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n° 14291Fiche technique18216 caractères18216
Temps de lecture estimé : 12 mn
21/02/11
Résumé:  En prenant ma pause déjeuner dans les rues de Bruxelles, j'y rencontre une jeune inconnue qui de fil en aiguille devient plus proche, très proche même. Elle arrivera, malgré mon âge, à me surprendre entièrement.
Critères:  fh hplusag fsoumise pénétratio init -initfh -occasion
Auteur : Yappy  (Un peu fou, amoureux des femmes.)            Envoi mini-message
Je ne sais toujours pas son nom

Je me baladais dans un quartier de Molenbeek, une commune de Bruxelles dont la population est excessivement cosmopolite. C’était la pause de midi, et je suis rentré dans un snack-friterie Turc, pour y manger un doner. Après avoir commandé, je rentre dans la première salle ou sont disposées cinq tables et une dizaine de chaises.


Une jeune femme est assise à la table dans le coin droit de la salle à moitié remplie. Elle est superbe ; 1m60, fine, une poitrine ni trop grosse ni trop petite cachée par un gros pull en laine (on est en plein hiver), un visage d’ange entouré d’une coiffure ondulée noire, de grands yeux, des lèvres légèrement rouges et ourlées et de longues boucles d’oreilles qui dégringolent jusqu’aux épaules, qu’elle tient bien droites. À mon avis, elle n’est pas encore trentenaire, mais c’est pour bientôt, et pourtant, elle en paraît à peine vingt-deux, tellement le grain de sa peau et la douceur de ses mains semblent jeunes. C’est donc plus sa retenue, ses habits et son maintien qui me font penser qu’elle est plus âgée qu’elle ne paraît.


Elle est en train de manger un Durum, et je vois cette bouche s’ouvrir bien grand, puis se refermer avec force, pour permettre à ses dents d’arracher une partie du pain et de la viande. C’est un plaisir à voir, d’autant plus que mon esprit vagabonde déjà un peu, et imagine ce qu’une si belle bouche peut faire de bien plus sensuel.


Je dois choisir où m’asseoir, je sais déjà que j’ai envie d’être près d’elle, mais je ne veux pas la gêner par mon intérêt réel. Si je m’assieds à une table en face d’elle, je ne serais plus capable d’écarter mon regard de son visage, et elle risque de se trouver mal à l’aise (avec raison d’ailleurs). Je choisis donc de me mettre à sa droite, dos au mur, comme elle. Je prends mon livre et attends que ma commande arrive. Je ne peux plus vraiment voir son visage sans me montrer trop indiscret, par contre, je vois ses mains, fines et douces, je vois sa jambe droite qui sort de sa jupe, son mollet galbé par ses chaussures à talons et j’imagine ma main qui remonte le long de sa cuisse, ses jambes qui s’écartent doucement pour laisser apparaitre la lisière de ses bas autoportants.


Le patron me surprend et suspend mon rêve en m’apportant un doner bien garni, avec une portion de frites sauce samouraï (pour ceux qui ne connaissent pas, c’est une sauce très très piquante) et un Fanta.


Elle me dit « bon appétit », je réponds par la même phrase de politesse qui peut avoir l’avantage de briser la glace, mais je n’ose pas insister plus… Je mange à mon aise, espérant secrètement arriver au bout de ma pitance en même temps qu’elle. J’espère ainsi me retrouver en rue avec elle, et qui sait, si j’ai le courage de l’aborder, pourquoi pas…


Avant de continuer, et pour vous permettre de comprendre le tableau, parlons un peu de moi. Je suis un homme dans la fin de la quarantaine, petit, bedonnant avec des cheveux châtain clair, des yeux bleu-gris et un grand sourire au milieu du visage. Je suis très sociable, extraverti, un peu « grande gueule » parfois. Je suis donc habitué à faire beaucoup de bruit, à parler fort, en faisant beaucoup de mouvements avec mes bras (pourtant, je ne suis pas Italien) et sais faire mon intéressant.


Ben là, c’est le calme plat, j’ose plus dire un mot, je la regarde en coin, et je laisse silencieusement mon imagination débordante prendre le contrôle intégral de mon cerveau. Ne dit-on pas que l’homme a un sexe à la place du cerveau ? J’en suis maintenant une preuve vivante !


