Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14240Fiche technique40084 caractères40084
Temps de lecture estimé : 23 mn
23/01/11
corrigé 12/06/21
Résumé:  Ce soir, mon ami Fabrice vient dîner à la maison. Ça va faire un certain temps que je ne l'ai pas revu.
Critères:  fhh couple cérébral revede voir exhib fellation pénétratio double fsodo conte humour -humour -couple+h
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Invitation

Invitation


Ce soir, mon ami Fabrice vient dîner à la maison. Ça va faire un certain temps que je ne l’ai pas revu. Il faut dire que j’étais parti au loin durant quelques années, je viens juste de revenir dans le secteur, il y a à peine deux mois. Violaine, ma nouvelle femme, ne le connaît pas de visu, elle en a entendu parler, sans plus. D’ailleurs, comme je ne me montre pas suffisamment jaloux à son goût, ces derniers jours, elle s’est ingéniée à s’y employer avec des tas de phrases douteuses du genre :



Bref, ce genre d’agacerie. Souvent, ça me passe par-dessus la tête, parfois, je réponds, l’air faussement contrarié :



Alors, elle est contente.


Un dernier coup d’œil aux divers préparatifs, tout semble OK. Nous avons prévu une raclette, je sais que Fabrice aime ça, nous aussi d’ailleurs. De plus, dehors, c’est l’hiver, c’est donc un plat de circonstance.



Un petit bisou et je grimpe prestement dans la voiture, direction la ville, puisque j’habite à présent dans la proche campagne. D’après ce que je sais et de ce qu’il m’a dit au téléphone, Fabrice a largué sa voiture après presque quinze ans de bons et loyaux services, d’autant que c’était déjà à l’époque une occasion ! Il a découvert qu’il pouvait vivre sans voiture et qu’en louer une de temps en temps lui revenait nettement moins cher. Par contre, le samedi, c’est en sac à dos qu’il doit faire les commissions…


Tandis que je roule, je me souviens de nos vingt ans et d’avant. C’est vrai que nous en avions fait des vertes et des pas mûres. Puis nos chemins ont divergé… Je me suis marié, une fois, deux fois, il est toujours célibataire, allant de conquête en conquête sans jamais se fixer réellement. L’une des dernières fois que je l’ai eu au bout du fil, il se demandait s’il n’avait pas fait une erreur de rester libre, car il se sentait actuellement quand même nettement plus seul que comblé. Toutes ses connaissances ont à présent des grands enfants, quand elles ne sont pas grands-parents. Lui, il n’a pas d’enfants et ça commence à devenir plus que limite à ses yeux.


Je sonne en bas de son immeuble. Ça va faire bientôt quinze ou vingt ans qu’il habite au même endroit. Il dit qu’il descend. Toujours la même voix. Bientôt, il est en face de moi : toujours la même allure qu’à ses vingt ans, qu’à ses trente ans, avec les tempes grisonnantes en plus. Ce qui n’amoindrit pas son charme latin. Jovial, il lance :



Notre poignée de main est franche, j’ai l’impression de revenir en arrière de presque vingt ans, du temps où nous étions des ados. Il fait trop froid pour rester debout et dehors à discuter longtemps, alors nous nous engouffrons dans mon véhicule à l’habitacle resté chaud. Je mets en route, rien n’a beaucoup changé depuis cette lointaine époque, ni la ville, ni Fabrice.


Dans la voiture, nous causons de tout et de rien, puis la conversation arrive sur Violaine :



Je lui lance un regard en coin :



Impassible, il continue :



Au même instant, je tourne le volant, une petite route campagnarde qui serpente entre arbres et fossés ; nous approchons de chez moi, de chez nous, à Violaine et moi. Je rentre la voiture devant le garage. Je descends le premier :



Je me dirige vers la porte d’entrée, avec Fabrice juste derrière moi. Je traverse le couloir d’entrée puis j’entre dans la grande salle à manger qui est aussi notre salon. Dans la vie, il arrive parfois des surprises, des choses pas prévues. Je crois que je suis en train de vivre une belle surprise, une grande stupéfaction, un énorme ahurissement !


