Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14230Fiche technique31856 caractères31856
Temps de lecture estimé : 18 mn
17/01/11
Résumé:  Ah si jeunesse savait ! Ah si vieillesse pouvait ! Ben justement, jeunesse sait et vieillesse peut ! Même en montagne, on peut faire des rencontres intéressantes.
Critères:  hh hplusag grossexe poilu(e)s froid fellation hdanus hsodo -occasion -hhomo
Auteur : Domi Dupon  (Homme encore du bon côté de la soixantaine (le temps passe))            Envoi mini-message
Aventure en montagne

Une première version de ce récit a été mise en ligne sur Vassilia, il y a plusieurs années. Cette version a été améliorée (enfin je l’espère).




Christophe Lefrancoz commençait à la trouver saumâtre. Depuis une bonne heure, il errait sans retrouver aucun de ses repères. Pourtant cette putain de montagne, il la connaissait ! Mais dans les instants de panique qui avaient suivi sa chute, il avait dû tourner en rond. Là-dessus, la neige et le brouillard s’étaient mis de la partie. La météo s’était encore plantée grave. Il n’avait plus aucune idée d’où il se trouvait. Et en prime sa cheville lui faisait un mal de chien.


Il jeta un œil à sa montre : déjà dix-neuf heures. Ça devenait inquiétant ! Il ne se sentait pas la force de marcher encore longtemps. Il lui fallait trouver un abri avant qu’il ne fasse nuit noire. Les refuges encore parfois utilisés par les bergers en alpage ne manquaient pas. Encore fallait-il qu’il en déniche un ! Dès que l’obscurité serait tombée, la montagne deviendrait un piège mortel ! Si seulement, il pouvait se situer ! Mais cette brume ne lui permettait pas de voir à plus de cinquante mètres. Super idée qu’il avait eue de partir en rando en solo.


Il n’en pouvait plus. La douleur lançait ses flèches jusque dans sa cuisse. Si son coupe-vent protégeait relativement bien le haut de son corps, l’humidité avait depuis longtemps plaqué son pantalon contre ses cuisses. Les averses neigeuses en cette saison n’étaient pas rares. En plus, le vent s’en mêlant, ça tournait à la tempête. Pourtant miss France3 avait annoncé un ciel uniformément bleu.


Ça avait pourtant bien commencé. Le temps était au beau fixe, quand il avait atteint le col de la Pierre où il avait pique-niqué. Il aurait dû redescende tout de suite, il n’aurait pas dû faire de sieste. Quand il se remit en route, vers trois heures, les premiers nuages apparaissaient. Il descendait rapidement, pressé d’arriver à la Lescherette avant que ça se gâte vraiment. Sa précipitation le perdit. Alors que les premiers flocons tombaient, il glissa sur une pierre, roula lourdement dans la pente. Il finit sa course contre un rocher.


En se remémorant la scène, il comprit qu’il avait dû être salement sonné. Quand il reprit conscience, il se rendit compte qu’il avait marché. La neige tombait plein pot gommant le paysage. Il ne savait plus où il se trouvait. Alors, il descendait.


Maintenant, l’horizon était complètement bouché. Les dernières lueurs du jour s’estompaient. Complètement épuisé, il s’arrêta. Son regard balaya l’horizon. Celui-ci se limitait à une ligne gris-blanc tirant sur le bleuté à l’approche de la nuit. Impossible de distinguer quoi que ce soit, le désespoir l’envahit. Quand soudain…


Une lumière ! Une lumière, une cinquantaine de mètres en contrebas ! Plus rien ! Pourtant, il n’avait pas rêvé ! Il l’avait bien vue ! Animé par un regain d’énergie, il reprit son chemin en direction de l’endroit où il avait cru voir… il avait bien vu ! Après une marche assez courte, il devina d’abord la découpe réconfortante d’un pan de mur derrière le rideau de neige. Mieux, en s’approchant, le panache de fumée qui s’échappait du toit lui indiqua que le chalet semblait occupé. Enfin, il le reconnut : c’était le chalet de Jérôme Danlébois, un sexagénaire parisien.


