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Temps de lecture estimé : 16 mn
07/03/11
Résumé:  Comment je fis découvrir à ma femme de nouvelles sensations.
Critères:  fh couple amour cunnilingu 69 pénétratio jouet -couple
Auteur : Jipiwawa      Envoi mini-message

Collection : Souvenirs... de ma femme
Un nouvel ami

Cette histoire se passe en août 2006, nous étions en couple depuis dix ans mais le désir que j’éprouvais ne s’émoussait pas avec le temps.


Je vous avais raconté les premiers émois avec ma femme, mon Isa, comment j’ai appris à lui donner du plaisir avec ma langue, mes doigts et mon sexe, mais le temps passant, ayant plus que jamais envie d’elle et d’aucune autre femme, je voulais autre chose dans nos relations intimes. Voilà une grande histoire, et bien que j’aie plein de souvenirs tout émoustillants, cette période a changé quelque peu nos relations intimes.


Les choses ont changé depuis nos premières années, nous sommes installés mon Isa et moi dans une belle maison de la grande banlieue bruxelloise et notre deuxième fille était arrivée quelque quatorze mois plus tôt.



Je suis toujours amoureux de ma femme, et nous nous sommes quelque peu éloignés de notre vie de couple. Deux enfants, un rythme de vie trépidant et peu de temps pour nous, en gros le quotidien de pas mal de couples modernes.

Mais cela ne tempérait pas mon désir et à chaque fois que je voyais Isa, j’éprouvais un mélange entre amour, tendresse et passion. Il faut dire que, certainement sans s’en rendre compte, elle embellissait avec les années et bien que nous ayons vieilli tous deux, je la trouvais encore plus désirable qu’auparavant. Lors de nos ébats, les préliminaires duraient toujours longtemps et bien qu’adorant justement les préliminaires, je regrettais de ne pouvoir faire jouir plus d’une fois mon Isa.


Il me vint alors une idée : comme il était impossible d’aborder ce sujet avec elle (certainement par pudeur et de crainte que je ne lui en demande plus vu mon appétit), je commandai un vibromasseur sur internet. Partant de l’idée que je pourrais certainement grâce à mon « copain » apporter plus de plaisir encore à ma petite femme.


L’achat réalisé et payé, il est arrivé le jour où nous partions en vacances mais avec une erreur : au lieu de m’être adressé, il est arrivé à l’attention d’Isa. Le satané facteur qui, ayant l’habitude de livrer des commandes à Isa, et croyant bien faire, lui avait laissé un avis d’enlèvement d’un petit colis au bureau de poste.


Bigre ! La tête qu’elle a dû faire quand elle a ouvert le paquet et a découvert un petit vibro mauve marbré et parcouru de nervures ! Toujours très discrète, elle a laissé le paquet à mon intention sur mon bureau, comme je le relatais plus haut ; les conversations à propos de sexe et elle, cela faisait deux.


Nous sommes partis à la mer et à peine arrivés de quelques jours, Isa me dit un soir :



J’étais sous le choc. Qu’elle ne saute pas de joie, ça je m’y attendais : je lui avais déjà parlé de pimenter nos relations avec un jouet, elle avait toujours décliné, déclarant qu’elle n’avait pas besoin de cela. Mais là, ressentant un désir fou pour elle, je ne comprenais pas qu’elle puisse penser que j’allais voir ailleurs. J’étais triste et me sentais tellement seul mais je lui rétorquai qu’un peu de fantaisie dans notre vie sexuelle ne pouvait pas nous faire de tort. La réaction d’Isa fut un non mordicus et silence radio.


Les vacances ont continué et nous sommes rentrés à la maison, sans avoir eu de relations intimes, le vibro était toujours sur le bureau dans sa boîte.


Quelques jours après notre retour, notre fille aînée partit à la mer chez des amis, nous restâmes à trois : Isa et la petite étaient à la maison et moi je repris le travail.

Cette année-là, il faisait magnifique, la chaleur était accablante en journée mais la douceur des soirées était des plus agréables.


Nous voilà le lundi après dix jours de congé. Du boulot par-dessus la tête, tout dans l’urgence et comme pour couronner le tout, une chaleur gaie à la maison mais alors dans des bureaux chauffés à blanc et devant un PC cela avait tout de suite moins d’attrait.


