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Temps de lecture estimé : 14 mn
14/02/11
corrigé 12/06/21
Résumé:  Mon initiation à la soumission et à l'exhibition.
Critères:  fh extracon médical fépilée caférestau voiture fsoumise exhib rasage fgode fsodo confession -initfh
Auteur : Yonidouce            Envoi mini-message

Série : Mon ami gynéco

Chapitre 02 / 02
Mon ami gynéco - 2

Résumé de la première partie : Après quinze ans et plusieurs déménagements, je découvre que mon nouveau gynéco est un ami de lycée dont j’étais amoureuse. Bien qu’il m’ait snobée lors de la première visite, la seconde est l’objet de retrouvailles très chaleureuses !

Au terme de cette seconde visite mon gynéco a repris une attitude plus professionnelle et beaucoup plus froide. Il retourna à son bureau et prit quelques notes. Il me fixa d’autorité un prochain rendez-vous pour le mois suivant, à la même heure et dans les mêmes conditions.




Les semaines passèrent et ma passion pour cet amour de jeunesse grandissait sans cesse. Je me fis belle pour ce rendez-vous et arrivai très impatiente et franchement fébrile au rendez-vous fixé. La secrétaire me fit patienter. Il y avait une toute jeune femme avant moi, très jolie. Je me découvrais jalouse. Mais je me rassurais : j’étais habillée sexy avec une petite robe d’été courte et légère qui mettait en valeur mes longues jambes (j’en suis très fière…). On verra !


La jeune femme est invitée à entrer. J’attends seule, impatiente. Je me refais le film de notre première aventure. Je repense à son sexe, je me souviens de sa chaleur, de son odeur, du parfum envoûtant de sa liqueur coulant dans ma bouche. Rien que d’y penser, mon cœur s’enflamme, s’emballe. Mon intimité aussi s’émeut, je me sens humide, prête à le recevoir…

Son assistante m’appelle enfin. J’ai tellement envie de lui que j’espère qu’il va me sauter dessus comme un adolescent… mais c’est le toubib qui me reçoit, assez froidement. Sa seule concession est un tutoiement poli :



Et pendant qu’il consulte son écran, je me déshabille. Ma robe tombe. Je reste un instant en sous-vêtements afin qu’il puisse apprécier l’érotisme de la situation : « une leçon de séduction » avait dit la pub !

Il lève son regard sur moi, me sourit et lance un :



Je les retire et m’installe sur le fauteuil. Il se lève, s’approche de moi et, à peine son regard posé sur la courte toison blonde de mon pubis, se raidit, visiblement contrarié et s’emporte :



Je n’ai pas eu le temps de comprendre sa réaction qu’il me tend ma robe et ajoute :



Je reste interdite. Je ne comprends pas vraiment ce qui m’arrive mais sa voix, ses mots, le ton qu’il a employé, la fascination qu’il m’impose… Obéissante, je me lève, prends ma robe et m’avance vers mes sous-vêtements…



À la fois surprise et fascinée, je ne me sens pas capable de réagir. Je fais comme il me demande.


Il y a une heure, je me trouvais sexy avec cette petite robe et ces dessous coquins. Là, je me sens nue. Encore dans le couloir de l’immeuble, il me semble sentir une brise ma caresser le sexe. S’il y a le moindre souffle de vent dehors, je me fais embarquer par la police !

Je marche rapidement jusqu’au magasin, il y a beaucoup de monde et je suis gênée comme jamais je ne l’ai été de ma vie (j’avais eu une petite expérience d’exhibition mais, nue sur une plage naturiste, je suis passée presque inaperçue).


Horreur, le rayon « hygiène » est à l’étage. Je prends l’escalator. Quiconque se trouverait un peu en dessous de moi pourrait me découvrir. Enfin, c’est ce que je ressens. Je tiens le bas de ma robe nerveusement. Tout à l’heure mon cœur battait la chamade à l’idée de retrouver mon amant, là, mon cœur bat la chamade, mes jambes tremblent, je suis très mal à l’aise. Très mal à l’aise !


Et bien sûr… deux jeunes me suivent. Forcément ils doivent avoir une vue dégagée. Je reste collée au bord pour limiter la vue mais l’un d’eux se baisse franchement pour regarder, sans honte aucune. Il n’y a aucune raison qu’ils puissent voir mes fesses ou mon sexe, comme il n’y aurait eu aucune raison qu’ils imaginent que je porte – ou non – des dessous affriolants. Alors pourquoi me matent-ils comme cela ? Malchance probablement ! Je garde ma main sur les pans de ma robe et ils ne verront rien.

