Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14265Fiche technique31322 caractères31322
Temps de lecture estimé : 19 mn
05/02/11
Résumé:  Il y en a une que la lecture du Jeu de la Statue a motivée ! Lisez plutôt...
Critères:  fh collègues travail cérébral revede voir noculotte fmast fellation cunnilingu pénétratio attache -totalsexe
Auteur : Dark Vador  (La robe est noire, mais la plume est blanche.)            Envoi mini-message
Une conséquence du Jeu de la Statue

Avertissement au lecteur. Pour bien entrer dans ce texte, il vaudrait mieux connaître les règles du Jeu de la Statue, qui fit l’objet d’une publication sur Revebebe sous le n° 14147.


On peut néanmoins entrer directement dans ce récit. La règle du jeu est simple. Le sculpteur modèle la statue à sa guise avec les outils dont il dispose : mains, doigts, langue… Par définition, la statue doit rester immobile, Le sculpteur doit la faire craquer le plus rapidement possible, la statue doit tenir le plus longtemps possible.


Une jeune amie, à qui j’avais fait lire « Le Jeu de la Statue » en précisant que j’en étais l’auteur, a été enthousiasmée et m’a commandé la rédaction d’une histoire taillée sur mesure, écrite spécialement pour elle. Pour la petite histoire, elle a également manifesté l’intention d’y jouer avec un collègue de bureau. (Voyons ! Est-ce qu’on fait ça, au travail ?..)



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Le mail que je reçois d’un vieil ami, ce matin vers 9 h 30 au bureau, attire illico mon attention et me surprend. Un seul mot :



En fait, ce n’est pas le mail qui me surprend, c’est surtout la pièce-jointe qui s’intitule Le Jeu de la Statue. Comme je dispose enfin d’un petit battement, après un démarrage en trombe dans cette journée de boulot, j’ouvre le fichier et me plonge dans sa lecture. En diagonale, d’abord, puis d’un œil de plus en plus attentif. Le contenu m’électrise au fur et à mesure de la lecture. Je sens comme une chaleur monter et envahir mon corps, ma main…


Arrivée au terme, je décide de ne pas garder ce bonheur sous le coude. Je veux le faire partager, je veux recueillir un avis, une manière de prolonger mon émoi. Il me vient immédiatement à l’esprit ce nouveau collègue, un beau spécimen de mâle arrivé dans le service depuis quelques jours et qui m’a tout de suite manifesté beaucoup d’intérêt. Et qui est si gentil et si prévenant avec moi, et qui ne me laisse pas indifférente du tout. Oserai-je ? Je me jette à l’eau, par mail, en interne.


Moi. Dis-moi ce que tu penses de ça. Je viens de recevoir cette pièce-jointe d’un ami. Je serais curieuse d’avoir ton opinion.


Le retour se fait un peu attendre, avec un mot d’excuse pour le retard dû à une tâche à terminer et au temps de lecture.


Lui. Puis-je parler librement, sans risque de te choquer ?


Moi. . Ben oui ! Tu ne t’es pas non plus privé de me zieuter librement depuis que tu es parmi nous, et sans que cela me choque. Vas-y, lâche-toi !


Lui. Je note avec satisfaction que de te zieuter ne t’a pas offensée. Même que ça t’aurais plu ? Bon : j’ai bien lu ton texte, et le contenu m’a emballé. J’aimerais bien jouer à ce jeu. Je me sens brusquement une vocation de sculpteur…


Moi. Ça te botterait ? Et tu verrais qui, comme statue ?


Lui. Toi !


Moi. Moi ? Et pourquoi moi, justement ?


Lui. Je peux ? Tu maintiens que je peux te parler librement ?


Moi. Mais oui, bien sûr, je ne suis ni une gourde ni une nonne, ni une conne !


Lui. Eh bien, parce que tu me fais fantasmer depuis que je suis ici. Je t’ai tout de suite repérée. T’es une belle plante, t’es bien foutue, t’as des seins qui me rendent malade, et tu dois avoir un cul de rêve. En plus, t’es vachement sympa et tu m’as même l’air un peu délurée. J’ai bien répondu ?


Moi. J’accepte volontiers tes réponses. Mais c’est juste parce que j’ai l’air sympa que tu voudrais jouer à la statue avec moi ?