À force de rêvasser, j’ai pris du retard, et je suis à peine à la moitié de mon doner que cette déesse de l’amour nous quitte déjà. Je la vois se diriger vers le comptoir pour payer, et j’en reste baba … Elle est encore mieux debout, toujours aussi fine avec cette petite poitrine qui gigote doucement sous son pull, mais avec une cambrure au niveau des reins qui donne envie de la jeter illico-presto sur un canapé, un divan ou un lit et lui faire subir séance tenante les pires outrages.


Et là, crac, elle surprend mon regard et mon émoi par un miroir dont l’existence à cet endroit ne m’avait pas vraiment sauté aux yeux. Je m’attends à la sentence, et c’est avec beaucoup de dédain qu’elle détourne son regard, pour après s’en aller.


Vous dire que j’en ai le cœur détruit serait une exagération. Par contre, j’ai quand même le vague à l’âme. Mais qu’est-ce que j’imaginais ? Qu’une fille comme cela, un canon, fantasme de la moitié des habitants de la planète, s’intéresserait à moi, pauvre ex-adonis bedonnant et sans éclat ?


Je termine mon doner en vitesse, je n’ai plus envie de flâner. D’ailleurs, j’ai du boulot qui m’attend et la réunion de demain matin à préparer. Je passe à la caisse, dis au revoir au patron et à la patronne et me dirige vers la porte en verre qui me permettra de sortir de cet endroit où l’enfer a succédé au paradis.


Ma main est sur la clenche, la porte commence à s’ouvrir, et elle est là, de l’autre côté de la rue, à m’attendre. J’hésite, me demandant si c’est bien pour moi, ce regard qui a définitivement emprisonné le mien mais son sourire me rassure et c’est les jambes flageolantes que je traverse la rue et la rejoins.



Mes jambes sont passées du coton à l’azote liquide, j’ai chaud, froid, un filet de sueur coule entre mes omoplates, puis le long de ma colonne vertébrale. Je la suis, profitant de son léger déhanchement qui n’a rien de vulgaire mais est tellement excitant. Je sais qu’ici, en pleine rue, je ne peux pas la toucher, au risque de tout perdre.


On parle un peu, de tout et de rien. Je lui raconte mon emploi, elle me parle de ses études (ah bon, elle est donc plus jeune que je ne croyais), je ne sais toujours pas son nom.


Elle me dit qu’elle vient de loin (un pays du Maghreb) et qu’elle termine un doctorat en science tout en effectuant des ménages pour survivre. Quand elle aura son diplôme, elle rentrera au pays, pour y travailler.


Nous arrivons au terme de notre balade et elle sort un trousseau de clé de son sac, s’arrête à hauteur d’une porte d’immeuble, ouvre la porte et se dirige calmement vers l’escalier. Il n’y a pas d’ascenseur, et une fois de plus, je profite entièrement de ses mouvements. Je sais que j’aurais dû passer devant, pour ne pas la gêner, mais j’ai fait comme si de rien n’était, d’autant plus que je ne savais pas à quel étage nous allions.


J’aurais peut-être mieux fait de faire plus de sport, ou plus régulièrement. Arrivé au cinquième, je suis essoufflé et je profite du temps nécessaire à l’ouverture de la porte (trois serrures différentes) pour reprendre mes esprits. Nous entrons dans son antre : c’est petit et cosy. Un petit hall, la cuisine à droite, qui donne sur la rue, avec un salon/salle à manger à côté. À gauche de la porte, un WC, une petite salle de bain et à côté de la salle de bain, une porte fermée, mais je devine que c’est sa chambre.


Elle m’invite à entrer dans le salon, dans lequel se trouve peu de meubles. Un divan, une petite table, une télévision sur un petit meuble avec, dans celui-ci, un lecteur de DVD. Dans le coin, un petit bureau ou trône un ordinateur portable bon marché (genre ceux que l’on peut acheter chez Mediamarkt).


Sur la droite se trouve une petite table avec quatre chaises, et un meuble avec des portes en verre, dans lequel se trouve la vaisselle. Dans un autre coin se trouve une petite bibliothèque, avec un certain nombre de livres, tous en français.


Elle me propose quelque chose à boire. J’ai envie de lui dire que la seule chose qui m’intéresse, maintenant, c’est elle, elle et elle, mais je me retiens. Je pense que de toute façon, elle sent très bien la tension qui me domine, et n’est pas dupe de mes envies les plus secrètes. De toute façon, elle m’a invité chez elle, elle doit bien se douter de ce qui va arriver.


