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n° 14217Fiche technique19921 caractères19921
Temps de lecture estimé : 12 mn
10/01/11
Résumé:  Où on retrouve Geneviève, qui rend service à son amie Martine.
Critères:  fhh fplusag grosseins vengeance photofilm lingerie fellation préservati double -totalsexe -fhh
Auteur : Paco 75            Envoi mini-message
Martine

J’ai accueilli Martine chez moi, il y a deux mois. Elle est arrivée un dimanche soir, complètement effondrée, après que son ex lui ait annoncé qu’il la quittait pour une « vraie femme, charmante, sexy, intelligente et pas frigide » (ce sont ses mots…). Le salaud ne s’est pas contenté de la planter après cinq ans de vie commune où il lui a pompé l’air au nom de sa « créativité d’artiste » à lui, mais il a tout fait pour la détruire avant de partir…


Martine et moi sommes amies depuis longtemps, même si pendant qu’elle vivait avec ce type, on se voyait moins. Le grand homme ne supportait pas de sortir et ma conversation de commerçante en lingerie n’était pas de son niveau… Ce qui ne l’avait pas empêché de me faire du rentre-dedans au cours d’un dîner chez eux alors que Martine était dans la cuisine, me décidant à rester à distance de cet individu !


Martine a la trentaine, des cheveux bruns bouclés que je lui envie et de ces rondeurs féminines qu’on ne voit pas dans les magazines sauf dans les « spéciales rondes », qui la complexent un peu. Et même beaucoup, après cette rupture et le venin que l’autre imbécile lui a craché au visage… Autant dire qu’il y a du chemin à faire pour la remettre en ordre de marche.


On a donc commencé par pas mal pleurer ensemble, un peu boire et beaucoup dire du mal des hommes en général. Puis, petit à petit, je l’ai convaincue de se reprendre en mains : week-end thalasso, inscription au club de gym, coiffeur et séances d’essayage multiples, en particulier dans ma boutique. En effet, bien que nous soyons amies depuis longtemps, je n’avais jusque-là jamais réussi à convaincre Martine de se débarrasser de ses soutiens-gorge carcans et de ses culottes en coton !


Cette fois-ci, piquée au vif par les calomnies de son ex, elle se laisse convaincre et découvre le plaisir d’habiller sa plantureuse poitrine (95E) d’écrins de dentelles beaucoup plus seyants. Petit à petit, nous en sommes ainsi arrivées à lui constituer un bel assortiment de lingerie pour tout les jours et aussi pour le soir, avec guêpière, string, jusqu’aux bas couture qu’elle adore parce qu’elle y voit (avec raison !) le symbole de la féminité absolue.


Ces progrès m’encouragent maintenant à l’aider à laver la dernière insulte dont le monsieur l’a gratifiée : « frigide »… J’ai clairement un intérêt très égoïste à remettre Martine sur le chemin d’une vie sexuelle pleine et satisfaisante : depuis qu’elle habite chez moi, ma vie sexuelle à moi est un peu perturbée !


J’avais l’habitude de recevoir mes amants au moins trois fois par semaine, voire de m’offrir un petit extra imprévu de temps en temps et là, je suis un peu sevrée. Il ne me reste que le lundi, jour de fermeture de la boutique mais où Martine travaille, pour rencontrer un des beaux mâles de mon carnet d’adresse, et c’est bien peu… Parfois, j’avoue que je mets « les bouchées doubles » mais ma liberté me manque. Aussi, petit à petit, j’amène Martine à me parler de cet aspect de sa vie.


Elle me raconte comment son ex exigeait des fellations, sans même la toucher ou lui rendre son plaisir, ses premières aventures dont certaines étaient autrement plus satisfaisantes, ses fantasmes d’inconnu ou d’inconnus au pluriel même. À mon tour, je lui fais des confidences, évoquant la découverte des clubs libertins avec feu mon mari, les « recommandations » qu’il m’a laissées avant de s’éteindre, et les amours diverses que je vis depuis, au gré des rencontres et de mes humeurs.


En rougissant, Martine m’avoue qu’elle a ouvert un jour un petit carnet noir qui était près du téléphone. Elle l’a vite refermé, bien sûr, mais a pu apercevoir une liste de prénoms masculins accompagnés de commentaires parfois très explicites (« très bon cuni », « fétichiste talons »…). Elle me dit avoir pensé alors que j’étais une sorte de call-girl de luxe, notant les goûts et les désirs de ces clients et que je cachais bien mon jeu…



Après un bon fou-rire, je demande à Martine si elle a des préférences : blond, brun, jeune, plus mûr… Elle m’avoue avoir un faible pour les métis, en souvenir d’une de ses premières expériences très réussies, mais ne veut rien savoir de plus pour garder l’effet de surprise. Tandis qu’elle me quitte pour aller vider ses armoires et choisir sa tenue, je feuillette mon petit carnet noir pour y dénicher nos partenaires. Joachim et Michel, voilà la paire idéale, en souhaitant qu’ils soient disponibles tous les deux !