Arrivé dans la vallée une dizaine d’années auparavant, ce dernier vivait en ermite, ne fréquentant le village que pour satisfaire ses besoins alimentaires. Il parlait à tout le monde, rendait à l’occasion quelques menus services mais il restait très en retrait de la communauté. Il passait pour un original. Comme tous les gens de la vallée, Christophe ne l’appréciait pas spécialement. Il ne serait sans doute pas venu lui rendre une visite de politesse mais ce soir, il aurait volontiers embrassé le vieux sur les deux joues.


Soulagé, il frappa énergiquement à la porte. Quelques secondes qui lui parurent autant de minutes passèrent avant que l’huis ne s’entrouvre :



Puis remarquant son état dégoulinant :



Christophe ne se fit pas prier, il s’engouffra dans la pièce, la chaleur le saisit. Il s’aperçut, alors, que le vieux était vêtu, en tout et pour tout, d’une vieille canadienne, sans doute passée à la va-vite avant de venir lui ouvrir. Il n’avait pas pris le temps de la boutonner et sa devanture était librement exposée au regard du jeune homme. Bien qu’un système pileux très développé dissimulât partiellement ses génitoires, Christophe remarqua avec un intérêt amusé que le père Danlébois avait été fort bien doté par Dame Nature.


Pour l’heure, il avait d’autres préoccupations : il se débarrassa de son coupe-vent et vint se planter devant la cheminée où crépitait un bon feu. Il tendit les mains vers le foyer pour s’y réchauffer. D’une armoire délabrée, le vieux sortit une serviette éponge, un pantalon de velours côtelé, les posa sur une chaise et lui dit :



Jérôme se déshabilla, ne gardant que son slip.



Après une brève hésitation, le jeune homme tomba le slip. Sa bite, rétractée par le froid et l’humidité, lui parut très petite : pauvre virgule, ponctuation virtuelle entre ses deux boules. Il se sentait un peu ridicule ainsi, nu devant le vieil homme. D’autant plus que le père Danlébois n’ayant toujours pas refermé sa canadienne, la comparaison avec sa virilité au repos n’était guère flatteuse pour le jeune homme.


Soudain, réaction froid/chaud, Christophe se mit à grelotter tout en claquant des dents. Le vieux n’hésita pas, il saisit la serviette, s’agenouilla et frictionna vigoureusement le corps dénudé. Sans résultat.



Christophe était incapable du moindre geste. Le vieux dut le pousser offrant son corps nu à la chaleur de la flamme. Il recommença ses frictions avec plus de succès.


Le jeune homme, s’il n’avait pas été si occupé à claquer des dents, se serait sans doute aperçu que le pénis de Danlébois s’était partiellement redressé, que son volume avait encore augmenté. Il aurait sans doute pris conscience que la serviette passait, repassait et s’attardait souvent au bas de ses reins, entre ses cuisses, voire sur sa bite. Que le mouvement des mains remontant le long de son torse ressemblait fichtrement à une caresse. Il aurait surtout vu le regard brûlant… Mais il avait trop froid….


Peu à peu les tremblements s’espacèrent puis cessèrent. Une chaleur bienfaisante envahit le corps du garçon. Jérôme reposa la serviette. Discrètement, il se détourna afin que ne soit pas révélé son état de bandaison avancée. Il tendit le pantalon au jeune homme. Lui-même récupéra le sien sur le lit et l’enfila prestement. Il pendit sa canadienne au porte-manteau derrière la porte d’entrée. Ce corps d’éphèbe avait enflammé ses sens. Il avait besoin de s’occuper les mains. Tournant le dos au garçon, il entreprit de pendre les affaires mouillées sur l’étendage à gauche de la cheminée. Cela lui permit de retrouver une certaine sérénité. Il put s’exprimer d’une voix quasi normale :



Le torse glabre, à la peau laiteuse rougie par la rugueuse friction offrait un contraste saisissant avec celui de l’ancien, velu, musculeux, tanné par le soleil d’altitude. Jérôme évitait avec soin de regarder ces juvéniles tétons rose bonbon encore érigés après le passage de la serviette.



