n° 14223 | Fiche technique | 17714 caractères | 17714Temps de lecture estimé : 11 mn | 15/01/11 |
Résumé: Mes deux premières soirées en club. la débutante que je suis, n'en attendait pas tant. | ||||
Critères: fh 2couples inconnu fépilée boitenuit voir exhib noculotte facial fellation pénétratio fsodo -entrecoup | ||||
Auteur : Yonidouce (ex-libertine) Envoi mini-message |
Ai-je déjà pratiqué les jeux de l’amour avec un homme et une femme ? Impossible de répondre seulement par « oui » ou « non ». Donnez-moi le temps de vous faire mes confidences.
Cela commença en club.
C’était la toute première fois que nous venions dans ce genre d’endroit. On avait lu beaucoup de choses mais nous fûmes surpris malgré tout ; il n’y avait rien de glauque ou de vulgaire ; l’ambiance était plutôt raffinée. Les règles étaient strictes et les gérants insistèrent poliment mais fermement sur le respect des personnes : un simple signe valait refus, si discret soit-il, insister pouvant conduire à l’exclusion du club.
Libertin mais sacrément directif !
Arrivés assez tôt, nous avons pu suivre l’évolution de l’atmosphère au cours de la soirée. Un accueil simple mais chaleureux, de la musique de très bon niveau et une ambiance agréable et conviviale. Des projections de clips musicaux, parfois un peu plus sexy que ceux qui passent à la télé, mais sans plus. Puis la sono prit le relais, avec DJ plutôt bon et toujours des projections mais de plus en plus chaudes jusqu’au pur porno.
Les gens étaient plutôt plus âgés que nous mais sans plus (j’avais 35 ans à l’époque). Ils avaient soigné leur tenue : classique-chic pour les messieurs et franchement plus glamour pour les dames ; pas mal de lingerie, genre bas et porte-jarretelles pour les dames âgées, des minirobes pour les plus jeunes.
Nous avons beaucoup dansé, un peu bu (nécessaire pour éliminer la gêne évidente) et ouvert les yeux comme des gosses dans un magasin de jouets. Après quelques danses un peu dynamiques, nous nous sommes effondrés l’un contre l’autre dans un grand canapé moelleux… Mmm ! J’étais bien ! Je posai ma tête contre mon amoureux et fermai les yeux pour mieux goûter mon bonheur.
Un peu plus tard, je les rouvris. Mon regard tomba sur le couple face à nous, à moins de deux mètres, des jeunes, beaux, élégants et manifestement amoureux au vu de leur comportement. Ils s’embrassaient avec passion, fougue et gourmandise. Je me reconnaissais en eux ; il me plaisait de les regarder. Leur bonheur était communicatif. L’homme embrassait la jeune femme en lui caressant doucement la joue, c’était si mignon, si touchant !
Puis ils se séparèrent un instant. Elle attrapa son verre, but une gorgée et se laissa aller en arrière sur le dossier du canapé. Il la suivit et lui dévora les lèvres. Il aimait embrasser, cet homme-là. Mon cœur de midinette commençait à éprouver une pointe de jalousie, d’envie en tout cas. Je me voyais très bien être livrée à sa gourmandise.
Et d’un coup, je me réveillai ! Sans cesser de l’embrasser, il défit les boutons de son chemisier d’une main experte et exposa à la vue de tout un chacun une poitrine orgueilleuse dont les tétons, que j’apercevais malgré la pénombre, me semblaient durs comme du marbre. Loin de se plaindre, la jeune femme posa sa main sur le pantalon de son amant… Très vite, un sexe débordant de vie et de puissance nous fut offert en pâture. J’aurais adoré me précipiter sur lui, le goûter, le manger, le faire fondre doucement, magnifique sucre d’orge pour grand enfant !
Nous étions au spectacle ! Quelques voyeurs s’étaient approchés mais ils ne nous gênaient pas. Sans m’en rendre compte, et à l’instar de ce que je fais quand nous regardons un film X, je posai ma main sur le sexe de mon mari et commençai à le caresser avec langueur tout en reluquant une réalité autrement plus excitante que n’importe quelle vidéo.
