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n° 14249Fiche technique20214 caractères20214
Temps de lecture estimé : 13 mn
26/01/11
Résumé:  Aline et moi adorons faire l'amour dans les appartements que vend son agence. Jusqu'au jour où....
Critères:  fh voir lingerie intermast pénétratio fsodo init -voyeuract
Auteur : Zen            Envoi mini-message
Aline, de l'agence immobilière

Aline et moi, nous avions tellement l’habitude de faire l’amour dans ces grands appartements vides de tout meuble, que quand nous nous retrouvions dans une petite chambre normalement meublée, nos ébats n’avaient pas tout à fait la même saveur. Ça nous manquait de ne pas entendre l’écho de nos gémissements retentir dans ces pièces trop vides. Un lit, c’était peut-être aussi trop confortable pour nous qui étions habitués à le faire debout.


Habituellement, on se retrouvait dans un de ces immenses logements dont l’agence qui l’employait avait les clés. Si c’était la première fois que nous y allions, elle me faisait visiter comme si j’étais n’importe quel client. C’était une vendeuse formidable, elle savait vraiment mettre en valeur le bien qu’elle avait à vendre, elle savait trouver le détail qui tue pour vous faire adorer l’appartement en question. Elle prenait son temps pour me faire découvrir les lieux, mais dès la « visite » finie, nous tombions dans les bras l’un de l’autre. Nous faisions souvent l’amour debout, nous étions devenus des experts de la chose. Notre position préférée, c’est quand elle trouvait un rebord de cheminée, ou une tablette pour s’appuyer, penchée en avant, les jambes écartées, et moi derrière elle, la pénétrant, un sein dans chaque main, à jouer avec la pointe, ou une de mes mains descendant vers son sexe pour la caresser.


On ne s’était, en fait, pas rencontrés dans une visite d’appartement, mais bêtement, dans une brasserie. Elle déjeunait seule à la table à côté de moi, on a lié connaissance ; c’était une conversation plus que sympa, elle avait un charme fou, je lui ai dit par la suite que j’étais tombé amoureux du geste qu’elle avait souvent pour écarter cette petite mèche de cheveux qui cachait son visage. Bien sûr, je sais bien que les coups de foudre, ça n’existe pas, mais quand même… Arrivé au dessert, j’étais paniqué à l’idée que je risquais de ne plus la revoir. Quand elle m’a dit qu’elle travaillait dans une agence spécialisée dans les appartements de luxe des beaux quartiers, j’ai plongé sur l’occasion : ça tombait bien, j’étais justement moi-même à la recherche d’un tel appartement à acheter. Rendez-vous fut pris pour le lendemain midi. Ouf, sauvé ! Au moins jusqu’au lendemain.


Le lendemain, quand j’ai sonné à la porte de l’appartement en question, elle était si belle dans son tailleur, mon cœur a fondu. Je me suis senti obligé de lui avouer tout de suite que je n’étais pas du tout venu visiter l’appartement, que je n’étais pas acheteur, mais que j’avais inventé tout ça pour la rencontrer une nouvelle fois. Elle s’est marrée, et m’a dit : « Ah mais le problème c’est que je vous ai déclaré comme visiteur de cet appartement à l’agence ! Si vous ne le visitez pas et si vous ne signez pas le certificat de visite, je vais me faire taper sur les doigts… ». Bien sûr, je lui ai dit que pour éviter qu’elle se fasse taper sur les doigts, et surtout pour rester une demi-heure de plus avec elle, j’étais prêt à signer tous les certificats de la terre.


Elle m’a fait une de ces visites de logement dont elle avait le secret, c’était une grande professionnelle. Mais à la fin de la visite, quand elle m’a demandé ce que j’en avais pensé, je lui ai avoué n’avoir pas compris un traître mot de ce qu’elle me disait, j’étais trop occupé à écouter le son de voix, et pas vu une pièce, j’étais trop occupé à la regarder. Le sourire qu’elle m’a fait en retour m’a fait comprendre que c’était dans la poche.


