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Temps de lecture estimé : 20 mn
24/02/11
Résumé:  Deux amis, du sport, un massage, une dérive....
Critères:  hh hbi sport douche massage fellation anulingus hdanus hsodo -inithh -hbi
Auteur : Peter            Envoi mini-message
Massage sensuel entre amis

Il sort de la douche peu après moi. Lui n’a gardé qu’une serviette nouée autour de la taille, il a le torse et les cheveux encore un peu humides. Quelques gouttes perlent sur sa peau. Moi, déjà en short et t-shirt, j’ai eu le temps de sécher. Je suis assis dans le sofa, je me relaxe après cette heure de course à pied et il m’a proposé de prendre une douche et un verre chez lui, comme nous en avons l’habitude, car lui habite beaucoup plus près du parc que moi.


Je pense qu’il est encore nu sous sa serviette mais je n’en suis pas sûr. Sa démarche est lente, pesée, et lentement il se laisse tomber sur le divan juste en face de moi. Il est grand, un peu plus que moi. Les cheveux lui tombent un peu sur les épaules, blond-châtain, les yeux foncés et profonds, la peau un peu matte et presque imberbe, il est très athlétique. Les jambes, que je regarde avec plus d’insistance ce jour-là sont musclées, dessinées comme au scalpel. Là aussi quelques gouttes d’eau restent comme en suspension sur sa peau. On ne dit rien. On n’a encore rien dit depuis la fin de cette heure de course et les douches. Sur le sol, des traces d’eau laissées par ses pieds nus sèchent doucement sur le plancher. On peut sentir la chaleur, l’humidité dans l’air, mais aussi une sorte de tension pour la première fois entre nos regards. Nous sommes amis depuis des années et avons l’habitude de faire du sport et aussi souvent la fête ensemble. Il n’y a jamais eu de soupçons, de malentendus entre nous qui sommes de purs hétéros, mariés avec enfants tous les deux.


Assis en face de moi, il commence à s’étirer les bras, les jambes. Il se passe les mains sous les mollets, comme pour les masser.



Je dois dire que moi aussi je suis épuisé après cette heure. La chaleur de l’été nous a probablement pris notre dernière énergie.



Il me semble que lorsque je me relève, je vois vraiment sous sa serviette qu’il n’a pas encore mis de boxer. Ses jambes sont un peu ouvertes et je ne vois pas de traces de tissus. Je ne sais pas si j’ai vraiment l’air de regarder ou de laisser mon regard longtemps sur ses jambes, mais un trouble m’envahit tout de suite lorsque mon regard croise de nouveau le sien. Nous restons quelques secondes sans rien dire, il continue à se masser les genoux et les cuisses.



Je ne sais pas pourquoi, mais à ce moment je me lève, m’étire aussi les bras, le torse, debout juste devant lui, puis je m’approche et je lui propose alors de lui masser les cuisses.



Et moi de lui répondre :



Et je me pose à genoux devant lui. Je pose alors mes mains sur chacune de ses jambes, à hauteur des mollets. Mon regard droit dans le sien, plus un mot ne sort de ma bouche ni de la sienne. Je commence alors à bouger mes mains, de haut en bas et faisant de petits cercles sur ses jambes. Sa peau est encore humide, chaude même, et la sensation est apaisante, pour moi comme pour lui, j’imagine. Mes mains passent derrière ses mollets, massent ses muscles très tendus.


Au bout de deux ou trois minutes, je me déplace un peu sur le côté et place alors mes deux mains sur une seule jambe. Il s’est laissé aller en arrière et sa tête est maintenant appuyée sur le divan, ses yeux sont fermés et il semble très détendu. Ses bras le long de son corps, ses mains sur les genoux. J’entreprends alors un massage de sa jambe gauche avec mes deux mains, plus en profondeur, plus énergiquement. Je masse le mollet à l’arrière et je descends jusqu’à la cheville, puis je remonte devant, de cette manière plusieurs fois, puis de même sur la jambe droite, ceci pendant plusieurs minutes. Je remonte mes mains vers le creux de ses genoux et masse le début de ses cuisses, mais sa position assise m’empêche d’aller plus loin, pourtant je sens dans ses petits mouvements qu’il voudrait aussi que je pousse plus loin mon massage.