Lui. Hypocrite ! C’est surtout pour vérifier si tu l’es effectivement, délurée.


Moi. Mais comment pourrais-tu le vérifier, si je reste impassible, comme la statue doit le rester ?


Lui. Rien qu’en acceptant de jouer, tu sais que je me permettrai des gestes indécents. Ne me dis pas, alors, que tu n’es pas délurée… Et quant à rester impassible ? Toi ? Impossible !


Moi. Qu’est-ce que t’en sais ? Et comment tu t’y prendrais avec la statue, pour la forcer à réagir ?


Lui. Avec les mains, les doigts, avec la langue !


Moi. Moi réagir parce que toi agir ? Vantard ! Et tu agirais où ? Dis-moi vite !


Lui. Où ? Ton visage, le lobe de tes oreilles, la nuque, le dos, les reins, les hanches, tes seins, tes mamelons ton ventre. Mais je n’ai plus le temps de descendre plus bas, j’ai du boulot qui vient de m’arriver. On en reparlera à la pause de midi.


Je relève la tête et respire profondément. Une irrépressible envie de me caresser m’envahit. Cuisante frustration : au boulot c’est quasi impossible. Je ferme les yeux, J’imagine sa verge, dressée sous mes yeux, à portée de ma bouche. Le salaud m’a excitée à mort. Ma langue humecte mes lèvres. Un saut aux toilettes ? Je n’ai pas le temps d’en décider. Un toc-toc discret, une porte qui s’ouvre, et mon chef de service qui dépose sur son bureau un épais dossier. Je me plonge alors dans le travail en jetant de temps en temps un coup d’œil à la pendule au mur.


Toc-toc. La porte s’ouvre à nouveau. C’est lui. Lui ! Il s’approche de mon bureau en gardant une attitude toute professionnelle et pose une chemise sur le plan de travail :



Et, ce faisant, pour mieux me la montrer, il vient se placer à côté de mon siège, se penche alors vers moi et me susurre à l’oreille :



Puis il empaume un sein, m’effleure fugacement le mamelon, puis se redresse.



Il quitte alors le bureau sans un mot. J’en reste pétrifiée, les joues et le ventre en feu.



°°°°°°°°°°°°°°°°°°




La pause de midi. La plupart des collègues ont quitté les lieux. Je lui maile. Il ne répond pas. Je me sens abandonnée. Et j’ai plein de pensées torrides qui bouillonnent dans mon esprit.

J’imagine ses mains qui me déshabillent, ses doigts, ses lèvres sur mes mamelons, ses… Faut que j’arrête, sinon je deviens folle. Je me jette sur mon sandwich et décide ensuite de me noyer dans le boulot. Pour oublier. Ce n’est pas d’une pause dont j’ai besoin, mais de fuir des images qui m’obsèdent.


Je me plonge dans le dossier Malah pour le terminer. Mais c’est ressusciter sa présence à côté de moi, son souffle près de mon visage, sa main qui se pose sur ma poitrine… ses doigts sur le mamelon. Seule solution : la fuite ! Je décide d’aller aux archives, en sous-sol. J’avais décidé depuis longtemps de ranger celles de mon service.


Je suis plongée dans les cartons depuis un moment lorsque la porte s’ouvre brusquement. La surprise me fige. Et mon cœur s’arrête de battre. De saisissement, je laisse tomber les trois classeurs que je serrais contre moi. Encore lui ! Il est là, il est beau, il…



Il s’approche de moi :



Il pose ses mains sur mes épaules et me repousse jusqu’au seuil de l’autre pièce. Je ne résiste pas, je suis comme hypnotisée et je sens d’emblée qu’il pourra faire de moi ce qu’il veut. Et mon mauvais démon qui me murmure : « Oui, mais ce qu’il veut, c’est aussi ce que tu veux toi… ! »


Il saisit mes mains et les pose sur le chambranle. Puis m’annonce :



Il prend mon visage entre ses mains et plante son regard dans le mien. Je fonds.



