n° 14311 | Fiche technique | 26250 caractères | 26250Temps de lecture estimé : 15 mn | 06/03/11 |
Résumé: Un voisin a pour voisine une jeune demoiselle qui semble très réceptive à ce qu'il propose | ||||
Critères: fh hplusag jeunes odeurs hmast fellation pénétratio -totalsexe | ||||
Auteur : Camille SaintSens (Un homme ou une femme ?) Envoi mini-message |
Cette jeune femme, c’était ma voisine. Ma voisine depuis peu, à vrai dire. Trois mois. Je venais d’emménager.
J’étais à la campagne, dans une maison, avec pour voisines des vaches et des mémés. J’avais choisi de m’excentrer pour profiter du bon air et des loyers pas chers. La proximité de la gare TGV me permettait d’aller voir mes amis et mes relations coquines. Mais il y a peu, j’ai eu une offre très intéressante, une offre qui ne se refuse pas. Quasiment le double de mon salaire avec beaucoup d’avantages et quelques désavantages, dont celui des loyers parisiens car ce boulot me demandait de déménager.
Bref, en peu de temps, je trouvai un appartement et je déménageai. Cartons, meubles, mouvements, aménagements… Quelques jours plus tard, me voilà locataire en région parisienne. Niveau voisin, ce n’était plus la même chose que dans mon village. Il y’en avait partout. J’en croisais tous les jours dont cette charmante jeune femme.
J’ai commencé par la voir de dos, dans le couloir. Une paire de fesses comme j’aime. Sportive, pas du tout le genre top model déprimée et anorexique. Il y avait de la vie dans ce cul, dans la façon qu’il avait de rouler, de traverser le couloir. Arrivée devant chez elle – deux portes à côté de la mienne – la jeune femme fit un quart de tour pour se mettre face à la porte. Je vis son visage et je fus sous le charme immédiatement. Elle était jeune et charmante. Pas encore vingt ans mais je sentais quelque chose de joueur en elle, de libéré. Se sentant observée, la jeune femme tourna la tête dans ma direction et me sourit, timide, presque rougissante. En rentrant chez moi, j’étais excité. Je me masturbai en pensant à elle. Je devais avoir quinze ans de plus qu’elle. Le pouvoir de sa jeunesse, de sa beauté…
Deux jours plus tard, j’eus sur le palier une vision de rêve. Mademoiselle ma voisine était accroupie pour refaire son lacet, m’offrant une vue sur un joli petit string en coton rehaussé de dentelle. Le parfait petit slip de lycéenne. Je fus un instant à contempler cette vue avant de me diriger comme si de rien n’était vers l’ascenseur, en prenant mon temps.
Cette technique fut payante car la jeune femme se retrouva avec moi dans l’ascenseur. Ni une ni deux, j’engageai la conversation. Elle était timide, hésitante. Elle était jeune et craquante. Je venais de voir son string. Son odeur emplissait la cabine. Je bandai rapidement.
C’était moi ou elle rougissait ?
Grand sourire. Elle rayonnait. Ma queue me faisait mal dans mon pantalon. Voyait-elle l’effet qu’elle avait sur moi ? Pouvait-elle imaginer que son odeur et la vision de son joli petit slip me faisaient bander comme un taureau ?
Soit elle trouvait cela drôle, soit je passai pour un obsédé, un pervers mais dans le mauvais sens des termes. Son sourire s’épanouit. Elle ne fut pas choquée. Un premier pas dans la bonne direction.
Là encore, je m’avançai mais j’étais trop excité pour ne pas prendre ce risque.
L’ascenseur atteignit le rez-de-chaussée. Elle en sortit. Je descendis à la cave.
De retour chez moi, une autre masturbation. Dieu qu’elle m’excitait, cette lycéenne !
Je fus ensuite deux semaines sans la voir. Je bossais beaucoup et je rentrais tard le soir. Lentement, le souvenir de la rapide excitation qu’elle avait déclenchée en moi s’estompait. Chaque fois que j’étais sur le palier, je regardai la porte de son appartement et je pensai à tout ce qu’une jeune femme comme elle promettait de jeux et de délices. Je finis par me résigner. Ce n’était pas encore l’heure pour moi d’accomplir ce fantasme de l’éducation sexuelle d’une jeune femme.