La première chose d’intime que j’ai su sur Aline, c’est qu’elle adorait les baisers langoureux, sans fin, à s’asphyxier. Combien de temps a duré le premier ? Je ne sais pas, des minutes peut-être, je ne voulais pas non plus que ça se finisse, j’étais excité comme tout, mon sexe gonflé à bloc.


Quand nos lèvres se sont séparées, elle s’est légèrement écartée de moi, a posé sa main sur la bosse de mon pantalon et l’a caressée. Bon ça allait vite, mais au moins ses intentions étaient claires.


Je n’ai pas traîné à lui enlever la veste et la jupe de son tailleur, et j’ai découvert un magnifique ensemble culotte plus soutien-gorge en soie, à motifs floraux avec une paire de Dim-up. La soie était belle à regarder, et ultra douce à caresser, les doigts glissaient dessus tout seuls, et ses tétons réagissaient à fond à ça. Plus tard, elle m’a raconté comment, sachant qu’elle espérait elle aussi que cette visite dérape, elle avait choisi sa lingerie le matin en s’habillant. Elle avait attendu que son mec soit sous la douche pour choisir son ensemble préféré. Très excitée, elle s’était même très légèrement caressée, devenant humide en quelques secondes.


On n’a pas tardé à être nus tous les deux. Nous étions debout dans le hall d’entrée, les préliminaires n’ont guère duré, elle est venue s’empaler sur moi. La position est un peu acrobatique, mais avec la frénésie qui nous animait ça n’a guère duré. Elle et moi avons joui puissamment, ça a fait un boucan d’enfer, ça résonnait dans tout l’appartement, mais ce que c’était bon…


La tendresse, les mots doux que nous n’avions pas eus avant, nous les avons eus après. Elle m’a de nouveau gratifié de son baiser à mourir, j’aurais volontiers recommencé une nouvelle séance, mais elle était pressée, et s’est rapidement rhabillée.


On a échangé nos numéros. J’ai prié pour qu’on se rappelle, mais je sais bien que dans ce genre de rencontre on ne se rappelle pas. Sauf que là, si, on s’est revu. Régulièrement même, deux fois par semaine environ, parfois au restaurant, parfois pour une séance de jambes en l’air dans un de ces logements vacants que son agence cherchait à vendre. J’ai malheureusement compris rapidement qu’elle ne quitterait pas son copain pour moi, elle aimait notre relation telle qu’elle était, ne voulait pas aller plus loin. Pas une nuit avec moi, rien. Je ne suis jamais allé chez elle, elle n’est venue qu’une fois chez moi, pour voir comment c’était. Juste des séances mémorables, souvent précédées d’une visite en bonne et due forme de l’appartement. Et l’amour par terre, debout ; ou elle assise sur un élément de cuisine et moi debout devant elle. Il y avait aussi cet appartement avec une mezzanine, où l’un de nous s’asseyait dans l’escalier, et l’autre se plaçait quelques marches plus bas pour le régaler du bout de sa langue.


Et il y avait enfin cet appartement où notre relation a fini par basculer. Il était meublé, mais inoccupé, propriété d’un riche Libanais que nous avions surnommé (à tort) « le prince arabe », et qui n’y mettait jamais les pieds. Il avait donc décidé de le mettre en vente, et nous nous y étions retrouvés une ou deux fois, Aline et moi. On s’installait alors dans une curieuse chambre, où le lit était plus au moins au centre de la pièce, avec des miroirs aux murs. Ça avait un petit côté lupanar, ça nous amusait bien.


J’étais ce jour-là en train de donner du plaisir à Aline, la tête entre ses cuisses, quand je l’ai sentie d’un coup se crisper, se raidir. Je devais avoir les oreilles obstruées par se cuisses, je n’avais pas entendu la porte s’ouvrir. Mais quand le gars qui est entré s’est mis à hurler, alors là, j’ai bien tout entendu, et j’ai tout de suite compris. Le « prince arabe », il était là, à poil, vert de rage, hurlant. Il connaissait Aline, il a tout de suite tout compris, il écumait. Il nous a hurlé de sortir, nous a donné trois minutes pour déguerpir avant d’appeler les flics, a déclaré qu’il allait faire un scandale au boulot d’Aline, et est parti en claquant la porte.