Je me retrouve donc rentrant du bureau vers l’heure de l’apéro en étant un peu fatigué mais surtout avec une envie de ma femme qui me ronge le ventre. Chaleur et abstinence ne sont pas pour calmer les ardeurs et mon désir pour ma femme.


Je fis doucement en entrant dans la maison, notre petite fille était une dormeuse et je ne voulais pas la réveiller. À pas de loup, je fermai la porte et enlevai mes chaussures. Je dois dire que le contraste entre la chaleur extérieure, la fraîcheur de la maison et le froid du carrelage sous mes pieds était des plus agréables.


J’avançai vers la cuisine pour me servir un petit verre et me passer un peu d’eau froide sur le visage et les mains, cette journée avait vraiment été brûlante. Je me servis un verre et allai fumer une cigarette dans le jardin. Mais où était donc mon Isa ?


Tout à ma rêverie, je tempérais mon désir depuis quelques minutes déjà et, perdu dans mes pensées, je fumai encore une cigarette en dégustant mon apéritif, douce quiétude de la fin de journée.


Toujours pas de signes de ma petite femme, elle devait certainement dormir elle aussi. Je terminai mon verre et rentrai dans la maison, décidé à regarder les programmes estivaux en attendant le réveil de ma belle.


Arrivé par la porte de la salle à manger, je restai en arrêt, Isa dormait habillée dans le canapé devant la télé allumée. Je m’installai dans un des petits fauteuils pour regarder les programmes de la fin d’après-midi.


Je jetai un coup d’œil à la dormeuse et détaillai son look estival. Elle portait un petit haut très près du corps, et je remarquai tout de suite qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge. Mon Isa avait cet avantage de pouvoir être seins libres dans ces tenues d’été car ses seins étaient toujours fermes malgré deux maternités et elle n’avait rien à envier aux gamines de vingt ans, encore maintenant d’ailleurs.


En bas, ma petite femme portait une jupe assez légère et large, presque flottante. Sa position couchée sur le côté faisait remonter le léger vêtement plus haut que mi-cuisses et je pouvais détailler librement tout son corps. Elle prenait une position en chien de fusil, et son genou relevé vers sa poitrine retroussant encore plus sa jupe, elle m’offrait dans son sommeil une vision magnifique de ses fesses.


J’étais comme paralysé, jamais je n’ai connu de femme qui avait un aussi joli fessier que mon Isa. Ses fesses rondes et pleines à souhait m’hypnotisaient réellement et là où j’avais réussi à calmer mes ardeurs, la vue de son majestueux fessier me donnait une énorme érection.


L’avantage de ces pantalons de toile légère que l’on porte en été c’est que le contact est plus facile qu’à travers un jean. Isa bougea encore un peu plus haut sa jambe et comme je m’y attendais, ses fesses n’étaient couvertes que d’un léger string qui s’enfonçait profondément entre ses fesses et ses cuisses. C’en était trop, mon sexe faisait des petits bonds et la vision que ma petite femme m’offrait m’excitait au plus haut point.


Tout à ma rêverie érotique, je ne vis pas Isa ouvrir les yeux, mon regard toujours vissé à sa chute de rein, naviguant de la courbe de ses hanches à ses fesses.


Elle s’étira et me voyant me fit un sourire, à demi endormie, sa jupe toujours relevée sur ses hanches. Tout en étirant ses longues jambes fuselées, je vis que ses seins pointaient sous son top trop moulant.


Je me levai et viens lui faire un petit bisou, ma main posée sur sa jambe, mon envie d’elle devenait de plus en plus difficile à contenir. La douceur et la chaleur de sa peau me firent perdre la tête, et là, je cédai à mon désir qui se manifestait maintenant par une magnifique bosse à hauteur de mon bas-ventre.


Sans rien lui dire, je commençai à lui embrasser les bras et je descendis jusqu’à ses hanches, la dévorant de tendres baisers.


Mon Isa n’aimait pas que je la réveille pour « s’envoyer en l’air » comme elle disait mais là, comme elle était réveillée, je me passai de ces demi-protestations et descendis pour arriver jusqu’à ses fesses, que ma bouche picora de baisers brûlants.


Elle gigota un peu sous mon assaut, probablement surprise par sa fougue et son caractère soudain, mais ses mouvements relevaient plus haut encore sa jupe et j’en profitai pour écarter ses jambes et ma bouche longeant ses fesses, elle se posa finalement entre ses cuisses.