Je me dépêche d’aller au rayon qui m’intéresse. Les jeunes sont sur mes talons. Je prends un rasoir et lorsque je lève un bras pour saisir la bombe de gel l’un des jeunes passe une main sous ma robe, attrape mes fesses et tente de glisser plus loin.


Je me retourne et le gifle violemment avant de rejoindre les caisses, payer pour retourner au plus vite au cabinet. Ils ne me suivent pas. Je marche dans cette rue bondée, à la merci d’un courant d’air crapuleux. J’ai l’impression qu’on me toise. Mon cœur va exploser. J’arrive enfin.


Il y a du monde dans le cabinet et il me faudra attendre, et l’attente sera longue. Pendant presque une heure, assise à demi-nue, l’empreinte de la main du malotru encore chaude sur mes fesses et, à mon corps défendant, sur mon sexe en émoi que je sens ouvert et trempé… et rien pour arrêter ces fuites honteuses.


Depuis mon départ du cabinet et mon escapade au magasin, nue sous ma courte robe, une sensation étrange est montée en moi, mélange de gêne, de honte et d’excitation. Pendant la séquence « magasin », il n’y a eu que gêne, vraiment. Pendant les premières minutes dans la salle d’attente également, puis mon cœur s’est calmé un peu, et je dois avouer qu’à présent, toute gênée que je sois, je suis terriblement excitée. Depuis une heure, dans le calme de la salle d’attente, j’ai apprivoisé mon état, ma presque nudité. Cela reste extrêmement étrange mais j’ai presque envie de dire « amusant ». Il reste une jeune femme avant moi et son mari (son amant ?) l’accompagne. Il me regarde de temps à autre, comme cela est inévitable quand on reste longtemps à attendre dans ces conditions. J’ai aimé ses regards, ses regards appuyés sur mes cuisses. J’avoue avoir eu l’idée de jouer Sharon Stone, décroisant et recroisant ses jambes face à lui, lui offrant un instant d’émotion. Je ne l’ai pas fait.


J’étais venue un peu inquiète à ce rendez-vous, ne sachant si nous allions reprendre là où nous nous étions quittés, ou si la raison ou la morale allaient remettre les choses en ordre. Maintenant je suis sûre que dans un instant je me livrerai à lui et que nous allons encore faire l’amour. Et j’espère qu’il sera à hauteur du feu qui me dévore, de l’adrénaline qui brûle dans mes veines !



Enfin c’est mon tour. Il me fait entrer et me dit de m’installer. Une fois nue sur la table de visite, il prend le gel de rasage et le rasoir et me demande si ça s’est bien passé. Je lui réponds que oui sans m’étendre d’avantage.


Il va chercher un linge, le trempe d’eau très chaude et le passe sur mon pubis. C’est brûlant mais supportable. Juste supportable. Et justement, la presque brûlure immédiate me laisse une impression de bien-être plus grand encore. Je le laisse faire.

Il est assis devant moi, le visage entre mes cuisses écartées. Les pieds dans les étriers, je suis offerte et disponible.


Il coupe d’abord aux ciseaux la plus grande partie de ma toison puis étale le gel qu’il fait mousser en me massant longuement. Délicatement, il entreprend alors le rasage, allant beaucoup plus loin que je ne l’avais fait moi-même, en allant traquer le moindre poil perdu entre mes fesses.

Je ne m’étais rasée qu’une seule fois, je n’étais pas une habituée de la chose. Cela n’avait rien d’anodin pour moi que de passer la lame d’un rasoir aussi près de mon intimité… mais qu’un homme, même pas mon mari, fasse glisser cette lame le long de les grandes lèvres, frôle mon petit bouton si fragile, se perde au fond de mes fesses… quelle horrible, étrange et fabuleuse sensation !


Une fois fait, il me rinça doucement, attentivement, essuya avec beaucoup de douceur puis sorti sa pommade et m’en passa partout insistant longuement pour que tout pénètre, jusqu’entre mes fesses, jusqu’à mon anus, prenant un certain plaisir à en déposer sur mon sphincter pour le faire pénétrer avec ses doigts.


