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n° 14342Fiche technique12090 caractères12090
Temps de lecture estimé : 8 mn
27/03/11
Résumé:  Douce soirée entre un homme et une femme autour d'un verre de vin...
Critères:  fh hplusag jeunes fépilée fellation cunnilingu pénétratio fsodo confession -amiamour
Auteur : Anne Honyme  (Jeune femme romantique, beaucoup d'imagination)      Envoi mini-message
Une douce soirée avec un ami


À plusieurs reprises, il m’a fait comprendre qu’il voulait venir chez moi. Il voulait voir-comment-c’était-dans-un-studio-d’étudiante. Je lui avais dit que c’était tout petit et que jamais personne ne venait, j’avais trop honte de ce petit appartement à peine décoré. Les deux dernières fois, je lui avais dit que ce n’était pas une bonne idée qu’on se retrouve chez moi, trop petit, pas assez aménagé.

Il n’avait pas insisté. Je retrouvais là son côté « gentleman » un peu timide qui écoute les envies de ses conquêtes.


Pourtant j’en avais très envie et j’avais bien compris grâce à ses nombreux sous-entendus que je ne le laissais pas indifférent. Ce paradoxe, le fait de me refuser à le laisser entrer dans mon appartement, et l’envie forte qu’il vînt me prendre dans mon minuscule lit d’étudiante, était né de mon manque de confiance en l’entité masculine et de notre différence d’âge remarquable.


Alors que je savais qu’il allait avoir une journée très stressante au travail et une réunion importante qui allait lui prendre une bonne partie de cette journée, je décidai de lui laisser un message vocal sur son mobile.


« Hello, je voulais juste te souhaiter une bonne journée et te dire bon courage pour cette réunion. Si tu veux qu’on en parle, tu peux passer chez moi. J’ai acheté une bonne bouteille de vin et quelques trucs à grignoter… Rappelle-moi, si ça te tente ».


La réponse ne fut pas longue à arriver. Effectivement, il me rappela deux heures plus tard. Il me dit que ma proposition le tentait bien, qu’il aimait le vin, surtout le rouge. Je lui donnai le numéro du digicode de mon immeuble, l’étage, et le numéro de mon studio.

Je savais qu’il serait devant ma porte vers 19 h 30 / 20 h environ.


Je sortis de l’université vers 18 h environ. J’avais le temps de faire les dernières courses.

Vite, je rentrai chez moi, changeai les draps, fis un brin de ménage et rangeai ce qu’il ne devait pas voir. Je décidai de prendre une douche rapide, histoire d’enlever toute la tension de la journée et d’ôter les derniers poils disgracieux des endroits les plus intimes de mon anatomie. Comme d’habitude, je fis en sorte de rendre mon sexe aussi nu qu’il l’était lors de ma naissance.

Voilà, j’étais fraîche et présentable, un petit peu de maquillage pour sublimer mes yeux, et illuminer mon teint. Il ne m’avait jamais vue sans ces artifices.


Sous mes vêtements, j’ai mis mon plus bel ensemble de sous-vêtements coordonnés acheté récemment : un string noir à dentelle et un soutien-gorge noir.

J’ouvris la bouteille de vin pour la faire décanter, posai les verres sur la table. Une bougie dégageait une odeur de jasmin au milieu de la table entre les présentoirs de petits gâteaux apéritifs.



Quelques légers coups donnés sur la porte me sortent de mes pensées. Il est là. Déjà.


Je ne tarde pas à ouvrir. Il est là, debout devant moi, souriant, je lui rends son sourire et l’invite à entrer. Il m’embrasse en me faisant une bise sur les deux joues, comme à son habitude. Il vient juste d’arriver mais son parfum flotte déjà dans toute la pièce. Je le respire, je le sens, il m’enivre, il ne le sait pas. Je l’invite à se débarrasser de sa veste. Je voudrais qu’il en enlève plus, mais il est encore trop tôt. Il ne se doute de rien. Le tour du propriétaire est rapide, je l’invite donc à s’asseoir, ce qu’il fait. Sa journée fatigante ne lui a pas laissé une minute de répit. Je prends la chaise face à lui. Je sais que la longueur de la table me permet de lui toucher au moins les chevilles.