Ivre de son corps, la ficelle de son string passait entre les lèvres de son sexe, elle m’offrait un tableau des plus excitants et je ne pus réprimer l’envie de lui dévorer le minou. Ma langue passa sur sa fleur, et j’étais tout excité de sentir le friselis de sa toison et le haut de sa fente qui s’humidifiait déjà.


Elle gémit et j’en profitai pour faire descendre son string et alors qu’elle était toujours alanguie, j’écartai ses cuisses et plongeai ma langue dans son vagin. Quel délice de pouvoir lui donner du plaisir ! J’avais toujours aimé lui lécher le sexe et là, après plusieurs jours d’abstinence, sentir son corps réagir à mes baisers me rendait fou. Elle écarta les jambes et se mit sur le dos, me laissant le champ libre, m’offrant son vagin à lécher.


Je voulais prendre mon temps avant de reconnaître de la langue les contours de ses lèvres, avant de plonger au cœur de sa fleur dont j’effeuillerai les pétales. Je musardais et n’y tenant plus, collai ma bouche à son entrecuisses. J’aimais sentir son sexe, à la toison si douce et malgré que je lui aie demandé plusieurs fois de se raser le sexe, je dois dire que j’aimais sa toison châtaine. J’aimais poser ma tête sur son mont de Vénus, sentir son odeur, chercher l’entrée de son intimité et au fur et à mesure que je caressais et embrassais son sexe, je sentais ses poils collés de ma salive et de sa liqueur.


J’avançai la langue et entrepris de lécher doucement le contour de son sexe déjà entrouvert. Elle gémit sous les petits coups de langue et après avoir sucé ses lèvres, les petits coups de langue se changèrent en lapées plus appuyées.


Isa poussait de petits râles de bien-être et la bouche toujours collée à son sexe, je remontai les mains sous son top pour caresser ses seins dont les bouts étaient déjà gonflés par l’excitation.

Elle aimait que je lui touche le bout des seins quand je la léchais, parfois lors d’une séance de préliminaires où mes doigts la pénétraient et ma langue la lapait amoureusement, elle se pinçait les seins pour s’exciter encore plus. Mais là, en ce moment, c’est moi qui m’occupais de ses seins, les caressant à pleines mains, agaçant la pointe de la paume de la main avant de les pincer doucement.


De son côté, mon Isa avait posé ses mains sur son mont de Vénus et écartait les lèvres de son sexe, libérant son clitoris qui pointait sous la caresse de ma langue. J’aimais sentir ses doigts quand je la léchais, moi qui fermais les yeux pour profiter pleinement de boire à la source de son plaisir, j’aimais voir ses mains posées sur son ventre et remonter son mont de Vénus pour me laisser lui sucer son bouton d’amour. Isa écartait les jambes en les remontant un peu, et connaissant mon amour, je la savais proche du plaisir.


En enfonçant ma langue dans sa fente, me délectant de son parfum, je voulais enfoncer mes doigts quand je me souvins du vibro.

« Et si j’allais le chercher ? »


Je savais par avance qu’Isa n’aurait pas aimé, donc, voulant lui donner du plaisir, j’abandonnai cette idée et la retournant, je la fis se mettre à quatre pattes. Elle s’attendait à ce que je la pénètre, que je lui fasse l’amour mais je n’avais pas envie de ça, pas comme ça, ma tentation de pénétrer son intimité avec mon sexe était forte mais je zappai cette image et me concentrai sur son plaisir qui allait bientôt éclater. Alors je plongeai ma langue entre ses fesses et lui lapai l’anus. J’ai su, il y a peu qu’elle ne voulait pas du tout que je la touche à cet endroit mais là, excitée comme elle l’était, elle se laissa aller au plaisir.


Je lui léchai le sexe avec passion, la sentant s’ouvrir encore, la respiration saccadée. Mes mains tantôt écartant ses fesses pour y plonger la langue, tantôt caressant sa fente, je voulais la sentir jouir sous mes baisers. Elle n’en pouvait plus, ses hanches ondulaient sous la montée du plaisir, elle remuait vers moi, tendait sa croupe vers ma bouche en gémissant doucement.

