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n° 14301Fiche technique9855 caractères9855
Temps de lecture estimé : 7 mn
28/02/11
Résumé:  Cela ne devait être qu'une journée RTT câline, mais manifestement, Gwenaëlle, mon amante et accessoirement collègue du 2ème avait décidé de me sortir le grand jeu...
Critères:  fh collègues voir lingerie fellation cunnilingu 69 fdanus fsodo
Auteur : Café-clope      Envoi mini-message
Gwenaëlle

Après toutes ces grèves, vendredi était RTT, ce qui promettait un petit week-end de trois jours.


Au départ, j’avais envisagé de me reposer mais j’ai croisé Gwenaëlle, qui me dit qu’elle envisageait de faire de même. Ni une ni deux (je ne suis pas du genre à perdre le nord), je lui ai proposé qu’on se voie. Elle a accepté, enchantée. Rendez-vous a donc été pris pour 10 h, à la gare.


Alors, pour plonger directement dans l’action, à 10 h, j’étais en face de la gare, attendant l’arrivée de la voiture de la miss. Il était presque 10 h 20 lorsque, m’apprêtant à l’appeler, je l’ai vue arriver devant le parvis. On sentait que c’était jour de repos, elle était en jogging et baskets. Je l’ai connue plus sexy. Qu’importe. Bise amicale, ça va ? Oui, ça va, et toi ? Etc.


On est montés dans sa voiture, et direction chez elle. Elle m’a annoncé qu’elle m’emmènerait au restau le midi. Gêné, j’ai protesté, sans succès (mais pourquoi, gêné ? vieux réflexe macho ?) Elle tenait à m’inviter. Fort bien !


Lorsque nous sommes arrivés, elle a tout de suite demandé si j’avais prévu quelque chose de particulier. Non, rien du tout. Je voyais bien qu’elle avait un truc à dire, qu’elle se mordillait la lèvre, qu’elle se tordait un peu les mains, le regard dans le vague. Et là, j’ai eu du mal à croire ce que j’ai entendu.



Je l’ai suivie dans cet endroit qui me rappelait de bien belles choses. J’ai alors remarqué une chose qui m’avait échappé précédemment: une sorte de mini-dressing qui s’ouvrait sur la chambre. Après avoir lancé sur une microchaîne un disque de soul, elle s’y est engouffrée pour refermer la porte derrière elle. J’ai patienté quelques instants sur le lit, me remémorant ce qui s’y était passé, puis la porte s’est ouverte.


Et Gwenaëlle m’a fait une sorte de petit défilé privé, enchaînant les tenues affriolantes, de celles que j’avais l’habitude, à la puberté, de dévorer des yeux en feuilletant d’une main le catalogue de la Redoute. Elle se trémoussait un peu devant moi, mais sans plus, jusqu’au moment où elle est apparue dans une authentique tenue d’allumeuse, un ensemble noir, corset, string, et bas à motifs floraux du plus bel effet. Elle m’a fait une authentique chorégraphie de bar à strip-tease, se déhanchant au rythme d’un morceau endiablé qui venait à peine de commencer.


Littéralement fasciné par cette peau blanche parsemée de quelques taches de rousseur, ces fesses qui s’agitaient devant moi, je me suis calé en arrière, pour le confort, mais aussi pour montrer de façon ostensible mon érection qui était devenue manifeste. Elle promenait ses mains sur tout son corps, mimant une masturbation lente, son regard sur moi. Impossible qu’elle ne remarque pas ! Lorsque le disque a été fini, Gwenaëlle s’est arrêtée, un peu essoufflée, mais surtout un peu rouge : effort, ou excitation ? Un peu des deux, sans doute.


Beau sourire. "Ça t’a plu ?" J’ai hoché la tête affirmativement. "Bouge pas, j’arrive." Elle est repartie dans son dressing, et je me suis allongé sur le lit, tout tendu d’excitation. Je me repassais en boucle ses deux globes blancs séparés par la mince bande noire de son string. Et si… non, d’habitude, elles n’aiment pas ça.


J’ai entendu la porte se rouvrir, et Gwenaëlle s’est approchée du lit. Elle portait une délicieuse nuisette saumon. Sans rien dire, elle est montée, à hauteur de ma tête, puis est venue se positionner au-dessus de moi. J’ai eu une vision sublime sur ses lèvres entrouvertes, au bord desquelles perlaient déjà quelques gouttes. J’ai posé mes mains sur ses cuisses, et son bassin s’est immédiatement baissé jusqu’à ma bouche. J’ai commencé à promener mes lèvres sur son sexe, pour en tâter la tiédeur. Elle est si douce !


