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n° 14197Fiche technique73365 caractères73365
Temps de lecture estimé : 42 mn
30/12/10
Résumé:  Paul est professeur. Son ami Marc le charge de veiller sur sa femme Clara pendant sa longue abscence. Il le charge aussi de lui apprendre des pratiques sulfureuses que sa femme lui refuse...
Critères:  fh fdanus fsodo init -initfh
Auteur : zobmaster            Envoi mini-message
Le professeur

Je m’appelle Paul. Marc et moi nous connaissons depuis vingt-cinq ans. Nous avons fait nos études d’ingénieur ensemble. Lui a fait toute sa carrière dans le privé, il a fini par monter sa propre entreprise, une PME de robotique de pointe travaillant surtout pour la défense. Quant à moi, après un court passage dans l’industrie, je suis devenu professeur et j’enseigne la physique appliquée dans une école d’ingénieurs. Marc a monté sa boîte dans la ville où je suis prof. Depuis que nous nous sommes retrouvés, il est devenu mon meilleur ami et c’est réciproque. Nous sommes mariés tous les deux. Anne, ma femme, ressemble beaucoup à Clara, la femme de Marc.


Marc doit s’absenter six mois à l’autre bout du monde pour son boulot, sans aucune possibilité de revenir de temps à autre. Il m’a demandé de passer l’après-midi avec lui pour discuter, il voudrait me parler de certains problèmes.



Marc, d’un air bizarre :



Marc, sur un ton exaspéré :



Je m’écrie, en m’étranglant à moitié :



Trois jours après cette conversation, Marc est parti pour une destination inconnue, « Secret défense » nous a-t-il dit.


Deux mois ont passé depuis cet après-midi si particulier.

La demande de Marc m’obsède, j’essaie de m’y soustraire, j’évite Clara au maximum. Mais aujourd’hui elle a des ennuis avec sa machine à laver qui fuit. Je ne peux pas refuser d’aller jeter un coup d’œil.


Arrivé chez Clara, je la trouve un peu boudeuse.



Je réponds, très embêté :



Je bredouille :



Effectivement, la machine à laver fonctionne à nouveau sans fuir. Je ramasse mes outils et m’apprête à repartir mais Clara ne l’entend pas de cette oreille.



J’ouvre le bar, sors trois verres, dispose quelques amuse-gueule dans une assiette et m’affale dans un fauteuil en évaluant la situation. C’est vrai que je n’ai pas été un ami très présent. Je n’ai même pas entamé la mission que Marc m’a confiée. Je lui ai pourtant juré que je ferais tout pour accomplir son souhait. Je ne me sens pas fier du tout.


Clara viens me rejoindre.



Mon cœur se met à battre la chamade, mes pensées s’accélèrent : qu’est-ce que c’est que ce piège ?

Piège ou occasion de démarrer la mission ? Soit, on verra bien…



Clara revient et s’assied juste à côté de moi, son parfum est enivrant. Je ne l’avais pas remarqué, mais pendant que je réparais la machine à laver, elle s’est maquillée et s’est habillée très sexy. Oh la, Oui ! Mini jupe, bas nylon, talons aiguille, petit bustier serré au décolleté vertigineux, le grand jeu !



La conversation évolue vers des sujets plus anodins. Nous finissons nos whiskies et passons à table.

Clara a prévu un repas léger, juste un plat et un dessert.

Peu après avoir entamé le poisson en papillote, je demande à Clara si elle a eu des nouvelles de Marc.



Un ange passe avant que Clara ne sorte tout à trac :



Aïe, nous y voilà, me dis-je.



Ça y est, ça commence. Il faut que je joue cette partie très finement. Même si, jusqu’à maintenant, je n’ai pas vraiment commencé la mission que Marc m’a confié, je me suis énormément documenté sur les pratiques anales. Dans ma tête, j’ai construit mon personnage de « Grand Maître ». J’ai répété de nombreuses conversations imaginaires avec Clara, me préparant virtuellement aussi bien que possible à jouer mon rôle.



Un violent coup de tonnerre nous fait sursauter tous les deux et interrompt notre conversation.


Clara se met à frissonner :



À peine avons-nous fini nos tasses que des éclairs, suivis presque immédiatement des craquements du tonnerre, zèbrent le ciel de nouveau.


Clara se blottit contre moi.



Clara se lève, me prend par la main et me guide jusqu’à sa chambre.



Après un rapide passage à la salle de bain, je me retrouve à la porte de la chambre de Clara que je trouve grande ouverte.



