n° 14357 | Fiche technique | 13181 caractères | 13181Temps de lecture estimé : 8 mn | 01/04/11 |
Résumé: Claire m'a toujours attiré, mais elle est devenue ma demi-soeur. Pourtant... | ||||
Critères: jeunes alliance grossexe fépilée intermast cunnilingu pénétratio -prememois | ||||
Auteur : Fawkes Envoi mini-message |
Ouf ! Enfin un peu de tranquillité. Ma mère et son nouveau mari sont sortis, ma demi-sœur ne devrait pas tarder de partir aussi pour rejoindre sa bande d’hurluberlus avec laquelle elle avait prévu de passer une soirée "mémorable". Ce n’est pas que je n’aime pas ma demi-sœur, bien au contraire, Claire est une très gentille (et jolie) fille, mais je ne supporte pas ses fréquentations. Quand elle est seule, ça va. Mais une fois réunis, ils sont insupportables. Ils ont tous entre 17 et 20 ans, Claire 18, mais si le physique n’était pas là, on les prendrait pour une bande de gamins de 10 ans.
Je descends les escaliers pour aller à la cuisine me préparer un petit quelque chose à grignoter, perdu dans mes pensées, quand une voix m’interpelle.
C’était Claire. Vêtue d’un simple t-shirt et d’un boxer, affalée sur le canapé, elle me regardait avec ses magnifiques yeux de biche. Elle n’était visiblement pas prête pour sortir. Je lui posais la question pour en avoir le cœur net.
Donc elle allait rester là. J’étais partagé entre la tristesse de ne pas être seul, et la joie de passer une soirée tranquillement avec Claire. Il faut avouer que depuis que je la connais, elle m’a toujours attiré. On ne se connaissait que de vue lorsque ma mère m’avait présenté son ami et sa fille – Claire. Moi qui espérais tant me rapprocher d’elle un jour, mon rêve fut à la fois comblé par ce mariage et détruit car elle devenait membre de la famille.
Elle se leva et se dirigea d’un pas léger, plein de grâce, vers l’incroyable pile de cassettes que son père et elle avaient collectionnée. Au bout d’un moment elle annonça à voix haute "Ah voilà !" et revint vers moi. Je l’observai s’agenouiller pour glisser la cassette et ne manquai pas de remarquer qu’elle ne portait pas de soutien-gorge.
Elle prit la télécommande et revint s’asseoir sur le canapé, un peu trop loin de moi à mon goût. Un appui sur lecture, et un instant plus tard…
Elle avait dit ça d’un ton mi-énervé, mi-amusé. Je détournais les yeux de son beau visage pour voir ce que c’était, bien que ce ne fût pas nécessaire. En effet les gémissements et les mots crus ne laissaient pas de doute sur la nature du film.
J’avais cru qu’elle aurait stoppé tout de suite, mais elle n’en fit rien. À la place, elle commenta ce qu’elle voyait.
Surpris, je ne trouvais rien de mieux que de lui demander :
Je ne sais pas pourquoi j’avais répondu ça, ce n’était pas très flatteur pour nous mais l’instinct du mâle est là, ne le nions pas messieurs.
Quoi qu’il en soit, ma remarque la fit rire. Qu’elle était belle…
Elle ne répondit rien, elle semblait absorbée par le film. Il était assez bien tourné. Le couple faisait l’amour naturellement, mais pas sauvagement. Si ce n’avait été des plans rapprochés, on aurait pu croire qu’il s’agissait d’un film érotique.
Les scènes s’enchaînaient devant nous, et nous les regardions sans mot dire. Du coin de l’œil, je remarquai qu’elle se caressait le ventre. Peut-être aurait-elle voulu aller plus bas mais n’osait-elle pas…
Le couple changea de position. La fille était maintenant en levrette, la croupe bien haute et tendue vers son amant. Une délicieuse vision, très excitante.
Je fus tellement surpris que j’en gloussais.
Elle finit sa phrase dans un soupir. Visiblement le film l’excitait tout autant que moi. Je tentai le tout pour le tout.
Réponse inespérée. Elle continua :
À ces mots, elle descendit sa main. Elle se massait maintenant à travers le boxer. J’en fis autant à travers mon short.
Elle se souleva légèrement et fit glisser son boxer le long de ses jambes. Elle l’envoya un peu plus loin d’un bref geste du pied, puis reprit sa lente masturbation, la main cachée par le t-shirt.
Je la savais pas très prude, mais là elle m’étonnait. Je décidai qu’au point où on en était, autant en profiter. Je posai alors mon short et mon caleçon. Comme je ne portais pas de maillot, je me retrouvais complètement nu. J’avais maintenant le sexe dressé à son aise. Elle s’en aperçut et me dit :
Elle retira son t-shirt. Je pus admirer sa superbe poitrine. Elle avait des seins comme je les imaginais, fermes, pointes dressées, ronds, sans être trop gros. Quand elle se rendit compte que je ne regardais plus le film, elle se tourna vers moi et s’approcha.
Son regard était baissé vers ma verge tendue.
