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Temps de lecture estimé : 24 mn
24/12/10
Résumé:  Histoire à deux voix et quatre personnages.
Critères:  fh ff ffh couple couplus hotel photofilm fmast intermast fellation cunnilingu anulingus 69 préservati pénétratio -initff -couple+f
Auteur : Martine-Martine
Week-end surprise

Christine est la femme de ma vie.


C’est simple, je l’aime. Nous avons une complicité simple, complète, totale, accompagnée d’une confiance à toute épreuve. C’est une belle femme, fine, belle petite poitrine, superbes jambes, taille fine, yeux vert, c’est mon Amour.


J’ai « rencontré » Martine sur internet, suite à une histoire vraie, vécue avec Christine et que j’avais fait paraître sur un site spécialisé.


J’ai vu quelques photos de Martine, sans plus (pas très bonnes, les photos…), mais nous avons fait un délire à 6000 km de distance. Ce fut impressionnant, sur la seule lecture de l’aventure réelle de Christine agrémentée de photos sensuelles de mon amour, prises par moi, pendant trois jours, elle a réussi à complètement perdre pied, excitée en permanence, attendant mes photos comme un drogué attend sa dose… Moi même, je ne me reconnaissais pas, attendant ses mails, le regard rivé à mon écran d’ordinateur.


Puis le calme est revenu. Elle partit trois semaines en vacances avec son mari à Saint-Domingue.


À son retour, nous avons renoué notre correspondance bien assagie, mais très libre car après ce que nous avions vécu, nous pouvions aborder tous les sujets sans tabou.


Il en ressort que Martine, bien que mariée et heureuse en amour, a une frustration, un désir enfoui au plus profond d’elle même, un désir fou des femmes.


De mon côté, je n’ai jamais fait de photos sensuelles de Christine avec une femme. Avec un homme, oui, même avec deux, mais pas avec une femme ; ça lui fait peur, je crois. Crainte de la comparaison sans doute. Crainte stupide car ma belle est resplendissante de beauté, de sensualité, de fraîcheur. Je vous l’ai dit, je l’aime.


Pour être complet, dans mes échanges épistolaires, j’ai flashé sur l’amie de Martine, Laure, amie très proche d’elle, et qui a failli se laisser aller à de tendres rapports avec Martine. Celle-ci a préféré couper court pour ne pas risquer de perdre l’amitié de Laure.


Bref, début mai, j’ai extorqué de Martine une info anodine. Elle part en week-end seule avec Laure. J’ai soutiré le nom de l’hôtel et les dates du séjour.


J’ai de mon côté, proposé à Christine un séjour surprise au bord de l’atlantique. Tout le long de la route, Christine cherche à savoir, où nous allons et pourquoi j’ai pris tout mon matériel photo.

Avec des mystères, je laisse sous-entendre que peut-être nous ferons une séance photo… avec qui, je ne sais pas… un homme, une femme, deux hommes, même pourquoi pas avec deux femmes, ai-je ajouté avec un grand sourire.


Le mystère plane plusieurs heures, puis nous sommes enfin arrivés sur la côte atlantique, à l’hôtel qui possède un restaurant de bonne qualité.


Après avoir déposé nos valises, nous avons fait une petite promenade le long de la mer. Enlacés, très près l’un de l’autre, nous sommes heureux. Personnellement, sur le qui-vive, je cherche à voir, avec un nœud au ventre, si je reconnais dans les passants, Martine et Laure. Mes deux inconnues.


Rien. Je ne les ai pas vues et, quelque part, je suis déçu, mais tant pis, en avant pour un repas en amoureux à l’hôtel. Perspective tout à fait réjouissante, me régalant d’avance d’un tendre tête à tête, suivi d’un non moins tendre corps à corps…


La commande passée, je suis plongé dans le regard vert de Christine, à lui faire des compliments et à évoquer nos doux moments de folie, quand deux jeunes femmes entrent dans la salle de restaurant. Je les avais oubliées, ce fut un choc au plexus.


Mon cerveau se met à fonctionner à toute vitesse. Visiblement, tout à leur conversation, elles ne nous ont pas vus, ou pour le moins, pas prêtés attention. Bien sûr, nous ne sommes pas sensés être là non plus !