Je lui demande un verre d’eau, plate ou pétillante. Elle se sert un coca, m’apporte mon verre d’eau et nous buvons ensemble, en se regardant dans les yeux. Je ne sais toujours pas son nom et je m’en fous. J’ai peine à croire à mon bonheur, dans quelques instants, je prendrai sa main, caresserai sa joue, et plongerai dans un océan de bonheur.


Et là, elle se met à parler :



Je suis estomaqué. Ses mots pénètrent en moi et leur signification envahit lentement mes synapses. Je sais que je devrais être au boulot, mais bon, la vie est ce qu’elle est, et tant pis pour le reste.


Je la prends doucement dans mes bras. Avec l’index de ma main gauche, je lui remonte le menton, et je prends ses lèvres, d’abord avec une gaucherie étonnante vu mon âge mais tellement compréhensible. Petit à petit, ses lèvres s’ouvrent à moi, sa langue darde et s’accroche à la mienne et c’est un baiser passionnant et violent qui nous unit.


Mes mains, jusque-là inactives, attrapent le bas de son pull et le relèvent lentement. On s’écarte un instant, pour lui permettre de le retirer, puis le baiser reprend de plus belle, mes mains caressant ses flancs, ses hanches et ses fesses avec insistance. Je relève lentement sa jupe et je sens le petit slip qui est son dernier rempart. Je ne digresse plus, lâche momentanément sa bouche pour m’abaisser devant elle, et rouler sa culotte vers le bas de ses jambes.


Sa jupe étant partiellement relevée, je devine un mont de Vénus légèrement bombé, une toison entretenue plus dans un souci de bienséance liée à la pratique de la natation que pour créer un émoi supplémentaire, qui n’est d’ailleurs pas nécessaire (je suis à la limite de l’implosion, ou de l’explosion, au choix…) des poils noirs, soyeux et doux et un léger écartement de jambes au travers duquel je distingue le renflement de ses lèvres.


Je me relève à regret, attrape sa nuque avec une main, et replonge avec entrain dans un troisième baiser enflammé. Ma main droite est restée en bas, caressant légèrement les abords de son sexe, un doigt frôlant le contour de ses lèvres et, par un mouvement tournant, encercle son petit bouton. Ses hanches ondulent, et mon doigt explore doucement ses grandes lèvres, les écarte avec assurance pour s’introduire entre ses petites lèvres à l’intérieur de son con, brûlant, trempé mais tellement serré.


J’hésite un peu, mon doigt ayant rencontré une résistance, petite mais quand même réelle. J’écarte mon visage du sien, la regarde dans les yeux, une mimique interrogative et je la vois rougir pour la première fois. Elle me dit juste :



Rien que de me remémorer tout cela, dans le but de vous le décrire, mon sexe est devenu entièrement dur et j’espère être capable de terminer mon récit sans devoir m’interrompre pour calmer temporairement mon ardeur…. Mais bon, je m’égare là, retournons à nos moutons, ou plutôt aux boucles enchanteresses de ma vierge amante.


On pourrait croire qu’à ce moment-là un scrupule m’assaille et que, chevaleresque, je lui dis :



Mais non, je n’en ai nullement envie, encore moins le courage. Je la soulève dans mes bras, sors du salon et me dirige vers la porte derrière laquelle sa chambre se trouve. Elle ne dit rien, me laisse la diriger. N’est-elle pas mon amante et esclave, selon tous mes souhaits et plaisirs ? Son lit est recouvert d’un duvet blanc avec des motifs bleus, et je l’y dépose tout en recommençant mes baisers et caresses.


Elle a un chemisier clair, que j’enlève après avoir défait ses boutons, et son soutien-gorge, que je retire prestement, est de la même couleur que sa petite culotte, perdue dans le salon. Ses chaussures sont restées quelque part entre le salon et la chambre. Sa jupe étant de nouveau relevée, je peux l’admirer sans retenue. Elle a fermé ses yeux et attend que je la rejoigne. Elle entend le bruit de la ceinture que je défais, de ma tirette que j’ouvre et de mon pantalon qui tombe sur mes chevilles d’abord, sur le sol ensuite.


Ma chemise, mon slip et mes chaussettes retirés, je la rejoins sur le lit où elle est étendue, n’ayant plus sur elle que ses bas et sa jupe. Je la dégrafe, la retire, puis fais glisser lentement ses bas, l’un après l’autre, d’une main, tandis que l’autre main suit le dessin de ses jambes nouvellement libérées.