Violaine a revêtu sa robe-pull moulante à rayures noires et gris foncé. Les bandes horizontales épousent outrageusement ses formes qu’elle a pleines, déjà un appel au crime, même si cette robe possède en haut un large col roulé. Il est flagrant qu’elle a mis son redresse-seins (ou bien un soutien-gorge adhésif, je ne saurais dire), ce qui laisse deviner sans problème ses tétons pointus sous le tissu laineux ; même si quelques colliers jouent les décorations entre ses seins bien lancés vers l’avant. Je dirais même que c’est encore plus incitatif !

Plus bas, sous la robe assez courte, des bas en laine sombre sur un collant scintillant, ce qui met très bien en valeur, par contraste, une petite zone de chair blanche, nichée à la limite des tissus… Pour couronner le tout, chaussée aussi de noir, elle est juchée sur des talons aiguilles à la pointe argentée qui claquent sur le carrelage du salon.

Plus haut, elle a relevé ses longs cheveux soyeux en un chignon savamment désordonné aux mèches folles, un peu à la Mylène Farmer dans sa meilleure époque. Ses fines mains sont embellies d’ongles couleur rouge orient qui attirent l’œil de façon irrésistible. Habilement, elle a souligné ses yeux de noir et dessiné sa bouche de rose brillant. Une star…


De haut en bas, une symphonie en laine sombre avec deux liserés jumeaux de chair nacrée sous la robe… Et un visage très… sensuel…


Pour moi, le temps semble s’être arrêté…


J’arrive à sortir de ma rêverie, je regarde sur le côté. Fabrice est totalement absorbé par ce qu’il voit, c’est-à-dire : ma femme. Et ça, ça ne me plait pas du tout. Je me répète peut-être : je ne suis pas du genre jaloux. Mais… mais il y a des limites. Étrangement, l’idée que je le fais saliver me plait, ma Violaine a en effet du répondant, même si dans la vie de tous les jours, ce n’est pas flagrant. D’ailleurs, je m’en fiche : c’est moi qui profite d’elle dans l’intimité et les autres n’ont pas à savoir ce qu’ils ratent !


Quoique…


Quoique, quand je vois la tête de mon ami, j’éprouve quand même une sourde satisfaction. C’est peut-être un joyeux célibataire aux multiples conquêtes, c’est moi le mari de ma femme ! Je sais, c’est une tautologie, mais c’est la vérité vraie.



Joignant le geste à la parole, d’une démanche ondulante, Violaine s’avance vers Fabrice et l’embrasse bruyamment sur les joues. Quelque chose me dit que ces deux baisers étaient un peu trop appuyés : Fabrice a, à présent, deux marques rouges.


Nous nous asseyons pour prendre l’apéritif. L’ambiance est très enjouée. Je constate que Fabrice jette ci et là des petits coups d’œil assez éloquent vers ma femme, surtout quand elle se lève. Plus tard, Violaine se lève à nouveau et déclare :



Et elle nous tourne le dos, ondulant à nouveau sur ses talons aiguilles. J’admire, au passage, la danse de son mignon popotin, bien moulé par sa robe-pull. Un appel au crime. Un rapide coup d’œil à Fabrice me le confirme ! Après avoir bien contemplé le spectacle, celui-ci se tourne vers moi pour me chuchoter :



Et nous passons à notre tour dans la salle à manger.


Une raclette, par le temps qu’il fait dehors, est un repas de circonstance. Ce qui tombe bien, car nous aimons ça tous les trois. De plus, c’est presque un jeu, avec les petites poêles, le fait de se faire sa propre cuisine, de varier les ingrédients, de composer son menu. Violaine avait prévu large, comme chaque fois. Je sais d’avance ce que nous mangerons demain ou après-demain. Nous discutons de divers sujets, Fabrice sait bien s’y prendre dans ce genre de situation, Violaine semble souvent rivée à ses paroles, charmée. Elle en fait parfois un peu trop, mettant souvent sa poitrine en valeur, un bras dessous, voire même posant carrément ses seins sur le bord de la table quand elle se sert en charcuterie ! Mais, il est évident qu’elle ne déteste pas sa conversation, souvent fascinée. Je constate qu’il reste fidèle à sa réputation : il dormira rarement seul ! Même si ses conquêtes ne restent jamais bien longtemps, il est trop virevoltant, trop tenté par de multiples occasions, sans savoir se fixer.