Pourquoi à cet instant, Christine me dit-elle :



Regard interrogateur de mon amour, faisant un tour de la salle du coin de l’œil, pas d’homme seul, que des vieux couples, pas très glamour.



Visiblement Christine ne comprend pas tout mais se dit qu’elle devrait savoir dans pas longtemps ce qu’il en est réellement.


Je l’observe et surtout, je scrute la réaction des deux femmes. Christine se dirige vers la table, Martine et Laure sont en pleine conversation quand Christine arrive entre elle, se penche et leur dit la formule indiquée. Les deux femmes surprises de l’arrivée de l’intruse, se regardent, la regardent, Martine fronce les sourcils. Visiblement, elle met un certain temps à comprendre. Christine leur sourit, puis devant le silence interrogatif de la tablée, elle se repenche et donne la deuxième formule.


D’un coup, comme si elle venait de comprendre, Martine pivote sur son siège en ma direction, son visage s’éclaire, elle se tourne vers Laure, sans doute pour lui dire :



Elles se lèvent d’un coup, Martine tend les bras à Christine et l’embrasse comme d’une amie d’enfance trop longtemps éloignée. Laure, avec un temps de retard fait de même.


Pour ne pas être en reste, je me lève de table et viens les rejoindre. J’ai un grand sourire aux lèvres, content de la surprise que je viens de leur faire.


Martine surtout m’accueille avec dans le regard un éclat de joie communicatif.



Christine, surprise de ce qui se passe autour d’elle, mais tout de suite à l’aise avec ces deux femmes, me regarde et répond :



Je suis au spectacle. Martine, d’abord par allusions, puis d’une façon un peu plus directe, raconte à Christine le délire qui nous a réunis, par internet interposé. Laure suit la conversation. Elle connaît de l’histoire que ce qu’a osé lui dire son amie, mais elle se rend vite compte qu’elle avait sauté certains détail. Christine écoute, un petit sourire aux lèvres, découvrant qu’elle avait fait fantasmer Martine au point qu’elle avait joui en imaginant ses aventures sexuelles.


Puis Martine et Laure veulent savoir ce qu’elle ressent pendant les séances photos. Comment elle vit ça par rapport à moi, au partenaire. Son plaisir, mon plaisir. Christine écoute les questions et répond avec franchise et simplicité, comme une vedette répond à une interview !


Pendant une grande partie du repas, c’est un feu roulant de questions, de la plus simple à la plus intime. Heureusement qu’il n’y a pas grand monde dans la salle de restaurant, elles auraient choqué les convives.


Enfin, vers la fin du repas, Martine prend conscience de ma présence. Dans son regard, une grande complicité. Comme deux anciens amants qui se retrouvent. Elle me raconte son voyage à Saint-Domingue. Alors que le jour de leur départ, Olivier avait tout découvert de notre « liaison » sur la toile. Il faut dire que, voulant qu’il apprécie les photos de Christine, elle a oublié qu’elles accompagnent nos messages les plus torrides… Loin de tout, ils se sont retrouvés, amoureux comme au premier jour, et j’en suis ravi.


De leur côté, Laure et Christine, discutent, très complices. Laure veut en savoir d’avantage, des précisions, des sensations, des plaisirs et des craintes… Il faut reconnaître que le sujet de conversation de la soirée est chaud.


Aussi, me penchant vers Martine, je lui murmure dans l’oreille :



J’annonce à tout le monde, comme si c’était une initiative personnelle, qu’avec Christine nous allons faire un petit tour sur le port et nous donnons rendez-vous au bar une heure plus tard.


À peine sorti de l’établissement, je fais remarquer à ma belle qu’elle s’entend bien avec Laure. Elle reconnaît que c’est une femme agréable, souriante, et que le courant est bien passé avec elle. Faisant le garçon soudainement inspiré, je lui demande :



Ma belle me regarde, cherche à lire dans mes pensées, ce qui n’est pas très difficile, vu le petit sourire que j’affiche.



Je décide donc de rentrer vite dans notre chambre pour préparer le matériel. J’ai pris une belle chambre en prévision, avec un coin salon et son canapé.