Je me glisse dans les draps en prenant bien soin de me mettre le plus loin possible de Clara, mais elle vient se coller rapidement contre moi.



Je la serre fort contre moi, son parfum est enivrant. Elle est très douce.



Je ne peux terminer ma phrase. Un formidable coup de tonnerre fait se blottir Clara encore plus contre moi et elle se met à sangloter. Je me mets à la rassurer du mieux que je peux. Je lui caresse les cheveux, lui parle doucement.


L’orage se calme et elle finit par s’apaiser dans mes bras.



Pour toute réponse, Clara me roule une pelle passionnée. Tant pis ! me dis-je, je n’en peux plus moi non plus. Je réponds aux caresses et aux baisers de Clara. Très excités, nous faisons l’amour assez rapidement.


Après avoir goûté aux joies de l’amour physique, Clara s’exclame en riant :



Le matin nous trouve endormis l’un dans les bras de l’autre. Je m’éveille et vais préparer le petit déjeuner. Clara fait son apparition, rayonnante.



La conversation évolue vers des sujets plus anodins et je quitte Clara en milieu de matinée pour rentrer chez moi. Anne ne se doute de rien et me dit que j’ai fort bien fait d’avoir rassuré notre amie.


Le samedi de la semaine suivante, en milieu d’après midi, alors que je suis plongé dans un livre, Anne m’apporte le téléphone.



Clara me dit qu’elle souhaite me voir et passer la nuit avec moi.



J’ai l’impression que mon nez s’allonge bien plus que celui de Pinocchio.



Je m’embrouille dans mes tentatives d’explications :



Je manque de m’étouffer sous la surprise.



Très décontenancé par l’ouverture d’esprit de ma femme, j’arrive chez Clara en fin d’après-midi. Elle me saute au cou et m’embrasse goulûment.



Je me laisse guider par sa main, n’osant pas encore poser les questions qui se bousculent dans ma tête. Une fois assis devant un souper léger je me lance.



Moi, bougon :



Je m’affole, Clara me demande-t-elle de l’initier à la sodomie, je n’ose pas y croire, pas tout de suite. Aussi, je lui demande prudemment :



Clara demeure songeuse un moment, puis reprend :



Je suis décontenancé, les choses vont trop vite, j’ai l’impression de perdre le contrôle et je n’aime pas ça. J’essaie d’user de mon autorité de « Grand Maître » :



Clara me regarde en faisant une moue boudeuse. Un silence gênant s’installe. Je m’impose de ne pas le rompre. C’est dur, mais au bout d’un moment, il semble que Clara revienne à de meilleurs sentiments.



Dis ! Tu me montreras ?



Clara me prend par la main pour me conduire à sa chambre. Nous faisons l’amour passionnément. Je fais subir à Clara un cunnilingus passionné et lorsqu’elle est au comble de la jouissance, j’en profite pour titiller son anus. Comme elle réagit plutôt bien, j’enfonce doucement le bout de mon index humecté de salive.


Revenue à elle, Clara me chuchote :



J’en reste là pour cette séance. Je veux être sûr que Clara se conditionne bien. On dit fort justement que le cerveau est le « plus gros organe sexuel », eh bien ! je voulais que cet organe travaille beaucoup chez Clara.


Le mois se traîna en longueur. Je bouillais d’impatience comme un jeune puceau. J’avais un mois pour mettre une touche finale à mon scénario de « cérémonie initiatique ».

Finalement, Marc avait eu une excellente idée : quoi de mieux que cette histoire de secte secrète millénaire, de « grand maître » pour mettre Clara en confiance ?


Un mois n’est pas de trop pour rassembler les éléments du décor. Je passe une partie de mon temps libre à chiner chez les antiquaires de la région pour trouver les accessoires qui rendront la mise en scène crédible. J’achète divers bougeoirs de bonne taille, en laiton et en bronze, très ouvragés, de petites tapisseries portant de mystérieux signes cabalistiques ; bref, tout ce qu’il faut pour créer une atmosphère de « rituel initiatique très ancien ».


Je n’arrête pas de répéter la « cérémonie » dans ma tête, précisant les détails qui me rendront crédibles, éliminant les points qui pourraient instiller le doute dans l’esprit de la future initiée. Il faut que Clara ait une confiance absolue en moi, qu’elle soit convaincue que je suis très expérimenté dans ce domaine. J’ai bien compris qu’elle ne se laissera dépuceler que si elle se sent entre les mains d’un expert. Essayer la sodomie avec son mari, Marc, lui fait trop peur car il n’y connaît rien.