Nous étions anéantis. Aline surtout. Si on s’en sortait sans problème judiciaire, ce qui était loin d’être évident, elle allait être virée avec pertes et fracas, et elle ne trouverait sans doute plus jamais de boulot dans le secteur. Or je savais comme son boulot était important pour elle. J’ai enfilé à la hâte mon caleçon et mon pantalon, j’ai dit à Aline : « Attends-moi, j’essaie d’arranger le coup… », et j’ai quitté la chambre à la recherche du propriétaire.


Il y avait une porte de chambre ouverte, j’y ai jeté un coup d’œil ; il y avait une fille sur le lit, et sa tenue et les accessoires à côté d’elle m’ont tout de suite fait penser à une professionnelle de l’amour. Mais là n’était pas la question, je cherchais le propriétaire, et il n’était pas dans la chambre en question, mais dans le couloir, assez curieusement contemplant un placard ouvert. Me voyant arriver il a refermé le placard. Il semblait s’être un peu calmé.


J’ai essayé de bredouiller des explications, carrément désordonnées :



J’ai essayé de lui baratiner que c’était de ma faute, moi client, ayant abusé d’Aline pendant la visite, qu’elle n’était pas d’accord, que j’étais responsable de tout, qu’il ne fallait pas la blâmer ni prévenir l’agence… J’étais crédible à 0 %. Il a fini par m’interrompre.



Il a rouvert le placard et m’a montré une vitre, dont j’ai tout de suite compris qu’il s’agissait de l’arrière d’un miroir sans tain qui donnait sur la chambre où Aline se morfondait sur le lit… On la voyait clairement, on ne peut plus clairement depuis là ou j’étais. Il a continué :



J’ai dit ni oui ni non, j’étais trop estomaqué, j’ai tourné les talons et j’ai rejoint Aline. Elle avait les yeux rouges. Je l’ai rejointe sur le lit, et je lui ai chuchoté :



Elle m’a regardée, dubitative.



J’ai essayé de la rassurer. Elle a simplement dit « Ok » et est venue se serrer contre moi. Elle m’a doucement câliné ; j’essayais au maximum d’oublier l’autre voyeur. Aline était douce, entreprenante, motivée… Elle avait sans doute elle aussi oublié l’autre. Elle m’a retiré mon pantalon et mon caleçon et a pris les choses en main, me faisant rapidement durcir. Elle a entrepris de me sucer, ce qui a achevé de me gonfler à bloc. Puis elle m’a simplement dit « Viens ! », s’est levée et s’est dirigée vers le miroir où l’autre nous observait. Elle a posé ses deux paumes sur le miroir. À écarté les jambes. Et s’est cambrée en me répétant :



J’étais un peu sidéré de son attitude. L’autre devait avoir une vue de premier choix (mais celle que j’avais était pas mal non plus). Je me suis approché d’elle, je me suis calé contre ses fesses. J’ai pris ses seins en main, ma tête sur son épaule, mordillant son oreille, mon sexe frôlant le sien. Elle répondait très bien à mes mouvements, ondulant du bassin pour sentir mon sexe se frotter contre le sien. Je l’ai pénétrée sans plus attendre.


Elle était ultra excitée, trempée, gémissant ou criant à mes mouvements. Comment pouvait-elle être désinhibée à ce point ? Oui, certes, c’était super bon ce qu’on faisait, mais il était là, à un mètre à peine de nous, de l’autre côté de la vitre, en train de nous regarder. À un moment, elle m’a demandé de m’arrêter, a extrait mon sexe d’elle, et s’est retournée vers moi :



J’ai étranglé un « Quoi ? » et elle a répété :



J’ai eu du mal à avaler ma salive, mais j’ai fini par obéir à Aline. Plus besoin d’enfiler un pantalon, il connaissait maintenant tout de mon anatomie. Je l’ai retrouvé devant le fameux placard, la « pute » agenouillée devant lui en train de s’activer sur son sexe.


Il s’est tourné vers moi, hurlant :



Je l’ai interrompu :



Il a éclaté de rire, et s’est tourné vers la fille à ses pieds en disant :



Ils ont éclaté de rire tous les deux.