Je pousse les meubles, tends une toile noire spécialement apportée, au cas où, sors une boîte à lumière qui me sert d’éclairage d’appoint, branche le tout et fais un essai lumière sur Christine. Il est temps de descendre rejoindre nos « amies ».


Arrivés au bar de l’hôtel, bras dessus, bras dessous avec Christine, nous trouvons Martine et Laure en grande conversation. Laure a les joues empourprées, mais elle est souriante. Nous nous approchons et je scrute le regard de Martine. Un plissement imperceptible du coin de l’œil me fait comprendre qu’elle a réussi dans son entreprise de persuasion. Je serre un peu plus Christine contre moi et lui glisse à l’oreille :



Je ne veux pas risquer un revirement d’opinion et propose tout de suite que tout le monde se retrouve dans notre chambre, m’arrêtant au passage au bar, je demande une bouteille de champagne et quatre coupes, soufflant au garçon, surpris que je veuille emmener moi-même la bouteille :



Dans l’ascenseur, un silence lourd nous accompagne, heureusement les deux étages sont vite gravis. J’ouvre la porte. Martine et Laure prennent conscience que la scène est en place.



Je m’approche de Laure, que je sens quand même tendue et lui murmure à l’oreille :



Revenant vers Martine, je lui dis en aparté :



M’adressant à Christine et Laure :



Je leur indique le canapé, verse le champagne dans les quatre coupes et tout le monde trinque à la réussite de la séance. L’appareil photo prêt, je donne mes premières indications.



Regards amicaux. Je commence à déclencher, trois ou quatre fois.

Je rectifie une position chez Laure, je demande à Christine de se mettre plus au fond du canapé et de serrer les jambes.


Encore cinq photos en tournant autour de mes modèles, elles discutent pour de vrai, très à l’aise. Les coupes finies, Martine leur enlève. Je demande aux filles d’arrêter de parler et de se regarder d’une façon plus attentive, plus soutenue.



Laure va trop vite, je dois la freiner.



D’instinct, Christine lui sourit comme pour t’encourager.



L’œil rivé à l’objectif, je vois en gros plan leurs regards qui se cherchent, leurs sourires qui se font complices, une connivence naissante mais, ô combien troublante. Il me faut la traduire en photo.



Christine ferme les yeux un instant, comme pour mieux goûter cet instant où, par son mutisme, elle signifie qu’elle veut bien. D’ailleurs, elle entrouvre légèrement les cuisses. Laure en profite pour avancer les doigts plus haut sous la jupe.


Son regard en dit long. Christine l’autorise à poursuivre l’aventure de sa main vers le haut de ses cuisses. Sa peau est douce. La main devient moite, l’excitation arrive doucement, sourdement dans le bas de son ventre. Ne pas aller trop vite, c’est impératif.



Christine se laisse faire, elle a connu cette phase avec plusieurs hommes, elle connaît les boutons rébarbatifs. Martine est obligée de venir à la rescousse pour les détacher. Quand elle revient vers moi, je remarque que son œil brille de mille feux.


J’interviens près de Laure, pour glisser sa main dans l’échancrure : elle n’ose pas. Je force les doigts à avancer. Clichés sur la main en partie sous le tissu, et sur les regards de chaque jeune femme. En gros plan, on devine les interrogations qui les occupent. Christine surprise de la douceur du contact, Laure sentant sous ses doigts la peau de satin du haut de la poitrine de ma Chérie.


Je souffle à Martine :



Elle s’approche et s’exécute, écarte spontanément le tissu du corsage, pour découvrir la dentelle du soutien-gorge. Elle me jette un regard interrogateur !



Elle s’écarte et je repars à la chasse aux émotions ; et le résultat me laisse la gorge sèche. Martine est comme paralysée près de moi. Christine, ferme les yeux, bascule légèrement la tête en arrière dans une attitude d’abandon. Laure semble chercher sur le visage de Christine l’expression de son ressenti et ce qu’elle y trouve la conforte. Après cinq photos, sans aucune indication de ma part, elle avance les doigts à la recherche du téton et s’arrête. Attend-elle l’ordre de continuer, ou savoure-t-elle ce contact doux et ferme ? Le temps de souffler à Martine :



Les derniers boutons défaits, les côtés du vêtement s’écartent naturellement. Devançant mes indications, elle découvre une épaule. Quatre photos et elle fait glisser la bretelle du soutien-gorge. La pointe du sein que Laure caresse, apparaît entre ses doigts. Le rouge monte aux joues de Christine, les traits détendus comme si elle vivait un doux rêve.