Ses jambes se sont un peu entrouvertes aussi avec le temps et les mouvements et je peux, par moments, voir l’intérieur de ses cuisses, musclées, bronzées, imberbes, presque jusqu’à la naissance des fesses. Je ne distingue pas vraiment, mais je suis maintenant convaincu qu’il ne porte rien car aucun tissu ne paraît. Je ne saurais dire combien de temps cela dure. J’aime ce que je fais et lui semble apprécier aussi, mais ma position à genoux sur le sol m’est tout à coup devenue assez inconfortable à tenir.



Il y a alors comme une tension impalpable entre nous, comme un non-dit, mais une compréhension totale. Il se lève et se dirige vers la chambre, je le suis, marchant presque dans ses pas. Arrivé à la chambre, il se retourne et me regarde alors, et sans un mot s’assoit sur le bord du lit. Je le contourne, me dirige vers la fenêtre pour tirer les stores et mettre ainsi la pièce dans la pénombre. Je suis derrière lui, il ne me voit plus, il ne bouge plus. Je ne sais pas lequel de nous deux est le plus nerveux dans cette situation. Je continue alors de prendre l’initiative.



J’ai envie de lui dire que tout cela est inhabituel pour moi, je veux lui préciser que tout cela n’a rien de sexuel, mais je ne trouve pas les mots. Sans un mot, lui non plus, il ouvre un tiroir de table de nuit à côté de lui et en sort une bouteille d’huile à massage lubrifiant, probablement utilisée avec sa femme, et la pose sur le lit puis, toujours sans rien dire, il s’allonge sur le ventre, la tête posée sur ses bras, les jambes jointes.


Je me place alors à ses côtés, à genoux, proche de ses jambes et de ses pieds. Je prends l’huile et ouvre la bouteille. Elle sent bon. J’en verse un peu dans la paume de ma main. Sa consistance est douce, épaisse, lubrifiante. Son odeur est très légère, un peu de vanille je crois. Je frotte alors mes mains ensemble et les pose de nouveau sur sa jambe et commence à masser doucement son mollet. Je descends jusqu’à sa cheville et prends son pied dans ma main, le serre assez fort, comme ma femme aime que je le lui fasse. Il apprécie, c’est certain car ses muscles sont complètements relâchés. Je masse son pied encore par de longs mouvements circulaires et de pression, puis je le repose et remonte en appuyant sur le mollet, puis le creux du genou, l’arrière de la cuisse que je masse longuement jusqu’à atteindre le bord de la serviette qu’il a toujours autour de la taille.


Nous ne disons plus rien, je vois ses yeux, fermés, apaisés, sa bouche comme entrouverte pour bien respirer et profiter. Je passe alors à l’autre jambe et refais la même chose, massant son mollet, sa cheville, son pied que j’approche de moi pour avoir une meilleure préhension. Ses jambes sont complètements détendues car malgré sa musculature, je ne ressens presque aucun poids. Je repose son pied sur le lit et me déplace un peu pour être au bout de ses jambes, toujours à genoux. Je pose une main sur chacun de ses pieds et effectue de légères pressions avec le pouce, je remonte doucement, en parallèle sur les deux jambes, ses mollets, ses genoux, ses cuisses, et ainsi je déplace tout le poids de mon corps vers l’avant, je ne tiens que par cette pression que j’exerce sur ses jambes. Je remonte encore et atteins de nouveau la serviette, mais cette fois je passe les doigts par-dessous pour aller un peu plus haut de quelques centimètres. Comme je suis en extension, je pèse de tout mon poids sur ses cuisses, je sens ses pieds contre mes cuisses, cette chaleur me trouble de nouveau mais rien ne paraît, ni de mon côté, ni du sien et il laisse ses pieds contre moi, sans bouger, sans rien dire. Dans la foulée, j’ai un peu remonté la serviette sur ses cuisses, ses muscles sont saillants à cet endroit et on devine juste un peu le début de son fessier. Je ne m’aventure pas plus loin avec mes mains et redescends doucement vers ses jambes, nous libérant ainsi de cette tension, de cette pression.