Il approche son visage du mien et me murmure :



Il me caresse d’abord la nuque, puis passe à mes seins. Il les pétrit longuement avant d’agacer mes mamelons en les roulant entre ses doigts. Ma fièvre monte en flèche, je me force à ne rien laisser paraître. Ses mains entourent ensuite ma taille et descendent sur les hanches puis glissent le long de l’extérieur de mes cuisses, il s’accroupit et descend jusqu’aux chevilles. Mais j’anticipe déjà, je sais ce qui va suivre… Je ferme un moment les yeux lorsqu’enfin elles remontent. Elles s’arrêtent à mi-cuisses pour agripper la jupe étroite qu’il tire lentement vers le haut. Il la rabat sur mon ventre et mes reins. Il s’arrête un moment pour admirer le tableau de sa victime, offerte en slip à son regard.



Je ne réponds pas, je ne pourrais parler. Je ne crois pas que j’aurais encore de la voix, tant j’ai la gorge nouée. Je n’ai plus qu’à me laisser faire, mais je ne veux ni moufter ni bouger ! Il ne m’aura pas si facilement.



Sa voix est douce et veloutée ! Bien sûr, crétin, que j’aime quand un homme m’enlève le slip. Quelle femme n’aimerait pas ! Qu’est-ce que tu attends ! Eh bien non ! Monsieur fait durer le plaisir. Il me caresse le bombé de la chatte, et salaud de salaud, me pince les lèvres à travers le sous-vêtement pour coincer mon clito et le rouler entre ses doigts. Ça, c’est redoutable ! C’est horrible ! J’ai un mouvement involontaire de bassin.



Il accélère encore le mouvement de ses doigts. Je veux serrer les cuisses, il me les maintient ouvertes. C’est fou, c’est trop bon. Noooooon ! Non ! Pas céder ! Il faut que je tienne ! Que je tieeeeenne ! Je sens que de l’humidité dans ma culotte. Il s’en aperçoit aussi.



Alors, le salaud me tire lentement le slip vers le bas et me l’enlève complètement. Il le hume longuement.



Puis son regard se fixe, il prend son temps pour contempler. Je suis toujours fixée au chambranle.



J’en suis effrayée. Si on le remarque, au bureau ? J’ai peur que tout le monde me regarde, cet après-midi, comme si chacun savait.



Ah le salaud ! Qu’est-ce qu’il sait y faire, qu’est-ce que c’est bon ! Du bout des doigts, savamment, par mouvement circulaires sur le clito, ou par titillements rapides avec le bout du majeur, la main retournée. Mais j’arrive toujours encore à me contenir, j’y mets un point d’honneur… tout en n’y croyant plus. Mais faire durer le supplice, c’est encore faire durer le plaisir. Encore ! En… core ! Oh, mais que fait-il ? Il va pas… ? Si !

Il se met à genoux et approche sa bouche. Ses lèvres sur ma chatte, sa langue qui glisse sur la fente puis s’attaque au clito. Je deviens folle, je vais… je vais craquer ! Tant pis si je perds mais surtout, qu’ensuite, il me mette son dard, qu’il m’explose… qu’il…


Horreur ! La sonnerie de mon portable ! Impossible d’y couper, trop important. C’est mon médecin, comme convenu, pour les résultats de l’analyse. Je l’avais oublié, celui-là…


Et, forcément, le jeu s’arrête net. Je prends le portable, ça ne dure pas longtemps. J’apprends que tout est OK pour les analyses, mais le toubib me fixe quand même un rendez-vous.


Mon sculpteur s’est redressé. Il attend la fin de la communication puis me montre ma culotte.



Je n’ai pas la force, ni l’envie de protester. L’après-midi, c’est l’horreur. J’ai l’impression que tout le monde est de connivence, que tout le monde me guette. Je serre mes jambes, comme pour cacher. Mais pas seulement pour cacher, je dois bien l’avouer… Je coince ainsi mon sexe entre mes cuisses et roule mes lèvres l’une contre l’autre en frottant mes genoux entre eux. Une abondance d’images défile dans ma tête, avec plein de rappels de sensations. Je revis la scène du midi. Ses mains qui m’ont empaumé les seins, et agacé les pointes, qui englobent mes cuisses, remontent la jupe et m’enlèvent le slip. Son regard émerveillé pour ma chatte, puis ses doigts… ses doigts qui caressent, qui suivent ma fente et attaquent mon clito. Ce qu’il me faudrait maintenant, illico, c’est une queue, une énorme queue bien dure que je suce d’abord, qui me pénètre ensuite et me pistonne à mort. Je la vois, je l’imagine, je la sens qui m’explose le ventre, j’imagine la giclée de sperme…


Et je ne peux même pas m’absenter pour aller aux toilettes me… soulager. Il y a trop de boulot, il y trop de collègues alentours. Je sens la mouille qui imprègne l’intérieur de mes cuisses. Sur mon siège, l’incendie, le volcan.