Pour montrer qu’elle est parfaitement à la séance, Christine pose sa main sur la joue de sa partenaire, comme pour prolonger cet instant. Naturellement, Laure passe sa main derrière la tête de Christine, et relevant la sienne, plonge son regard dans les yeux verts qui viennent de s’entrouvrir. Je suis aux anges, je mitraille, ne voulant rien manquer.


Puis, Laure se penche sur Christine et pose délicatement ses lèvres sur la bouche si près, si tentante.

Est-ce une hésitation ou me laisse-t-elle le temps d’œuvrer ? Maintenant son baiser se fait plus insistant. En gros plan, je vois la pression, puis les lèvres de Christine qui se relâchent, s’écartent légèrement. Un bout de langue rose apparaît et franchit la limite des dents. L’expression de ma chérie est sublime, elle semble découvrir la douceur de ce baiser qui lui faisait si peur. Comme un mets délicat dont on cherche à analyser le contenu.


Le temps est suspendu, le baiser se prolonge, s’amplifie, se passionne. Chacune veut goûter l’autre, leurs langues se dégustent doucement d’abord puis, dans un corps à corps lascif, s’enlacent, se domptent, s’apprivoisent. Près de moi, la respiration de Martine se fait plus forte, elle a les yeux embués derrière ses lunettes, le regard fixé sur la scène qui se déroule devant ses yeux.


Tout doucement, pour ne pas rompre le charme, je m’approche des deux jeunes femmes, et je prends la main de Laure qui caresse le sein, la pose sur la cuisse de Christine et lui murmure à l’oreille :



Après un dernier regard vers Christine, Laure glisse le long du cou, arrive au téton rose, et délicatement le goûte du bout de la langue avant de le prendre entre ses lèvres et d’entamer une tétée sensuelle. Dans le même mouvement, sa main empaume fermement la cuisse, et toujours par séquence, pour me laisser du temps, remonte, retroussant le tissu, découvrant la peau blanche et soyeuse.


Dans un mouvement réflexe, Christine a resserré ses jambes, puis, insensiblement se détend, se relâche. La main curieuse en profite pour gagner du terrain, laissant bientôt deviner la dentelle blanche de son slip.

Martine ne peut s’empêcher d’intervenir pour donner de la souplesse à la jupe, pressée qu’elle est, de voir la suite de cette caresse.


Enfin les doigts fins de Laure entrent en contact avec la dentelle et avec le sexe que l’on devine derrière. Un doigt presse sur le tissu, glisse en un lent va-et-vient marquant un sillon. Puis ils soulèvent le bord de la fine lingerie, glissent dessous, avancent lentement. Ils savent exactement le but de leur inquisition.

La peau de Christine est douce au niveau du sexe, car régulièrement épilée. Le ventre serré, elle suit la progression de ces doigts, avec appréhension dans un premier temps. Mais le contact est doux, délicat, Laure la frôle plus qu’elle ne la touche, avance vers le sexe et, enfin, va sentir sous ses doigts le clitoris anxieux.


Christine craint ce moment, elle n’a jamais imaginé prendre du plaisir dans les bras d’une femme, et là, elle est suspendue à ce premier geste féminin vers son intimité.


En gros plan, je photographie ces deux doigts sous la dentelle, leur avancée. Je les devine écartant doucement les lèvres du sexe offert, avançant une phalange puis deux, tirant un gémissement de la gorge de mon Amour. Laure la sent stressée. Elle s’approche de son visage, l’embrasse sur la commissure de ses lèvres et lui dit :



Elle progresse dans son intimité, les lèvres sont douces, humides. Elle caresse le bouton gorgé d’amour. Christine appuie sur la main pour mieux sentir le doigt pénétrer doucement entre ses lèvres ; Laure sent Christine qui mouille sous son majeur inquisiteur et qui écarte les cuisses pour mieux se livrer à ses caresses.