Imaginer inopinément que…


Que ce pull devienne transparent, impudique, ses seins offerts à la vue de tous, sa magnifique poitrine dont je me goinfre souvent, voluptueusement, charnellement, sans répit !





Je secoue, la tête : c’est quoi cette vison fugace que je viens d’avoir ? Il est vrai que ma femme m’a toujours fait travailler la libido, et qu’aujourd’hui, elle est particulièrement à son avantage, mais quand même ! Je me refocalise sur Fabrice et son passé et sûrement son présent de Don Juan.


Une main sous son menton, Violaine met, à cet instant précis, les pieds dans le plat :



Je souris intérieurement. Fabrice est un peu désarçonné, ça doit être l’une des premières fois qu’on lui pose aussi directement la question. Il tergiverse une seconde ou deux, hésitant sans doute sur la réponse à donner ; de mon côté, je me demande à quoi joue ma femme. Toujours est-il qu’elle a assurément mis le doigt sur la fêlure de Fabrice.


Après un certain temps, l’air détaché, il lui répond :



Une légère pause. Enjouée, sa tête entre les mains, les coudes sur la table, ses seins à nouveau bien trop mis en valeur entre ses bras, elle répond :



Violaine sourit, amusée. Serrant plus encore ses bras, ses seins pointant voluptueusement sous sa robe-pull, elle regarde Fabrice bien en face, espiègle :



Soudain, Fabrice se ravise et ajoute :



Puis la conversation reprend sur un tout autre thème, celui des vacances, celles que nous avons vécues et les prochaines que nous envisageons. Fabrice a prévu un large périple au Maroc, un pays qu’il a découvert tardivement et qu’il aime. Pour notre part, nous envisageons le Portugal ou l’Andalousie, nous ne savons pas encore. À bien y réfléchir, nous ne serons peut-être pas trop loin l’un de l’autre aux prochaines vacances ! Le repas se termine.


Plus aucune image libidineuse dans mon esprit. Néanmoins, je constate que Violaine n’a pas tout à fait abandonné son petit jeu de séductrice. Elle croise et recroise les bras, ce qui met en valeur et en avant ses appas, elle joue souvent avec les mèches de son chignon, sa voix se fait souvent câline, et en plus, elle me fait du pied !


J’ai la furieuse envie d’aller vérifier si elle n’en fait pas non plus à Fabrice !




Rêvasser soudainement que…


Que le pied gainé de ma Violaine s’égare entre les jambes de son invité, sur son pantalon qui gonfle de plus en plus, le tout avec un air de sainte nitouche, celui qu’elle sait si bien prendre avec une facilité déconcertante !


Fabrice a de plus en plus de difficultés à rester serein, sa conversation suit un chemin très courbe, escarpé, fait de silences au beau milieu d’une phrase, de coq à l’âne. Le sourire de ma femme, fière de son pouvoir, s’élargit au fur et à mesure de la débâcle de son vis-à-vis.


Puis, Fabrice glisse une main sous la table, Violaine hausse les sourcils, surprise, un « oh » muet sur les lèvres, puis, gourmande, les yeux luisants, elle fait littéralement jaillir sa poitrine entre ses bras croisés. Le visage de notre invité semble virer doucement au rouge cramoisi. Sa parole devient de plus en plus hachée. Il serre même les dents, lançant une sorte de supplique muette à la gourgandine qui lui fait perdre ses moyens.


Alors, charitable, ma femme monopolise la conversation, nous noyant sous un flot de paroles, d’anecdotes diverses. Sans qu’elle cesse de discourir, son pied s’agite de plus en plus sous la table, un dernier sursaut, un dernier hoquet…


Fabrice semble épuisé, Violaine rayonnante. Puis sans aucune gêne, elle recule sa chaise, ôte un de ses bas de laine, le roule en boule. L’autre suit peu après.


  • — Je n’aime pas trop être mouillée, dit-elle en toute simplicité.

Puis, un large sourire aux lèvres, elle continue son quasi-monologue interrompu juste avant.





Je ne sais pas si c’est la fondue qui me fait cet effet, mais j’ai terriblement chaud, je dirais même que j’ai l’impression de me liquéfier sur place !