L’après-midi est horrible, mais il finit par passer. Je quitte parmi les derniers et passe encore aux toilettes pour enfiler le slip que j’ai toujours en réserve. Je ne veux pas rentrer dénudée, il y a encore les courses à faire. Et puis, il fait froid.


Viendra-t-il, ce soir ? Je le crains et… je l’espère.


Je suis rentrée un peu en retard. J’ai rangé les courses, et remis un minimum d’ordre dans la maison. J’ai l’estomac qui crie famine. Je mange tranquillement à la cuisine, en prenant mon temps. L’horloge indique 20 heures passées. Je repense à lui et me dis que pour ce soir, c’est râpé. C’est trop tard pour un homme marié, ce créneau horaire ne s’y prête plus.


Je passe à la chambre à coucher et me soulage partiellement de mes vêtements. J’enfile une chaude robe de chambre sous laquelle je ne garde que mon slip et mon soutien-gorge. Je reviens au salon et m’affale dans le canapé. J’ai les pieds sur la table basse. Après toutes ces émotions de la journée, et sans espoir qu’il se pointe encore, j’ai besoin de calme, d’un moment de repos. Je n’ai pas envie de télé alors je reprends la lecture du bouquin que j’ai commencé la semaine dernière. Impossible pour mon esprit de suivre la lecture, mon esprit est ailleurs… Pas difficile de deviner où.


Je me repasse le film. Son irruption dans les archives, sa façon virile de me mettre le grappin dessus, de m’immobiliser, de prendre possession de mes seins, comme si j’étais sa chose, comme si j’étais son objet… Sa manière de descendre jusqu’à mes chevilles puis de revenir pour remonter ma jupe. Les gestes assurés avec lesquels il m’enlève le slip. Ces doigts sur ma chatte… et surtout, et surtout sa bouche qui se pose sur mon sexe, sa langue qui attaque mon clito. Et ce couillon de téléphone qui vient tout gâcher… Au fil de mes pensées, ma main s’est glissée vers mon ventre, mes doigts ont passé sous l’élastique et attaquent ma fente et mon bouton. Je suis déjà débordante. Tant de mouille et pas de queue ! De rage, j’enlève mon slip. Je glisse un peu vers le bord du fauteuil et j’ouvre largement les cuisses. Je vais pouvoir me caresser dans le confort absolu. Ma main revient à ma chatte, mes doigts trouvent immédiatement le bouton durci. Oh putain que c’est bon !


Et… Et… Zut ! Le téléphone !

Non ! Mais non ! C’est la sonnette ! Lui ? Je me lève d’un bond et me précipite. J’ouvre grand la porte d’entrée. Sa silhouette sombre se découpe dans les lumières de la rue. C’est bien lui. Mon cœur bat à tout rompre. Je suis comme pétrifiée. Il ne me laisse pas le temps de réagir. Il me repousse sans un mot et claque la porte avec son talon. Ses mains sont sur mes épaules qu’elles tiennent fermement. Je n’ai d’autre choix que de me laisser faire. Il me pousse vers le salon. Je vois son regard descendre vers ma main gauche et je réalise que je n’ai pas lâché ma petite culotte. Il la prend, la hume longuement, comme à midi. Puis son regard se plante dans le mien.



Il me fixe les mains de part et d’autre de l’encadrement de la porte puis ouvre largement mon peignoir.



Il m’enlève le peignoir, et se colle contre moi, passe ses mains dans mon dos et me défait l’attache. Son corps et collé mien et je sens sa queue dure contre mon pubis. Involontairement, je pousse mon bassin. Il s’écarte, le soutien-gorge rejoint le peignoir au sol.



Et je vois et je sens ses mains partir à l’exploration de mon corps. J’essaie de rester droite, de ne pas bouger, toujours avec cette idée de le narguer le plus longtemps possible afin d’exacerber mon propre désir. Aucune parcelle de peau n’est épargnée. Je frémis lorsque son doigt passe dans mon pli fessier. Je frémis lorsqu’il attaque mes seins, mes tétons, mon ventre, puis mon clito. Il s’arrête une seconde, approche ses lèvres de mon oreille et murmure :



Il se met à genoux devant moi, sa tête se rapproche de mon pubis.