J’avais de nombreuses aventures. Des femmes mariées voulant pimenter leurs ébats, des étudiantes de vingt ans et plus désireuses de s’envoyer en l’air, des expertes du sexe qui pratiquaient avec constance et bonne humeur. J’avais à ma disposition un large choix de femmes pour pratiquer toutes les choses que j’aimais mais la lycéenne, la jeune femme à peine majeure… Délice des délices. À chaque fois que je pensai à la vue de son petit cul penchée m’offrant son string, j’en venais à fermer les yeux pour imaginer la suite.
Ainsi, ma surprise fut grande quand, un samedi matin, alors que je remontai des poubelles, je vis dans le couloir les parents de ma voisine, bardés de valises et de sacs de voyages, dire au revoir à leur fille.
Il ne m’en fallut pas plus. Le feu prenait déjà. S’ils parlaient d’arroser les plantes, c’est qu’ils partaient plus qu’un week-end. Une semaine, au bas mot. J’avais donc un créneau d’une semaine pour arriver à mes fins. Les dieux furent avec moi car, le soir même du départ des parents, je croisai Laure – même si je ne savais pas encore qu’elle s’appelait ainsi – devant l’ascenseur. Nous sortions tous les deux. Elle avait un jean et des bottes simples.
Son sourire délicieux.
À vrai dire, peu m’importait sa soirée. C’était au lendemain que je pensais.
Le ski, c’est une semaine en général. Mes prévisions étaient justes.
Elle me sourit encore. Je bandai.
Encore et toujours, son sourire avec, cette fois-ci, un soupçon de rouge aux joues mais pas le classique rouge de honte ou de timidité. Non. Un rouge que je connaissais bien pour l’avoir vu, quelques jours auparavant sur les joues de la femme que j’étais en train de sauter. Je ne fis pas long feu à ma soirée. J’avais la tête ailleurs. Il me tardait d’être à 14 h, le lendemain. La matinée fut consacrée au rangement pour accueillir comme il se doit ma voisine, si l’envie lui en prenait de venir chez moi.
À 13 h 57 sur mon portable, l’on toqua à ma porte. Le judas me montra ma voisine toujours en jupe, belle comme le jour. Elle venait se faire baiser, je le sus, je le vis, je le sentis. Elle avait 18 ans, elle était fraîche et souriante. Oh que j’avais envie de m’amuser avec elle.
Vous ne me croirez pas, mais mon cœur battait comme lors d’un rendez-vous amoureux alors que j’ouvris la porte. Ce n’était pas de l’amour qui m’animait mais la délicieuse sensation d’avoir découvert mon graal érotique, de faire une nouvelle rencontre qui allait compter pour moi.
Ses cheveux bruns étaient tirés en une natte, sa jupe était écossaise, à carreaux et ses bottes étaient plus des chaussures montantes à lacets que de réelles bottes. Son parfum discret accompagna cette vision. Nous échangeâmes un regard qui acheva de me conforter quand au déroulement de cet après-midi. Il y avait en outre sur son visage un soupçon d’hésitation, comme si elle ne réalisait pas tout à fait qu’elle venait de sonner à la porte d’un homme avec des idées précises en tête.
Je fis un pas sur le côté pour la laisser entrer et regarder ses fesses. On ne voyait pas de trace de ses dessous mais je devinais bien sa croupe, presque naturellement cambrée.
Après une brève visite – mon appartement n’était pas encore vidé de ses cartons – nous primes place dans le canapé. Je lui offris un verre. Elle prit un jus de fruit.
Elle ne pouvait s’empêcher de sourire. Un fruit déjà mûr qui ne demande qu’à être cueilli. Mais je voulais savourer. Je ne voulais m’en emparer qu’au moment où il tomberait lui même de l’arbre.
Son sourire encore et toujours. Mon érection aussi.
Nouveau sourire en guise de réponse.
Son sourire rayonnant répondit à sa place.
Ce qui voulait dire : « je ne suis plus vierge ». Tant mieux. Ce n’était pas ma recherche.
Son regard descendit très rapidement, très brièvement sur mon érection qui tendait dignement mon pantalon. L’éclair de plaisir qui traversa son visage ne m’échappa pas. Le fruit était mûr.
Elle ne dit rien dans un premier temps puis releva la tête pour planter ses yeux dans les miens.
Avait-elle employé le vous de son plein gré ou bien était-ce involontaire ? Quoi qu’il en soit, ce « venez-voir » était la phrase la plus érotique qu’une femme ait jamais prononcé à mes oreilles.
Sur le canapé, en un geste souple, je me tournai complètement vers elle, le bras sur le rebord pour aller caresser ses cheveux, une jambe passée sous l’autre. Je mis alors un doigt sur son genou pour lentement le faire glisser sur sa jambe gainée de nylon.