Laure la pousse légèrement vers l’arrière pour qu’elle se couche tendrement sur le canapé. Elle est maintenant allongée sur le dos, cuisses écartés ; Laure continue de caresser son intimité. Christine lui prend l’autre main en lui croisant les doigts pour qu’elle perçoive son désir et son excitation.


Crispé sur le déclencheur, j’enchaîne les photos en rafale. Martine ne dit rien, elle semble tétanisée par la scène, le regard fixé sur le bas-ventre de Christine.


Imperceptiblement d’abord, Laure glisse le long de Christine, descend contre son ventre ; elle a envie de sentir son odeur intime, de parcourir avec sa langue ses lèvres humides de plaisir. Elle place un coussin sous ses genoux pour être à la bonne hauteur, en contact avec Christine. Elle fait face à son sexe, décale son slip sur le coté. Les lèvres sont luisantes, Christine écarte ses cuisses pour les ouvrir entièrement, signe qu’elle s’offre totalement.


Laure approche sa bouche et perçoit un filet de jouissance perler sur le bord des lèvres et glisser le long de l’entrejambe pour venir vers l’œillet rose. Elle est excitée, c’est pour elle aussi, une première. Lécher ce sexe lui fait perdre pied ; son plaisir se traduit par une marque humide sur son propre slip.


Cette sensation de partager une telle émotion avec une femme, est nouvelle, l’envie est trop forte, elle tend la langue pour venir au contact des lèvres… embrasse ce sexe offert en plantant sa langue aussi loin que possible, sent la mouille parfumée venir sur sa langue. La liqueur est en elle, elle l’aspire, la respire. Christine resserre les cuisses, porte la main dans les cheveux de Laure pour la sentir d’avantage. Martine, la bouche sèche, débouche une bouteille d’eau, et tente d’étancher sa soif. Je sais par expérience que c’est en vain.


Laure ralentit la cadence de sa langue pour se dégager de son emprise, l’envie de partager la liqueur d’amour avec la bouche est trop forte. Elle se relève et vient embrasser Christine jusqu’à perdre la respiration. Leurs langues s’enroulent, se sucent et goûtent la propre liqueur de Christine. Leurs bouches sont collées, leurs langues s’accordent ; cet instant est magique, plein d’amour et de tendresse. Jamais elles n’avaient embrassé personne avec une telle envie.


Laure sent la main de Christine glisser dans son dos et venir défaire son sous-vêtement. Elle dégrafe son petit balconnet et libère ses seins. Sa main se décale pour venir caresser avec sa paume les tétons dressés par l’excitation, Laure ferme les yeux. Un supplice. Un vrai délice.


Martine intervient, elle a besoin de faire quelque chose, de participer. Elle se penche vers Laure, la regarde et lui demande de s’allonger. Elle veut la voir goûter à ce plaisir, à la jouissance qu’elle a connu avec sa bouche, au plaisir de sentir une langue féminine parcourir son intimité au plus profond, sentir son souffle sur ses lèvres gonflées.


Christine glisse sa main plus bas et remonte sur les bas, sa main se pose sur la cuisse, avance vers les lèvres. Un mot sort de la bouche de Laure pour lui indiquer son envie :



Les doigts de ma tendre chérie passent sous la culotte, la glissent tout doucement vers les cuisses puis sur les chevilles. Laure est nue, sa liqueur commence à couler le long de son entrejambe. Christine pivote sa tête vers son intimité, Laure lui caresse les cuisses, et d’un seul coup ses lèvres se posent sur son sexe. Quelle sensation… elle lui titille les lèvres avec sa bouche.


Elles sont là, couchées sur le canapé, Laure sent la progression de la langue de Christine dans son sexe ouvert, la voit la caresser, elle a envie de réaliser son phantasme le plus cher, et sans doute celui de bien des hommes… Elle se décale vers les cuisses de Christine et soulève petit à petit sa jambe pour la positionner sur le côté de son épaule. Tout doucement Christine a compris et se soulève pour venir sur Laure, ouvrant ses cuisses pour qu’elle vienne avec sa langue lui sucer son clitoris et ses lèvres ruisselantes de désir.