Il sortit sa verge, enfila un préservatif et plongea dans mon sexe trempé. Excitée comme je l’étais, je fus clouée par un premier orgasme d’une rare violence après quelques mouvements à peine. Il s’en aperçut et me dit :



Et il posa son sexe sur mon anus.



Et il fit pénétrer son gland entre mes fesses. Ainsi écartée et préparée il semblait bien que j’étais prête et il n’eut aucun mal à s’enfoncer en moi. Il me demanda s’il me faisait mal et, rassuré par ma réponse, s’enfonça tout entier en moi jusqu’à me caresser le sexe avec son pubis.


Quelle étrange sensation ! Non pas tant la sodomie, mon mari s’y était essayé et l’avait pratiquée avec beaucoup de gentillesse aussi. Non, la sodomie dans cette position, demi-assise, les pieds dans les étriers, son sexe au fond de moi et, surtout, son pubis de mâle dont la pilosité n’avait pas disparue sous le feu du rasoir, cette pilosité qui frottait contre mon sexe ouvert, contre mes muqueuses intimes !


Il resta un court instant immobile puis, la légère douleur passée, commença à aller et venir au fond de moi de plus en plus vite. Puis brutalement, sortit, s’accroupit et me lécha le sexe et l’anus comme s’il n’avait rien mangé depuis une semaine… Se releva et replongea sans précaution au fond de mes entrailles, m’arrachant un cri de douleur vite remplacé par le plaisir de ses va-et-vient vigoureux…


Il s’amusa avec moi longtemps, alternant cunni fougueux et sodomies violentes. Je ne saurais vous dire combien d’orgasmes je lui dois…


Avant de partir il me fixa un prochain rendez-vous, « dans les mêmes conditions » et ajouta-t-il « ce qui veut dire que tu ne viendras plus me voir avec des sous-vêtements ».


Mon mari me trouva fatiguée mais je n’ai pas eu le cœur de me refuser à lui. Je l’aime toujours autant et je crois que ma fatigue risque de perdurer.



– . – . –




Cela fait quelques mois maintenant que mon « vieil » amant s’occupe de ma petite santé intime. Je ne sais pas si tout cela est bien raisonnable. Je ne pense pas que cela ait une incidence sur mon mariage. J’aime toujours mon mari qui reste un amant exemplaire et un amour et je lui offre en prime ce que mon amant me fait découvrir. En effet, plus notre relation avance et plus elle se transforme en un jeu, pour ne pas dire une initiation. Et à chaque fois, je rentre à la maison avec, encore plus qu’avant, l’envie de faire l’amour, et surtout plus disponible aux envies de mon chéri.


Je le décourageais toujours à venir me taquiner par derrière. Sans l’inviter, je ne l’en décourage plus, et il l’a bien compris. Je le décourageais à utiliser des sextoys… il en use et en abuse aujourd’hui comme bon lui semble. J’ai dépassé mes réticences d’alors et nous en profitons bien tous les deux.


C’est vrai que mon gynéco m’a un peu déridé les fesses ! Voyez vous-même : Après la séance de rasage, mon gynéco m’a reçue avec beaucoup de gentillesse et d’égards. Il faut dire que j’avais compris la leçon, j’étais venue dans une jolie robe d’été, boutonnée sur le devant, fraîchement épilée et sans sous-vêtements. Je ne voulais pas réitérer la scène du dernier rendez-vous.


Son assistante était partie dès mon arrivée, nous étions seuls. Nous nous sommes embrassés comme s’embrassent de jeunes amants, il m’a caressée, déshabillée et, alors que je m’attendais à ce que l’on fasse l’amour, il a tenu à m’installer sur la table de travail, comme pour un examen gynéco classique.



Je le regarde s’affairer. Il sort un gros appareil photo.



Je suis KO ! Quelle claque ! Je suis incapable de réfléchir, de raisonner, de me lever et de le laisser avec ses réflexions de macho à deux francs. J’en suis incapable.



Et je le laisse faire. Il me prend les jambes écartées par les étriers, le sexe occupé par un flacon d’un produit, et d’autres joyeusetés encore. Puis il me fait me rhabiller, prend encore quelques photos pendant que je m’habille mais m’interdit certains boutons. Il veut que ma poitrine et mon sexe soient prêts, soient près, soient à peine couverts. Je le laisse faire, de toute façon je vais monter dans ma voiture garée devant la porte, c’est pas méchant.