Enfin, le samedi tant attendu arrive. Je me précipite chez Clara avec deux gros sacs bourrés de mes différents accessoires. Ma femme me regarde charger la voiture d’un air bizarre, mais je n’y prends pas garde. Je bredouille que Clara a besoin de mes services : une porte qui ferme mal, le robinet de l’évier qui fuit et d’autres choses nécessitant pas mal d’outils…



Je décampe sans demander mon reste.


Chez Clara, le « Grand Maître » prend la direction des opérations. On est au milieu de l’après-midi. J’ai prévenu Clara de mon arrivée et je la trouve en train de se détendre dans un bain chaud. Pendant qu’elle termine ses ablutions, je prépare la chambre.


Disposant de grosses bougies sur leurs chandeliers, je fais brûler un peu d’encens, puis je ferme les volets et tire les rideaux afin que seule la lumière des candélabres donne un peu de clarté. L’ambiance que j’ai créée est assez réussie, « mystique » à souhait. Tout ce qu’il faut pour une cérémonie d’initiation.


Ayant revêtu un peignoir « new-age » avec broderie doré et signes cabalistiques, je me sens dans la peau du « Grand Maître ».


Tout étant prêt, je vais chercher la « pucelle ».


Clara s’est parfumée, pomponnée, elle est vraiment enivrante. Pendant que je conduis la néophyte à la chambre où elle va être initiée, il faut que je fasse appel à toutes mes ressources pour maîtriser mes émotions et avoir l’air d’un maître expérimenté et sûr de lui.


Arrivé au seuil de la chambre, je demande à Clara d’une voix solennelle :



Je guide Clara vers le lit, l’assied et lui enlève sa nuisette.

Je m’efforce d’avoir l’air de tout contrôler, il faut que je sois parfait dans mon rôle de « Grand Maître » habitué à initier les vierges… En fait, je suis tout sauf sûr de moi, mais je puise le calme dans les profondeurs de mon esprit. Et j’y arrive, est-ce l’entraînement à passer des concours du temps où j’étais en classe prépa ?


Je me défais de mon accoutrement et m’assois à côté de Clara. Je décide d’éviter de donner une touche sentimentale à sa première sodomie, je ne l’embrasse pas, je ne l’étreins pas comme j’en ai pourtant furieusement envie. Pas de geste de tendresse, seul le plaisir pur dénué de sentiment doit être présent.


J’allonge Clara sur le dos, je lui écarte les jambes et me mets à la lécher très doucement. Je titille son clitoris de mon majeur. Clara gémit, son plaisir va crescendo. Je lèche sauvagement sa vulve pendant que je plonge mon index dans un pot de crème que j’ai placé sur un guéridon juste à côté du lit.

Je pénètre très lentement son anus d’un doigt ferme ce qui déclenche des feulements de chatte en chaleur. Excellents signes, la vierge est prête…

Je retourne Clara doucement, elle se penche en avant, les mains posées sur le lit, le cul tendu vers moi. Le spectacle est magnifique, ses bas noirs, son porte-jarretelles, son cul divin, je me régale du spectacle.


Je m’agenouille derrière elle, elle gémit d’avance à l’idée de ma caresse. J’écarte les globes charnus de son cul, son anus apparaît au fond de sa vallée secrète. Plus bas, sa vulve baille, ses poils poisseux de sa mouille sont collés entre eux. Mes doigts fouillent sa chatte par-devant. Ma bouche se colle dans le sillon ouvert de ses fesses.


Une délicieuse odeur, différente de celle de tout à l’heure, chatouille mes narines. Ma langue ouvre doucement la rosette brune de son cul qui s’écarte sous la pression humide. Je l’encule de ma langue à petits coups vifs qui lui arrachent des cris perçants.


Puis, je remplace ma langue par mon index que j’enfonce lentement, complètement. Je commence un lent va-et-vient en faisant également un mouvement circulaire comme si je voulais élargir son orifice. Clara est au comble du plaisir et succombe à un orgasme fulgurant pendant que je titille son clitoris de la pointe de ma langue.


Je laisse Clara récupérer et je retire mon doigt.


Je place Clara en levrette et m’approche de ses fesses. Je peaufine sa position de telle sorte que son petit calice soit bien exposé. Je bande vraiment comme un âne, c’est une sorte de dépucelage pour moi aussi : ma première sodomie ! Mais je ne peux évidemment pas l’avouer à Clara.


Sur un ton empreint de gravité, je déclare :



Je m’enduis le pénis de crème très généreusement et présente mon sexe à l’entrée du cul de Clara. Je pousse doucement et mon gland pénètre lentement, le sphincter n’offre pas de résistance, Clara est bien détendue, offerte. Pendant que mon sexe s’enfonce, Clara pousse quelques gémissements.