Elles font un 69 démentiel et sublime, Martine et moi entendons leurs plaisirs monter, l’odeur de sexe est divine, une odeur de sexe et de liqueur d’amour qui les enivrent. Laure lèche profondément, plonge sa bouche plus loin dans ce sexe qu’elle veut pénétrer, posséder, dévorer. Dans une symétrie de mouvements et d’intention, les deux jeunes femmes progressent. Leurs mouvements de langue sont de plus en plus désordonnés, la jouissance approche, monte inexorablement, leurs jus intimes brillent sur leurs joues. Laure perçoit soudain un petit coup de langue sur son petit œillet.


Laure, la première, a son orgasme, violent, fulgurant, elle s’est presque redressée, les yeux ailleurs, les joues pâles et blêmes, les traits crispés. Christine ne veut pas relâcher l’emprise qu’elle a sur Laure. Elle continue à caresser avec les doigts son bouton d’amour et lui lèche son petit trou. Ce moment est exquis, elle lui lape son petit trou. Quelle sensation, elle a son menton dans son sexe et sa langue en train de lécher le petit trou interdit.


Son plaisir remonte comme jamais, celui de Christine aussi. Laure se crispe en resserrant ses cuisses, enserrant la tête de Christine et forçant avec son bassin son mouvement de va-et-vient. Elle reprend ses caresses avec les doigts, en pénétrant trois doigts. Christine n’en peut plus, elle gémit sans arrêt, une quantité de liqueur vient ruisseler sur la main de sa compagne avant de goutter sur son visage. Elle est en train de jouir, longuement, ses yeux verts écarquillés, ses narines dilatées semblant chercher l’air !


Le plaisir de Laure monte pratiquement comme celui de Christine, elle reprend ses léchouilles dans son intimité qui s’ouvre a son appel… ses lèvres, son puits d’amour laissent passer la langue douce et rapide. Elle mord les lèvres, les suce, les aspire, Laure jouit pour la deuxième fois. Elles sont exténuées, leurs respirations sont rapides, haletantes, puis soudain se relâchent, s’apaisent, se détendent et se posent. Elles restent là, pêle-mêle, en se couvrant de petits baisers.


L’instant est magique, Christine a le visage ruisselant de mouille, Laure ne veux plus la laisser partir, elle veut la garder là, prolonger cet instant. Doucement, elles bougent et s’embrassent, dégustant chacune leur liqueur, un moment de câlins et d’amour. Leurs sexes leur font mal de plaisir, elles reposent l’une contre l’autre, la chambre respire le sexe et l’amour de deux femmes qui viennent de réaliser leur plus grand phantasme, faire l’amour avec une autre femme.


Avec Martine, nous sommes aussi fatigués par ce moment intense que nous venons de vivre. Mais nous éprouvons le besoin de témoigner à notre façon notre reconnaissance à nos amies. Nous nous approchons d’elles. Avec toute ma tendresse, j’embrasse Christine qui, dans ces moments, a des baisers profonds, passionnés, reconnaissants. Près de moi, Martine semble hésiter, elle glisse une main derrière la tête de Laure, et avec un regard d’amour tendre, l’attire contre sa bouche pour partager avec elle ce pur moment de sensualité.


Puis se tournant vers Christine, après un coup d’œil dans ma direction, elle lui prodigue aussi un baiser à couper le souffle.



Avec un petit sourire au coin de l’œil, Christine lui saisit la tête à deux mains, plonge sa langue encore parfumée de l’intimité de Laure en un baiser torride, puis lui murmure à l’oreille :




La suite écrite par Martine…


Je me sens délaissée par mon amie qui a pris son pied comme jamais. Pour tout dire, je suis jalouse car avec Laure, nous ne sommes jamais allées aussi loin dans le plaisir entre femmes. Je l’ai vu prendre du plaisir avec une autre femme qu’elle ne connaissait pas il y a encore trois heures, et moi j’en rêve depuis des mois. Mon sexe me brûle, je suis toute mouillée, submergée par le désir et l’excitation d’avoir vu deux femmes se donner du plaisir. Je me tourne vers Roger et lui dis d’une voix douce…



Tu me fais les yeux ronds, je te redemande de me faire l’amour devant ta femme. Chose que tu n’as jamais fait.