Elle pose sa main sur la mienne, j’aime tant son contact. Je précise :



Fabrice sourit, portant un verre à ses lèvres :



J’affirme péremptoirement :



Fabrice rit franchement, nous aussi. Et le repas continue, puis arrive le dessert.


Nous sommes à présent dans le salon afin de prendre le café. Pour être plus précis, deux cafés et un thé, car Violaine préfère se singulariser. La cafetière s’active de son côté tandis que nous bavardons de tout et de rien. Néanmoins, je me méfie de la suite, je sais que Violaine n’a pas fini de nous étonner !


Le café étant prêt et l’eau étant bouillante, je pars les chercher. À présent, sur la table basse, deux tasses de café fument, tandis que Violaine se prépare son thé. D’un geste négligent, tout en continuant à converser, elle plonge et replonge d’une façon plutôt suggestive le sachet de thé dans sa tasse d’eau chaude…


Je croyais que c’était déjà le summum que ma Violaine pouvait atteindre dans la suggestion sans en avoir l’air : j’avais tort ! L’imagination et le culot vont parfois beaucoup plus loin qu’on ne le pense… Là, maintenant, sous mes yeux étonnés, elle déguste d’une bien étrange manière un boudoir…




Rêver subitement que…


Que Violaine soit face à nous, un peu penaude. Elle a semé le vent, la tempête est là. Il y a des choses dont il faut se méfier. La couche de vernis qui police l’être civilisé est parfois fine, très fine. Un bref coup de canif et elle peut s’écailler très vite, et révéler par-dessous des choses moins policées.


Nous, les hommes, nous sommes installés dans le canapé, l’instant est suspendu, Fabrice se demande quelle sera la suite. Je sais très bien ce qu’il espèrerait bien, mais ça doit lui sembler très improbable.


Posément, je dévisage ma Violaine et je lui ordonne :


  • — Suce-moi !
  • — Hein ? Mais ?
  • — Tu ne discutes pas : suce-moi !
  • — Mais, ton copain est là !
  • — Justement ! Exécute-toi !

Elle jette un rapide coup d’œil à Fabrice qui s’est redressé, l’air particulièrement intéressé et intrigué de la tournure des événements. Elle rougit. J’écarte mieux les jambes pour lui signifier ce que j’attends d’elle.


  • — Tu l’as voulu, alors assume !
  • — Mais quand même, Matthias, il y a une marge entre le… « on voudrait bien » et le faire pour de vrai !
  • — Il faut savoir franchir la rivière… Écoute, Violaine, tu as passé ton temps à nous allumer à mort durant toute la soirée, tu as eu ce que tu voulais, je suis excité à donf, alors pas de reculade !

Mon ton et mon expression sont tels qu’elle finit par s’agenouiller devant moi. Je ne pense pas que je lui force tellement la main. Au fond d’elle, ça devait être quelque chose sur lequel elle fantasmait. Sans doute, du moins, je le crois. C’est vrai qu’il y a une différence entre la fantaisie à laquelle on songe et son application. Mais voilà, nous en sommes arrivés à un tel point qu’il est assez difficile de revenir en arrière…


Tout en regardant en biais Fabrice, elle dégrafe lentement les boutons de ma braguette d’un geste peu assuré. Elle me regarde une fois cette première partie achevée. Que veut-elle vraiment ? Penser que c’est une mauvaise plaisanterie, ou le faire quand même, avec pour fausse excuse qu’elle y a été obligée ?


  • — Continue…

Sera ma seule réponse. Sans hésiter, elle plonge la main dans la braguette ouverte et finit par mettre à jour une tige déjà bien gonflée. Du bout de ses doigts, elle capture la base de ma barre, elle entrouvre la bouche et me regarde à nouveau dans les yeux.


  • — Suce !

Sera mon seul ordre. Sans discuter, elle enfourne mon gland rougi dans sa bouche toute chaude. C’est terriblement bon ! Du coin de l’œil, je constate que Fabrice ne perd rien du spectacle qu’elle offre. Il n’y croyait pas, il constate qu’il s’est trompé.


