n° 14347 | Fiche technique | 8857 caractères | 8857Temps de lecture estimé : 6 mn | 28/03/11 |
Résumé: Aventure réelle vécue en juillet 2010 dans le sud de la France. | ||||
Critères: fh hplusag extracon piscine sport fellation pénétratio confession -occasion | ||||
Auteur : Michèle (45 ans belge, blonde, sportive) |
Bonjour, après quelques hésitations je me lance, et vous fais parvenir le récit de cette aventure qui c’est déroulée l’année passée en juillet 2010. Est-ce le retour du printemps, des jours plus longs, ou la perspective de l’été futur qui verra la reprise de mes activités nautiques, avec peut être la chance de revivre un bon moment, similaire à celui que je vais vous raconter ? En tout cas, cette aventure nourrit encore mes fantasmes lors de mes ébats avec mon compagnon.
Bon, je me présente, je m’appelle Michèle, installée en Provence – dans le Var – depuis quelques années avec mon compagnon qui, à l’occasion d’une mutation professionnelle, a rejoint cette belle région. J’ai suspendu mes activités pour le suivre et aussi en pensant me réorienter professionnellement. En attendant un nouvel emploi pérenne, je fais quelques petits boulots et, comme l’enseignement de la natation est une de mes cordes, alors je profite du temps clément de cette région pour apprendre à nager aux enfants et adultes.
Ce qui suit s’est passé fin juillet aux abords de la piscine d’un ami où je donne quelques cours. Le bassin est suffisamment long pour que l’on puisse nager correctement, et les abords aménagés avec une construction qui abrite des toilettes-douche à une extrémité, une terrasse couverte (tip top quand le soleil est au zénith) au centre puis un local qui fait office de cuisine d’été, de bar, de vestiaire et, pour l’occasion, de lieu de plaisir…
J’assume mes 45 ans, blonde comme beaucoup de mes compatriotes du plat pays, 1, 69 m, avec un corps encore musclé qui trahit mon passé de nageuse, et mes activités physiques actuelles. Mon compagnon semble se focaliser sur mes fesses qu’il trouve belles et rondes, rondeurs qui feraient défaut à ma poitrine plutôt menue (95B) mais qui présente le bel avantage d’être encore ferme et orgueilleuse.
Ce matin-là, j’avais le petit Paul comme élève. Comme pour les autres leçons, son père l’avait amené au cours (45 min) et l’attendait sur le bord du bassin. Il profitait du soleil déjà chaud vers les 10 h, de la compagnie de son fils immergé et aussi me draguait discrètement. C’était un homme grand qui portait bien la cinquantaine, le regard envoûtant. Il ne me laissait pas indifférente. En dehors des leçons, je l’avais croisé quelques fois au village.
Son fils Paul n’était pas spécialement doué pour la natation malgré son application et ses progrès, réels par rapport à la première leçon, étaient néanmoins timides. Je suivais ses longueurs divulguant conseils et consignes le long de la piscine. J’avais remarqué que son père ne perdait pas de vue ma silhouette sculptée par mon maillot, et surtout lorsque, de dos, j’offrais à sa vue mes fesses rondes moulées dans le lycra.
Le père de Paul était déçu de la faible progression de son fils. Pensait-il faire de lui un champion ? Moi, je savais que cela ne serait jamais le cas. Et de fait, je souhaitais le lui dire clairement à la fin de la séance, afin qu’il fasse retomber la pression qu’il mettait sur les épaules de Paul. À la fin du cours, je lui demandai d’aller en discuter dans le local qui servait de vestiaires, loin des oreilles de Paul qui avec l’élève suivant (arrivé en avance) s’amusait dans l’eau.
Je devançai Victor (le papa) pour aller jusqu’au vestiaire, et j’imagine qu’à ce moment-là il devait reluquer mon postérieur car, en marchant, les maillots de bains ont tendance à remonter, à venir s’insérer entre les fesses, et à dessiner la raie (les nageuses savent de quoi il retourne…). Résultat : mon cul presque à nu, partagé par le lycra bleu qui tranche avec ma peau blanche…
Arrivés dans le vestiaire où Paul s’était changé, je m’apprêtais à informer le père, lorsque je surpris son regard fixé sur le bas de mon Speedo. Je compris la situation et, un moment figée entre le désir et le respect, je plongeai mes yeux dans les siens et le défiai du regard. Puis je glissai un doigt sous mon maillot de chaque côté de mes hanches pour faire redescendre le lycra…
À ce moment, Victor, me saisit les deux poignets et les ramène derrière mon dos, fermement mais sans violence, il me les maintient d’une main. Je me cambre, le fixe du regard, les pointes de mes seins tendant, insolentes, le lycra…
De sa main libre, Victor effleure mon mont de vénus et fait glisser l’entrejambe de mon maillot d’un côté, offrant à sa vue ma toison blonde récemment épilée. Sa main droite posée sur ma vulve, il glisse son majeur entre mes lèvres, puis parcours plusieurs fois ma fente en appuyant sur mon clitoris. La pression se fait plus forte et son doigt s’enfonce dans mon sexe déjà humide, trahissant une envie certaine. Je me suis surprise à avancer mon bassin afin d’accentuer la pénétration.