Et puis soudain, elle s’est allongée en avant, pour extirper mon sexe de mon pantalon. Elle m’a branlé doucement, avant de me prendre en bouche. Avec les mains, j’ai écarté les pans de sa nuisette ; la lumière est venue éclairer la raie de ses fesses. J’avais la bouche à quelques centimètres de son petit anneau tout serré…


En m’aidant de mes mains, j’ai écarté ses fesses et, pendant que je la dévorais littéralement, j’ai fait tourner mon index sur sa pastille, en pressant légèrement. Elle a rapidement remué son bassin, en me suçant de plus en plus profondément. Je sentais sa salive dégouliner sur mes bourses. J’essayais de me contrôler. Au final, d’une légère pression de mes mains sur ses seins, je l’ai forcée à se redresser, ma bouche toujours collée à son sexe.


Tout en soupirant et gémissant, elle s’est relevée, alors que sa mouille m’inondait toujours les pourtours de la bouche. J’ai fini par me décoller de son coquillage pour me relever et la prendre dans mes bras. Nous nous sommes embrassés puis elle s’est tournée pour venir frotter ses fesses contre mon sexe, pendant que je caressais ses seins. J’étais dans un état d’excitation terrible. Elle est si belle, bien plus encore avec cette expression de désir et de plaisir sur le visage.


N’y tenant plus, j’ai lentement fait remonter mes mains jusqu’à ses épaules pour la pousser un peu en avant, et lui faire comprendre que j’avais envie d’elle à quatre pattes. Comprenant mon envie, elle m’a adressé son plus beau sourire, et s’est positionnée, les mains croisées sous le menton, sa croupe tendue vers ma verge qui luisait de sa salive pas encore sèche.


Je me suis emparé d’un préservatif et l’ai enfilé vite et bien (d’habitude, je foire mon coup), avant de promener pendant quelques instants mon gland le long des lèvres de Gwenaëlle, pour l’exciter un peu plus. Elle semblait à point, se dandinant presque malgré elle. D’un coup, je suis entré. Pas de résistance, juste la douceur de son sexe. J’ai doucement entamé le mouvement, mes mains posées sur ses fesses.


C’était vraiment génial, de l’entendre soupirer, d’entendre ses soupirs devenir gémissements…


Je m’amusais des clapotis qui montaient de sa fente à chaque aller-retour. La tête tourneboulée par cette débauche, j’ai recommencé sur son anus mon petit manège, mais cette fois-ci avec mon pouce et en appuyant un peu plus fort. Là, elle a commencé à bouger le bassin d’avant en arrière, accompagnant mes mouvements. C’était génial ! Elle semblait sensible aux attentions que je prodiguais à sa petite rondelle, je me suis donc fait plus pressant, et, d’un coup, le bout de mon pouce est rentré, lui arrachant un petit hoquet de surprise. Nous nous sommes immobilisés un instant, mais elle n’a rien dit. Elle a juste recommencé son mouvement.


Pas de meilleure invitation ! J’ai légèrement fait tourner mon pouce dans l’orifice pendant que je recommençais à la besogner, avec plus de vigueur cette fois-ci. Elle soufflait fort, certains de ses soupirs se muaient en couinements étouffés par l’oreiller.



Elle semblait fondre ; sa main était venue stimuler son clitoris, et le bout de ses doigts effleurait légèrement ma verge.



J’ai adoré la faire mariner… d’autant que je sentais qu’elle continuait à se caresser. Je me suis retiré de son antre et j’ai déposé de la salive sur son anus, pas mal de salive, que j’ai ensuite fait entrer avec mon pouce pour lubrifier l’intérieur et continuer à le dilater un peu.


Enfin, ne pouvant pas tenir plus longtemps, j’ai appliqué mon gland sur son petit trou et j’ai commencé à pousser pour me glisser en elle. Le gland est entré assez lentement, je ne voulais pas qu’elle ait mal. Ça a duré plusieurs minutes, dans un silence anxieux mais lourd d’excitation. Puis, finalement, j’ai fini par m’enfoncer plus naturellement, non sans avoir encore rajouté de la salive.



"J’espère !", ai-je songé à cet instant.


J’allais et venais entre ses deux collines blanches. Les sensations sont délicieuses, à la fois identiques et différentes de celles ressenties dans le vagin. Mais quelle excitation de passer par là ! Je l’entendais gémir, comme une petite fille ou presque. Mais une petite fille à la poitrine généreuse et qui m’avait demandé de la sodomiser.


Je me suis laissé aller, en écoutant le bruit de nos chairs qui s’entrechoquaient, les gémissements de Gwenaëlle, qui se sont presque mués en cris. Je suis resté longtemps ainsi, avant de jouir…


Nous n’avons pas refait l’amour ce jour-là. Elle s’est endormie dans mes bras, et j’ai passé mon temps à contempler et caresser son corps, tenté de me masturber contre elle à son insu. Juste parce qu’elle semblait offerte…