Je verse du vin dans les deux verres. On commence à discuter, comme d’habitude, on refait le monde ; j’aime nos échanges, j’ai l’impression que tous les deux, nous détenons les solutions. Ses yeux plongés dans les miens, la tension amoureuse entre nous emplit la pièce. La soirée s’écoule lentement.


Après avoir débarrassé les pots vides de la table, je me glisse derrière lui. Je me penche sur son dos, ma tête sur son épaule… son parfum… je lui susurre à l’oreille :



Il est devenu écarlate, comme une petite vierge. Je le sens gêné, d’abord parce qu’il n’a pas l’habitude que je sois si près de lui et qu’ensuite je lui pose cette question, à laquelle il ne s’attendait pas du tout, de ma part.


Ma petite poitrine toujours appuyée sur son dos, je lui dis que mon fantasme serait de glisser ma main dans ses cheveux, de l’embrasser sur chaque centimètre carré de son corps et de sentir ses douces et grandes mains sur mes fesses. Il ne dit rien et se contente d’un petit rire. Il reste muet face à cette avalanche d’aveux qui semblent l’interloquer mais le stimuler en même temps.


Je distingue une bosse à travers son pantalon sombre. Je devine qu’une fois de plus, je ne le laisse pas indifférent. Je fais le tour de la chaise et m’assois à califourchon sur ses cuisses. Doucement, je déboutonne un à un les boutons de sa belle chemise blanche à rayures fines. Il me regarde faire droit dans les yeux. Je souris, me penche vers sa bouche et l’embrasse langoureusement.


Enfin, je sens ses mains sur mes hanches. Une nouvelle chaleur m’envahit. Ses mains remontent sur mon t-shirt mauve. Elles le soulèvent. Me voilà en soutien-gorge devant lui. Mes mains sont sur torse, je le caresse. D’un coup, sans que je me rende compte, mes seins sont à l’air libre. Il se penche pour les embrasser, les sucer. Il embrasse mes tétons tour à tour. Je commence à mouiller pour lui. Il remonte doucement dans mon cou avec ses lèvres, sa langue. Il m’embrasse longuement dans le creux entre mon oreille et ma nuque.


Je lui propose de passer à côté. À côté ? C’est mon petit lit d’un mètre de largeur environ.


Je m’accroche à son cou et serre mes jambes autour de ses hanches. Il met ses mains sous mes fesses, fait quelques pas et me dépose délicatement assise sur le lit. Il est resté debout. J’en profite pour finir de déboutonner sa chemise et arrive maintenant à la ceinture de son pantalon que j’enlève bien vite. Le bouton défait et la braguette descendue, son pantalon tombe rapidement sur ses cuisses puis sur ses pieds. Il enlève ses chaussures l’une après l’autre. Le voilà débarrassé de toute entrave.


Comme je le prévoyais, je découvre un boxer qui cache son sexe déjà tendu. Je le caresse à travers ce morceau de tissu. Il semble aimer. Je ferme les yeux et laisse mes mains découvrir cette partie de son corps. Il a posé ses mains sur mes épaules, sur mon dos. Timidement, à sa façon, il m’encourage. J’écarte l’élastique de son boxer et le baisse pour qu’il se retrouve lui aussi à terre. Je saisis d’une main cette verge dure. Je la caresse doucement, de l’autre je caresse les testicules, les embrasse. J’embrasse sa queue. Ses mains sur ma tête, il me pousse à le prendre en bouche.


Pleine de salive, j’enfourne sa bite dans ma bouche. Je fais des va-et-vient simulant l’acte amoureux. Ses hanches bougent en même temps, il en veut encore, il aime ça. Des bruits de succion accompagnent l’instant où je ressors son appendice de ma bouche, chaude, accueillante et humide.

Je me recule sur le lit. Il me rejoint. Il prend entre ses deux mains puissantes mes hanches et me pose à quatre pattes… en levrette. Il se glisse en dessous de moi, je fais désormais face à cette queue toujours en érection.


