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n° 14188Fiche technique8959 caractères8959
Temps de lecture estimé : 6 mn
19/12/10
corrigé 12/06/21
Résumé:  Jeux érotiques avec une amie.
Critères:  fh couplus inconnu caférestau exhib intermast cunnilingu pénétratio uro confession -exhib -uro
Auteur : Philominicuir            Envoi mini-message

Collection : Confessions
Les jeux de Christine

Je vous livre ma confession.


J’ai entretenu une relation assez particulière avec Christine, une grande brune, assez en chair, la trentaine. Elle ne passait pas inaperçue dans les tenues que je lui imposais ou celles qu’elle choisissait afin de me surprendre. Se montrer, être vue était un choix assumé et partagé par moi. Jeux innocents et pervers, jamais vulgaires.


Nous avions fixé une sorte de contrat. Tous les week-ends ou presque, nous établissions, à tour de rôle, un petit scénario érotique.

Elle arrivait chez moi. J’étais toujours ému de la voir apparaître : cheveux de jais coupés au carré. Ce jour-là, elle avait accepté de porter ma tenue préférée : mini-jupe en cuir noir évasée, bottines, petite culotte blanche, tee-shirt bien moulant.


Elle me dit :



Nous prenons le métro. Christine est assise sur un strapontin devant moi. Elle a le visage enfoui dans un journal féminin. Elle ouvre doucement les jambes, les croise et les décroise. Je mate. Je ne suis pas le seul. Cela m’excite (nous excite). Elle adore que je la voie être vue. Et elle adore être vue par des inconnus fantasmant sur elle, sur ses dessous, son sexe, ses cuisses. On aperçoit sa petite culotte blanche, son sexe qui déborde du petit linge fripé qui le couvre à peine.


Nous arrivons en un lieu aimé (Montparnasse). La terrasse d’un grand café du quartier, animée. Une boisson forte pour se donner de l’entrain. Des bisous tout plein.


Christine me souffle à l’oreille que le vieux type qui semble l’avoir remarquée, assis un peu plus loin en face de nous, lui plaît. Elle lui jette quelques regards significatifs. Je lui dis :



Elle croise et décroise les jambes, les ouvre. Sa jupe remonte découvrant ses cuisses un peu plus. Ce petit jeu à l’air de lui plaire et de lui convenir. Elle me confie être très excitée.


Je me retire.


Nous nous fixons un rendez-vous dans un autre café. Un peu plus loin. Elle est désormais seule et libre.


Je l’attends.


Une demi-heure plus tard, elle me rejoint. Radieuse. Elle est allée baiser dans les toilettes du café avec ce type. Elle me confie qu’elle a « joui comme une salope ». Elle veut me raconter les détails de cette « rencontre » :



Je suis très excité et un peu jaloux, malgré tout.

Elle a envie de continuer la soirée. Je n’ai rien contre.


Les rues calmes et les coins sombres sont idéaux pour les caresses intimes, les baisers dévorants. Nous en profitons. Je la force à déambuler dans la rue, jupe relevée, exposant son magnifique postérieur aux voyeurs occasionnels, ce qu’elle aime.

Arrivés dans un renfoncement propice aux ébats, elle me dit de me cacher dans l’encoignure qu’elle me désigne et de l’attendre. Elle veut me faire une surprise…


Je l’attends. De longues minutes après, elle arrive accompagnée d’un couple en quête d’aventures nocturnes. Ils ne sont pas là pour contempler les étoiles.

Elle se retourne, écarte les jambes, jupe relevée découvrant sa croupe. Elle se laisse caresser par les mains fouineuses de la fille. Le type entre en scène, sexe dressé. Son visage vient longuement se plonger dans ses fentes huileuses. Elle a toujours adoré être léchée, les langues qui pénètrent, fouinent et fouillent et caressent l’excitent tout particulièrement.

Enfin il la baise. Elle se trémousse. Ils jouissent assez rapidement.


Elle me fait signe de sortir de l’ombre. La fille, Laetitia, brune elle aussi, m’attend, robe relevée découvrant son superbe cul.