Lorsque sa main glissa sous ma jupe et sous mon string (nous étions au tout début de ma période de débauche et il m’arrivait encore de porter quelque chose sous mes jupes, ce qui n’est plus le cas maintenant) et que ses doigts vinrent s’occuper de mon clito, j’ai seulement émis un soupir, un soupir d’aise. J’étais donc en train de me faire tripoter devant tout le monde et ça se faisait tout naturellement…
Quant à la jeune femme, elle était passée à une activité plus osée : une fellation gourmande. Elle avait quitté son chemisier. J’ai pu vérifier que sa poitrine était une insulte aux pauvres femmes comme moi qui n’auront jamais (sinon après un passage sur le billard) de quoi exciter les hommes comme elle pouvait le faire. Les voyeurs étaient maintenant nombreux autour du couple. Il y avait des femmes aussi mais j’étais moins attirée et ce n’était pas ce à quoi je prêtais d’abord attention.
La jeune femme se releva, retroussa sa micro-jupe (elle ne portait rien dessous), enjamba son homme et alla s’empaler sur son sexe. Ceci à moins d’un mètre de moi. Une première ! Mon mari profita que l’attention des voyeurs soit accaparée par nos voisins, pour me faire asseoir sur ses genoux de telle sorte que je puisse continuer à profiter du spectacle.
Je me retrouvais dans une position à cheval au-dessus des cuisses de mon mari. Ses mains empaumèrent mes fesses, guidant ma mise en place. Je sentis qu’il avait sorti son sexe, le membre était dur et dressé. Mon partenaire écarta mon string et glissa en moi. Je laissais faire, imaginant être à l’abri derrière le paravent que formait ma jupe reposant sur mes cuisses. Je me voulais discrète. Enfin, je croyais.
Mon plaisir monta en flèche si bien que je jouis assez vite. Je restai assise sur mon chéri, empalée sur son pieu qui n’avait pas encore exprimé son plaisir. Il savait qu’on allait repartir et me laissait souffler un instant. Pendant ce temps, il maintint son excitation en me caressant les seins et en matant nos voisins.
D’ailleurs, eux aussi avaient dû arriver à un tournant de leur petite affaire. La jeune femme s’était accroupie, les pieds sur le canapé, dos à lui… et face à nous. Nos regards se croisèrent. Elle me sourit. C’était le sourire d’un ange ! Impudique, naturelle, heureuse et sans aucune perversion. Juste un sourire de bonheur partagé avec nous, avec moi.
Genoux relevés, cuisses écartées, elle montrait un sexe presque aussi glabre que le mien, sauf que ma voisine était adepte du ticket de métro et pas moi, mais ce soir-là personne ne le vit. Des voyeurs de plus en plus nombreux se masturbaient ouvertement devant elle et elle ne se gênait pas pour en caresser un ou donner quelques coup de langue à un autre, voire gober un gland imprudent sur lequel elle ne s’attardait pas.
Mon mari continuait à me limer doucement, s’arrêtant souvent pour ne pas en finir trop vite. Les voyeurs commençaient à s’intéresser à nous. Il y avait deux ou trois gars près de moi qui se masturbaient. Moi, je n’en pouvais plus, je décidai d’imposer mon rythme et m’empalai sur le gros sexe de mon homme jusqu’au fond de moi puis me retirai jusqu’à sentir le gland au bord de mes lèvres. Je ne retenais plus mes soupirs. Ma bouche mi-ouverte devait émouvoir mes voyeurs car ils la prirent pour cible projetant plusieurs jets de sperme dans cette direction au moment même où je m’abandonnai à la jouissance. Quelques gouttes atterrirent sur ma joue. Je n’osai pas les recueillir ni les goûter comme je le ferais aujourd’hui.
La fille en face jouissait également. Elle se leva, s’installa à genoux sur la table et depuis sa position vint m’embrasser sur la bouche avant de s’en retourner près de son amant en m’offrant un dernier sourire. C’était ma première sortie en boîte libertine. J’avais prévenu mon mari : « on regarde, on ne fait rien ». Raté !
oo0oo
Le lendemain, dégrisés mais l’esprit toujours libertin, nous avons reparlé de cette soirée. Mon mari, qui sait que je prends du plaisir à le faire jouir dans ma bouche, m’a demandé si je n’aimerais le faire avec d’autres hommes.
Il m’expliqua que, dans ce genre d’endroit, personne n’aurait trouvé à y redire. Au contraire, j’aurais fait des heureux. Je promis de ne plus jamais niaiser.