Je fais alors une courte pause et me détends un peu, je me déplace plus haut, du côté où il regarde, il a les yeux toujours fermés. Je reprends l’huile et cette fois en verse directement sur son dos. La surprise lui fait faire un sursaut. Un frisson le parcourt et il ouvre les yeux vers moi. Un regard, complice, un sourire, silencieux et il referme lentement les yeux pour me dire de continuer. Je verse alors encore un peu d’huile sur son dos, les épaules et le bas du dos puis repose la bouteille sur le côté. Je m’approche un peu, de manière à être presque au-dessus de lui et je commence un massage du dos et des épaules, qui semble d’abord une caresse pour étaler l’huile sur toute la surface de son dos. Je masse ensuite fermement les épaules, la nuque et descends par le centre chaque fois de plus en plus bas vers le dos, en cercle. Mes mains se font parfois douces, parfois plus fermes sur sa peau. Ses soupirs en disent long sur l’appréciation de mon massage. Je me retourne alors un peu pour diriger mes mouvements vers le bas de son dos. Mes jambes sont alors très proches de son visage. Je vois ses yeux s’ouvrir par moment et je le devine me regarder, mon short est assez ajusté mais pas trop serré, mon boxer en dessous doit être visible lorsque je bouge de cette manière.

La situation commence à me troubler aussi et je sens que je ne suis pas insensible à ces regards. Mes mains tournent et appuient sur le bas de son dos, allant du centre de la colonne aux côtés des reins et des hanches. De plus en plus fermement, j’appuie sur le bas de son dos, je suis de nouveau en extension et, les genoux toujours de son côté, je suis obligé de me cambrer presque pour atteindre le bas de son dos et les côtes. Furtivement je regarde vers lui et vois qu’il n’a plus les yeux fermés mais le regard fixé sur mes jambes, mes cuisses et, je crois même, mes fesses. Je veux pousser plus loin mon massage mais la serviette nouée à sa taille est serrée et m’empêche de continuer. Je vais lui demander si cela le dérange de l’ouvrir un peu ou de la retirer, mais avant même que les mots ne sortent de ma bouche, alors que mes mains sont tout à sa taille, il relève un peu le bassin et les fesses et se cambre pour me donner accès sous son ventre, comme pour me donner son accord sans qu’aucun mot n’ait été échangé. Alors je passe mes mains de chaque côté de sa taille et entreprends de défaire la serviette sous son ventre. Ce contact, très étrange, est à la fois très troublant et plein d’érotisme, pour lui comme pour moi, j’en ai la certitude en le fixant dans les yeux alors que je l’ouvre et étends la serviette maintenant simplement posée sur ses fesses.


Alors qu’il repose ses fesses cambrées sur le lit, je perçois dans son mouvement une sorte de déhanchement qui me fait penser que son sexe est peut-être en érection et qu’il doit se replacer contre son ventre. Moi aussi je suis en début d’érection. Dans mon boxer, mon sexe est à l’étroit et s’étend sur le côté. Je ne pense pas que cela se voie mais dans ma position je ne suis sûr de rien.


Je continue alors mon massage du bas de son dos, restant volontairement cambré et étendu à ses côtés. Je pourrais me déplacer pour me faciliter la tâche mais quelque chose me force à rester comme cela, un peu offert moi aussi. Je pousse doucement mes mains de plus en plus bas, les bouts de mes doigts passent à chaque fois sur ses flancs, provoquant un frisson perceptible, et s’aventurant à chaque passage un peu plus sous la serviette. Je suis presque sur ses fesses maintenant. J’effectue de longs cercles, de lentes pressions, j’appuie fermement et dirige mes mains de plus en plus sous la serviette. Puis, pour être plus confortable, je me redresse, redescends un peu le long de son corps, toujours à genoux sur le lit. Je passe une jambe de chaque côté des siennes, m’assieds presque sur le creux de ses jambes, et j’entreprends de nouveau de lui masser le haut des cuisses. Il a les jambes coincées entre les miennes et ne peut pas bouger, mais je sens une force, je sens qu’il essaie d’ouvrir plus ses cuisses pour me laisser plus de place.