Je plonge mon visage dans ce cul offert aux outrages. Ma langue et ma bouche dévorent longuement ses guenilles trempées d’envies. Je bande comme un âne – selon l’expression consacrée. Je sors mon vit tuméfié d’envies. Je la fous et ne tarde pas à jouir. Plaisirs rapides, « à la sauvette ».

Nous nous séparons.


Je voudrais rentrer, dormir, rêver. Christine veut encore s’amuser, jouir de son corps, provoquer encore.

J’accepte. Aller au bout de la nuit et de tous ses interdits. Oui. La nuit est douce, chaleur, troubles envies.

Dans un petit coin, elle me dit :



Elle s’accroupit se met à pisser sans ôter sa petite culotte (il faut dire, déjà bien trempée). Je la caresse, la triture avec son linge mouillé sur lequel je passe ma langue avide. Chaude et aqueuse impression. J’aime ça. Elle adore ça !


(

Une parenthèse : j’ai connu une jeune femme qui adorait « souiller ses culottes » toujours mouillées de cyprine, bien sûr, de foutre, parfois et le plus souvent, de pisse. Sous ses jupes ou minijupes en cuir, elle portait des petites culottes en coton blanc. J’adorais, lorsqu’elle rentrait du travail, vérifier leur état : mouillées, trempées. Je la caressais d’abord longuement puis allais poser ma bouche et ma langue sur son sexe, respirer ses odeurs féminines. Puis je la baisais, follement.

)




Une autre fois, avec Christine.


Elle me fait la surprise de venir me chercher vêtue d’un short en jean effrangé, court et large. Coupé par ses soins dans un trop grand et vieux pantalon en denim.


Elle est superbe. Un peu vulgaire. Bottes hautes. Une petite tunique courte, à mi-cuisses, la cache un peu.

Nous mangeons un morceau. Buvons un peu. Nous nous caressons. La largeur de son short permet non seulement de voir mais aussi de toucher facilement. Nous nous embrassons follement.


Nous sortons, comme elle le souhaite. Elle est merveilleuse. J’ai un peu peur des folies qu’elle est capable d’inventer et dont elle a envie de me réserver la surprise. Mais j’aime les surprises.

Nous allons au café. Buvons demis sur demis (des bonnes bières d’Abbayes. Riches et douces, mousseuses et fortes.)


Le temps est doux. Très agréable. Elle a ouvert sa tunique. Et aussi les jambes… Elle me demande à l’oreille de mettre mes doigts entre ses cuisses. J’hésite un peu, je m’enhardis. Elle est toute mouillée.

Je la caresse. Un couple nous regarde. Complice de nos jeux. Visiblement excité.

Christine les a vus, ça lui plaît terriblement. Ses cuisses s’ouvrent un peu plus. Elle me susurre à l’oreille quelques mots. J’ai du mal à comprendre tant je suis ému.


En fait, elle me dit qu’elle aurait envie de baiser avec le type, même s’il ne lui plaît pas. Juste pour se faire baiser. Elle me demande encore de la toucher. Ce que je fais. Je lui écarte sa culotte afin que son sexe soit bien visible. Elle apprécie. Le type la mate. Il est vulgaire, gros, vieux. Elle a envie.

Elle lui fait un signe. Il a compris.


Le type nous suit. Nous habitons à côté du café.


Sous le porche de l’immeuble, il la baise, devant moi, rapidement, sans lui retirer son short large, lui écartant juste sa petite culotte.


Il s’en va.


Christine me dit, rentrés à la maison :



Elle monte dans la douche, se retourne et pisse dans son short. Je la caresse, lui baisse son short. Je la lèche, bois ses humeurs toutes chaudes. Longuement. Je la baise ensuite. Comme jamais. Nous passons une nuit fort belle.




Dites-moi si vous aimez ces jeux.

Pratiquez-vous des choses semblables ? Cela vous excite-t-il ?

Aimez-vous porter des mini jupes en cuir ?

Des tenues sexy ?

Aimez-vous être exhibée, ou vous exhiber ? Provoquez les regards ?