Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14226Fiche technique10895 caractères10895
Temps de lecture estimé : 7 mn
15/01/11
corrigé 12/06/21
Résumé:  Une histoire qui devait arriver...
Critères:  fh inconnu voisins voir fellation cunnilingu préservati pénétratio -voisins
Auteur : Chocolat
Une douce nuit

C’était une fin d’après-midi, son patron lui avait donné congé pour qu’elle puisse aller ranger les boîtes dans son nouvel appartement. Rose avait déménagé il y a quelques jours. Elle et son compagnon s’étaient séparés après cinq ans de vie commune. Dans la dernière année, plus rien n’avait été, sa vie sexuelle était devenue un désert malgré le fait qu’au tout début de leur relation, c’est cela qui les avait réunis. Elle sortit ses clés et ouvrit la porte de son immeuble. Elle monta les marches, lasse à l’idée de devoir déballer tous les cartons. À quelques mètres de sa porte, une autre porte s’ouvrit, un jeune homme en sortit. Il lui adressa la parole.



Il partit vers les escaliers, elle ne put s’empêcher de regarder les fesses de son voisin avec admiration. Elles étaient fermes et petites, juste comme elle les aimait. Elle secoua la tête pour chasser cette idée de son esprit et elle entra. Elle passa le reste de l’après-midi et de la soirée à défaire les boîtes. Elle remarqua alors qu’il lui manquait un tournevis pour poser sa tablette. Elle sortit et alla cogner à la porte de son gentil voisin. Il ouvrit la porte et sourit.



Elle sourit et lui répondit :



Il disparut dans son appartement et en revint quelque secondes plus tard avec le tournevis. Il ferma la porte et la suivit jusque dans son appartement.



Elle lui indiqua l’endroit et le laissa faire son boulot. Pendant ce temps, elle entreprit de mettre son linge dans sa commode et sa penderie.

De son côté, Julien travailla plus qu’il ne l’aurait cru, lui qui pensait ne rester que cinq minutes, juste le temps de faire un peu de charme et revenir chez lui. Il dut avouer que la nouvelle lui plaisait bien. Une fois son travail fini, il alla la voir dans sa chambre. Il la vit en train de serrer ses sous-vêtements qui, de plus étaient très jolis. Il se racla la gorge et sourit.

Rose sursauta et lâcha ses sous-vêtements par terre. Elle rougit et se dépêcha de tout ramasser.



Jean se pencha et l’aida à tout ramasser et à mettre dans son tiroir.



C’est ainsi qu’ils ouvrirent une bouteille de vin et que Rose commença à cuisiner tout en parlant avec Jean. Elle découvrit qu’il était informaticien, qu’il aimait la même musique qu’elle, mais qu’il était complètement différent pour le reste. Le souper avança et les deux s’étaient rapprochés, le vin aidant. Vint l’heure de se dire au revoir, elle le raccompagna à la porte.



C’est alors que Rose fit une chose totalement inattendue, elle se rapprocha et l’embrassa doucement sur les lèvres. Elle avait eu l’envie de ses lèvres toute la soirée, sans savoir pourquoi. Elle se détacha aussi vite et rougit, se confondant en excuses.


Jean était sous le choc, il ressentait encore les lèvres de Rose sur les siennes, douces, chaudes. Il voulut encore les sentir. Il la regarda, elle parlait, rougissait, il ne put résister. Il prit son visage entre ses mains et l’embrassa tendrement. Il sentit que Rose répondait à son baiser plus fougueusement et, sans attendre, il déposa sa langue contre les lèvres de Rose.

Elle sentit sa langue se poser sur ses lèvres, elle ne réfléchit pas et ouvrit ses lèvres pour venir à sa rencontre. Alors débuta pour eux, un long baiser, passionné, langoureux et sensuel. Leurs mains découvraient leurs corps par-dessus leurs vêtements.


Jean voulut sentir la peau de Rose contre le sienne, il lui fit lever les bras et enleva son chandail. Il se racla la gorge en voyant les seins de Rose délicatement mis en valeur par un soutien-gorge mauve en dentelle. Il sentit alors les mains de Rose défaire sa chemise et la laisser glisser à terre.


Rose regarda son torse, il était musclé juste ce qu’il fallait. Elle posa lentement ses lèvres dessus, elle découvrit la douceur de son torse sous ses lèvres. Elle remonta à son cou, pendant que Jean caressait son dos, les yeux fermés. Il attaqua l’attache de son soutien-gorge et l’ôta, libérant ainsi la poitrine de Rose. Elle embrassa lentement son cou, donna de petits coups de langue.