Cette fois c’est par le bas que je passe sous la serviette. Je masse maintenant vraiment les fesses, doucement, longuement. Prisonnier sous moi, je le sens se tortiller un peu mais je ne bouge pas, je continue mes massages sous la serviette et vais même sur les côtés, sur ses hanches, presque jusqu’à son ventre. Je sens ses hanches bouger sous mes massages, ou devrais-je dire caresses ? Je reviens vers les fesses et étends mes doigts, mes pouces, jusqu’à effleurer la ligne de son entre fesses. Par mes subtils massages, par mes pressions, je sens ses fesses s’écarter, s’ouvrir un peu, s’offrir. Je prends goût à cette manœuvre, aventurant mes doigts à chaque fois de plus en plus proche de l’intérieur de ses cuisses, de sa raie. Je la touche, je l’effleure.


Cette fois il n’y a plus de doutes, nous allons dans une direction que nous ne contrôlons plus ni lui ni moi. Il détend alors ses bras de sous sa tête et vient doucement, par derrière, retirer complètement lui-même la serviette qui cachait encore jusque-là ses fesses, la poussant au bas du lit. Il reste là, sans bouger. Moi aussi je suis paralysé de voir mes mains sur ses fesses, mon pouce presque dans la fente. Il allonge alors ses bras le long du corps, cherche à tâtons la bouteille d’huile et me la tend. Je retire alors mes mains et, du même mouvement, je me redresse pour lui libérer les jambes. Je prends une de ses jambes et la pousse alors un peu sur le côté, légèrement repliée. Toujours assis sur son autre jambe tendue, il peut maintenant bouger plus facilement et je le vois clairement se tortiller, ouvrir les cuisses et m’offrir une vue splendide de ses cuisses, ses fesses, ainsi que la naissance de ses testicules que je vois apparaître sous son ventre.


Tout en se tortillant sur le lit, il me tend alors de nouveau la bouteille d’huile. Le message est clair. Pas un mot, pas un regard. Je la prends, il repose alors ses bras le long de son corps, une de ses mains effleure ma jambe et reste là en contact avec mon genoux. Je suis en érection, j’ai envie de me libérer, mon sexe est complètement tendu dans mon boxer. Mais je ne bouge pas, je reste là, je regarde ce corps qui ondule un peu, à moitié libre et à moitié emprisonné sous moi. Ses fesses se sont presque ouvertes d’elles-mêmes tellement il essaie d’ouvrir ses jambes, de cambrer ses hanches. Je vois aussi ses testicules frotter le lit dans un lent va-et-vient. Ils sont forts, pesants, beaux. J’ouvre alors la bouteille d’huile et verse une goutte sur le haut de sa raie, au bas du dos. Un frisson le parcourt. Une autre goutte, un peu plus bas, un autre frisson, plus fort, plus intense.


Il se cambre, il veut s’ouvrir mais ne le peut pas dans cette position alors je me relève et me place à genoux entre ses jambes, le libérant ainsi de mon poids. Je pousse des deux jambes à s’ouvrir plus encore et il se cambre un peu, relève les hanches, bombe les fesses. Elles sont presque ouvertes maintenant. Ses testicules touchent à peine le lit et je distingue un peu la tige de son sexe par en-dessous. Elle est tendue et frotte sur le lit, je vois la peau de son sexe qui bouge contre les draps avec le mouvement de son bassin. Je continue avec l’huile et verse de nouveau une goutte entre les fesses, de plus en plus près de son anus toujours dissimulé. De mon autre main, j’étale doucement ce lubrifiant tout autour des fesses, je n’ai pas encore touché son anus mais j’en ai très envie. Je glisse alors un doigt dans sa raie, doucement je descends, je sens la chaleur de son corps. Je descends encore et je le touche, je suis juste sur son anus avec le bout de mon doigt. À cet instant précis, un frisson le cambre et il pousse un soupir de plaisir. Il se cambre encore, il replie ses jambes encore, se pose presque à genoux, sa tête contre le lit, sur le côté.


Il a le visage rayonnant, la bouche entrouverte, je vois même la pointe de sa langue. Il a les yeux fermés et ses mains essayent de s’agripper à mes jambes, comme pour sentir ma présence. Je continue à verser de l’huile sur ses fesses et, de mon doigt, écarte doucement afin de pouvoir en verser directement quelques gouttes sur sa rosette. Je la découvre alors, très douce, très belle, à peine quelques plis, juste quelques poils fins. Il doit être très excité car déjà on la voit un peu ouverte, presque luisante.