Ça y est, je suis enfoncé à fond, mon ventre est collé aux fesses de Clara.



Clara entame alors un lent mouvement de va-et-vient avec ses fesses, faisant coulisser doucement son anus sur mon vit. Elle prend son temps, essaie divers mouvement de rotation. Elle gémit, elle râle, elle est aux anges.


Je masse son clitoris d’une main et étreint ses seins de l’autre. Elle accélère et amplifie le mouvement. Je vois ma bite aller et venir dans son cul avec des bruits de succions très obscènes, je suis au comble de l’excitation, je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps…


Clara vient avant moi, elle se fige, se cambre et s’empale à fond sur mon membre d’airain. Le cri de plaisir qu’elle pousse sans retenue déclenche mon orgasme. J’éjacule mon plaisir à longs et grands jets dans ses entrailles.


Au bout d’une éternité, je retire mon sexe de son calice et nous nous écroulons sur le lit.


Mon sexe reprend déjà de la vigueur.


Clara me chuchote à l’oreille :



Cette fois, c’est moi qui vais prendre la pleine maîtrise des événements.

J’embrasse à pleine bouche la chatte qu’elle expose de manière si obscène, je lèche les traces de mouille salée et sucrée à la fois, quel nectar enivrant ! Clara gémit pendant que je pénètre son vagin baveux à deux doigts. Puis ma langue la fouille profondément, très profondément, le goût est divin, l’odeur merveilleuse. Mes mains pétrissent ses mamelles, ses gémissements me font bander plus fort encore, j’ai l’impression que mon gland va exploser. Ma queue pénètre son anus avec un bruit de succion qui m’excite davantage. Ses mains griffent mes reins, mes hanches s’agitent d’avant en arrière, tandis que je pilonne son cul. Clara crie son plaisir. Je ne veux pas jouir encore, je veux lui donner encore d’autres sensations.


Je me retire et un « plop » sonore et obscène se fait entendre lorsque mon gland se sépare de sa rosette. Je lui lèche la raie à grands coups de langue vifs, ses gémissements me rendent fou. Elle pousse son postérieur vers mon visage. J’écarte encore ses fesses et l’encule de ma langue qui gagne du terrain car sa rosette se distend, son cul s’agite sous mon visage écarlate de désir. J’ai son goût dans ma bouche. Quel bonheur ! Je me redresse derrière elle, c’est mon doigt qui va prendre le relais de ma langue. Je porte mon index à ma bouche, je le suce pour le mouiller et je l’enfonce doucement dans sa chatte par-devant pour en récupérer un peu de mouille, puis trempé à point, je l’engage très doucement dans le petit trou dilaté de son anus. Je pousse lentement, les premières phalanges sont englouties, son cul s’ouvre à nouveau peu à peu et je me régale du spectacle et des mouvements que font ses fesses écartelées sous l’inquisition de son sanctuaire le plus secret.


Clara hurle sa jouissance tandis que je glisse un autre doigt. Je l’encule de mes doigts, et je vois sa rondelle s’ouvrir sous la pression. Je les retire délicatement. Son anus reste ouvert un instant. J’en profite pour glisser mon gland turgescent dans son orifice doux et chaud. Je pousse fermement et ma hampe est engloutie sur toute sa longueur par son cul préparé avec soin à cette intromission. Je suis dans ses entrailles, je l’encule au plus profond de son être, je la possède toute entière.

Mes hanches s’agitent doucement, puis brutalement, j’accélère la cadence. Je pilonne furieusement son cul, je l’encule, je la défonce, elle jouit comme une folle.


Mes coups de boutoir qui fouillent son cul se font plus profonds.

La sensation est affolante, son sphincter enserre mon sexe comme il ne l’a jamais été. Les feulements de Clara qui crie sa jouissance déclenche mon plaisir et un feu d’artifice de jets de foutre inondent ses entrailles.


Nous mettons longtemps à revenir à nous.



Elle prend le petit coffret de bois verni que je lui tends et l’ouvre précautionneusement.



Plus tard, lors du dîner, je fais une vanne douteuse à Clara : elle me parle et je ne réponds rien.



Moi, toujours silencieux, je la regarde dans les yeux.



Silence de ma part.



Je finis par lui balancer avec un clin d’œil :



Elle se lève, je me sauve et elle me poursuit. Arrivé dans la salle à manger, elle me lance tous les coussins du canapé.