Coup de chance, mes deux coups de fil sont gagnants et rendez-vous est pris pour le soir même vers 22 h.



*********




Le coup de sonnette nous fait sursauter. Le dîner a été bon (traiteur, on n’allait pas se casser un ongle à faire la cuisine ce soir !) et assez arrosé. Il me semble que Martine a cherché un peu de courage dans l’alcool en prévision de la suite… mais nous ne sommes pas saoules, juste un peu gaies.



Je me redresse sur mes talons, les plus hauts de ma collection, et lisse ma jupe droite. Comme je me dirige vers le couloir, Martine m’arrête pour que je redresse la couture de mes bas. Comme elle, j’ai glissé mes jambes dans des enveloppes de nylon ultra-fin, délicatement soulignées par un talon triangulaire et une fine ligne noire. Ondulant sur mes escarpins, j’ouvre enfin la porte pour faire entrer nos invités.


Joachim (le métis) est un jeune homme (pour moi qui ai la quarantaine passée…) très souriant, de taille moyenne, avec des épaules très carrées. Michel est plus âgé, les cheveux poivre et sel, avec de grands yeux verts. C’est un cérébral, sensuel au vrai sens du terme, qui sait toujours tirer le meilleur de toutes les situations… Je l’ai choisi tout exprès, au cas où Martine aurait du mal à se « décoincer »… Quatre bises à chacun, une main baladeuse sur mes fesses, et je conduis ces Messieurs vers le salon.


Et là, surprise ! Nous découvrons Martine, à demi allongée sur le canapé. Elle a retiré sa robe et présente aux regards un très bel ensemble noir et gris : soutien-gorge balconnet, serre-taille assez large, et il me semble qu’elle n’a pas pris la peine d’enfiler le string assorti !



Et elle se lève et tend la main à Michel, pour un baisemain des plus classiques.



Attrapant Joachim par la main, Martine l’entraîne vers sa chambre, sans plus attendre de réponse. J’en reste bouche bée. Michel se tourne vers moi en riant et me glisse :



C’est ce qu’on va voir… Après la présentation tonitruante de Martine, qui m’a complètement prise à froid, je ne vais quand même pas me faire piquer mon mec de la soirée. Sans laisser plus le temps à Michel de parler de Martine, je l’embrasse fougueusement en plaquant ma main câline sur son entrejambe. Il bande déjà, le salaud… pour qui ? Peu importe, pour le moment, c’est moi qui vais en profiter ! Un glissement de fermeture éclair, un pantalon qui tombe et je suis à genoux en train de lécher le tissu de son boxer, là où son gland marque clairement sa volonté de sortir au grand air… J’adore faire ça, surtout en fixant mon partenaire avec de grands yeux gourmands. C’est mon côté « salope insatiable », qui plaît beaucoup en général ! Assez rapidement quand même, je dégage le sexe de Michel du tissu devenu inutile et nous passons aux choses sérieuses !


S’en suit une partie de « bouche-trous », de « cache-pine » et de « chasse-bouboules » des plus agréables et dont je vous laisse imaginer les détails… car finalement, là n’est pas le clou de ce récit.


Après un (bon) moment à jouer ensemble, Michel et moi nous accordons une pause bien méritée, lui complètement nu et moi, à qui il ne reste plus que le porte-jarretelles et les bas, un peu détendus par nos activités. J’avoue m’être laissée aller à fermer les yeux quand j’ai senti sous ma main (que j’avais placée stratégiquement), le sexe de Michel se ranimer brutalement. « Le coquin a encore envie de moi… » me dis-je, en m’étirant… Mais, en ouvrant les yeux, je découvre que Martine et Joachim sont là, et que c’est visiblement le spectacle de mon amie, toujours perchée sur ses talons, les seins sortis des bonnets de dentelle et copieusement malaxés par Joachim, qui fait bander Michel…



Je vois très bien, oui… Son abruti d’ex a vraiment tout raté. Martine est une bombe, et maintenant que je l’ai amorcée, je ne peux plus revenir en arrière ! Elle n’a pas l’air bi ; dommage… J’aurais bien goûté à ses gros seins. Pour le moment, j’acquiesce et pousse Michel, qui n’en demande pas tant, vers le couple.


Martine se retrouve donc « prise en sandwich » entre ses deux partenaires nus et tout à fait en forme. Michel s’empare à son tour des gros seins offerts pour les malaxer puis se baisse pour embrasser les longs tétons marron, très tendus, tandis que Joachim pelote avec vigueur les fesses de mon amie. Ses mains, à elle, flattent la pine de Michel, maintenant complètement dressée. Même si elle est moins longue que celle de Joachim, elle est très large et très excitante à prendre en main : à la base, on en fait à peine le tour.