Sa bouche se pose sur ma chatte, sa langue monte et descend sur mes lèvres. Il les écarte avec ses doigts. Sa langue, enfin, attaque mon clito. J’en suis électrocutée. C’est bon, c’est incroyablement bon. Rarement une minette ne m’a fait autant d’effet. Je frémis, j’essaie de toutes mes forces de me contenir, je dérape, je m’envole. Le salaud ! Quelle adresse ! La langue opère des mouvements circulaires, ou alors elle alterne et, de son extrémité, juste du bout, me titille à toute vitesse, ou encore, s’introduit dans mon vagin comme un sublime piston avant de revenir au clito. Je sens que je vais exploser et cela ne saurait tarder, car il fait pire : il introduit deux doigts dans ma chatte et débute un va-et-vient diabolique, de concert avec sa langue qui continue son travail de sape.


C’est trop, un jet de mouille lui inonde le menton tandis que je pousse un hurlement. Je jouis avec l’intensité de la dernière des filles de rien, ma vulve est prise de spasmes, mes mains quittent le chambranle, je m’effondre sur lui, je jappe de bonheur.


Il se relève et me relève en même temps. Je dois avoir l’air hagard, perdue dans un brouillard de délices. J’ai l’esprit explosé, je ne suis plus qu’un immense plaisir. Il me prend le visage entre ses mains.



Qu’il est bon de perdre ! Je le guide à reculons, comme une somnambule, je n’ai plus aucune volonté.


Il me précipite sur le lit. Je reste sur le dos tandis qu’il enlève ses vêtements en vitesse, sauf le boxer. Il vient me rejoindre, et me saisit les cheveux derrière la tête. J’ai compris ; ce qu’il veut, je le veux aussi. Il me guide la tête vers son ventre. Mes mains l’ont précédé. Elles passent sous l’élastique de son dernier vêtement et s’emparent de sa queue pour la sortir au grand jour. Elle est tendue à mort, dure comme du béton. Elle jaillit, elle se dresse. J’en suis ébahie et émerveillée. C’est l’une des plus grosses que j’ai jamais vues. Mon esprit s’envole devant un tel jouet.



Inutile de donner cet ordre-là. J’adore sucer et je sais comment faire avec une bite en bouche. Il me tient toujours derrière la tête en la forçant vers la tige dressée que je tiens d’une main tandis que l’autre empaume ses couilles. Je commence par agacer le gland avec le bout de la langue puis je poursuis cette caresse le long de la hampe tout en massant délicatement les deux bijoux ovales. Je pratique quelques va-et-vient puis mes lèvres s’emparent du gland. Cette bite est vraiment énorme, je ne sais pas si j’arriverai à l’emboucher en entier, mais elle m’enthousiasme et je me sens prête à tout. Ma bouche descend lentement sur la hampe et s’enfonce profondément. Je n’arrive pas au bout, cette bite est délicieusement trop longue. Je l’imagine dans la chatte et je sens une chaleur de mouille… Je remonte pour ne garder que le gland en bouche. Ma langue opère des mouvements circulaires autour du cylindre de chair. Puis je redescends, remonte, redescends. Je savoure les yeux fermés. Que c’est bon !


Je change de position en faveur de la levrette. À genoux, la bouche soudée à la bite, je pistonne. Sa main lâche mes cheveux et me caresse la nuque et le haut du dos. L’autre main joue avec mes seins, les soupèse, les flatte, les empaume à tour de rôle, tandis qu’il me roule les pointes entre ses doigts. Elles durcissent à exploser. L’excitation me fait accélérer le mouvement. Je gémis la bouche pleine. Mes pensées sont collées à ce bambou dur et tendre comme du caoutchouc. J’anticipe déjà : me faire défoncer la chatte par ça, le rêve !

La main qui me caresse le dos passe entre mon ventre et le matelas. Elle atteint l’entrejambes. Le salaud, il sait y faire ! Son index trouve ma fente et s’acharne sur le clito.