Derrière moi, il a légèrement relevé sa tête pour atteindre mon clitoris. Sa langue se promène sur mes grandes lèvres. Je frissonne. Je sens sa langue entrer en moi. Il donne des petits coups bien placés. Je commence à être humide. Sur une petite partie de mon clitoris, avant l’entrée de mon vagin, il fait des petits va-et-vient avec sa langue. Je ne tarde pas à exprimer toute ma reconnaissance pour ce moment d’intense plaisir. Je me lâche complètement. Il ouvre la bouche et me reçoit. Ma respiration qui s’était accélérée reprend un rythme normal. En chuchotant, je m’excuse. Il me rassure, me disant qu’il n’y a pas de quoi m’excuser, qu’il aimait me donner ce plaisir.


Il se redresse. Étant sûre que je peux l’accueillir sans douleur, je m’offre à lui, ostensiblement. Il s’introduit en moi. Des petits coups d’abord, mais je le sens au plus profond, là où j’ai l’impression qu’aucun homme ne s’est jamais aventuré. Je me colle à lui. Puis, il accélère comme s’il devinait mes envies. Il ressort sa bite entièrement et revient d’un coup sec, et de cette manière plusieurs fois. J’aime ça. C’est bon.


Il me relève complètement. Je fais quelques pas et il me pose la poitrine sur le bureau, je fais désormais face à la seule fenêtre de mon studio. Il est debout derrière moi. Je sais ce qui m’attend. Je lui avais promis, au cours de la soirée, qu’il pourrait « me la mettre où il voudrait ». Je sens un de ses doigts dans ma chatte dégoulinante de cyprine. Il utilise ce liquide blanc presque transparent pour humidifier mon petit trou. Il se penche et crache sur cette entrée. Il prend toutes les précautions nécessaires pour ne pas me faire mal et que je prenne le même plaisir que lui. Il introduit un doigt en moi pour s’assurer que je suis assez humide pour l’accueillir. Maintenant je sens son gland sur mes fesses, à l’entrée de mon anus. Il entre doucement, millimètre par millimètre. La moitié de sa queue est au creux de moi. Il bouge un peu. Je gémis, je soupire, je tiens fermement les bords du bureau pour ne pas crier, pour ne pas alerter les voisins. Il continue. Le voilà tout entier en moi. Il se penche sur moi et ne bouge plus. Il m’embrasse sur le haut de mon dos, dans la nuque. Puis, il fait quelques lents va-et-vient, il accélère crescendo pendant cinq minutes environ, ça me semble une éternité. Il m’avertit qu’il ne va pas tarder à jouir. Je l’autorise à se laisser aller en moi. J’ai envie de sentir ce liquide chaud se répandre en moi.


Épuisé, il se couche de tout son poids sur moi. Il émet un son guttural de plaisir.


Il se retire. Je m’agenouille et suce le reste de sa semence. Je le masturbe pour recueillir un peu de lui et l’avaler. Je me relève, et l’embrasse longuement. Je veux qu’il se sente, qu’il profite à son tour de ce qu’il a produit.

Pour finir cette nuit, je lui propose de regagner le lit, serrés l’un contre l’autre, nous nous endormons.


Au petit matin, une de ses mains est posée sur mon sein droit. Il joue avec mon téton, le pince. Je sens son souffle dans mon cou. Sa verge entre mes cuisses est déjà dure. Humide, j’écarte légèrement les jambes pour permettre une pénétration plus facile. Il entre en moi et bouge lentement. C’est doux, c’est tendre.


Pendant dix minutes environ, on reste collés l’un à l’autre. J’ai beaucoup de plaisir à vivre cet instant, de la cyprine coule jusqu’à mon anus. Il m’avertit qu’il ne va pas tarder à jouir, il a l’attention de me demander ce que je préfère… je lui réponds que j’aimerais beaucoup qu’il me réchauffe la poitrine qui était restée à l’air tout ce temps. Il sort de mon vagin, je m’allonge sur le dos et son sperme tombe sur mon ventre, mon torse, mes seins. À son tour, il se remet sur le côté, me caresse doucement, joue avec son sperme sur moi, m’embrasse et se rendort. Je me lève sans le déranger, sans faire de bruit. Je file sous la douche. En sortant, je m’assois à ce bureau et rédige cette histoire.