Sans bouger je regarde, je regarde les gouttes d’huile couler le long de sa raie, perler sur son anus, briller sur sa rosette. J’ouvre de plus en plus ses fesses afin de vraiment l’admirer. Il est cambré au maximum maintenant, il s’appuie même un peu sur ses mains pour se soulever le bassin et s’offrir, m’offrir cette vue. Je repose la bouteille d’huile sur le côté, pose mes deux mains sur ses fesses pour les ouvrir au maximum, mes doigts glissent vers l’intérieur et j’entreprends de lui masser l’anus avec mes deux pouces en alternance. Son bassin ondule de plaisir et sa respiration s’accélère. Mon pouce s’arrête juste sur son anus, il est très lubrifié et s’ouvre presque de lui-même. Je fais alors mine de m’introduire et m’arrête un peu pour attendre sa réaction.



Il ne dit rien, retire ses mains de mes jambes, se redresse un peu sur un coude, se cambre encore plus devant moi, appuyé juste sur ses genoux écartés, les pieds en arrière contre mon ventre, puis il vient placer son autre main sur la mienne et, sans rien dire, appuie sur ma main pour me guider et me faire comprendre son désir. Je fais mine de résister, mon excitation à ce moment est à son comble. Il appuie alors plus fermement sur ma main et mon doigt s’enfonce en lui doucement. Je me redresse un peu sur mes genoux pour avoir une meilleure position, mon pouce toujours en lui, juste à l’entrée. Mon autre main descend alors vers ses cuisses et ses testicules que je touche pour la première fois aussi. Je les soupèse, ils sont très doux, très chauds. Je les masse doucement et me concentre sur mon doigt qui s’enfonce dans son anus sous les ondulations de son bassin. À l’intérieur, j’aime la sensation de ses muscles sur mon doigt. Je sens les contractions. Je me retire lentement et observe de près son anus se refermer alors qu’il pousse un soupir de plaisir non dissimulé. Ma main sous ses testicules s’aventure plus loin, je suis maintenant à la base de sa tige, elle est dure, très dure même. Je la serre et la caresse tout en continuant à tourner mon pouce sur la rosette de son cul.


Je n’en peux plus dans mon caleçon, il faut que je me libère. Je me redresse alors et me recule un peu. Je descends du lit et, devant son regard, lui toujours à genoux, je me déshabille. Je retire mon t-shirt, puis descends mon short, l’éloigne du pied puis, finalement, j’ouvre mon boxer et libère mon sexe. Je le regarde un instant et tout en regardant ses yeux posés sur moi, je descends lentement mon boxer et lui offre alors de voir mon sexe tout entier. Je suis tendu, je suis excité tellement que le bout de mon sexe est déjà reluisant. Il me fait un sourire et se redresse lui aussi sur le lit pour venir s’assoir sur le bord. Son visage est alors à quelques centimètres de mon sexe. Son sexe aussi est tendu vers le ciel, bandé au maximum. Je peux le voir aussi maintenant complètement. Je m’avance un peu plus proche du bord du lit, place mes pieds entre les siens, je caresse ses cheveux avec ma main et dessine le contour de son visage du bout du doigt.


Il prend alors ma main dans la sienne et la dirige vers sa bouche. Il effleure mes doigts de ses lèvres, un par un, puis s’attarde sur mon pouce. Ce doigt qui était en lui quelques secondes avant. Il l’embrasse, y donne de petits baisers, goûte du bout de la langue la vanille du lubrifiant mêlée à son propre lubrifiant puis le suce lentement, les yeux fermés. Je lui caresse alors les épaules, les bras, le visage pendant qu’il continue et j’approche aussi mon bassin de son visage. Sans un mot, juste un regard, il me fixe dans les yeux et saisit alors mon sexe à pleine main, le regarde avec envie, fait quelques va-et-vient le long de ma tige et y dépose tendrement sa langue. D’abord sur le frein, puis plus bas sur la tige qu’il lèche, puis en remontant vers le gland que finalement il prend en bouche. Nous ne bougeons plus pendant quelques secondes, le temps pour lui de goûter pleinement à mon sexe. Je sens sur mon gland maintenant complètement dans sa bouche que sa langue tourne, joue, cherche, goûte tout ce qu’elle peut. Cette caresse chaude fait monter mon excitation au maximum. Je commence alors un lent mouvement pour m’enfoncer dans sa bouche. Il se laisse faire, me regarde. Mon sexe disparaît doucement dans sa bouche et il commence alors une succion sur mon sexe tout entier. Le plaisir est à son comble, je sens mon excitation monter et me retire alors pour souffler un peu. Il comprend je crois et arrête sa fellation pour juste poser de petits baisers et de petits coups de langue sur mon ventre, mes hanches et sur mes testicules.