Violaine s’applique autour de mon sexe qu’elle a, à présent, enfourné assez profondément. Sa langue humide caresse ma tige toute frémissante comme elle sait si bien le faire quand elle le veut. Et aujourd’hui est incontestablement un jour avec ! Elle passe en effet à la vitesse supérieure en l’enrobant, le retirant, le suçant, le léchant sous toutes ses coutures, aussi bien de la pointe de sa langue que du plat de celle-ci. Un vrai régal royal !


Je sens que je risque de venir trop vite, tant elle s’y prend trop bien. Mon self-control en la matière n’est pas des plus performants sous sa belle prestation ultra efficace ! D’une voix la plus dégagée possible, je lui ordonne :


  • — À présent, occupe-toi de Fabrice !

Elle arrête sa délicieuse torture, elle me regarde, quelque chose de trouble dans les yeux, une question muette. J’exige à nouveau :


  • — Oui, occupe-toi de lui, comme tu viens de le faire pour moi !

Juste un dernier regard si trouble, quelque chose que je n’avais jamais vu, quelque chose qui me dit que c’est moi qui, à présent, sème le vent. Un grand général romain a dit un jour, il y a très longtemps de cela : « alea jacta est ». Puis il a franchi le Rubicon. Pour lui, c’était quitte ou double. Quant à moi, je ne sais pas vers quoi nous nous dirigeons, Violaine et moi…


Toujours à genoux et sans dire un mot, elle se positionne entre les jambes de Fabrice qui n’en croit pas sa bonne fortune. Peu après, un autre sexe bien droit pointe vers le ciel. Du bout de la langue, Violaine semble tester son goût, tandis qu’elle emprisonne sa base entre ses doigts aux ongles vernis. Puis délicatement, elle ouvre la bouche, et fait petit à petit disparaître cette barre de chair entre ses lèvres maquillées.


Ça me fait un choc de la voir ainsi absorber un autre sexe que le mien. Je ne sais pas bien ce que je dois en penser. Intérieurement, je tique car Violaine est à moi ; mais ça m’excite terriblement en même temps !


En effet, elle lui applique le même traitement qu’à moi ! Elle s’active autour de son sexe qu’elle a, à présent, englouti profondément. Je peux deviner sa langue humide qui caresse sa tige toute frissonnante comme elle sait si bien le faire. Et aujourd’hui, Violaine est incontestablement en forme ! Puis elle décide de passer à la vitesse supérieure en l’enrobant, le retirant, le suçant, le léchant sous toutes ses coutures, de façon très perverse et dissolue. Une splendide démonstration de ses capacités en la matière !





Je secoue la tête, les boudoirs ne me valent rien, surtout dans les mains et dans la bouche de Violaine. Je me concentre sur mon café qui doit être à présent nettement moins bouillant.



Violaine vient de faire tomber quelque chose sur le tapis, je ne sais pas quoi, j’avais l’esprit encore ailleurs. Ce quelque chose a roulé sous la table, mais de notre côté semble-t-il. Elle vient de notre côté, puis, le plus naturellement, elle se met à quatre pattes pour mieux aller récupérer ce qui est tombé. J’ai alors une vue imprenable sur son joli derrière, peu caché par sa robe-pull noire, un joli petit cul gainé d’un collant brillant, et des jambes magnifiques aux bas sombres. Le contraste entre la chair dévoilée et la laine sombre de ses vêtements moulants est très torride !


Et visiblement, il n’y a pas que moi qui ai une vue imprenable !




Rêver soudainement que…


Que Violaine soit à quatre pattes sur le tapis, qu’elle nous attende. Agenouillé devant elle, Fabrice lui présente un sexe d’airain, qu’elle suce tout de go. Moi, positionné derrière elle, j’écarte ses jambes sans ménagement, j’ai une envie folle de la tringler tandis qu’elle fait une belle fellation à celui qui est devenu ce soir son amant. Sans retenue, je m’enfonce dans sa chatte toute dégoulinante, lui saisissant les hanches pour mieux aller la pistonner au plus profond, presque sadiquement. J’ai une furieuse convoitise d’elle, une bestiale envie ! J’ai aussi le désir extrême de la punir de se livrer ainsi à un autre homme ! Même si j’y suis pour beaucoup…


Elle le suce tandis qu’elle subit de ma part des coups de boutoir. Elle tortille des hanches, me cherchant plus encore. Je découvre à quel point ma Violaine peut être finalement une sacrée vicieuse, pour ne pas dire autre chose. Débauchée, dissolue, impudique.