Elle me rattrape et fait semblant de m’assaillir de coups de poings et de pieds. Je m’écroule sur les coussins et elle se jette sur moi. Elle se met à me chatouiller, je n’en puis plus de rire.



Nous regagnons la cuisine bras dessus bras dessous en rigolant.


Nous finissons le dîner et passons la nuit dans les bras l’un de l’autre.


Je rentre chez moi le dimanche matin. Anne m’accueille en faisant une drôle de tête. Je décide de faire comme si je ne voyais rien.


La semaine suivante, Clara me téléphone un après-midi, elle veut me voir de manière urgente.



Je suis complètement décontenancé. Je n’aurais jamais imaginé que cette histoire allait avoir une suite.



Dépuceler du cul une autre femme constituait une perspective très alléchante ! Je commençais à cogiter intensément. Pourquoi pas, me dis-je ?



Mais en réfléchissant, je me dis que c’est impossible :



Clara semble réfléchir intensément un moment, puis me dit :



Mon cerveau bouillonne, mes pensées tournent à toute vitesse. Marc possède un local, un ancien appartement pas trop défraîchi dont j’ai les clés, cela pourrait constituer un local de la société secrète.

Ensuite, le prix de l’initiation : le fixer élevé pour paraître crédible, peut-être même un peu plus que ça pour dissuader la future cliente. Après tout, l’initier sera bandant au possible, mais compliqué, risqué, donc si elle laisse tomber, je n’aurai pas vraiment de regrets.


Et justement, côté risques, il y a Anne, ma femme. Bien que ce soit l’hiver sexuel entre nous, je tiens à elle, je l’aime. Si elle apprend mes frasques… Et puis zut, tant pis, je suis frustré, c’est trop tentant.


Clara me rappelle dans la soirée. Elle n’a pas perdu de temps, elle a revu son amie qui est très intéressée, pour elle, le prix n’est absolument pas un problème. Clara me donne son numéro de téléphone mobile et son prénom : Juliette.


Le « Grand Maître » qui sommeille en moi s’éveille et prend la direction des opérations. Je téléphone à Juliette. Je lui donne quelques compléments d’information et lui dit que le mieux serait de se rencontrer. Alors, et alors seulement, elle saura si elle veut aller plus loin.


Juliette ne perd pas de temps et me demande si je serais libre tout de suite. Nous convenons de nous retrouver dans un bar à mi-chemin de nos habitations respectives.


Juliette est charmante, non ce n’est pas le mot qui convient. Elle a du chien, du « sex-appeal », pour tout dire elle m’excite. Je m’aperçois rapidement que je ne dois pas non plus la laisser indifférente.

Nous discutons longuement, elle pose des myriades de questions. J’invente, j’improvise ou je me sers de ma très récente expérience avec Clara.


Elle est d’accord avec le prix très élevé que je demande, d’accord avec tout.

Elle sera la deuxième élève de mon cours de sodomie si particulier. Elle aussi apprécie l’aura mystique que je donne à tout cela.


Juliette aussi aura droit à son bijou.


Elle me rappelle quelques temps plus tard. Elle est ravie, sa vie de couple a pris un nouveau départ, « grâce à moi » m’assure-t-elle. En fait, comme Clara, Juliette a des amies dans l’embarras… C’est ainsi que mes cours particuliers de sodomie ont démarrés sur les chapeaux de roue.


Les choses vont un peu mieux avec ma femme, évidemment, je ne suis plus frustré. Elle aussi va mieux dirait-on, que fait-elle pour ça ?


Je ne goûterai sans doute jamais aux joies du sexe anal avec ma femme, je ne cueillerai jamais le pucelage anal de ma femme et cela m’attriste. Mais je me fais une raison.


Un jour, une de mes élèves m’apprend que pendant qu’elle se fait initier par mes soins aux plaisirs interdits, son mari se fait initier par un « Grand Maître » femme.


Elle me demande si je la connais. Je bredouille :



Je ne sais plus que penser, qu’est-ce que c’est que ça ? Cette femme prêtresse n’est pas vraiment une concurrente, mais comment a-t-elle eu vent de mes activités pour les copier ?


Le succès de mon entreprise ne se démentant pas et comme je n’ai plus entendu parler de cette « concurrente », j’oublie l’incident.


Enfin Marc rentre.


Je le vois quelques jours après son retour. Nous bavardons depuis un moment déjà lorsque la conversation aborde le sujet délicat :



Moi, gêné :



Moi, rougissant jusqu’aux oreilles :



Silence horriblement gêné de ma part.



L’incident oublié me revient à l’esprit.



Marc s’interrompt et m’observe d’un regard inquiet.