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n° 14252Fiche technique14777 caractères14777
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27/01/11
Résumé:  Un jeune malade guéri ne peut se résoudre au départ définitif de son infirmière dispensant les soins à domicile en dehors de ses heures de prières et de méditation.
Critères:  fh fagée jeunes religion intermast entreseins cunnilingu fsodo uro humour -totalsexe -h+medical
Auteur : Mimi  ( Religieuse âgée infirmière, soins à domicile, jeune patient)
Religieuse âgée, infirmière libérale

C’était une bonne sœur grassouillette, son visage était encadré par une fraise à la Henri IV, elle avait des joues pleines et lisses et son regard était sévère avec des petits yeux porcins. Sous son aube noire, on devinait des formes opulentes, elle paraissait large en raison de sa petite taille. Elle avait la réputation de ne pas être une marrante et de manquer de douceur dans les soins qu’elle dispensait à domicile, sur les ordonnances du médecin.


Depuis deux jours, elle passait me visiter pour me poser des ventouses, je me retrouvais seul avec elle et j’étais impressionné par son port et ses façons revêches. Elle remontait mon tricot et posait ses ampoules, puis elle retirait le tout avec dextérité et me commandait de me couvrir ; tout en redescendant mon tricot, j’avais noté que ses petits doigts boudinés frôlaient mon dos et s’attardaient un peu.


Son odeur d’encens, sa voix de maîtresse, ses gestes énergiques et ses habits religieux me faisaient un effet curieux, je pensais à la femelle qu’elle était malgré elle et ses odeurs intimes me chatouillaient les narines au point de provoquer sous les draps une réaction de mon pénis : heureusement qu’elle ne se rendait compte de rien, croyais-je ! Une fois la nonne partie, je regardais ma queue dressée et je me caressais violemment pour éjaculer comme une bête dans ma main.


Aujourd’hui elle est arrivée plus tôt, pour un examen complet car, dit-elle, j’étais guéri et elle devait s’assurer que tout était en ordre car elle ne reviendrait plus. Cette pensée m’attrista et je décidai de me plaindre pour lui faire reporter sa décision. J’avais noté son air grave, préoccupé, la sécheresse de son ordre quand elle m’avait demandé de m’asseoir dans mon lit et de quitter mon tricot de peau. J’avais frissonné de me retrouver torse nu devant elle et sous le froid du stéthoscope qu’elle promenait sur mon dos, je ne la voyais pas mais je sentais sa présence et son silence me faisait gamberger.


J’attendais que ses doigts me palpent, ils le firent, ils allèrent le long de ma colonne vertébrale, sournoisement, ma peau se hérissa tandis qu’elle ne pouvait l’ignorer et que ses « oui, oui, je vois » me laissaient perplexe. Elle me demanda, toujours fermement :



J’obéis à cet ordre délicieux et tandis qu’elle se penchait sur moi, assise au bord du lit, pour examiner ma langue, je sentais sa hanche contre mon torse. Je reluquais le plastron exagérément bombé par sa grosse poitrine, je me retenais de bander en m’affolant de mes pensées sacrilèges. Elle palpait maintenant mon torse sans douceur, je fermais les yeux à demi pour savourer ces palpations et je surpris dans son regard comme une fulgurance de lubricité. C’est le moment qu’elle choisit pour me pincer violemment un téton, je criai sous la douleur et elle, sans se démonter bien que rougissante, décréta :



Elle en profita pour me caresser maternellement la poitrine avant de me recouvrir, puis sa main s’attarda en une lente caresse sur ma joue. Peu désireux qu’elle mette ainsi fin à sa visite, j’émis une petite plainte, elle questionna sévère :



Son visage s’empourpra et ses yeux brillèrent d’un soudain éclat sauvage, ses mains ne furent pas longues à passer sous les draps, ses doigts commencèrent à palper mon abdomen sans douceur :



Je réagissais en secouant la tête négativement tout en lorgnant ses gros seins si proches. À un moment, je feignis de ressentir une douleur et je m’agrippai à sa cuisse ferme sous le tissu noir, mon sexe bandé frôla ses doigts. Alors, tout en rougissant, elle joua les pros en disant :



Ses doigts, sans en avoir l’air, par touches successives se rapprochaient de l’élastique de mon pantalon de pyjama et moi je me tortillais et je geignais chaque fois un peu plus fort, tout en serrant les chairs de sa cuisse sans qu’elle pense à se dégager. Elle appuyait par petites touches les côtés de mon triangle pubien tandis que ma bite se dressait. Elle frôla mes couilles pleines, puis mon chibre qu’elle caressa sans en avoir l’air à travers le tissu ; je gémis sous la tension électrique procurée, alors, cramoisie, elle se leva brusquement et se jeta sur le verrou qu’elle tourna vivement.