Quelques temps après avoir découvert cet agréable lieu de débauche en banlieue toulousaine, je promis à mon mari de ne plus jamais m’interdire un plaisir gentiment offert. Mais au fond de moi, je me demandais si, par timidité, je n’avais pas exagérément érotisé ce premier rapport en public.
N’aurais-je pas pris autant de plaisir à dévorer mon petit mari ? À essayer (en vain, toujours) de le prendre tout entier dans ma bouche, de l’enfouir en moi toujours un peu plus.
Je l’aime tant. J’aime tant sa peau fine sur ce pieu si dur, le goût si doux et si épicé à la fois des fines gouttelettes qui s’en échappent. J’aime ce sexe au goût si prononcé lorsqu’il vient de me fouiller, qu’il est trempé de moi, je ne sais plus alors si je lèche mon amant ou si je me donne un plaisir solitaire, j’aime cette confusion.
J’étais prête à retourner en club, prête à me laisser aller, disposée et heureuse d’y retourner.
De retour en ce lieu, je me surpris à jouer les blasées, contente de retrouver l’ambiance, de reconnaître cette montée de la température. J’avais compris la leçon : une jupe et un chemisier suffisaient pour être chic et disponible.
Ce soir-là, mon mari insista pour que je me fasse plaisir, et que je ne me refuse rien. Alors que nous contemplions les danseurs, un bel homme m’invita très galamment à l’accompagner sur la piste. Un coup d’œil vers mon mari suffit pour vérifier que j’avais son consentement. J’étais libre.
Nous entreprîmes quelques pas de danse un peu empruntés avant qu’un air particulièrement enjoué, brésilien me semble-t-il (vous vous souvenez, ce tube de l’été où l’on voit deux enfants, un petit black et une blonde aux cheveux longs danser d’une façon très chaude), ne vienne nous dérider. Mon cavalier prit sur lui de me guider avec autant de fougue que de maîtrise. C’était vraiment très sympa ; sa main ferme et douce, était posée sur mes reins ; son autre main était dans la mienne, chaude et sensible. Lorsqu’il me faisait tourner et virevolter au rythme de la musique, ma jupe s’envolait joyeusement, découvrant un spectacle que mon cavalier savait apprécier.
À un moment où la passe s’imposait, il me souleva de terre en me prenant par la taille puis il me fit redescendre me laissant glisser en pressant mon corps contre le sien. Dans le mouvement, ma jupe resta coincée, dénudant mon sexe qu’aucun voile ne couvrait plus et lequel frottait sur la toile de son pantalon, ce qui n’était pas particulièrement agréable mais cela me donnait une impression de débauche assez grisante. Nous n’allâmes pas plus loin.
La soirée se déroula ainsi, en danses lascives, en caresses de mon mari ou d’autres. Certains cavaliers entreprenants glissaient une main audacieuse sur mes fesses et en découvraient la douceur et l’infini qu’aucune entrave n’interdisait d’explorer. Parfois ils s’aventuraient par-devant, glissant sur mon pubis et s’enfonçant le long de ma fente trempée mais aucun n’alla plus loin.
Nous nous retrouvâmes dans le salon qui bordait la piste. Celui-là même où je m’étais initiée au plaisir public. Nous y sommes allés, attirés par la vue d’un couple en train de s’embrasser langoureusement, ce qui nous porta à imaginer que l’expérience antérieure pouvait se renouveler.
Et en effet, il ne fallut pas longtemps pour que le couple en vienne aux choses sérieuses. Lui était du genre athlète, beau comme un dieu grec ; la femme était plus quelconque mais néanmoins jolie. Elle sortit le sexe de son mec et le branla avec une énergie incroyable (mon chéri n’aimerait pas, il aime quand je le branle avec douceur, même s’il reprend son membre en la main à l’approche de but parce qu’il préfère éjaculer dans ma bouche). Le type se laissait faire tout en déshabillant la demoiselle qui se retrouva vite toute nue.
Les voyeurs s’agglutinaient comme la fois précédente. L’un d’eux posa une main sur les seins de la fille qui le rabroua sèchement. Du coup, les voyeurs s’écartèrent. Juste en face d’eux, nous nous caressions doucement. Bien que fugace, le geste de refus nous avait un peu refroidi et nous nous concentrions sur notre propre plaisir.