Christine m’a entendue, elle se lève, s’approche de toi, te tend un préservatif, tu as son feu vert. Je me dis : « te voilà bien embarrassé, Roger, d’habitude c’est ta femme qui est l’héroïne, tu l’as vu avec deux hommes, tu l’as immortalisée en faisant l’amour avec un autre ». Tu poses ton appareil sur la table et tu viens vers moi. Depuis que l’on correspond par mail, tu vas enfin me posséder, me faire l’amour devant ta Christine.


À ce moment-là, je pense à Olivier mon mari, auquel je suis restée fidèle malgré beaucoup d’opportunités. L’envie de me donner est trop forte. Je culpabilise mais j’en meurs d’envie.


Tu t’approches de moi, ton regard bleu planté dans mes yeux, tu ne souris pas, tu es grave. Alors tu poses ta main sur ma nuque pour m’attirer vers toi. Nous sommes debout face aux filles. Laure émerge de son plaisir. Tu jettes un coup d’œil en direction de Christine pour avoir le champ libre.


Elle vient vers nous, nous contourne, je la sens s’approcher derrière moi. Elle est nue, je sens ses seins dans mon dos. Elle passe les mains autour de ma taille, et doucement les remonte, glissant contre le tissu soyeux de mon chemisier. Ses doigts accrochent les boutons d’en haut et délicatement les font sauter. Quand ils sont tous défaits, je sens ses mains se poser sur ma poitrine. Je me mords les lèvres, sentir les mains de Christine sur moi, j’en ai rêvé et Roger me l’a apporté. Lentement, elle passe ses mains sous la dentelle de mon soutien-gorge. Je ferme les yeux pour mieux suivre la chaleur de ses mains sur ma peau douce, mes tétons commencent à pointer sérieusement. Tu t’approches, tu te penches et tu viens téter mes seins excités par Christine


En un instant, je deviens votre jouet, la situation m’échappe. Christine plaquée derrière moi, une de ses mains descend pour défaire ma jupe. Pas facile d’une seule main, tu l’aides et ma jupe glisse sur mes chevilles. Là, tu me fais un sourire coquin et me dis :



Tu te baisses en m’embrassant le ventre, ta langue frôle mon nombril, prend son temps pour arriver à ma petite chatte qui dégouline déjà de plaisir. Tu poses tes mains sur mes fesses, petit à petit ta langue titille mon petit bouton. Christine, toujours derrière moi, place une main à la naissance de mon intimité. Un doigt rejoint ta langue dans mon sexe. Je vous sens tous les deux désireux de me donner du plaisir, toi avec ta langue et Christine avec ses doigts.


Puis tu enlèves une main de ma fesse, tu tends le bras pour venir caresser ta moitié, le sexe encore endolori par le magnifique 69 fait avec Laure. Je suis prise entre vous deux ; ton souffle sur mon ventre et celui de Christine sur ma nuque, me procurent un grand trouble. J’ondule mon ventre vers ta bouche pour mieux te sentir. Tes caresses me transportent vers ma première jouissance. Un flot de liqueur inonde ta langue, tu aspires le jus de mon sexe. Puis Christine se détache de moi et nous laisse ce moment de plaisir à tous les deux. Elle en profite pour venir prendre le préservatif qu’elle t’avait donné. Elle t’enlève ton jean puis glisse ton slip. Ton sexe y est à l’étroit !


Elle passe, s’accroupit entre nous deux, prend le préservatif en bouche et le place délicatement avec ses lèvres sur ton sexe. Elle le déroule sur toute la longueur, je la regarde faire, je vois ton beau sexe droit comme un pieu, tendu vers moi et qui va me transpercer. Ton sexe est plus large que celui d’Olivier mais plus court. Christine se redresse pour nous emmener vers le lit.