À nouveau assise près de moi, elle reprit ses palpations de médecin en se justifiant de son geste précédent :



Je rougis de voir ma verge dressée, avec son bout cramoisi. Les mains de la religieuse entourent mon membre et celle-ci, toujours aussi professionnelle, me demande :



Moi, dans un souffle je réponds :



À ces mots, je sens ses gros seins s’aplatir sur mon ventre et une douce chaleur envahit ma verge, la nonne a rugi et a enfourné ma bite dans sa bouche, aux lèvres jusqu’alors pincées et que maintenant je sens ourlées et gonflées sur mon gland. Elles vont et viennent sur mon chibre enduit de salive, ma main fourrage sous la robe sans que la nonne se rebiffe ; au contraire, je sens les grosses cuisses qui s’écartent, je palpe les bas grossiers et je trouve bientôt la chair dénudée en haut de leur couture. La peau est chaude et douce et molle.


J’entends la suceuse qui geint, la bouche pleine. Elle s’agenouille sur le lit, fesses tendues vers mon visage, sans abandonner sa profonde caresse buccale. Elle se raidit quand un de mes doigts s’insère derrière le tissu de sa culotte, frôle son con inondé puis rentre entre les lèvres de son vagin. Ma phalange doigte doucement, j’ai peur de la dépuceler. Je regarde ce gros cul, caché sous la robe, onduler lentement au rythme des pompages que la femelle enturbannée fait subir à mon vit. Elle accélère quand je relève sa robe sur son dos pour mieux voir mon doigt qui entre et sort de cette fente rose et luisante, avec ce slip mouillé, ces poils englués et ces grosses fesses gélatineuses animées d’un mouvement obscène.


Après quelques minutes, je sens que je ne peux plus résister à la langue qui rampe le long de ma hampe, mon foutre part en saccades dans une bouche avide qui avale avec gourmandise tandis que je force, avec un autre doigt, cet œil aveugle situé au fond du sillon profond des grosses fesses, provoquant un redoublement du pompage.



La grosse religieuse confuse veut maintenant s’échapper, je la retiens fermement. J’agrippe le haut de sa robe sous son plastron et je fais sauter toutes ses pressions ; sa poitrine opulente écrasée par un soutien-gorge apparaît, blanche et grasse. J’extrais les lourdes mamelles une à une de leur gros bonnet. Les aréoles sont larges et sombres. Je jette ma bouche avide dessus, je lèche, je mords, je suce les gros bouts qui pointent tandis que la nonne guide ma tête de ses mains potelées et gémit comme une mère sous les succions de son nourrisson.


Les globes bien enduits de salive accueillent maintenant ma queue qui va-et-vient entre ces masses de graisse. Chaque fois qu’elle en émerge, la bouche de la femme en cornette l’enduit de salive, la glissade est délicieuse. La nonne introduit une main entre ses grosses cuisses et se masturbe ; ma bite s’énerve de la suavité des frottements et gicle à la face auréolée de gaufrette blanche. Je pousse des « hum ! » de satisfaction tandis que la religieuse se fiche tout un doigt dans le con et se tétanise sous l’orgasme violent qu’elle vient de se procurer.


Le calme revenu pour un temps, j’entreprends de dénuder mon infirmière de son uniforme noir et ce, entièrement, pour mieux apprécier cette masse de chair au ventre impressionnant, aux mamelles lourdes, aux cuisses courtes et rondes. J’écarte ces dernières et je me jette comme un chiot sur sa gamelle ; je bouffe cette chatte avec rage, je fais pénétrer ma langue dans les plis du con. La grosse se tortille à chaque léchage lent et précis, j’aime sentir cette pression qui monte peu à peu. Je m’arrête pour provoquer le manque intolérable dans cette montée chromatique ; je reprends le parcours de ma langue baveuse, les grosses cuisses tremblent puis font les mâchoires d’un étau géant compressant ma tête.


