plus raisonnable…