Elle éclata dans un orgasme quand ma langue se posa sur sa fente, le nez entre ses fesses, je flirtais avec son sexe en buvant son plaisir.


Les effets de l’orgasme passés, Isa se retourna et, en remettant de l’ordre dans sa tenue, me demanda pourquoi je ne l’avais pas prise. Je lui répondis que je voulais un peu de fantaisie mais que j’étais ravi de lui avoir donné du plaisir et la laissant surprise, je partis me servir un verre à la cuisine.


Après être allée aux toilettes, Isa me rejoint et me dit qu’elle allait s’occuper de la petite.

Je profitai du réveil de ma fille pour aller prendre une douche réparatrice et je sortis de la salle de bain en pleine forme.


En passant au salon, je vis Isa et notre fille et en la prenant dans les bras pour lui faire un câlin, je dis à ma femme que j’irais faire une balade en vélo ce soir.


La petite est une dormeuse, à peine son biberon avalé qu’elle donnait des signes de fatigue et Isa la ramena à sa chambre. Je fis le bisou-dodo traditionnel et, comme ma femme montait l’escalier, je pris ma tenue de sport, mon mp3, une gourde et partis avec la ferme intention de pédaler mes trente kilomètres.


Je pris mon VTT et commençai par une descente, facile penserez-vous mais je m’étais remis au sport depuis peu. La musique s’enchaîna et je profitai pleinement de ma balade. Cependant, tout à mes coups de jarrets, je ne pouvais m’empêcher de penser à Isa, à ses seins, à sa bouche, à son corps et surtout si je l’avais bien fait jouir, j’étais resté sur ma faim.


J’avais mon petit circuit et après dix kilomètres, je me retrouvai à la croisée des chemins, à droite ma balade et les vingt bornes restantes, à gauche, la maison et Isa. Le choix s’imposa à moi en deux secondes et je pris le chemin de la maison. Même si elle m’envoyait promener et ne cédait pas à mes avances et à celles de mon « copain », je n’étais pas du tout à ma balade.


Le chemin du retour fut long mais j’étais bien et souriais en pensant à elle.

Arrivé à la maison, je fis doucement, pris encore un verre d’eau fraîche sur la terrasse et montai me doucher.


Même sans avoir beaucoup roulé, la fraîcheur de l’eau faisait du bien, mais je ne m’éternisai pas de crainte qu’elle ne dorme ou de réveiller notre fille. Lavé et séché, je pris le chemin de la chambre. Isa ne dormait pas, elle regardait la télévision, et somnolait. Je la soupçonnai d’avoir pris une de ses gélules pour faciliter l’endormissement et après avoir expliqué que je n’avais pas la tête au sport et qu’il faisait trop chaud, elle me coupa en disant qu’elle regardait sa série.


Pas de chance pour la bagatelle, et pas possible de discuter, elle semblait captivée par son feuilleton. Je descendis alors dans le salon prétextant qu’il faisait trop chaud dans notre chambre, ce qui était vrai, mais c’était surtout mes pensées, et comme Isa était nue devant moi, les pensées ne risquaient pas de s’estomper.


Je m’installai donc dans le salon et cherchai un programme sur d’autres chaînes.

Au bout de trente minutes, mon portable émit une sonnerie, je venais de recevoir un texto. Je l’empoignai non sans me demander qui pouvait bien me déranger en pleine soirée. Là, j’eus un sursaut, c’était un message d’Isa. Elle me demandait si je dormais. Je répondis par la négative et lui rétorquai la question. Sa réponse fut aussi prompte que la mienne, négative aussi. Mais ponctuée d’une phrase qui fit accélérer mon rythme cardiaque : elle avait trop chaud et me demandait si je ne voulais pas monter dans la chambre… avec mon « copain ».


Alors là, j’étais soufflé : non seulement elle me demandait de monter lui faire l’amour mais en plus d’essayer le vibro. En y réfléchissant, je n’étais qu’à moitié surpris. En effet, le médicament pour lui faciliter l’endormissement la désinhibait puissance dix. Elle qui n’était pas portée sur le sexe devenait une quasi nymphomane. Je me souvins la première fois où, après avoir pris cette pilule, elle m’avait demandé de regarder un film porno. Ou encore, un soir alors que nous étions au lit, j’étais au téléphone avec un ami, après avoir profité de la conversation, elle s’était jetée sur mon sexe pour le sucer, j’avais tenu tant bien que mal mais je n’étais pas au bout de mes surprises ; tandis que je la prenais en levrette, elle avait tenu ses fesses à pleines mains et m’avait demandé de la sodomiser…


Mais revenons à cette soirée d’août. Je me décidai à lui répondre et montai les escaliers vers notre chambre, non sans m’être emparé de mon « copain » qui allait devenir le nôtre sous peu.