Quand je suis rentré dans la pièce, suivi du prince arabe et de sa Malicia, Aline avait un petit sourire aux lèvres. Elle a installé un fauteuil dans l’axe du lit, et m’a chuchoté :



Lui s’est installé dans le fauteuil, sa Malicia s’est réinstallée devant lui, affairée sur son sexe. Aline m’a rejoint sur le lit, m’a fait m’installer sur le dos et a entrepris de me sucer.


Aline pouvait être très douée sur ce sujet-là… elle l’était particulièrement ce jour-là, regardant par moment le prince arabe droit dans les yeux, qui n’en perdait pas une miette. Puis elle s’est mise à quatre pattes face à lui, et m’a dit de venir la prendre en levrette.


Ça n’a pas forcément été la meilleure prestation de ma vie, mais je faisais ce que je pouvais pour monter au plus vite vers l’orgasme, mais avant que je l’atteigne, Aline a tourné sa tête vers moi, s’est dégagée, et m’a dit :



Je n’ai pas saisi immédiatement de quoi elle parlait, mais quand j’ai finalement compris, j’ai comme été pris d’un vertige… Aline savait très bien que la sodomie me répugnait, alors qu’elle était curieuse de la chose, voulait essayer. Je savais aussi que son mec officiel était comme moi, un peu dégoûté, et pas prêt à essayer, la laissant avec cette curiosité insatisfaite en elle. Mais de là à ce qu’elle demande ça à un quasi-inconnu… Et devant moi en plus…


Le « prince arabe », lui a très vite compris la situation, il était hilare, et Malicia aussi. Elle s’est approchée de Malicia, l’a questionnée.



Elle est sortie de la pièce, est vite revenue avec une capote et un pot de lubrifiant. Elle a vite préparé « le prince », lubrifiant soigneusement son sexe, avant de s’occuper d’Aline, caressant son sexe, puis glissant un puis deux doigts dans son petit trou, avant de glisser au « prince » :



Puis, se retournant vers moi, elle m’a poussé dans le fauteuil, m’annonçant qu’elle allait bien s’occuper de moi.


Elle a tenu parole, et j’ai donc vécu cette scène mémorable et a priori si inattendue, de voir Aline se faire déflorer son petit trou, pendant que Malicia me suçait consciencieusement. Aline ne semblait pas souffrir, le « prince » l’avait pénétrée très doucement, puis il avait accéléré, et se déchaînait comme lui avait conseillé Malicia. Aline gémissait, criait, bien plus intensément que quand nous faisions l’amour ensemble. Avait-elle mal ? Ou prenait-elle du plaisir ? Difficile à dire, mais elle paraissait excitée comme jamais je ne l’avais vue, accompagnant les mouvements du prince comme elle pouvait, l’encourageant de la voix, jusqu’à ce qu’il explose dans son cul, jouissant bruyamment. De mon côté, je n’ai pas tardé non plus à me répandre dans la bouche de Malicia, vite porté à l’orgasme par son talent incroyable de pipeuse.


Le « prince » est vite sorti du cul d’Aline, a retiré sa capote, nous a lancé :



Et il est sorti de la pièce avec Malicia. J’ai rejoint Aline sur le lit, l’ai embrassée, elle paraissait exténuée, effondrée, à bout de force. Je l’ai embrassée, prise dans mes bras, mais elle s’est vite dégagée, me disant : « Vite, il faut partir ». Nous nous sommes rhabillés, sommes sortis sans parler. J’ai essayé de la questionner dans l’escalier :



Mais elle n’avait plus la force d’en parler, elle m’a dit « On en rediscutera. », et on s’est séparés au pied de l’immeuble.


Je n’ai malheureusement pas pu revoir Aline dans les jours qui suivaient, partant en déplacement à l’étranger le soir même. Je n’ai échangé que quelques SMS et quelques mots au téléphone, mais elle a insisté pour venir à l’aéroport pour mon retour, ce qui n’est pas dans son habitude, en me disant :



Dans le taxi qui nous ramenait de l’aéroport, elle m’a dit, enthousiaste :