Soudain, elle arrête sa fellation et se retourne vers moi :


  • — Viens prendre sa place, Fabrice prendra la tienne.

Le pire, c’est que je m’exécute en me retirant d’elle. Une très grande satisfaction se lit sur le visage de mon ami. Quelque part, je le comprends… À son tour, il s’enfonce en elle, tandis qu’elle me suce avec ardeur. C’est étrange de voir sa femme se faire culbuter sous ses yeux, alors qu’on en profite soi-même…





Je n’ai toujours pas compris ce qui avait roulé sous la table, j’étais trop fasciné par son splendide popotin qui s’agitait sous mes yeux et pas très loin de mes mains. Pour me donner une contenance, je bois mon café, il est tiède.


Nous parlons un peu de tout et de rien. Je mettrais ma main à couper que Violaine glisse des tas d’allusions dans ses propos. Quand elle décide de se mettre à quelque chose, elle y va de bon cœur. Fabrice joue le jeu et batifole de sujet en sujet, montrant qu’il a, comme depuis le début que je le connais, de la conversation et de l’esprit. Moi, je suis un peu en retrait, j’interviens parfois, mais la plupart du temps, je regarde le spectacle.


Soudain, Fabrice se laisse glisser de son fauteuil et s’assoit au sol. Violaine le regarde, un peu étonnée. Je prends alors la parole pour lui expliquer :



Et je m’assieds à mon tour au sol. Violaine nous regarde, se lève. Afin de venir s’asseoir à côté de nous, elle enjambe Fabrice de ses longues jambes. De là où il est, il est certain qu’il a dû avoir une certaine vue…




Rêver inopinément que…


Que Violaine enjambe Fabrice allongé au sol, bite pointée vers le plafond, lui tournant le dos, face à moi. Posément, elle s’accroupit, saisissant le sexe offert sous elle et le dirigeant vers son petit trou tout sombre déjà entrouvert et humecté. Fabrice est aux anges, c’est flagrant sur son visage !


Son gland s’encastre entre les douces fesses de ma femme, elle retient sa respiration, semble serrer les dents, puis, d’un coup, elle force le passage en s’asseyant littéralement sur la tige dressée. Elle grimace un peu, mais peu de temps après, il est évident que tout est entré en elle. Elle soupire un bon coup, puis elle se couche sur Fabrice, son dos d’albâtre contre son torse bronzé. Elle me regarde droit dans les yeux, tandis que son nouvel amant commence son pistonnage, tentant d’aller encore plus loin en elle. Elle m’ordonne alors :


  • — Viens !

Et je viens, je me couche sur elle, mes bras de part et d’autre de son corps, mes mains en appui sur le sol. Je la pénètre sans effort, là où l’autre est passé déjà plusieurs fois. À travers la fine paroi qui sépare le vagin de l’anus, je sens distinctement un sexe gonflé et actif. La sensation est insolite, étrange, ça décuple mon envie de l’inonder, de lui en mettre partout !


Nous la pistonnons tous les deux, en rythme, pour mieux la posséder chacun à notre façon. Elle ferme les yeux, la bouche ouverte, des petits cris sortent de ses lèvres. Fabrice lui capture les seins avec lesquels il joue sans vergogne. Intérieurement, je me dis qu’il exagère : non seulement il encule ma femme sous mes yeux, mais en plus, il la pelote sans répit. Comme si tout était à lui. Mais en même temps, ça augmente encore plus ma frénésie !


Nous nous activons de plus en plus, elle est laminée par-derrière comme par-devant, nos bites tendues à bloc s’entrechoquent à travers la mince paroi. Des mains avides torturent ses seins, ses pointes.


Elle crie, elle jouit, frémissante !


Un autre cri plus grave, il jouit à son tour avec des grands soubresauts !


Je jouis, expulsant tout ce que j’ai en moi, comme pour mieux marquer que c’est elle qui est à moi, rien qu’à moi !





Des gouttes de sueur perlent sur mon front. Cela semble si réel, si concret. Je me lève pour aller chercher des petits cubes de glace dans la cuisine. L’air frais du congélateur me fait du bien. Je n’ai pas idée d’aller imaginer ça ! Je m’étonne moi-même de ce genre de pensée, la notion de triolisme, de cocu content, très peu pour moi !