Arrivé dans la chambre, je fus ravi de voir que mon Isa était toujours dans son plus simple appareil, la télévision toujours allumée mais elle me regardait d’un œil très pétillant. Je la rejoignis au lit et sortis de derrière mon dos le vibro, je voulais faire les présentations mais pas trop vite non plus : les préliminaires de l’avant-soirée me donnaient envie d’y goûter à nouveau.


Nous nous embrassâmes et je sentis qu’elle avait chaud, ses petits seins ne pointaient pas encore mais j’allais m’y employer. Je lui rendis son baiser et nos langues dansèrent un ballet savoureux. Isa remonta sa jambe et la passant dans mon dos me serra contre elle.


Tout en l’embrassant, je caressai ses fesses et après lui avoir déclenché quelques frissons, je laissai mes doigts s’aventurer entre ses cuisses. Quel bonheur de fouiller à travers sa toison pour deviner l’entrée de son sexe ! Il était entrouvert et mouillait déjà abondamment. Mes doigts commencèrent à faire des cercles larges tirant délicatement ses grandes lèvres, et après avoir joué avec les pétales de sa fleur, je présentai un doigt à l’entrée de son sexe et l’enfonçai lentement en elle.


Elle tressaillit et écarta les cuisses plus fort pour me laisser la doigter à loisir. Je ressortis le doigt et remontai le long de ses lèvres pour le poser à leur sommet, sur son petit bouton d’amour qui pointait la tête hors de son capuchon. Elle gémit et quittant ma bouche, dirigea ma tête vers sa poitrine.


Je ne me fis pas prier et je la basculai sur le dos pour la masturber et m’occuper de ses seins tout à loisir. Je posai ma bouche sur son sein gauche et commençai à le lécher, passant une langue gourmande sur son aréole, tournant tout autour de son téton mais sans le prendre dans ma bouche.


Elle émettait des petits râles, très discrets mais qui trahissaient le plaisir que ma langue offrait à sa poitrine. Mon doigt toujours sur son clitoris faisait des petits cercles, le massant ou tournant autour. Je descendis mon doigt et le plongeai à nouveau dans son vagin qui maintenant grand ouvert laissait couler sa liqueur.


Je voulais l’exciter à nouveau et mon sexe dressé faisait des petits bonds contre sa cuisse. Curieux de savoir si mon Isa était d’humeur très coquine pour ne pas dire salace, je sortis mon doigt de son sexe et, tout trempé de mouille, je le portai à sa bouche. Elle le prit entre ses lèvres et le suça avec avidité, j’étais toujours excité de voir à quel point l’odeur et le goût de son miel décuplaient ses ardeurs.


Tout à me laisser sucer les doigts, je pris son téton entre mes lèvres et le mordillai doucement, le caressant entre la langue et mes dents. Isa gémissait plus fort et plongea d’autorité mon doigt dans son sexe me demandant après quelques va-et-vient d’y enfoncer un deuxième. Je la contentai de suite et elle soupira longuement quand je la pénétrai allégrement de deux doigts, les joignant quand ils plongeaient dans son sexe en fusion et les faisant jouer contre les parois de son vagin. À ce rythme-là, connaissant ma petite femme, elle allait bientôt jouir.


Je quittai ses seins et sortis mes doigts, empoignant le vibro. Lisse au bout, il était nervuré à la base et sans le mettre en marche, je caressai ses grandes lèvres avec les nervures, déclenchant en elle de nouveaux frissons.


Au bout de quelques va-et-vient sur son sexe, ma petite femme remonta ses cuisses sur ses genoux m’offrant en toute indécence son vagin en grand. Le vibro était tout luisant de mouille et je le portai à la bouche d’Isa. Comme pour mes doigts, elle le prit entre ses lèvres et entama une fellation qui était des plus excitantes. Je n’en croyais pas mes yeux : Isa, mon Isa, était en train de sucer un vibromasseur, goûtant sa propre liqueur. Inutile de dire que mon sexe bandait dur, j’en sentais le bout s’humidifier lui aussi.


