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n° 14243Fiche technique8474 caractères8474
Temps de lecture estimé : 6 mn
23/01/11
Résumé:  Le plaisir d'une rencontre masculine en forêt
Critères:  hh hagé forêt fellation anulingus préservati hdanus hsodo
Auteur : Bisenior      Envoi mini-message
Promenade en forêt

Cette belle journée de printemps me donnait envie de m’aérer et je me suis rendu dans cette forêt bien connue de l’Ouest parisien. Laissant mon véhicule sur un parking proche du château, j’empruntais une large allée me permettant de profiter au mieux de la douce chaleur prodiguée par un soleil renaissant.


Je marchais lentement et répondais franchement aux saluts des quelques promeneurs rencontrés. Un homme me rattrapa et, m’ayant salué d’un « bonjour », resta à ma hauteur. Nous engageâmes la conversation sur la météo agréable et d’autres banalités et avons poursuivi ensemble notre cheminement.


D’un âge sensiblement égal au mien, une cinquantaine bien sonnée, sa voix était douce et son physique agréable. C’est aussi tout naturellement que nous avons quitté cette grande allée en empruntant un sentier partant en sous bois.


Le cheminement étant moins large, nos corps se sont rapprochés et je sentais parfois le frôlement de son bras contre le mien et aussi celui, plus discret, de sa main sur ma cuisse. Ne ressentant aucun recul de ma part, il m’a pris la main et nous nous sommes arrêtés face à face. Notre solitude vérifiée, nos visages se sont rapprochés pour unir nos lèvres et échanger un baiser tout en amenant nos mains à constater l’éveil de nos virilités respectives. Je sentais son sexe grossir sous la caresse de ma main et l’envie de le découvrir de plus près m’est vite venue. Conscients du manque de discrétion du lieu où nous nous trouvions, nous avons repris notre promenade jusqu’à une petite sente s’enfonçant dans les fourrés proches.


Quelques pas ont suffi pour ne plus être visibles du chemin et nous nous sommes arrêtés dans une petite clairière.


Presque timidement, nos corps se sont rapprochés et nos mains ont commencé leur découverte de l’autre. La température clémente faisant que nous ne portions qu’un tee-shirt et un pantalon de toile mes mains se sont vite glissées sous son vêtement pour sentir sa peau. Je sentais contre mon ventre, au travers de la faible épaisseur de nos vêtements, son sexe durcir tandis que nos langues se mêlaient et luttaient pour la possession de la bouche de l’autre.

Ses mains étaient douces sur ma peau et j’ai profité du moment où il relevait mon maillot pour relever et ôter le sien. Il en a fait de même et, nos lèvres se ressoudant, nos torses se sont collés l’un à l’autre. Je sentais ses mains caresser mon dos et tenter de se glisser sous la ceinture de mon pantalon pour atteindre mes fesses.


Nous nous sommes un peu écartés. J’ai senti sa main se poser sur mon sexe et le caresser par-dessus mon vêtement. Je dégrafai sa ceinture et baissai son pantalon pour mieux approcher son membre que j’avais senti bien tendu. Ses mains habiles avaient vite fait de me baisser mes vêtements, libérant mon sexe déjà tendu et offrant mes fesses nues à ses caresses. Nos ventres se sont rejoints et je sentais son sexe, que j’avais aussi libéré de son sous-vêtement, palpiter contre le mien entre nos ventres. Peau contre peau et mains de plus en plus fureteuses, nous avons repris notre baiser fougueux. Sa peau était douce et chaude et je sentais ses mains caresser ma poitrine, en titiller les pointes, se glisser sur mon ventre, caresser mes cuisses et remonter vers mes couilles et mon membre raide, repartir vers mon dos pour me caresser les fesses tout en glissant un doigt dans le sillon.


Ma bouche a quitté la sienne et est descendue le long de son torse. Ma langue a chatouillé ses seins qui m’ont semblé sensibles alors que je sentais sa main caresser le bas de mon dos et se glisser sur mes fesses. Tous en donnant de petits coups de langue ma tête a continué sa progression vers son ventre, vers son sexe bien dressé. Mes lèvres se sont posées sur son pubis à la toison courte, son membre caressant ma joue. J’ai remonté lentement ma bouche vers son gland si tentant tout en goûtant sa peau de la pointe de la langue. Une goutte de plaisir perlait à l’entrée de son méat. Cueillie par ma langue gourmande, elle était douce et sucrée. J’ai coiffé de mes lèvres l’extrémité de son sexe et, tout en le massant de la langue contre mon palais, je l’ai laissé me pénétrer la bouche. Il me semblait qu’il grossissait encore plus et j’en sentais les palpitations contre ma langue.