Commença donc l’exploration des merveilles cachées sous la jupe de ma jeune et jolie voisine. Pour commencer, des bas. Ils enserraient des jambes douces, des cuisses à la peau ferme. Mes doigts jouèrent un instant au niveau de l’élastique, pour caresser doucement l’intérieur de ses cuisses avant de poursuivre ma route vers le cœur même de son intimité. Laure fermait les yeux, sa tête était basculée en arrière, dans ma main.
Son sourire…
Elle s’exécuta sans coup férir. Ma main entra en contact avec ce qui semblait être un string en dentelle. Je dis semblait car le haut degré d’humidité de cette lingerie en faussait toute analyse. Car Laure était trempée. Sa lingerie était moite, humide, mouillée. Je sentais la chaleur que diffusait son sexe à travers l’étoffe de son string.
Elle la prit à deux mains et la remonta pour dévoiler un joli string gris en dentelle. Une auréole de cyprine le rendait plus sombre autour de son sexe.
Elle écartait à présent généreusement les cuisses. Je fis glisser son string de quelques centimètres, pour avoir une vue plongeant sur son pubis. Un parfait ticket de métro. Mon index se glissa un peu plus avant dans cette intimité pour découvrir son clitoris qui était chaud et trempé. Elle se mit à gémir alors que mon doigt accélérait son va-et-vient sur son bourgeon. Elle pose une main sur la mienne.
Puis je me penchai pour l’embrasser. Ses lèvres… Sa bouche… Jamais baiser ne fut plus délicieux que celui-là. Ses dix huit ans, sa fraîcheur, son excitation, son envie de découvrir et de bien faire. Nos lèvres restèrent collées un certain temps. Je me souviens juste qu’après ce long baiser, j’avais un doigt en elle, dans son sexe. Ce sexe, cette chatte, ce vagin ! Je n’en avais jamais connu d’aussi doux et étroit. Je sentis autour de mon doigt les parois de son intimité exercer une douce pression. Sa moiteur enduisait mon doigt. Les palpitations de son sexe me rendaient fou.
Je mis un deuxième doigt. Je devais presque forcer le passage tant son vagin était étroit. Je me sentis plus que jamais dans le rôle de l’initiateur, du professeur ès choses du sexe, de la vie. Son sexe s’ouvrit encore un peu plus et mes doigts explorèrent en profondeur cette intimité offerte. Ils disparurent en elle. Laure en gémissait, s’en mordait les lèvres. Sa main serrait fortement mon poignet. J’aurais pu la faire jouir ainsi mais je voulus jouer avant tout.
Je sortis mes doigts pour les sentir. L’odeur me fit presque tourner la tête. Un régal que le parfum intime de cette jeune femme. Je léchai mes doigts pour la goûter un peu plus avant. Là encore, un délice. Un goût délicat, légèrement salé. Sa cyprine était un nectar divin.
Alors que je savourais mes doigts, je sentis ma voisine s’occuper de ma ceinture. Elle prenait les devants. Très bien.
Mes doigts vinrent à l’orée de sa bouche et furent immédiatement happés par ses lèvres puis sa langue vint jouer avec. Elle fit des merveilles tout en achevant de sortir mon sexe tendu, raide, rouge de plaisir.
Disant cela, je défis sa jupe pour glisser ma main dans son string. Mes doigts errèrent sur son sexe, son clitoris, ses lèvres. Elle était si moite, si excitée, si douce. Je me mis à pétrir ses fesses alors qu’elle avançait sa bouche vers mon sexe…
Je perdis vite toute notion du temps. Le dimanche, jour du seigneur ? Jour des miracles, oui. J’étais sur mon canapé, mes mains sur une peau douce, mes mains arrimées à un bel et bon cul de dix huit ans, ferme. Laura avait beau être jeune, les mouvements de sa langue sur mon gland étaient de très bon augure pour la suite. Sa langue était tendue, dardée, dirigée vers un seul et unique but, me faire bander. Cette jeune femme ne semblait pas débutante en la matière ou alors, elle avait un don pour cela. Un don pour tailler de belles et bonnes pipes, un don pour sucer les queues qui avait presque le double de son âge. Elle explora le moindre millimètre carrée de mon gland, elle descendit le long de ma verge, elle lécha mon pubis dégagé de tout poil, elle fit varier la pression du bout de sa langue.