Je le pousse alors de nouveau sur le lit et le couche sur le dos. Je place ses jambes de chaque côté de moi, je les écarte au maximum et commence à lui caresser le sexe, les testicules et de nouveau l’anus. Je me rapproche de lui, à genoux entre ses jambes. Ses jambes sont posées sur les miennes. Je caresse son torse, ses seins dont je pince les pointes. Lui aussi a ses mains sur mon torse, il me caresse le ventre, masturbe mon sexe, soupèse mes testicules, les masse. Nous nous caressons ainsi pendant encore de longues minutes, alternant les va-et-vient rapides et les caresses lentes sur nos sexes. Je suis au bord de l’orgasme et lui aussi je crois, mais on dirait que nous voulons retarder ce moment le plus possible et profiter de ce moment.


Je prends alors l’initiative. Je prends ses jambes de chaque côté de moi et je les relève le plus haut possible de manière à découvrir et ouvrir ses fesses et son anus. Il comprend et prend alors ses jambes dans ses mains et les tire, les genoux en arrière vers son visage, le plus loin possible. Dans cette position indécente, il est complètement offert. Son anus s’est ouvert, son trou est visible, encore luisant de nos caresses. Je me recule alors, me place sur le ventre, le visage à deux centimètres de ses fesses. Mon sexe est tout contre le lit, comme dans un fourreau. Dans cette position, je pourrais jouir à tout moment rien qu’en bougeant mon bassin. Je pose les mains sur ses fesses de part et d’autre de son petit trou. Il sait où je veux en venir et se cambre le plus possible en arrière pour m’offrir complètement son cul.


J’embrasse alors une fesse, puis l’autre, elles goûtent bon l’huile de massage. Je me remonte un peu sur mes coudes et j’embrasse aussi ses testicules, faisant tressauter et vibrer son sexe. Puis je passe ma langue sur le scrotum, à la base des testicules et la fais tourner tout en descendant. Ma langue s’approche de son anus. Il prend maintenant ses fesses à pleines mains pour bien ouvrir ses jambes et écarter ses fesses. La vue est magnifique. Juste devant moi, son anus est tout ouvert. J’y pose un petit coup de langue et je le vois se rétracter sous le réflexe, puis doucement se rouvrir, comme par magie. Un autre petit coup de langue et encore il se referme. J’attends qu’il se détende de nouveau et y pose cette fois ma langue sans la retirer. Je sens alors le mouvement de ses muscles sur la pointe de ma langue, comme des spasmes. Je reste là et fouille de ma langue ce trou chaud et humide. Le goût est divin. À la fois suave et salé. Tout en laissant ma langue contre le trou, je pose maintenant ma bouche au complet sur son anus et lui prodigue un baiser torride, tournant la langue, pinçant les lèvres, fouillant l’entrée de la pointe de ma langue et essayant même de m’y introduire. Ses gémissements me renseignent sur son excitation.


Tout en lui fouillant l’anus de ma langue, tout en le baisant, je remonte alors ma main sur son sexe qui tressaute de plaisir. Je vais pour me relever et entreprendre de le sucer quand il me regarde et me dit :



Il serre alors ma main avec la sienne sur son sexe et me donne le rythme de la caresse, ouvrant encore plus son cul avec son autre main, son doigt presque à l’intérieur du trou pour l’ouvrir au maximum. Une main sur son sexe et l’autre pour l’aider à s’ouvrir, je recommence alors à lui lécher l’anus. Je suce même son doigt à l’entrée pour l’aider à s’y introduire. Il ne se fait pas prier et je sens sous ma langue son doigt s’enfoncer à l’intérieur, ressortir pour venir jouer avec ma langue et ma bouche et se ré-enfoncer de plus belle. Sur son sexe, nos mains prodiguent une lente masturbation, mais je sens le rythme qu’il m’impose s’accélérer. Il calque le rythme de cette caresse sur le rythme auquel son doigt disparaît en lui et moi je lui lèche et lubrifie le trou de plus belle, suçant et aspirant au passage son doigt. C’est alors qu’il est pris de spasmes et que sa respiration s’arrête presque, il pousse un long gémissement et, alors que ma langue est dans son anus avec son doigt, je sens dans ma main les spasmes de son orgasme et sur ma langue des contractions presque violentes. Je relève un peu les yeux et vois de longs jets de sperme tomber sur son torse, jusqu’à sa poitrine. Il est beau à ce moment.