Cette proposition de bons sens, Jérôme l’avait dite impulsivement. À peine les paroles prononcées, il savait qu’il avait commis une bêtise. Il allait devoir combattre ses démons, résister à la tentation de toucher ce jeune corps.



Du tiroir de la table, il sortit un téléphone portable et le tendit à Christophe. Encore une fois, il avait ouvert sa gueule avant de réfléchir. Mais laisser partir le gamin dans l’état où il était… Il enchaîna :



Pendant que Christophe téléphonait, il réchauffa une gamelle de soupe. La conversation fut brève.



Pour ne pas être au château de Versailles, on n’y était pas. Ce chalet, vestige d’une époque révolue se composait d’une unique pièce, sans eau courante, ni électricité. Il offrait aux montagnards, avant l’avènement de la civilisation des loisirs, un confort spartiate. Progrès, on accédait au grenier qui autrefois servait de chambre par un vrai escalier. Une trappe isolante empêchait la chaleur de s’échapper. Les seules autres concessions visibles à la modernité : un grand lit douillet occupant tout le pan Ouest, une gazinière et surtout, trois lampes-tempête qui éclairaient la scène d’une lumière diffuse.



Il servit la soupe fumante dans un grand bol, accompagné de pain de campagne et de tomme de montagne. Le jeune homme dévora ce repas improvisé, sous l’œil attentif de son hôte. Lorsqu’il voulut se lever, une grande douleur irradia toute sa cheville et il dut se rasseoir précipitamment. Le vieux s’en aperçut :



Jérôme, délaissant son repas, s’accroupit devant le jeune homme. Il remonta délicatement la jambe de pantalon, palpa la cheville avec de grandes précautions et énonça son diagnostic :



Du tiroir d’où il avait tiré le portable, il sortit un pot d’onguent.



Christophe ne pouvait prendre appui sur son pied droit et Jérôme dut l’aider d’abord à atteindre le lit puis, une fois qu’il l’eut allongé, lui ôter son pantalon. Sentir ce corps jeune contre le sien provoqua un doux frissonnement dans son entresol. Celui-ci se transforma en début d’érection quand, pour faire glisser le pantalon, ses mains rencontrèrent la peau soyeuse du jeune homme. Il prit mille précautions pour ne pas accentuer la douleur, ce qui, égoïstement, lui permit de lents et lascifs frôlements tout au long de chaque jambe, du haut de la fesse (tendre à souhait) via l’intérieur de la cuisse (au passage, par inadvertance, une petite touchette de bite) jusqu’au mollet (au galbe exquis).


Quand, enfin, il déposa le futal, la queue du vieux tendait l’étoffe de son futal. Il s’aperçut, alors, que Christophe, abandonné, avaient fermé les yeux. Le vieux n’osait pas y croire : cela lui aurait plu ? Il se morigéna aussitôt : « Arrête, ce gamin, tu le connais depuis des années ! Il essaie simplement d’oublier sa douleur ! ».


Il profita de l’aubaine pour contempler le corps nu du garçon. Un corps bien fait, musclé où il fallait, comme il fallait. Des pectoraux bien dessinés, des abdos chocolat. Un système pileux qui se limitait à deux touffes sous les aisselles et un buisson pas très ardent. Une bite fuselée qui reposait mollement sur la cuisse du jeune homme.


Jérôme se secoua. Il devait se reprendre. D’une main tremblotante, il étala la pommade de chaque côté de la cheville contusionnée et entama un massage à la limite de la caresse.


Christophe, appliqué à contrôler sa douleur, n’avait pas eu conscience du comportement libidineux du père Danlébois quand il lui ôtait son fut’. Maintenant que l’onguent et le massage chassaient le mal, il sentait la douceur de ces mains. Il comprenait bien qu’elles remontaient parfois un peu haut. Il souhaitait qu’elles montent encore plus haut. Il se sentait bien, il ne voulait pas rompre le charme. Il se serait bien abandonné à ses attouchements mais fallait pas rêver, peu de chance que le vieux aime ça.