La remarque me fouette la libido. Je pompe encore plus vite. Son doigt m’électrise, mes cuisses sont parcourues de tressaillements incontrôlables, mon rectum et ma vulve sont pris de spasmes rapides, je gémis encore plus fort mais je continue à aller et venir avec célérité sur le gigantesque mandrin. Je le sens se contracter. Lui aussi doit être au bord de l’explosion. Je n’aime pas prendre la giclée en bouche, et je me retire juste à temps. Il pousse un grognement. Le liquide chaud et crémeux se répand sur mon menton, ma gorge et mes seins. Il me remet sur le dos et étale le sperme sur ma poitrine et sur mon ventre.



Je ne dis rien. Il s’est couché sur le dos, le mat fièrement dressé. Mon rêve va se réaliser : cette queue… cette bite qui me rend folle ! J’enfourche le sculpteur en la tenant pour présenter le gland à l’entrée de mes lèvres trempées et, petit à petit, je descends en m’empalant.


C’est encore meilleur qu’en bouche. J’ai l’impression que ce membre est trop volumineux pour ma chatte. Je crains qu’il ne m’éclate le ventre et pourtant c’est plus fort que moi, je pousse jusqu’au bout, au plus profond, je le veux en entier. J’écarte encore les cuisses, et m’enfonce plus avant. Je dois être au bord de la rupture et pourtant non, j’y arrive, j’y suis ! C’est fabuleux ! Oh que c’est boooon ! Je remonte lentement puis redescend avec précaution. Une fois, deux fois, trois fois. La sensation est indescriptible. Mon vagin commence à s’habituer, à se dilater. Maintenant j’accélère le mouvement puis en change. J’en viens à donner des coups de boutoir en tapant mon bassin contre la queue qui me crucifie.



Je deviens folle. Je redouble de frénésie, je veux m’anéantir contre cette queue.



Je m’exécute en revenant au va-et-vient sur la hampe. D’une main j’écarte mes lèvres, de l’autre je titille mon clito à toute vitesse. Lui, me caresse le visage, m’introduit deux doigts en bouche, me les fait sucer, puis revient à la pointe de mes seins qu’il roule avec ses doigts humides. C’est trop, c’est trop à la fois ! Je sens les spasmes de mon anus et de ma vulve qui s’affolent, que je ne maîtrise plus. C’est l’explosion. Je jouis brusquement, en hurlant, complètement tétanisée. Un plaisir comme un tsunami, qui me déborde et m’emporte.


Je m’effondre sur lui, son mandrin de granit encore dans ma chatte. Il me roule sur le côté, se retire et me place en levrette. Il passe derrière moi et m’agrippe aux hanches. J’en suis encore aux émotions de l’orgasme quand je sens d’abord son gland buter contre ma chatte puis sa bite surdimensionnée me pénétrer d’un seul coup, jusqu’au bout, avec un « han » de bûcheron. Son ventre vient frapper mes fesses. Puis c’est la cadence infernale. Mon front vient s’appuyer sur le matelas, mes mains se crispent sur le drap. Je sens mon visage se crisper de plaisir et je gémis à chaque coup de bite. Fabuleux ! Le salaud me défonce comme une poupée de chiffon, sa brutalité multiplie d’autant mon plaisir qui gonfle, qui enfle, qui éclate en un nouvel orgasme feu d’artifice. Jamais je n’avais joui à intervalles aussi rapprochés. Je m’affale sur le ventre, j’ai l’esprit en compote, je continue à gémir…



Il me retourne sur le dos, m’écarte un peu les cuisses et relève mes genoux contre mes épaules puis m’enserre de ses deux bras. Je suis littéralement plaquée, coincée à en étouffer entre le matelas et lui. Là, je ne peux plus rien, je suis sa chose, ma chatte trempée est le jouet de sa queue. J’attends le supplice avec délice. Il me pénètre avec une brutalité inouïe, mais je ne ressens aucune douceur, sinon un plaisir divin.



Et il se déchaîne en me pistonnant à mort.



Je hurle sans retenue. Il me regarde droit dans les yeux :



Il accélère encore et d’un coup se contracte, m’étouffant entre ses bras. Je sens la giclée qui m’inonde les entrailles, des jets rageurs qui me projettent au septième ciel. Je perds la notion des choses. Je ne suis plus qu’une chatte avide de bite et de sperme qui vient de connaître la félicité absolue.


Il se retire en me caressant et me sourit :



Et sa tête s’engouffre entre mes cuisses…