Plié en deux par ce baiser, j’offrais mieux mes fesses à sa caresse et j’en ressentais la douceur et sa progressivité. Un doigt est venu assez rapidement se poser sur mon petit trou et a tenté de le pénétrer. J’ai senti sa main se retirer et bien vite revenir. Il avait dû y mettre de la salive car son doigt humide s’insérait maintenant en moi, rejoint par au moins un autre pour une caresse plus profonde.


Il m’a relevé de cette posture et nos lèvres se sont de nouveau rejointes alors que nos mains poursuivaient l’exploration de nos peaux. Me prenant aux épaules, il m’a retourné, s’est placé derrière moi et a commencé à m’embrasser le cou et les épaules, tout en me caressant les seins. Son corps contre le mien, je sentais son sexe tendu contre mes fesses ; il tentait de le glisser entre elles. Je me laissais faire et savourais cette caresse. Tout en continuant à me caresser, il a pris mes mains et les a guidées pour les poser contre un arbre proche, me faisant me pencher en avant. Son sexe glissait maintenant de toute sa longueur entre mes fesses. J’ai bientôt senti sa langue au bas de mon dos remplacer son membre désiré. Elle se glissa dans mon sillon et vint chatouiller mon œillet. Ses mains écartant mes fesses lui en facilitèrent l’accès et lui permirent d’en forcer un peu le passage.


Mon accord acquis, il s’est relevé, a enfilé un préservatif sorti de sa poche, a, de ses mains, écarté mes fesses et j’ai senti son sexe se poser sur mon petit trou déjà frémissant et bien enduit de salive. La pression de son gland sur mon anus bien préparé s’est faite plus forte. Il m’a pénétré lentement, régulièrement, jusqu’à coller son pubis contre mes fesses, ses couilles contre les miennes. Il est resté dans cette position, bien au fond de moi, un moment pour me permettre de m’habituer à sa présence, puis, après m’avoir claqué une fois vigoureusement les deux fesses, a commencé un lent et profond mouvement de va-et-vient. Une fois revenu de la surprise cuisante des claques sur mes fesses, je me suis décontracté et ai savouré le plaisir dû à ce membre vivant et chaud qui me pénétrait. Ses mouvements se sont progressivement accélérés puis interrompus.


Sentant sa jouissance venir, il m’a demandé où je préférais qu’il se laisse aller.

Il s’est alors retiré de mon fondement, a ôté son préservatif et je me suis agenouillé devant lui pour prendre son membre chaud en bouche. J’ai commencé par le lécher lentement, tout le long, puis à chatouiller son gland de la pointe de la langue, et, sentant sa jouissance proche, l’ai repris en bouche pour mieux le sentir palpiter et gonfler encore plus. Bien massé par ma langue, il n’a pas pu attendre plus longtemps et j’ai senti son jus chaud et légèrement âcre se répandre jusqu’au fond de ma gorge. Je le gardai en bouche jusqu’à sentir son érection le quitter et d’une langue gourmande, je nettoyai soigneusement son membre maintenant dégonflé.


Il m’a relevé, posé ses lèvres sur les miennes et m’a embrassé goulûment.


Il s’est ensuite lentement baissé et, accroupi devant moi, a pris lentement mon sexe dans sa bouche pour me prodiguer une douce fellation. Mon excitation étant déjà à un point élevé, ma jouissance est vite arrivée et c’est aussi dans sa bouche qu’il a accueilli mon plaisir et aussi nettoyé de la langue les traces de mon plaisir restant sur mon membre. Il s’est redressé et m’a de nouveau embrassé, me faisant goûter au peu de mon jus restant dans sa bouche.


Après encore quelques petites caresses câlines, nous avons retrouvé une tenue correcte pour rejoindre la civilisation. Après avoir ramassé nos quelques déchets, nous avons rejoint nos véhicules et nous sommes séparés avec l’espoir de nous rencontrer une autre fois.