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n° 14196Fiche technique21722 caractères21722
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Temps de lecture estimé : 16 mn
26/12/10
Résumé:  Mon mari n'est jamais à court d'idées pour me faire faire des trucs de fou. Sa dernière: tourner une vidéo porno.
Critères:  #journal f fh fépilée fsoumise exhib vidéox photofilm fmast facial fellation cunnilingu anulingus fgode fsodo jouet
Auteur : Karine2x            Envoi mini-message

Série : Mon journal érotique

Chapitre 15 / 17
Mon mari me transforme en star du X

Rappel : Je m’appelle Karine, 27 ans, 1,76 m, brune, mariée depuis quatre ans à Pierre. Nous formons un couple uni. Mon mari est toujours plein d’idées pour pimenter notre vie sexuelle. Voici la dernière.






Mon chéri est un passionné de photo. Vous le devinez, son principal sujet, c’est moi, sous toutes les coutures. Enfin, façon de parler, car je suis en général plus dévêtue qu’habillée quand il aime me prendre. Depuis que je lui ai offert un caméscope pour Noël, il s’essaye aussi aux vidéos.



J’éclate de rire.



Je croyais être tranquille pour un bout de temps, mais en deux jours il avait obtenu une adresse par nos amis libertins Alex et Maud.



Mais, c’est n’importe quoi…



Ils vont être deux ?



Tu peux toujours rêver, pauvre con !



J’ouvre des yeux effarés en envoyant de grands signes de la main à mon cher époux pour lui montrer qu’il n’est pas question que je me fasse sodomiser devant deux inconnus.



Le jour venu, après être passée chez l’esthéticienne, en être sortie avec ma toison intime réduite à la taille d’un timbre-poste, je quitte la salle de bain hypermaquillée, faux cils, lentilles de contact couleur jade. Je m’habille d’une robe qui m’arrive en haut des cuisses, de bas résilles et d’escarpins à hauts talons.



Une demi-heure plus tard nous nous pointons à l’adresse indiquée. Pierre sonne à la porte, un beau brun d’une quarantaine d’années, chemise et jean noir, ouvre et se présente :



Gros contraste avec le beau brun. Le cameraman est mal rasé, doté de cheveux gras et hirsutes, il porte un jean pas bien net et une chemise débraillée qui n’a jamais dû voir le moindre fer à repasser.



Avec ce genre de réponse à la con, le mec va me prendre pour une pute, c’est sûr !



Je regarde le décor, un grand lit, une chaise, un bureau, quelques bibelots pour l’ambiance, le tout violemment éclairé par des panneaux et des paraboles qui reflètent la lumière des projecteurs.



Je retire ma robe en me demandant ce que je fous ici au lieu d’être tranquille devant un bouquin.



Je m’assieds pour passer ces bottes qui m’arrivent juste en dessous des genoux, je me relève péniblement avec le pied en prolongement de la jambe.



Ça, je sais faire, sauf que devant un inconnu… Bon, je ne vais pas en faire un fromage, ce mec a vu des centaines de filles à poil.

Je m’exécute un peu timidement.



Il me remonte les bretelles ce con ! Je ne suis pas une star du X, punaise !



Ça, il faut oser le sortir !



Jaillir ? Mission impossible mais je peux toujours essayer.



Il va être déçu par mon petit pois, à moins qu’il n’ait un objectif macro.



Qu’est-ce que je fais ici ? Quelle conne !



Je me saisis du gros gode avec le regard d’une droguée devant sa dose (du moins j’essaye), je le lèche consciencieusement (j’y ai intérêt), puis une fois couvert de salive, direction ma chatte.



La vache ! Aucun plaisir, c’est trop gros.



Jouir ? Je n’y arriverai jamais. Je vais simuler. Je sais faire, je peux avoir un oscar.



J’entame avec ma technique personnelle une pipe d’enfer, je branle le bas du sexe de mon homme, j’enfourne le haut dans ma bouche, je suce avec enthousiasme mais c’est loin de suffire à notre scénariste.



Je m’applique, avec un va-et-vient de la tête, j’enfonce à chaque fois un poil plus loin le pénis devenu dur comme du bois de mon cher époux.

Oh, punaise ! Si je dois y arriver un jour, c’est maintenant, devant la caméra.

Je le sors complètement, je le secoue comme un prunier (erreur, cela a pour effet de le durcir encore plus), je l’enfourne, je respire un grand coup… et en avant ! Un essai… deux essais… Mission impossible. Sauf que mon chéri m’agrippe les cheveux et, d’un coup de bassin, m’enfonce sadiquement les trois centimètres restants. Sous la surprise, je roule des yeux comme des soucoupes, impossible de protester ni d’émettre le moindre son. Il me tient quelques interminables secondes son sexe bloqué au fond de ma gorge. Je vais mourir asphyxiée… puis il me lâche.


Je reprends ma respiration avec les larmes aux yeux, tentant malgré tout de sourire à la caméra.



Punaise, c’est sportif ! Aucune fille ne peut jouir de la sorte. J’ai compris ! Et Pierre ?



Une réponse qui n’a pas échappé à notre scénariste car il s’écrie, affolé :



Pourquoi il ne filme pas ça ? L’envers du décor.



Ça, c’est une séquence que j’aime !



Punaise, c’est génial comme sensation ! Pourquoi mon cher époux ne me fait jamais ça ?



Ça, ce n’est pas une bonne idée. Aïe ! Aïe !



Dire qu’il y a des ados qui imitent ce genre de scène alors qu’il faut être tendre et caressant pour faire décoller une femme.



La vache, j’ai les fesses qui me cuisent ! Mon chéri, tu me revaudras ça !

Pendant que mon mari refroidit un peu, Vincent me file les dernières instructions.



Le salaud ! Il est gonflé ! Il sait bien que ce n’est pas mon truc.

Résignée à jouer mon rôle jusqu’au bout, le moment venu, je me cambre, faisant pointer mes fesses. Je sens le gros gland de mon cher époux se positionner sur ma petite entrée. Je me décontracte au max. Je me suis tellement enduite de gel qu’il m’écarte facilement. Pensant à la caméra, je pousse un couinement plaintif.



La vache ! Quel film à la con ! Pourquoi suis-je ici ?



En fait, actrice porno, c’est se faire filmer le cul pendant une heure et son visage pendant deux minutes.



Sacrée soirée !



Un peu plus tard, la séance terminée, alors que Pierre s’occupe de récupérer le mini DVD de la caméra, j’ai droit, comme je le redoutais, aux propositions salaces de Vincent.



Jacques hausse les épaules et n’insiste pas.

Ouf !

Je file me rhabiller en récupérant ma petite robe.