Elle sortit ma queue de sa bouche, se mit à me branler et planta son regard dans le mien.
Mes mains remontèrent vers les boutons de son chemisier blanc pour les dégrafer un à un. Alors que Laure me prouvait, du bout de sa langue, que la valeur n’attend pas le nombre des années, je mis à jour son soutien-gorge. Il n’était pas appareillé à son string mais le complétait à merveille. Une lingerie fraîche, un lycra rehaussé de dentelle.
Sous cette étoffe, deux tétons qui pointaient très sérieusement. Je les pris entre mes mains pour les faire rouler, pour les pincer avec fermeté mais douceur. Je mis mes mains sur ses seins pour m’en remplir les paumes. Mille et une caresses qui troublèrent Laure. Elle stoppa la course de ses lèvres sur ma queue, se mit à gémir. Sa tête vint se poser contre mon aine, sa joue sur les poils rasés de mon pubis.
Trop excité. Mes mains allèrent pétrir ses fesses. Mes doigts se promenèrent à l’orée de son sexe, entre ses cuisses repliées. Rarement, j’avais vu une fente aussi moite, aussi humide, aussi attirante. Je mis une claque sur cette croupe. Une claque sonore, qui rebondit sur cette peau ferme, tendue. J’entendis Laure gémir. Elle m’envoya un regard sans ambiguïté aucune.
Elle me suça encore et encore. Elle ne se lassait pas. Sa bouche descendait, descendait encore. Maîtrisait-elle déjà la technique de la gorge profonde ? Était-elle si parfaitement amatrice des jeux sexuels que je pouvais faire disparaître ma queue en entier dans sa bouche ? Autrement dit, plus crûment, était-elle le genre de nana aimant se faire baiser la bouche ? Je brûlais de savoir mais je ne voulais pas aller trop vite.
Je mis un baiser sur chacune de ses fesses puis, de mes deux mains, je les ouvris pour contempler son intimité parfaitement révélé. Son sexe rose et chaud, son œillet froncé. La cyprine enduisait l’intérieur de ses cuisses. Laure sentait si bon. Je mis mon nez à quelques millimètres de sa fente pour m’emplir les poumons de son odeur.
Sa voix vibrait de sexe. Laure ne voulait que cela. Elle était venue pour ce moment-là. Celui de la pénétration. Sentir en elle ma queue glisser. Elle tourna la tête vers moi quand je la pris. Elle se mordit les lèvres. Elle ferma les yeux. Elle était ailleurs, transportée par le plaisir. Son sexe s’ouvrit sans mal pour laisser passer ma queue. Quelle sensation ! Quel plaisir ! Quelle étroitesse !
Quelle chaleur intime ! Aller et venir en elle était au-delà du descriptible.
Puis ce fut une cadence rapide, intense. Ma queue creusait en elle avec assurance, loin, profondément. Son sexe s’ouvrait sans mal. J’en sortis pour contempler ses lèvres rougies et écartées. Je voyais en elle, son intimité. Son clitoris gonflé, sa peau luisante.
Ce que je fis pour m’arrêter à l’orée de son orgasme, alors qu’elle vibrait, que son corps s’agitait, que sa main agrippait ma peau là où elle pouvait.
Pour que l’effet de surprise soit complet, je dus agir vite. Quelques secondes après le retrait de mes mains, ma queue se glissa en elle. D’un coup, en entier, au bout. Laure fut investie par ma queue et se retrouva remplie en un instant. Elle cria. À partir de ce moment et jusqu’à son orgasme, elle fut sonore.
Je pris un plaisir immense à la faire crier.
Son oui se perdit en gémissements. Elle jouit peu après. Un spasme parcourut tout son corps. Elle vibra, ondula, cria.
Son sexe palpita autour du mien, précipitant mon éjaculation.
Laure trouva la force de se retourner pour me faire face.
Je ne fus pas long à jouir. À peine hors de son sexe, en quelques coups de mains, alors que je grognais, trois puissants jets de foutre jaillirent de mon sexe pour aller maculer ses seins, son ventre, son cou. Une goutte eut même assez d’énergie pour atterrir sur son menton. Après un râle, je m’effondrai devant elle.
Les genoux au sol, les épaules sous ses cuisses, ma tête sur son nombril.
Je n’avais plus conscience de rien. Une petite mort exemplaire.
Laure me remercia. Je la vis essuyer le foutre sur son corps avec son string.
Nos corps étaient chauds, en sueur et l’après-midi ne faisait que commencer…