Elle est entièrement nue devant moi et je vois ses seins qui montent et qui descendent, au rythme de sa respiration. Je me suis couché à côté d’elle et, mon visage près du sien, je m’apprête à reprendre ma ritournelle de baisers quand elle ouvre les yeux et me regarde avec calme et douceur. C’est un moment superbe, où je me rends compte qu’elle s’offre entièrement à moi, pleine de confiance et je sais que j’ai une responsabilité énorme : nous rendre tous les deux heureux, ne fût-ce que pour un après-midi.


Nos lèvres se rencontrent, et ma main droite glisse vers son sein gauche, qu’elle commence à caresser en tournant autour de son aréole. Après un long baiser, pendant lequel j’ai senti une de ses mains descendre en suivant mon corps pour enfin s’arrêter autour de ma queue et l’irriter de ses frôlements, je commence à parsemer de baisers ses seins, son ventre, le haut de son pubis pour ensuite descendre encore plus bas et atteindre le centre de ses émois.


Ses lèvres, grandes et petites, brillent d’excitation. Son petit bouton a doublé de volume et quand ma langue l’atteint et le lèche en cercles, son bassin se lève et mes lèvres l’entourent pour le sucer avidement. Elle tremble, ses mains s’attachent à mes cheveux, pour alternativement attirer ou écarter ma bouche de son sexe. Elle lance de petits cris, ses jambes s’écartent encore plus et se relèvent petit à petit pour se disposer au-dessus de mes épaules, autour de ma tête.


Un doigt s’insinue de nouveau en elle, rencontre très vite l’ultime obstacle, et commence un lent va-et-vient, court puisque limité par la place, mais suffisant pour l’exciter encore plus. Je relève encore plus ses jambes et remonte vers elle, en passant par ses seins, que je couvre de nouveau d’une multitude de baisers puis enfin vers sa bouche que j’embrasse goulûment.


Ma queue est tellement excitée que j’en ai mal, j’ai peur de ne pas pouvoir me retenir et me concentre sur certaines idées déplaisantes, pour calmer temporairement mes ardeurs. Je suis à l’entrée, et je commence de lents va-et-vient, chaque fois un peu plus loin. Elle a mis une main au début de ma hampe, caressant alternativement celle-ci et mes couilles. Elle en profite aussi pour diriger et contrôler la manœuvre, me tirant vers elle pour m’arrêter juste avant la fine butée.


Nous nous regardons dans les yeux, elle me sourit, je sais que c’est pour maintenant. Elle lâche mon sexe, me libérant de son contrôle et me laissant l’entière initiative, plaçant ses mains sur mes fesses et je m’enfonce d’un mouvement au travers de son hymen. Ses ongles dans mes fesses sont autant de signes de sa douleur, mais ses jambes, maintenant enlacées autour de mon corps me retiennent en elle.


Nous restons comme cela quelques instants puis je commence mes allers-retours, au début doux et attentifs, pour devenir ensuite passionnés, longs et forts en même temps. Elle reste accrochée à moi, ses mains remontées maintenant sur mon dos, qu’elle lacère de ses ongles. Je sais que je ne pourrai pas me retenir longtemps. Je pense d’ailleurs que ce qu’elle veut, c’est sentir ma jouissance en elle, voir mes yeux qui chavirent au moment de la petite mort pour pouvoir elle-même plonger dans cet abîme amoureux.


La tension monte, mon sexe n’en peut plus, ses petits cris se sont changés en de longs feulements et au moment de jouir et de l’inonder de mon sperme, mon cri, enfin, me libère.


Nous restons là, quelques instants, à la limite de l’équilibre. Je sens son sexe qui m’entoure et m’enserre, engloutir ma semence et enfin, vidé, me retire doucement d’elle, pour me glisser à ses côtés. Elle se blottit contre moi, sa main gauche sur ma poitrine, ses yeux fermés et nous restons comme cela une dizaine de minutes, sans parler, sans rien dire.


Je ne sais toujours pas son nom.


Plus tard, dans l’après-midi, nous referons l’amour deux fois, je l’explorerai sous toute ses coutures, elle me caressera de ses mains, de ses lèvres. Ma queue visitera sa bouche, sa gorge, qu’elle inondera de mon plaisir et après un massage agrémenté d’une huile à la coco, je la prendrai en levrette, pour notre plus grand bonheur.


Je ne sais toujours pas son nom.