Il garda les yeux fermés acceptant ces caresses jusqu’au moment où sa bite réagit. Par peur de la réaction de son hôte, il se redressa.



Il s’assit essayant de cacher les prémices de son érection entre ses cuisses serrées. Il n’eut aucune difficulté. Jérôme, lui aussi, très perturbé, n’osait pas regarder le jeune homme de peur qu’il lise dans son regard le désir qui l’habitait. Sa queue, engoncée dans son futal, lui causait quelques soucis. Il se força à parler :



La bande posée, il ouvrit le lit pour que le jeune homme puisse s’allonger confortablement.



Il continua :



Il éteignit les lampes-tempête et ouvrit une espèce de paravent devant la cheminée installant la pièce dans une obscurité relative. Sa bite, si elle n’avait pas retrouvé une attitude de repos, avait perdu de sa raideur. Il enleva son futal sans trop de gêne. Il se glissa rapidement sous les draps.


Il fallait qu’il cesse de penser à ce jeune corps nu, désirable allongé à portée de sa main. Il récita certains mantras qui l’avaient beaucoup aidé au début de sa solitude. Mais ça n’accrochait pas. Sans cesse, ses pensées revenaient à cette chair souple, délicate, quasi féminine que ses doigts avaient effleurée un peu plus tôt. Mantras… Mantras…


Il imaginait ces fesses croquantes qui s’ouvraient pour offrir à sa convoitise cette rondelle sans doute vierge. Il avait dû se tourner sur le côté droit, dos à Christophe car sa queue avait retrouvé son volume, sa rigidité, tressautant doucement aux péripéties de son fantasme.


Ironie de la situation, Christophe lui non plus n’arrivait pas à trouver le sommeil. Ses pensées suivaient un cours parallèle et complémentaire à celles du père Danlébois. Bien que celui-ci fût prestement entré dans le lit, Christophe avait fort bien vu la queue mi-bandée et les belles boules velues. Il avait envie de la toucher, de la sentir grossir, durcir sous sa main. Lui qui n’avait pas beaucoup de poils, mais alors vraiment pas beaucoup, avait envie de fourrager dans ces broussailles enchevêtrées.


Les deux hommes, perdus dans leurs fantasmes, ne parvenant pas à trouver le repos, s’agitaient beaucoup. Heureusement le hasard, (Dieu est parfois bienveillant, même pour les pédés), dénoue certaines situations. Deux gestes indépendants en se conjuguant peuvent tout enclencher : Jérôme, pour aucune raison particulière, se coucha sur le flanc gauche, à la seconde où la main droite de Christophe se déplaçait sur sa droite justement.


La main rencontra la queue.

Réaction réflexe, elle recula.

Constat : le vieux bandait.

La main revint vérifier, s’attarda.


L’instant de stupeur passé, la jeunesse eut l’initiative de la joute. La main entama une douce caresse le long de la hampe dressée déclenchant un soupir de satisfaction/libération chez son voisin de lit. Les hostilités étant ouvertes, Jérôme s’activa : sa main partit flatter le pieu adverse qui présenta les armes aussitôt. Cette masturbation commune n’était qu’une mise en jambe, en quelque sorte.


Pressé, le vieux insinua une main entre les cuisses du jeune homme. Du bout de l’index, il titilla la peau très excitable du périnée, démarrant son périple haut sous les couilles pour l’achever dans la raie culière aussi loin que la longueur de son doigt le lui permettait. Pendant ce temps, de ses doigts libres, il pétrissait les testicules.


Christophe, satisfait de la tournure que prenaient les événements, avait abandonné la queue de peur d’une éjaculation impromptue et laissait sa main jouer aux boules. Il se tourna sur le côté : ainsi sa bouche put chercher (et trouver) un téton (puis un autre) à déguster tandis que sa main (la gauche pour être précis) peignait cette forêt de poils. Du pubis jusqu’au cou, ce n’était qu’une vaste étendue à débroussailler. Cette pelouse grisonnante le rendait fou : abandonnant les tétons, il lécha le torse. Déversant sans compter sa salive, il lissait cette toison. De nombreux poils demeuraient coincés entre ses dents mais il n’en avait cure.