Je te pousse alors sur le dos, tu saisis ton sexe en main pour le tenir bien droit, fermement, Je m’approche, place mes jambes de chaque côté de ton corps, attrape alors ton sexe et le guide pour venir le positionner à l’entrée de mon minou. Tu poses tes mains sur mes hanches, tes doigts largement écartés me tiennent fermement et tu me tire vers le bas, je viens m’empaler sur ton sexe.


Tes mouvements sont doux et fermes. Je sens tout doucement ton sexe avancer dans mon ventre, mes lèvres s’élargir de plus en plus. Je stoppe ta progression pour m’habituer à un tel engin. Je n’ai jamais pris en moi un sexe aussi large. Puis je reprends la descente vers ce bonheur. Ton sexe m’envahit, me perfore, fait semblant de ressortir, mais c’est pour mieux me plaquer contre lui. Je n’ai jamais été aussi remplie, la base de ton sexe touche mes lèvres distendues. Je grimace, tellement c’est violent et exquis. Je reste quelques secondes sans bouger pour m’habituer à ton sexe, à sa présence qui m’occupe le vagin.


Ce sont les mêmes sensations quand Olivier me sodomise, mais là, tu es dans mon sexe, dans mon ventre. Je me laisse tomber sur ton torse pour venir t’embrasser à pleine bouche, je veux t’appartenir, que tu me prennes, totalement, entièrement, violement. Baise-moi, fais-moi l’amour comme tu le fais à Christine. Je te murmure alors quelques mots à l’oreille :



Tu commences tes va-et-vient, lentement, dans mon sexe distendu. Je te sens coulisser et aller de plus en plus loin en moi. Tu es au plus profond de moi, tu butes au fond de mon vagin, je n’en peux plus. Ton membre grossit un peu plus chaque fois que tu me pénètres. Je te regarde me faire l’amour, tu me fais l’amour et je pense à mon homme que je suis en train de tromper. La situation m’a échappé.


Je ne voulais pas tromper Olivier, et pourtant je fais l’amour avec toi, et j’aime ça. Ça me plait, ça m’excite, je serre les dents et je me déchaîne sur ton pieu délicieux et brutal. Christine qui nous regarde faire, partageant notre plaisir, s’approche de moi pour me présenter son sexe rempli de mouille et de salive de Laure. J’ouvre la bouche, tends la langue pour venir lécher son sexe qu’elle m’offre.


Ton excitation s’amplifie, tu me relèves les cuisses en plaçant tes bras derrière mes fesses, accélérant ton mouvement, ton sexe me perfore. Je me vois partir, Christine se retire et tu m’embrasses à pleine bouche. Je jouis à chaque aller-retour de ton sexe dans mon fourreau. Tu me retournes sur le côté et je sens ton sexe progresser encore plus loin dans mon vagin. Tu écartes ma jambe pour venir au plus profond de moi. Tu me remplis, ton sexe bute au fond de mon sexe. J’hurle de plaisir, de douleur, ton sexe me transperce littéralement. Je sens que tu vas jouir, ta dernière poussée en moi me paralyse. Tu restes planté au fond pendant ta jouissance, je n’en peux plus, mes yeux partent en arrière, je n’ai jamais joui avec une telle ampleur, je me laisse aller et je perds connaissance. Puis plus rien, comme si quelque chose me soulevait du sol.


Je me réveille quelques minutes plus tard sous les baisers de Christine sur ma bouche. Tu es là, à côté de moi, tu me tiens la main. Pour toi aussi c’est une première, tu n’avais jamais fait l’amour à une autre femme en étant avec Christine.


Christine vient vers toi, elle te chuchote des mots doux à l’oreille, je crois, et commence à prendre ton sexe encore dur entre ses lèvres. Elle te suce avec ton préservatif, avalant ma liqueur sur ton sexe. Elle retire tout doucement le préservatif et vient lécher ton sperme encore chaud. C’était beau de la voir aussi ouverte, elle se caresse avec les doigts son petit minou tout rose et lisse. Tu as pris ton préservatif et tu as versé ta semence sur ton sexe, Christine ne perd pas une seule goutte de ta jouissance. Quand ton sexe est lavé de ta semence, elle vient s’allonger sur le lit et vous vous embrassez tendrement. Je regarde Laure, elle s’approche de moi, pour venir se blottir dans mes bras.


Quelle belle soirée.