Après quelques va-et-vient, son doigt abandonne mon antre et Victor me fait me retourner. Me voilà face au mur crépi, ses mains guidant mes poignets, il applique mes mains sur le mur. Naturellement, je tends les fesses en arrière. Mon corps a envie de contact. Ses mains emprisonnent mes hanches, flattent les rondeurs de mes fesses, puis remontent sur mon dos avant que ses doigts ne viennent titiller mes tétons tendus à travers le lycra. Il frotte son bas-ventre contre mes fesses et, à travers les étoffes qui nous séparent, je sens son sexe tendu. Ses mains glissent sous les échancrures de mon maillot et s’accaparent de mes petits seins. Mes pointes roulent entre ses doigts (ça j’adore !) et une douce chaleur envahit mon ventre. Sa main droite laisse mon téton pour caresser mon cul tendu. De ses doigts agiles, Victor fait glisser le lycra au milieu de mes fesses, laissant apparaître mes deux globes blancs tendus.
De ses deux mains, Victor malaxe mes deux lunes, me caresse l’intérieur des cuisses, s’aventure, entre, laisse traîner ses doigts entre mes lèvres. Son pouce dans ma raie, appuie sur mon petit œillet. Mon sexe est humide et ses doigts inquisiteurs. Sous leur pression, mon cul se tend, j’ai envie d’être prise !
J’abandonne momentanément mes appuis muraux pour faire glisser le haut de mon maillot sur les hanches puis, me retournant, j’offre à la vue de Victor ma poitrine encore ferme avec les pointes dressées et ma toison soyeuse. Il me mate de haut en bas et m’embrasse goulûment, pendant que mes doigts s’affairent à libérer son sexe de son pantalon de toile et de son slip. Au contact de sa queue, ma respiration s’accélère. Sa verge est d’un beau gabarit, déjà au garde-à-vous devant et dans mes mains chercheuses…
Je m’agenouille et commence une fellation. Après quelques coups de langue, son membre glisse presque entier dans ma bouche pendant que, d’une main, il me maintient le haut du crâne, accompagnant mes mouvements et que de l’autre, il caresse mes seins ballottant.
Je me redresse et je l’embrasse, lui faisant partager le parfum de sa verge, puis je me retourne et, de nouveau face au mur, j’empoigne les patères où sont pendus quelques effets de Paul. J’offre mon cul tendu en arrière, avec une forte envie d’être pénétrée, mon corps le réclame. Victor m’agrippe les hanches et vient présenter son sexe tendu entre mes lèvres, dilatées et offertes. Il glisse en moi sans effort jusqu’à la garde. Mes mains serrent très fort les patères pendant que je subis ses coups de bélier. Mes fesses accompagnent le mouvement, claquant contre sa peau, sa verge me remplit bien et frotte de partout, accentuant mon plaisir. Je sens sa jouissance monter en moi. il accélère son va-et-vient et puis une décharge de foutre me remplit alors qu’il m’embrasse le dos.
Il se retire assez vite, craignant je pense que notre absence semble suspecte aux enfants. Je n’ai pas joui sur le moment, malgré tout le plaisir pris.
Le dernier cours privé me parut long, j’avais la tête ailleurs, et le reste du corps aussi je crois. En rentrant à la maison, après avoir posé mon sac de sport, la première chose que je fis est de m’allonger sur le canapé, et de me faire jouir. Quelques caresses autour de mon clito ont suffi pour déclencher la déferlante qui attendait cette libération…
Depuis, j’ai recroisé Victor à quelques reprises, échangeant des sourires complices, mais sans plus, avec quand même les effets du souvenir chaud de ce moment partagé…
Peut-être que l’été 2011, va me réserver une expérience aussi chaude que celle-ci ?