La main du vieux ouvrit ses fesses, son index curieux eut une surprise. La facilité avec laquelle il s’introduisit en ce lieu consacré lui indiqua qu’il n’effectuerait pas un voyage inaugural. Le majeur le rejoignit facilement. Manifestement, de nombreux visiteurs les avaient précédés. Les deux compères s’enfoncèrent profondément, entamèrent de souples va-et-vient qui déclenchèrent une activité frénétique de la langue de Christophe sur son ventre.


Jérôme dut accomplir des gestes acrobatiques pour ne pas déculer ses doigts alors que Christophe tentait d’introduire son visage sous son aisselle pour bouffer cette touffe plus dense et plus odorante. Ces fragrances viriles d’homme qui n’utilisait ni douche, ni déodorant l’enivraient. Il lui fallait autre chose. Complètement oubliée, la douleur à la cheville, il se contorsionna, posa ses lèvres sur le gland encore encapuchonné du vieux, se demandant comment il parviendrait à engloutir un tel engin.


Lors de cette dernière manœuvre, Jérôme avait retiré ses doigts mais ceux-ci retrouvèrent instantanément le chemin, s’enfonçant de nouveau dans le cul grand ouvert. Dans la suite logique de cet exercice, le pénis de Christophe se trouva face à la bouche de Jérôme. Celle-ci, l’espace d’un instant, engloutit entièrement la bite qu’on lui présentait. Sans difficulté aucune car l’engin, même parfaitement opérationnel, gardait une taille minimale.


Déguster une queue n’était pas la tasse de thé du père Danlébois. Après quelques va-et-vient polis, il abandonna le vit du garçon. Dans une succession de mouvements enchaînés, il se mit sur le dos. Sans lâcher les fesses du jeune homme, il le bascula au-dessus de lui. Il se recula et s’appuya contre le montant du lit. Sa bouche se trouvait à la hauteur de la rondelle de son jeune partenaire. Ses mains ouvrirent largement les jeunes fesses comme on ouvre une orange.


Sans plus attendre, la pointe de sa langue vint buter contre le petit trou du cul qui émit une suite de contractions appelant d’autres jeux. Recevant le message cinq sur cinq, les lèvres du vieux vinrent se coller à l’anus tandis que sa langue, sans effort, pénétra ce vagin improvisé. Telle une petite queue, elle commença de le baiser. Le vieux laissait couler un maximum de salive afin de lubrifier au mieux le conduit.


De son côté, Christophe ne perdait pas son temps : il couvrait la hampe musculeuse de mille baisers, la léchouillant du haut des couilles à la fente du méat. De l’extrémité de sa petite langue très pointue, il avait pénétré le conduit urinaire. D’une main, il branlait doucement cette grosse Bertha. De l’autre, il malaxait ces vieilles couilles qu’il sentait pourtant encore pleines d’une sève qu’il espérait bien voir jaillir.


À un moment, il voulut s’introduire entre les fesses du vieux. Aux mouvements de crispations compulsives qui agitèrent celles-ci, le garçon comprit qu’on ne souhaitait pas sa présence en ce lieu.


Il ne s’était pas encore risqué à prendre cette énormité dans sa bouche. Une crainte irraisonnée de s’étouffer l’en empêchait. Progressivement pourtant, il passa de baisers titillant sur le méat à des baisers plus expansifs, plus profonds. Enfin, il ouvrit carrément sa bouche et ses lèvres se collèrent de part et d’autre du gland. Alors qu’il commençait à apprécier cette situation, se disant que par palier, il arriverait bien à gober cette grosse bête, une brusque poussée d’origine inconnue précipita les événements. Bien qu’il n’ait en bouche que la moitié de cette bite, le gland vint heurter violemment sa luette. Il crut qu’il allait mourir asphyxié mais le vieux dégagea suffisamment son engin pour que l’air puisse à nouveau circuler dans sa trachée.