Il est vrai que l’attitude de ma femme n’aide pas beaucoup à ma sérénité. Je pose les pots sur la table de cuisine afin de prendre des petites cuillères. Je resonge à toute la soirée, je me dis que ça n’a pas été triste, et qu’en plus, ce n’est pas fini ! Violaine s’est assurément déchaînée, je ne sais pas exactement pourquoi ; il faudra que je réfléchisse bien au pourquoi du comment. À moins, qu’il n’y ait pas de raison, tout simplement. Un caprice de sa part…


Je me fais violence, je me vide l’esprit, puis je reviens dans le salon. Ils sont tous les deux assis en train de papoter tranquillement. Je jette un rapide coup d’œil à ma femme : elle est trop sexy, habillée ainsi. Si Fabrice n’était pas dans la pièce, je crois bien que je me serais déjà jeté dessus avec délectation !


Mais hélas, ce ne peut être le cas actuellement.




Fantasmer sur le champ que…


Elle, ma chienne à quatre pattes, offerte, ouverte, remplie, hurlant son plaisir, vautrée dans la débauche la plus totale, pénétrée au plus profond de partout, sans répit, inlassablement, couverte de sperme, remplie de sperme, qui dégouline sur tout son corps si doux, si voluptueux, maculant son ventre rond, ses fesses dodues, ses jambes fines, ses seins lourds, sa bouche insatiable…


Elle, ma femme… cette… qui…





C’est en sueur que je termine la soirée. Il est tard à présent, Violaine cligne un peu des yeux, signe qu’elle fatigue un peu. Un dernier verre, un dernier bisou un peu appuyé entre Fabrice et Violaine, puis nous sortons.



Je reconduis Fabrice chez lui. Il est étrangement calme, lui si volubile. Les kilomètres défilent, je ne dis rien non plus, je suis aussi assez fourbu, lessivé. À mi-parcours, c’est lui qui brise le silence en annonçant :



Je suis surpris de cette profession de foi et intimement content de moi, de ma chance. Sans quitter la route des yeux, je réponds :



Quand je le dépose devant chez lui, je vois bien qu’il est tout songeur. Une dernière poignée de main, il s’engouffre dans le hall de son immeuble. Il disparaît de ma vue. C’est à mon tour d’être songeur. Puis je me décide à repartir.


Quand je rentre, je me rue dans ma maison, et là, sans préambule aucun, je me jette sur ma femme et je la viole littéralement. Je vous passe les détails mais sachez quand même qu’elle se laisse faire en gloussant, ravie de son petit effet de durant la soirée…



--ooOoo--



Quelques jours sont passés, deux semaines précisément. Deux ou trois jours après l’invitation, Fabrice m’a annoncé qu’il avait finalement acheté une voiture, une occasion en or pas chère.



Sur le coup, je me suis dit que Fabrice avait en vue quelques conquêtes féminines, surtout après le numéro que lui avait fait ma femme. Quand je l’ai raccompagné chez lui, il m’avait textuellement dit qu’il voulait se dénicher une femme comme la mienne, et ça urgeait.


Sur le coup, j’avais été fier !


Moins maintenant. Ça fait déjà trois fois à présent que quand je rentre, la voiture de Fabrice est garée devant chez moi, et que je trouve ma Violaine en grande conversation avec mon ami. Trois fois aussi qu’il reste diner. Ma femme est toute contente, elle s’habille de mieux en mieux, même. Je ne suis pas contre, j’aime la voir ainsi très belle et attirante.


Fabrice ne touche pas aux femmes de ses amis, je le sais, du moins, c’est ce qu’il dit, il n’y a eu qu’une seule exception dans le passé : Annie, ma petite amie de l’époque, au lycée, l’année du BAC.


Plus que quelques kilomètres, et je serai de retour à la maison. Je ne suis même pas étonné quand je découvre la voiture de Fabrice stationnée devant chez moi. Cette fameuse voiture du destin, comme il dit. Je coupe le contact, je sors de mon véhicule, mallette en main. C’est alors que sur la plaque minéralogique qui est à présent face à moi, je lis distinctement les trois lettres BAC…