Elle les repousse sur le canapé. Joli spectacle, ces deux types nus, le sexe dressé, qui entretiennent leur excitation chacun à sa façon…



Au passage, Martine me fait un clin d’œil et me souffle un « Merci chérie ».



Assise dans mon fauteuil, maintenant complètement réveillée, je suis comme hypnotisée par la scène. Martine, cuisses ouvertes, a empoigné les deux sexes de mes amants (ce sont quand même mes toy-boys !) et exécute sur chacun un lent mouvement de bas en haut. Ces messieurs apprécient visiblement.


Installés confortablement, ils respirent fort et Joachim a même fermé les yeux. Martine décide ensuite de mieux connaître le sexe de Michel. Elle change de position pour pouvoir le prendre en bouche. C’est vraiment superbe : à demi-allongée, les jambes ouvertes, les seins à l’air, Martine suce avec avidité et une grande technique ! Elle sort la langue, mouille abondamment le gland, en fait le tour avec application avant de l’avaler avec de jolis bruits de succions… Bruits bientôt accompagnés du clapotis provoqué par les coups de rein de Joachim dans son sexe, visiblement très humide, et des gémissements hautement érotiques de la miss. Je ne sais pas si elle en rajoute ou si elle prend vraiment son pied à ce point, en tout cas, moi je mouille et ma main s’active sur mon bouton d’amour tout excité. Joachim a attrapé la jambe de Martine et lui lèche les orteils tout en continuant à la labourer. Un peu surprise, elle lâche un instant la queue de Michel, avant de la reprendre avec un soupir d’extase…


Mais celui-ci a aussi envie de goûter aux profondeurs de mon amie.



Une vraie héroïne de Sade ou d’un de ces romans libertins du 18ème siècle, qui décrit par le menu les outrages qu’elle va subir. Décidément, Martine ne cesse de me surprendre.


Aussitôt dit, aussitôt fait (enfin, le temps d’enfiler une petite enveloppe de latex !). Michel resserre les jambes et Martine s’installe sur son sexe, en lui tournant le dos, « reverse cowgirl » comme disent les anglais. Elle m’offre à nouveau une vision digne du meilleur porno car le sexe de Michel écarte largement ses lèvres intimes mettant en évidence un bouton tout dur et de très belles dimensions.


Et la machine à soupirs repart de plus belle, avec en plus une série d’exclamations commentant la dureté de la queue, la qualité de la baise, la chaleur de la chatte… Heureusement que l’appartement est bien insonorisé ! Joachim vient se placer debout devant Martine et entreprend de placer son membre entre ses seins qu’il presse ensemble. La dévergondée enchaîne orgasme sur orgasme mais n’en a toujours pas assez. Ces messieurs sont vraiment endurants mais ils ne devraient plus tenir longtemps, face à une telle furie.



Je suis donc nue ou presque, juchée sur mes escarpins, à chercher un angle de prise de vue. La taille du téléphone (vive la technologie) me permet quand même de garder une main disponible pour apaiser un peu mon sexe béant et qui réclame sa part de joie !


Sur le canapé, les partenaires se disposent. Joachim revient s’asseoir, Martine s’empale en feulant sur son double-décimètre de bonheur (toujours gainé de latex ! n’oubliez pas…) et écarte ses fesses des deux mains. Je zoome sur son œillet que Michel titille avec une langue pointue et baveuse, avant de présenter son boute-joie, tendu à l’extrême. J’imagine que la séquence, au ralenti, vaudrait un Hot d’Or à tous les acteurs.


Martine pousse un profond soupir au fur et à mesure que l’engin s’enfonce, Joachim l’a immobilisée et lui travaille les tétons à pleine bouche. Michel commence un lent va-et-vient qui met la dame en transe. Joachim, en bon coéquipier, attend son heure et entre en scène une fois le rythme pris. Je cadre les deux membres qui s’agitent en cadence, j’essaie de m’appliquer, c’est mon premier tournage et je suis très « émue »…


Martine laisse éclater son bonheur et, pour le coup, je me demande si cette fois-ci, mes voisins ne vont pas se douter de quelque chose. Orgasme puissance 9 sur l’échelle de Richter, et qui entraîne ses vaillants cavaliers. Michel est le premier à se débarrasser de la capote pour lâcher de longs jets de foutre sur ses fesses et son dos, bientôt suivi de Joachim qui explose à son tour. Je suis moi-même toute secouée et, pour ne pas gâcher, je trempe un doigt dans le sperme qui macule le dos de Martine et le lèche avec gourmandise.


Celle-ci revient à elle doucement et se tourne vers moi :



Voilà donc Martine, soutenant dans chaque main deux vits encore raides, maculés de restes de sperme, qui les lèche alternativement, avant de fixer l’objectif :