Les cuisses toujours relevées, Isa mouillait abondamment, sa liqueur suivait le sillon et coulait jusqu’entre ses fesses. Moi qui aimais tant la boire, je ne voulais pas en perdre une goutte et m’allongeant sur le dos, je lui demandai de venir sur moi, de poser son sexe sur ma bouche.


J’aimais voir Isa quand elle m’enjambait le torse et venait m’offrir sa chatte à déguster. Je me jetai sur elle, et la mangeai comme une mangue, plongeant ma langue dans son vagin et la pénétrant comme si ma langue était un sexe. J’ouvris les yeux et le tableau que m’offrait ma femme me rendit fou : le derrière relevé, cuisses écartées, son sexe et la raie de ses fesses luisants de sa mouille et de ma salive. J’avais gardé le vibro à portée et le mis en marche, fidèlement il se mit à ronronner et à nouveau je caressai le sexe de ma femme de toute sa longueur, le faisant coulisser entre ses grandes lèvres mais sans la pénétrer, ma langue, elle, tournait autour et sur son clitoris.


C’est le moment qu’elle choisit pour me prendre dans sa bouche et commencer elle aussi à me sucer le sexe. J’aimais quand elle me lapait la verge sur toute sa longueur et, arrivée au sommet, elle l’embouchait pour la faire coulisser entre ses lèvres, agaçant son bout de la langue. Parfois, elle la sortait de sa bouche, dardait sa langue sur mon gland et puis la reprenait entre ses lèvres pour le sucer avec application. Je gémis à mon tour, et j’enfonçai le vibro dans son sexe, faisant des va-et-vient en le tournant, comme je suçais moi aussi son bourgeon, je sentais les vibrations et Isa commença à râler plus fort.


Mais là, c’est moi qui voulais la prendre, je voulais être en elle, sentir son sexe se refermer sur le mien et me masser comme si une main me masturbait.


Je la fis se relever et l’installai à quatre pattes, j’aimais cette position, pas dans un but de soumission mais parce que la vue de ses fesses m’excitait au plus haut point.


Isa me jeta un œil et écarta les cuisses en grand, je me postai derrière elle et approchai le bout de ma verge de son sexe. Elle était brûlante, trempée et je caressai son clitoris de mon gland quelques secondes avant de plonger en elle. Entrant tout au fond d’elle, son vagin avait avalé ma queue et je commençai un mouvement de va-et-vient en lui caressant les fesses et les hanches. Bon sang que c’était paradisiaque de sentir son corps, de la pénétrer !


Je reculai un peu pour voir mon sexe entrer et sortir, laissant le bout à l’intérieur et entrant à nouveau de toute sa longueur, la vision de mon sexe tendu, luisant de sa mouille m’excitait et je caressais ses fesses à chaque fois que je plongeais en elle.


Je la sentis proche de l’orgasme et n’y tenant plus je me penchai et pris ses tétons dans mes doigts, les pinçant et les étirant en la pénétrant profondément. Je sentis le point de non-retour arriver, et au bout de quelques poussées, le plaisir nous saisit tous les deux, Isa tendait son fessier vers moi et toujours en lui pinçant les seins, ce fut une sensation extraordinaire, son vagin me serrait comme une main laissant s’écouler sa liqueur, chaude, trempée, offerte en gémissant. J’éclatai à mon tour, ma semence monta dans ma queue et en un éclair, j’éjaculai à mon tour, mon sperme fouettant les parois de son vagin en longues saccades, nos plaisirs se mélangeaient enfin après une si longue attente.


La position étant inconfortable, je sortis à regret de son corps et m’écroulai terrassé par l’orgasme.

Isa, mon Isa, ma femme venait de m’offrir un cadeau somptueux et dut reconnaître, tandis que nous nous faisions un câlin, que le « copain » était très sympa et surtout qu’il lui avait fait découvrir de très agréables et fortes sensations.


Je pris cela avec tellement de joie, que tout à mon plaisir assouvi, en rêvant à moitié tandis que je la caressais tendrement, j’envisageais déjà de nous offrir un deuxième copain.

Isa, mon Isa, que tu es belle et féminine…


… et surtout dans le plaisir que j’adore partager avec toi.