Ma réponse fut claire. Celle-ci ouvrit les jambes, me dévoilant son sexe déjà bien mouillé, épilé complètement.
Nos gestes furent simultanés. Je posais ma main sur ses lèvres au moment où elle m’enserrait le sexe. Les va-et-vient qu’elle entama me donnèrent le signal. Je fis glisser mon doigt entre ses lèvres quelques instants, lubrifiant totalement son vagin, je passai sur son clitoris que je sentais gonflé de plaisir. Elle m’empoigna la verge à deux mains pour davantage de sensations. Il faut dire que j’ai été assez gâté par la nature.
Pendant qu’elle me branlait, je continuais mon exploration de son intimité. Je fis entrer mon index dans sa chatte, le laissant aller et venir au gré des ondulations du bassin de Claire, qui s’était mise à se trémousser de plus en plus. Je n’avais eu que deux partenaires avant ça, et celles-ci ne mouillaient pas autant que ma demi-sœur. Jamais je n’avais vu autant de cyprine couler comme ça. Pour mon plus grand plaisir !
Je décidai de passer à un stade supérieur. Je me levai du canapé et me positionnai entre ses jambes. Elle pencha la tête en arrière, pour savourer les plaisirs à venir. Je passai ma langue le long des grandes lèvres, ce qui la fit frémir. Je fis ensuite tourner ma langue autour de son bouton, ce qui la fit gémir. Je lapais son nectar tel un chat faisant sa toilette.
De temps à autre, j’introduisais ma langue tel un mini pénis afin de mieux la goûter. Et quel goût ! Un délice que l’on ne peut décrire, bien moins âcre que mes précédentes amantes. Mes doigts remplacèrent ma langue. Deux d’entre eux rentrèrent sans aucune difficulté, pendant que ma langue retournait s’occuper de son clitoris.
Au bout d’un moment, elle me glissa dans un souffle :
Je ne me fis pas prier. Je me relevai et vins me positionner à la bonne hauteur. Mon sexe toujours au garde-à-vous coulissa comme une lame chaude dans du beurre. Je pris mon temps pour atteindre la garde, nos pubis se touchant.
Lentement je me retirai au maximum sans pour autant quitter cet antre chaud, puis m’y renfonçai, cette fois avec un peu plus de vigueur. Je continuai ce petit manège un moment, lui arrachant des râles de plaisir à chaque intromission.
Le film continuait de défiler, mais nous n’y prêtions plus aucune attention. Nous étions devenus les acteurs, nous tournions notre propre film. Plus besoin de stimuli. Je repensai soudain à ce qu’elle avait dit plus tôt.
Elle sourit et en se redressant posa ses mains sur mon torse pour me pousser.
Elle se mit alors à quatre pattes sur le tapis. Sa croupe était alors bien plus appétissante que celle de l’actrice.
Je posai mes mains sur ses fesses et la pénétrai. J’y allais doucement, pour ne pas la surprendre. Une fois bien emmanché, elle poussa un "han" très expressif et commença de se tortiller. C’était délicieux. Mais c’était moi le mâle et mon ego disait de reprendre les rênes. Je lui saisis les hanches et commençai mon va-et-vient, alternant les mouvements lents et les plus rapides.
Je la pilonnais de plus en plus fort, lui arrachant un gémissement à chaque coup de rein. Les "hum" et les "oh" se succédaient, signe qu’elle prenait vraiment son pied. De mon côté, je n’avais pas à me plaindre. Sensation exquise que de sentir ses parois frotter contre mon gland gonflé à bloc. Je commençais à sentir le plaisir monter, j’allais jouir sous peu. J’allais lui annoncer mais elle me devança :
La logique, la précaution, l’intelligence me disaient de me retirer. Mais dans ces moments-là, on n’écoute plus rien de tout ça. J’accélérai alors encore la cadence et me vidai de ma semence au plus profond de ses entrailles dans un râle sourd. Elle jouit à son tour, ses contractions prolongeant mon plaisir.
Je me retirai et m’allongeai contre elle. Nous nous embrassâmes passionnément, un baiser digne des plus grands films d’amour. Nous restâmes un moment enlacés, savourant cet instant de complicité, de béatitude qui succède à la jouissance. Nous nous avouâmes nos sentiments réciproques.
Cette nuit-là, nous avons dormi dans le même lit. Nos parents respectifs ne devant pas rentrer avant le lendemain soir, nous ne nous inquiétâmes pas d’être surpris.
***
Trois semaines plus tard, j’appris qu’elle était enceinte. De moi évidemment, puisqu’elle n’avait rien fait depuis. Elle était perdue, paniquée, déboussolée, ne sachant pas quoi faire. Je lui expliquai qu’elle ne pouvait pas le garder, que c’était impossible, ça aurait créé trop d’histoires. Elle me dit qu’elle allait avorter. Je lui répondis que c’était ce qu’il y avait de mieux à faire.
Peu après nos chemins se séparèrent, études obligent. Nous avons perdu le contact.
Deux ans après, je la revis. Elle tenait un bébé dans les bras.
Mon fils.