Mon chemisier était grand ouvert, mon mari me malaxait plus qu’il ne me caressait. Il savait pourtant mes seins sensibles. Je le lui dis, il s’excusa et se pencha pour les embrasser. J’ouvris davantage mon chemisier pour lui faciliter la tâche. Il téta mes pointes l’une après l’autre et me couvrit de baisers. Par-dessus son épaule, j’apercevais nos voisins en train de faire l’amour. Le spectacle était vraiment excitant. J’avais envie moi aussi. Je repoussai la tête de mon mari, me relevai, l’enjambai puis m’installai au-dessus de lui, guidant son sexe vers l’entrée de mon vagin. Pendant un moment, je caressai mes lèvres à l’aide de son gland. J’étais trempée. Je décidai de me laisser aller et m’empalai profondément.
Cela ne sembla pas lui plaire car il me bloqua en posant ses deux mains sur mes hanches :
Sitôt levée et dos à lui, il fit glisser ma jupe. J’étais nue au milieu de tout ce monde, avec pour seul vêtement un chemisier grand ouvert qui ajoutait à l’indécence de la situation.
Je m’exécutai dans un état second. Des litres d’adrénaline coulaient dans mes veines comme une drogue brûlante. Mon cœur menaçait d’exploser. J’étais mal mais j’obéis. Ses mains empoignèrent mes fesses et il me guida de manière à m’empaler sur son sexe. Contre toute attente, tant était grand mon embarras, j’eus très vite mon premier orgasme. Ce n’était pas le grand pied mais ce premier plaisir m’a décrispée. Je repris le contrôle et me mis à pistonner sur son sexe dur.
En face, nos voisins faisaient toujours l’amour, position des petites cuillères ou quelque chose comme ça (lui sur le côté couché sur le canapé, elle à peu près pareil, dos à lui). Ils nous regardaient. Soudain la fille se dégagea de son dieu grec, s’approcha de nous, repoussa la table basse et s’agenouilla face à nous. Elle me regardait, j’esquissai un sourire entre deux grimaces de plaisir. Elle se pencha et commença à nous embrasser, à caresser mon clito… D’instinct, je basculai en arrière pour lui laisser plus d’espace. Je sentis sa langue sur mon clito. J’aimais ça.
Je sentis sa main se glisser sous ma cuisse. Elle voulait que je me positionne différemment. Le sexe de mon mari s’échappa. Elle l’attrapa et l’avala immédiatement mais avant même que j’ai le temps de me plaindre, elle l’avait déjà remis dans son fourreau naturel.
Puis elle recommença. Elle s’amusa à ce petit jeu un moment. Cela ne me déplaisait pas.
Mais en fait, elle ne se trompait pas. Elle avait volontairement posé le gland face à mon anus. La verge était trempée à souhait, de ma sueur et de mes sécrétions, il ne tenait qu’à moi d’en profiter. J’en profitai, je forçai de telle sorte que le gland pénètre mon rectum puis je fis une pause pour récupérer. J’ai toujours adoré ce moment de la pénétration anale.
Pendant ce temps, une langue douce lapait mon sexe béant. Je posai mes mains dans ses cheveux et l’invitai à me manger autant qu’elle le pouvait. L’orgasme fut fulgurant. Je ne le sentis pas venir. Il me semblait être en équilibre sur une corde tendue. La jeune femme continuait sa besogne, je plaquai sa tête pour l’immobiliser parce que je n’en pouvais plus.
Je récupérai un instant sans bouger puis je la relâchai. Elle me regarda et sourit. Je me laissai alors aller sur mon mari. Le pal finit de me transpercer, la douleur fut vive mais brève. Je souffris un peu avant d’entreprendre les mouvements de va-et-vient. Ma voisine me caressait les seins. Un énième orgasme me submergea.
Et comme toujours après l’orgasme, il me fallut un petit moment pour descendre de mon nuage. À mon réveil, la bite de mon mari était toujours dans mon anus, la bouche de la femme sur ma vulve trempée et son petit ami se tenait devant moi en train de se masturber et en position pour éjaculer sur mon visage.
Je l’invitai à nous rejoindre. Ma main remplaça la sienne mais avant que je puisse lui montrer ce dont j’étais capable, il m’offrit son plaisir ; c’était bon, chaud et même doux. C’était mon dessert.
C’était ma première fois avec une femme, avec un couple.