Quand il sentit des doigts, plusieurs doigts, lui branler férocement le cul, il comprit la cause profonde de cette brusque pénétration. Le vieux avait, pour remplacer sa langue humide, enfoncé trois doigts jusqu’à la garde d’un seul élan. Il les entrait, les sortait, les tournait, les écartait du plus qu’il pouvait. Il dilatait ainsi un maximum la porte, préparant son intromission future. Ces manipulations, sans tendresse excessive, entraînaient la bouche de Christophe dans un coulissage imposé. La bite noueuse sous ces caresses buccales augmentait encore de volume. Christophe se demandait si son petit trou, pourtant fort accueillant, pourrait l’absorber. Depuis le lycée, il prenait de la bite. Il en avait eu de belles mais une comme ça jamais. Et il fallait que ce soit celle d’un vieux, de son bled de surcroît !


Les premiers instants de panique surmontés, le jeune homme s’appliquait à lécher consciencieusement ce raide morceau de chair bourgeonnante. Il laissait ses lèvres coulisser autour de la hampe érigée au rythme du travail « rectuel » du vieux. Il tenta une seconde reconnaissance vers l’entre-fesse de celui-ci. Essuyant une nouvelle rebuffade, il se rabattit sur un malaxage en règle de ses testicules.


Jérôme, s’il tenait à l’intégrité de son intimité, asservissait complètement celle de son partenaire. L’épaisseur de ses doigts et l’étroitesse (toute relative) de la tuyauterie ramonée, l’empêcha d’y insérer les deux dernières phalanges. De sa main libre, il pinçait, étirait tour à tour avec rudesse chacun des tétons, y plantant parfois sadiquement ses ongles. Conservant ses doigts profondément enfouis, il forma un anneau de son pouce et son auriculaire autour des boules les tirant vers le bas. Adossé confortablement contre le montant du lit, il profitait de cette situation qu’il contrôlait entièrement.


Christophe, à chaque déplacement écartait ses lèvres au maximum, gonflait ses joues afin d’aller encore plus loin. À force de persévérance, il finit par ingérer les trois quarts du monstre. Sentir ce vit palpiter dans sa bouche et ces doigts fouir son cul lui procurait une excitation proche de la jouissance. Son anneau se contractait autour de la main comme ses lèvres autour de la bite. Émulation communicative : les sursauts dans sa bouche se firent plus fréquents avec une amplitude plus grande. Il avait envie que la queue phénoménale du vieux lui défonce le cul.


Comme s’il l’avait deviné, Jérôme l’attrapa par les cheveux, dégagea sa queue et décula sa main. Soulevant Christophe par les hanches, il repoussa ses fesses au-dessus de sa bite. Pour la première fois depuis le début de leurs ébats, il fit preuve de tendresse. Avec délicatesse, son énorme gland vint appuyer contre l’anus ouvert. D’une voix éraillée, il dit :



Christophe LA sentait ! Il se demandait toujours comment il allait bien pouvoir l’accueillir. Mais il en avait trop envie pour s’arrêter à une telle considération. Les cuisses collées à celle du vieil homme, une main sur chaque fesse les étirant vers l’extérieur pour faciliter l’introduction, il poussa, poussa, poussa et poussa encore. La pointe du gland avait franchi la porte sans grande difficulté. Arriva le moment fatidique où le chapeau écartela ses chairs, heureusement bien lubrifiées, pour forcer le passage.


Ça ne passait pas !

Il s’immobilisa découragé.


Le vieux, patient, lui caressait le dos ne faisant nullement mine de lui imposer la pénétration. Vraiment trop con ! Il la voulait cette grosse bite ! Il voulait qu’elle le remplisse, qu’elle lui emplisse les entrailles ! Il l’aurait ! Il plaça ses mains sous ses cuisses. Il prit son souffle, le bloqua. Il expulsa brutalement l’air qu’il avait emmagasiné tout en tirant violemment sur ses cuisses.