La nonne grassouillette jute violemment, je lèche ce suc qui barbouille mon nez, mes joues. Je reprends mon souffle, puis je présente mon mandrin bien irrigué de sang à l’entrée de ce vagin sacré ; je rentre doucement à l’intérieur, je sens sous moi l’accueil généreux de la vulve qui s’offre, alors je pistonne à grands coups cet antre avide, de plus en plus sauvage au fur et à mesure que la nonne réclame de plus en plus fort en vagissant :



Elle a la voix rauque d’un démon quand elle se laisse aller à des paroles obscènes :



Sa vulve palpite sur mon chibre, j’éjacule sans fin tandis qu’elle s’empare sauvagement de ma bouche et accueille ma langue avec voracité.


Couché près d’elle, toujours affublée de son auréole gaufrée blanche, à l’image d’une icône, sans notion du temps passé, je caresse ses seins lourds effondrés, je flatte son gros cul, j’explore ses sillons intimes, je pince, je mords ces chairs flasques et apaisées. Mes doigts s’évertuent à faire naître des frissons, ça y est la femelle se réveille, je la fais mettre à genoux pour mieux admirer ses lourdes mamelles pendantes, son cul large et rebondi, je me place derrière elle, je lèche son anus, elle glapit et s’insurge :



Moi, énervé par tant d’hypocrisie, je lui saisis fermement les hanches et je deviens vulgaire :



Pour la mater, je la fesse à grandes claques sonores, elle se redresse comme une furie et nous luttons corps mêlés et suants dans les draps froissés. J’adore ses coups de nichons quand elle me domine ; je jouis de ses cuisses chaudes qui m’emprisonnent quand je me retrouve sur elle et qu’elle m’insulte, yeux fous au milieu de sa collerette cabossée qui bientôt vole et laisse apparaître son crâne rasé. Je l’embrasse à pleine bouche tout en la pelotant, alors elle fond et se rend :



J’insiste :



À ces mots, elle tend sa croupe en arrière, campée sur ses genoux ronds, je m’ajuste à sa rosette, elle frémit de peur et d’envie, je la fais languir et lui indique, pervers :



Je crache ma salive sur mon gland et j’excite sa rondelle par des petits mouvements, elle frissonne et dit :



J’enfonce lentement l’orifice fermé. Elle se crispe, une grosse baffe sur son cul la détend, mon chibre s’enfonce dans la motte, je la pénètre jusqu’aux couilles. Elle finit par pousser un « ah ! » de satisfaction puis des :



C’est maintenant son gros fessier qui vient à la rencontre de mon pal tandis que, de ma main droite, je lui astique le clitoris démesurément allongé. Je branle ce petit bout de chair, je le pince, je sens la nonne qui monte en puissance, sa chatte jute à flots tandis que son boyau lustre ma pine comme le ferait un fourreau en poils de loutre humides et gluants et chauds.


Sous mes coups de bassin, ses gros seins s’agitent dans tous les sens, elle hurle à la lune, tête rejetée en arrière. Cette femelle m’inspire, je caresse ce crâne rond et lisse puis mes mains empoignent les épaules grasses de chaque côté du cou blanc, large et court et tirent dessus à chaque pilonnage. Du trot, je passe bientôt au galop, mon membre enfle et enfle encore ; je veux qu’elle m’énerve par des mots de soumission, elle comprend et y va de ses :



Je pénètre avec force ces fesses monstrueuses. Chacun des cris de la femelle en chaleur me fait augmenter en bestialité, ses odeurs de femme en chaleur provoquent mes narines, j’inonde bientôt son fondement de sperme chaud tandis que sa chatte gicle sous mes doigts ; elle jute puis pisse en un jet puissant et chaud bouillant. Elle tombe sur le dos, haletante et cramoisie, alors à mon tour, la queue dans la main je l’arrose d’un jet blond sur ses seins, puis dans la bouche qu’elle ouvre avec gourmandise pour me boire.


Nous resterons longtemps enlacés, insatiables de la tiédeur de nos corps puis… mon réveil, seul dans ce lit trempé qui atteste que je n’ai pas rêvé.


Le lendemain, je la croiserai, sévère, aux côtés du curé maigre et sans soupçon, je remarquerai juste au fond de la pupille de la nonne une petite lueur égrillarde que j’interpréterai comme un désir de retrouvailles futures, à moins qu’elle ne me fasse comprendre que je ne suis pas le premier, ni le dernier, à recevoir de tels soins de sa part.