Jean ferma les yeux et frissonna en sentant les baisers de Rose. Il la décolla doucement et partit à la découverte de sa poitrine. Il embrassa le haut de ses seins, puis ses pointes. Il l’entendit gémir doucement, cela l’excita encore plus et il se mit à mordiller ses lèvres. Les mains de Rose se posèrent sur sa tête et elle le pressa contre sa poitrine. Il les suça à tour de rôle, caressant du bout des doigts l’autre sein.


Rose attaqua le pantalon de Jean. Elle l’ouvrit et le fit glisser par terre, frôlant son membre bien dur à travers son boxer. Elle y passa sa main pour le caresser avec douceur. Elle tremblait de désir. Elle n’avait plus tremblé ainsi depuis longtemps. Elle serra son membre dans sa main et l’amena sur son lit qui, faute de sommier, était à terre. Elle le fit s’allonger et enleva son propre pantalon et sa petite culotte en dentelle mauve. Elle s’allongea sur lui, taquinant son membre avec son inimité déjà bien mouillée.


Jean se sentit défaillir en la voyant nue devant lui et il dut se retenir pour ne pas la pénétrer tout de suite tandis qu’elle le taquinait avec sa chatte. De sa main, il alla ouvrir lentement ses lèvres et laissa un doigt aller caresser son clitoris. Il la vit se cambrer au contact. Son clitoris était dur et gonflé. Il se mit à faire de petits cercles dessus, elle gémit, se mordant les lèvres. Il sourit et introduisit un doigt dans sa chatte. Il fut surpris de voir à quel point elle était chaude et humide.


Rose s’agrippait à son torse, elle n’arrivait plus à penser. Elle savait juste qu’elle voulait qu’il continuât, mais avec sa langue. Alors, elle se leva et vint lentement s’asseoir sur sa tête pour qu’il la lèche. Il comprit le message et sa langue s’activa entre ses lèvres, passant du clitoris à sa chatte. Elle gémit de plus en plus fort, laissant même des cris s’échapper.


Jean ne pouvait plus attendre, il guida et la fit se mettre à quatre pattes. Il prit la peine de mettre un condom. Il lui donna un dernier coup de langue et enfonça lentement son membre en elle. Il laissa échapper un râle de satisfaction, c’était chaud, humide et serré autour de son membre. Il commença des mouvements de reins en Rose.


De son côté, Rose n’avait jamais essayé cette position que son ex trouvait dégradante pour elle. Elle fut surprise de toutes les sensations qu’elle avait. Elle sentit Jean accélérer en elle comme s’il savait ce qu’elle voulait. Elle bougea des hanches pour venir à sa rencontre. Elle n’avait jamais été aussi mouillée que maintenant, elle sentait les couilles de Jean claquer contre ses fesses.

Jean allait de plus en plus enfonçant avec force et profondeur son membre en Rose. Jamais il n’avait été reçu comme maintenant, elle se serrait sur son membre comme pour l’emprisonner et le garder en elle.


Il sentit son membre se gonfler de sperme qui voulait sortir. Il planta ses doigts dans les hanches de Rose et donna des coups de plus en plus violents. Il entendit Rose crier de plaisir. Soudain, il sentit de la mouille couler et la chatte de Rose parcourue de spasmes violant, il sut alors qu’elle avait joui. Il ne put se retenir plus longtemps et jouit dans un long râle.


Rose s’effondra sur le lit, reprenant ses esprits. Elle sentit Jean se retirer et tomber à côté d’elle. Elle le regarda et fut prise d’une furieuse envie de le sucer. Elle se glissa à la hauteur de son membre et lui donna des coups de langue. Il commença à durcir de nouveau, elle le lécha sur tout le long, goûtant le fruit de son propre plaisir. Le voyant bien dur, elle le prit en bouche et commença de longs va-et-vient dessus.


Jean posa ses mains sur la tête de Rose et l’incita à aller plus vite. Il sentit la bouche de Rose aller plus vite sur son membre ainsi que sa main caresser ses couilles doucement. Il n’y avait pas de doute, cette fille savait comment s’y prendre. Elle s’attarda sur son gland, le léchant, le suçotant avant de recommencer ses succions toujours plus vite et plus profondément. Il sentit les lèvres devenir plus étroites autour de son membre prêt à exploser.



C’est tout ce qu’il put dire avant de jouir de nouveau dans un gémissement, remplissant la bouche de Rose de son plaisir. Elle se releva et avala le sperme.

Rose vint s’étendre à côté de lui, se collant contre lui. Elle sentit des bras se refermer sur elle doucement et elle partit dans un long sommeil.


À son réveil, elle dut prendre quelques secondes pour se rappeler où elle était et ce qu’elle avait fait. Elle rougit et regarda à côté d’elle. Il n’y avait plus personne, mais un mot.


Chère Rose,

Merci pour cette merveilleuse nuit.

J’espère qu’on va pouvoir se revoir,

tu sais où me trouver.

Jean


Elle sourit et se leva, plus heureuse que jamais.