Il ouvre la porte. Je suis en manque, déçue. Nous n’avons pas fait l’amour et même si j’ai eu un petit orgasme alors qu’il me masturbait avec son flacon, ça n’avait rien de génial ! Mais bon, avec mon mari je ne jouis pas non plus à chaque coup (même si c’est bien rare que je sois « absente » mais cela m’est arrivé), alors ce doit être pareil avec un amant. Je m’apprête à l’embrasser et lui demander quand on se reverra, face à lui sur le pas de la porte, quand je le vois éteindre la lumière, sortir et fermer la porte derrière nous.



Il me prend la main, gentiment, tendrement même, mais avec une autorité naturelle que je n’ai plus envie d’affronter. Je le suis. Les pans de ma robe volent et je les retiens comme je peux de ma main libre. Il me regarde et d’un ton mi-sourire mi-fâché, et me dit :



« D’accord ! », comment ça « d’accord » ? Ça va pas ma grande ! Je ne suis pas d’accord du tout. Pourquoi est-ce que j’ai répondu cela ? Je ne retiens plus ma robe et en effet, je sens mon pouls accélérer. Heureusement nous arrivons à sa voiture, Audi A6, ça gagne bien, gynéco ! Il me tient la porte et m’aide à m’installer, très galamment, referme (rien que le bruit de la porte se fermant – elle ne « claque pas » – participe à l’impression de luxe de cette voiture). Il me rejoint, on s’attache, il démarre.


Nous roulons une dizaine de minutes, une dizaine de minutes pendant lesquelles il conduit avec sa seule main gauche. L’autre m’est destinée. Ouvrant, repoussant ma robe au maximum pour mieux me caresser. Écartant mes cuisses pour mieux atteindre mon intimité. Maintenant cette situation, sans se soucier des bouchons, des voitures et des camions autour… Eh oui, c’est vrai, l’impression est extraordinaire. Si ce n’est pas encore du plaisir, c’est déjà une émotion. Une émotion assez intense pour être heureuse de pouvoir la connaître.


J’ai joui dans sa voiture. J’ai aimé jouir ainsi, avec du monde autour. Je n’en reviens pas. J’ai un peu honte quand même.


Nous arrivons devant son « QG ». Un bar, c’est vrai assez select mais avec une ambiance agréable, ni guindé bourgeois ni vulgaire. La patronne est manifestement une amie. Ils s’embrassent, on me présente. Il y a quelques amis à lui. On s’attable avec eux.

On boit un verre, puis deux. L’ambiance est sympa. J’ai totalement oublié que le temps passait et que mon rendez-vous gynéco allait être plus long que prévu. Heureusement que mon mari rentre tard ! La discussion s’anime :



Là mon cœur se noue, je crains le pire, je le sens venir au galop !



Une fois de plus, en quelques mots, il me giflait, m’humiliait, et là, devant ses amis. Je ne savais plus où me mettre. J’aurais voulu disparaître.


Jean-François me tend alors les clefs de sa voiture.



Il m’offrait un répit. Certainement ils vont parler de moi. Médire de moi peut-être mais au moins je n’y assiste pas. Je sors, un coup de vent soulève ma robe. Il n’y a personne sur le parking, juste moi qui reprends conscience de ma presque nudité. J’ouvre la voiture, prends l’appareil et reviens auprès de Jeff.



Il prend sa photo, puis quelques autres.



Il tripote un bouton et la dernière photo s’affiche. C’est vrai que nous sommes à l’heure du numérique. Il tend l’appareil à son ami qui regarde les dernières photos prises. Qui fait apparaître les dernières, les avant-dernières… Je suis près d’eux, j’entrevois à peine les images.



Je regarde, on me voit habillée dans la salle d’attente du cabinet. La fin de rhabillage ! Il passe à celle d’avant. Quelques sifflets fusent (je le prends comme un compliment mais je panique franchement, je n’ose plus regarder ce qu’ils découvrent). Sifflets qui laissent vite la place à un silence pesant. Ils ont tout regardé et manifestement, l’appareil photo avait une fonction vidéo car, osant lever les yeux vers eux, j’ai deviné le flacon s’enfoncer dans ce qui devait être mon intimité.


Mon intimité !


Existait-elle encore ?