Il ne put s’empêcher de hurler à la fois de joie (enfin !) et de douleur (il avait l’impression de n’être plus qu’une déchirure). N’empêche, il était bien empalé entièrement sur ce pieu viril ! Le vieux lui abandonnait toujours l’initiative. Après avoir savouré un moment la pure jouissance intellectuelle d’avoir cette énormité en lui et laissé s’estomper la brûlure insupportable qu’elle avait causé, il commença à remuer. D’abord timidement.


Peu à peu, l’assurance venant, la douleur s’estompant, il se souleva de quelques centimètres. Surtout ne pas laisser échapper le gland. Il l’avait en lui, il y restait. Il n’avait pas envie de ressentir tout de suite une seconde intromission. Elle était si épaisse qu’elle raclait littéralement contre les parois. Les forts frottements sur sa prostate provoquaient une montée de liquide séminal. Sa bite, si petite, devenue flasque sous la violence de la pénétration, retrouvait toute sa vigueur.


Une main plaquée sur sa cuisse pour s’aider dans ses va-et-vient, il se branlait doucement avec l’autre.


Jérôme, s’apercevant de la chose :



Après un 180° acrobatique, sans déculer, Christophe lui faisait face : sa petite bite bandée semblait viser la tête du vieux.



Prenant le jeune homme par les hanches, il lui imprima un mouvement de haut en bas. Christophe se masturba en cadence. Cela ne dura pas très longtemps car cette bite qui le remplissait jusqu’à l’estomac lui déchirait la tête : la jouissance approchait.


Soudain son corps et sa main s’affolèrent, ils s’activèrent dans un tempo effréné. On n’entendait plus que le bruit de deux respirations haletantes et les « splash-splash » des fesses de Christophe qui cognaient contre les cuisses de l’ancien. Le jeune homme éjacula à longs jets qui allèrent s’écraser sur le torse, le visage de son « vis-à-vit ». La première goutte de sperme qui tomba sur son visage déclencha la jouissance du vieux. Son cul, ses cuisses se soulevèrent spasmodiquement comme s’il voulait pousser sa queue encore plus haut, encore plus loin.


Quand il se vida dans ses intestins, Christophe eut l’impression que le vieux n’avait pas joui depuis des siècles, qu’il s’était déchargé de plusieurs litres de liquides tellement il était inondé.


Sans déculer, le vieux empoigna les cheveux de Christophe et plaqua les lèvres de ce dernier sur sa poitrine gluante.



Christophe adorait le jus (le sien en particulier). Il ne se fit pas prier et lécha goulûment toutes les parcelles de peau souillées. Quand il eut terminé, le vieux se retira de son cul et lui imposa le toilettage de sa bite. Elle avait perdu de sa rigidité mais restait encore ferme et d’une taille conséquente.


Guère appétissante cette queue enduite de sperme et d’autres résidus du ramonage intensif qu’elle avait pratiqué. Christophe la fourbit sans réel plaisir mais avec le secret espoir de lui redonner sa vigueur précédente afin de subir une nouvelle troussée. Espoir déçu : malgré son application, l’engin ne retrouva pas sa raideur. Au contraire, il rapetissait progressivement.


L’ancien, se rendant compte des intentions de Christophe, sauta du lit pour se mettre hors d’atteinte. Trempant un gant dans broc, il lava son service trois pièces. Il le rinça et le tendit au jeune homme :



L’eau froide refroidit définitivement, du moins pour cette soirée, les ardeurs du jeune homme. Le vieux s’était déjà recouché. Lorsque Christophe le rejoint, Jérôme lui tournait le dos et… ronflait.


Le lendemain matin, la cheville de Christophe ne le faisait plus souffrir et la neige avait fondu. Après une longue séance d’adieu où il put apprécier à nouveau la rude virilité de son hôte, il redescendit au village le cul endolori et le cœur content. Il savait qu’il rendrait de nouveau visite au vieux… et que ce ne serait pas seulement par politesse.