Son orgasme semble durer de longues secondes et du sperme coule un peu sur ma main. Je sens cette chaleur sur ma peau. Je me relève alors pour le regarder. Ses yeux sont brillants, sa bouche ouverte, nos mains toujours autour de son sexe. Je retire alors ma main et entreprends de toucher son sperme encore chaud sur son ventre. C’est la première fois que je touche le sperme d’un autre homme et cette situation m’excite au plus haut point. Je masse son ventre, les pectoraux, ses seins avec ce liquide encore un peu chaud. Cette sensation est très sensuelle. Nos regards sont fixés l’un dans l’autre et rien ne semble vouloir nous arrêter. Je continue ainsi ma caresse sur son torse d’une main et me caresse le sexe de l’autre. Je suis très tendu, au bord de jouir moi aussi, mais il m’arrête encore une fois, se redresse un peu sur le côté et ouvre de nouveau le tiroir d’où il avait sorti l’huile. Je le vois prendre un préservatif et me le tendre, sans un mot.


Je le prends de ses doigts, le regarde dans les yeux et m’exécute. Le message est clair. Il me veut. Je me recule alors entre ses jambes, lui ouvre délicatement. J’ouvre l’emballage du préservatif, le sors et, devant lui, me l’applique sur le sexe. Je prends alors encore un peu d’huile et en pose quelques gouttes sur le bout de mon sexe tendu que je masse un peu. Je masse encore un peu ses fesses, sa raie et son anus pour bien le lubrifier et je me positionne tout proche de lui, sur les genoux, penché en avant alors qu’il ouvre ses jambes au maximum en les prenant par-dessous ses genoux. Je pose alors doucement mon gland couvert juste sur son trou et m’arrête pour le regarder dans les yeux. Je me penche en avant et dépose un baiser sur son torse, il goûte bon, le sperme encore je pense.


Je continue un peu et appuie doucement mon sexe qui s’enfonce légèrement. Il pousse un petit gémissement et m’attire vers lui avec ses jambes sur mes fesses. Mon gland est à l’intérieur et je sens très bien ses muscles se contracter et se dilater au rythme de sa respiration. Je marque une pause et m’enfonce encore un peu plus loin en lui. La sensation est divine pour moi. Je ne vais certainement pas tenir longtemps. Je me recule un tout petit peu pour sentir encore l’anneau de son anus juste sur mon gland et m’enfonce de nouveau, cette fois au plus profond que je peux. Je le regarde et vois ses yeux fermés, sa bouche ouverte. Son plaisir s’entend dans son souffle. Il ouvre les yeux et me sourit. Je commence alors un va-et-vient lent et profond en lui, il me suit dans mon rythme avec ses jambes. Je suis bien. Je le sens s’ouvrir et se contracter comme pour m’aspirer en lui. Au bout de quelques minutes à peine, je me sens jouir.


J’accélère un peu la cadence et m’enfonce à chaque fois jusqu’au fond, faisant rebondir mes testicules sur ses fesses. Il me serre encore et je jouis, dans un dernier mouvement en lui. Mon orgasme est fort, puissant. Je sens mes propres spasmes en lui, si serré au fond de son anus. Il me regarde dans les yeux alors que j’éjacule de longues secondes. Il me sourit et prend ma tête entre ses mains pour me caresser. Je tombe alors sur lui, le visage contre son torse. La bouche sur lui je goûte encore un peu ce sperme étalé sur ses seins.


Nous restons comme ça quelque temps, le temps de reprendre notre souffle puis je me retire doucement de lui tout en continuant à embrasser son ventre et ses seins, sa main dans mes cheveux semblant me retenir là. Je m’allonge alors sur le dos, à ses côtés et retire le préservatif. Nous restons ainsi couchés, nus, reprenant nos esprits. Nous nous sommes même un peu endormis je crois, apaisés, heureux.